« La vie au village n’est pas aussi ennuyeuse qu’on le pense. Le village où l’on est né présente des attraits que d’autres personnes ne peuvent pas voir. Le fait de me réveiller le matin et de voir la même montagne depuis que je suis né m’apporte toujours quelque chose. »,
« Je parle de la Kabylie à ma façon, afin d’apporter quelque chose pour que les choses évoluent »,
Et, avec modestie: « Je suis un homme ordinaire, plus ordinaire que les ordinaires »,
« La paix demande la parole : je suis contrainte de t'abandonner, pays pour qui j'ai l'âme en peine / Ils m'aiment en me comparant à une perdrix / Belle quand je leur sers de festin… »,
Lounis Aït-Menguellet
Lounis Aït Menguellet en concert, Roubaix, juin 2003
(Photo extraite du site « « Convergences »)