Abdeslam devant certainement parler en dialecte algérien, le défenseur malien ne se sentait pas concerné pour la simple raison qu’il ne comprenait rien.
Scène classique depuis quelques années dans presque tous les stades : avant le coup d’envoi, les joueurs se regroupent dans leur camp et écoutent les derniers encouragements et consignes du capitaine d’équipe.
Sur cette photo, les joueurs de la JSK alignés jeudi passé face à l’USMA ne manquent pas au rituel et semblent concentrés autour du capitaine Cherif Abdeslam. Tous sauf… Idrissa Coulibaly, qui semble avoir la tête ailleurs.
Moralité : Abdeslam devant certainement parler en dialecte algérien, le défenseur malien ne se sentait pas concerné pour la simple raison qu’il ne comprenait rien.