Commentaire de nazef mohand almokrane (02/06/2008 22:05) :
azul felawen juste deux petit poèmes
cordialement
ait lounes
Mokrane Aït Lounes- Poème
Taverny (France, val d’Oise) 27/05/2008
La Confiance qui a trahi la Vérité
L’ombre qui dicte ses lois, à l’homme qui rit en pleurant,
Qui est à la recherche de ses racines dispersées, emportées par le courant.
Par ses larmes il fait raisonner les montagnes de tristesse,
Par son sourire l’ombre lui fait une promesse.
Le jour où tu serras dans le noir, je deviendrais tes racines,
Nous serons ensemble, toi et moi, dans un jardin sublime.
L’homme dit à l’ombre : si tu es mes racines, parles moi de mes ancêtres,
D’où viennent-ils et pourquoi je ne suis pas leur bien-être.
L’ombre réplique : moi, je suis ta lumière et le mystère de ton courage.
Si tu ne crois pas en moi, dans l’au-delà tu seras enfermé dans une cage,
L’homme, par instinct et amour maternel,
Demanda à l’ombre : Qu’es-tu donc sans la lumière du ciel ?
L’ombre ne sait que dire elle durcit ses lois,
Devant la Vérité, elle n’a guère le choix.
Là l’homme comprit que ses racines sont son avenir,
Sans elles il ne serait qu’un esclave condamner à souffrir.
Aït lounes
Réflexion
La sagesse et le poison
La sagesse immergée est devenue étrangère par son propre langage,
Interpelle le poison pour demander pour quelle raison il est devenu son
gage,
Lui qui est divin d’un age et d’outrage il n’est qu’un auxiliaire écris sur
une page.
Le poison, rit, rit, en pleurant d’être traité d’assassin et aussi de
tyran,
Sage divin, créateur de biens sachez que je ne suis que votre œuvre et non
un redan,
Moi qui suis juste une raison, un acte d’amour innocent, je ne suis que
votre création.
Toujours le mot qui fâche, sache que la sagesse n’est pas une tache,
Non pas un sujet d’outrage que enfermé comme une colombe dans une cage,
Mais une réflexion d’un age et d’outrage; ce n’est qu’à travers elle que
l’on devient sage.
Le poison pleur, pleur en riant d’être l’accusé condamné et désigné
comme Satan,
Sagesse divine je ne suis qu’un orphelin, je ne peux être autre chose
que le bien,
Je suis née des larmes, la plus grande de vos fiertés, je me nomme la
sagesse.
Mokrane Ait Lounes
Le jour où tu serras dans le noir, je deviendrais tes racines,
Nous serons ensemble, toi et moi, dans un jardin sublime.
L’homme dit à l’ombre : si tu es mes racines, parles moi de mes ancêtres,
D’où viennent-ils et pourquoi je ne suis pas leur bien-être.
L’ombre réplique : moi, je suis ta lumière et le mystère de ton courage.
Si tu ne crois pas en moi, dans l’au-delà tu seras enfermé dans une cage,
L’homme, par instinct et amour maternel,
Demanda à l’ombre : Qu’es-tu donc sans la lumière du ciel ?
L’ombre ne sait que dire elle durcit ses lois,
Devant la Vérité, elle n’a guère le choix.
Là l’homme comprit que ses racines sont son avenir,
Sans elles il ne serait qu’un esclave condamner à souffrir.
Aït lounes
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