Le chocolat noir, dont les vertus médicinales sont connues depuis 2 000 ans et l'aspirine, inventée à la fin du XIXe siècle, sont des protecteurs du système cardio-vasculaire qui ne paraissent pas se démentir. Plusieurs études dont les résultats sont publiés hier samedi dans le cadre du 56e congrès de l'American College of Cardiology (ACC), qui réunit 30 000 spécialistes mondiaux à la Nouvelle-Orléans jusqu'au 27 mars, ont une fois encore confirmé les bienfaits de ces substances anciennes pour le cœur. Pour le chocolat noir, riche en flavonoïdes, puissant anti-oxydant dont les pouvoirs dilatateurs sur les artères sont connus et qui sont également abondants dans les raisins et autres fruits, un petit essai clinique a permis de mesurer ces effets. Sans inviter le public à se goinfrer de chocolat, des chercheurs de l'université de Yale (Connecticut), ont jugé les résultats de leur étude suffisamment probants pour justifier un essai clinique plus étendu sur une longue période parmi des personnes choisies au hasard. «Dans cet échantillon de près de quarante adultes en bonne santé, la consommation quotidienne de chocolat noir sur une courte période s'est traduite par une nette amélioration du fonctionnement cellulaire des artères et nous pensons qu'un essai clinique plus long pourrait montrer de plus grands effets positifs», ont expliqué ces médecins. Une vaste étude américaine dont les détails doivent être dévoilés ce dimanche à l'ACC montre que les femmes prenant régulièrement de l'aspirine réduisent leur risque de mourir d'une maladie cardio-vasculaire de près de 40% comparativement à celles n'en prenant jamais.
- 500g de mouton (poitrine, collier). - 2dl d’huile soit 1 verre classique. - 1 oignon moyen. - 3 ou 4 gousses d’ail. - 1 pomme de terre, 1 courgette. - 1 carotte (facultatif). - 1 lamelle de poivron, 1 lamelle de piment vert. - 1kg de tomates mûres et 1 cuil. à S. de concentré de tomates. - 2g de poivre rouge soit 1 cuil. à C. - 2g de carvi soit 1 cuillère à café. - 1 pincée de poivre noir et 1 de cannelle. - 100g de pois chiches trempés. - 1 botte de coriandre. -2 petites branches de céleri et de fenouil. - 100g de Dchicha frik.* - 1 citron. - Sel.
Temps de préparation :20 minutes Cuisson : 60 minutes
Disposer la viande découpée en petits dés dans une marmite à couscous. Éplucher, laver et couper en dés très fins tous les légumes(comme une macédoine). Arroser avec de l’huile, la coriandre et le concentré de tomates dilué avec un petit peu d’eau. Saler, poivrer. Ajouter la cannelle et les pois chiches. Faire revenir l'ensemble à feu doux pendant deux minutes.
Ensuite,couper les tomates en deux, les disposer dans un couscoussier sur la marmite et couvrir en cuisant à la vapeur (leur jus s’égouttera dans la marmite et arrosera progressivement son contenu).Arroser les tomates de temps en temps avec de l’eau jusqu’à concurrence d’un litre.
Après cuisson de la viande et des légumes, piler 3 ou 4 gousses d’ail avec le carvi et ½ cuillerée de piment. Diluer avec un ½verre d’eau et verser dans la marmite. Dés ébullition, jeter le blé vert concassé. Et laisser mijoter environ 20 minutes.
Servir au poudrer de coriandre finement hachée avec un filet de jus de citron.
Ma seule véritable culture est celle que je me suis trouvée en Kabylie puisqu'on sait que "l'oiseau ne chante bien que dans son arbre généalogique".
La vie de mon peuple contient la somme de l'expérience des hommes.
D'où le rapport charnel que j'ai avec ma terre natale, mes racines.
La culture amazighe est, pour chaque Imazighen, la pierre de touche de son identité.
C'est pourquoi je recrée chaque fois que je chante mon peuple.
Je dépoussière ses histoires, ses contes, j'enrichis ses chants, préserve sa langue et ses valeurs, parce que tout cela m'a façonné et que si ce n'est pas moi qui le fais, qui le fera ?
Tout enfant, j'avais fait cette pénible découverte : je n'avais pas le droit de parler ma langue et de connaître ma culture.
Alors que nous étions censés être libres et indépendants.
La langue maternelle, ça aide à se penser debout.
Mon pays, c'est l'ALGERIE.
Mais je suis le citoyen d'une autre patrie : LA CHANSON.
Quant à la langue amazighe, c'est ma langue maternelle, la langue du foetus, la langue intérieure J'ai la double nationalité car j'ai deux pays : mon pays et mon pays intérieur.
C'est dans la différence que je trouve mon identité.
Lounés Matoub Enfant du peuple le chanteur rebelle
Commentaire de eric / casanova (23/03/2007 20:54) :
Commentaire de Arezki (23/03/2007 23:38) :
Azul Fellawen, merci à vous pour vos messages et les créations photos ce
qui embellit mon blog et lui donne du changement ...pour la chanson de
Lounès (Tannemirt, Thetsaked avehri gher thurets), On pourra jamais
l'oublier c'est un symbole pour toute la Kabylie.
Je ne trouve pas d'autres commentaires pour le décrire ...tellement
quand j'écris je pense toujours qu'il est vivant...un poète
peut-il mourir...
Mrahva ssesslam n'Arezki At L Mulud.
A r tufat
Commentaire de brahim (24/03/2007 01:48) :
Le 17 janvier 1998, six mois avant son assassinat, Matoub avait rencontré
son public en France, au Zénith. Ce dernier rendez-vous avec ses fervents
admirateurs était un chef-d’œuvre en lui-même.
Un beau souvenir d’adieu...pour lire la suite de l'article sur son
derniier concert...
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=36594&ed=MTQ0OA==