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VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

  • 33 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal
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    Après son concert de samedi dernier à la salle Atlas de Bab El-Oued ... Lounis Aït Menguellet : “Cela fait chaud au cœur”

    22/02/2010 00:32

    Après son concert de samedi dernier à la salle Atlas de Bab El-Oued ... Lounis Aït Menguellet : “Cela fait chaud au cœur”


    Heureuses retrouvailles, samedi après-midi, entre le chanteur Lounis Aït Menguellet et ses admirateurs, anciens et nouveaux. Son concert a drainé un public nombreux.

    Ses fans se sont déplacés en masse pour voir le barde sur scène, écouter et apprécier ses œuvres, dans une ambiance parfois survoltée mais conviviale, marquée par des youyous et des applaudissements nourris.
    La salle Atlas était pleine à craquer. Beaucoup de spectateurs sont retournés bredouilles. Ils n’ont pas pu assister au concert faute de places. Les plus chanceux, ceux qui ont réussi à dénicher une place, ont été comblés.
    Voulu ou pas, le choix des chansons interprétées, entamé avec Tajra ilili, a permis de retracer à grands traits l’itinéraire de l’artiste depuis ses premiers pas dans la chanson kabyle, au milieu des années 1960. Kamel Hamadi, son compositeur au début de sa carrière artistique, et le poète Ben Mohamed, tous deux vivant en France, étaient présents au concert, à l’invitation du chanteur.
    Lounis Aït Menguellet a réuni, pendant deux heures et demie, trois générations d’admirateurs, du grand-père ou de la grand-mère aux petits-enfants. Une belle image ! “C’est véritablement un régal de retrouver le public habituel et une nouvelle génération de spectateurs”, dira le chanteur à la fin du concert.
    Les jeunes nés en 1991, année de ses spectacles mouvements dans cette même salle Atlas, ont aujourd’hui 19 ans. Il a été ravi de voir des jeunes de cette tranche d’âge dans la salle. “Vraiment, cela fait très chaud au cœur. Cela m’a aidé à avoir plus d’énergie et m’encourage à faire plus et mieux. Pour moi, c’est la véritable récompense. Même la fatigue disparaît. J’ai l’impression qu’ils me communiquent leur jeunesse. C’est fantastique ! C’est véritablement une fontaine de Jouvence”, nous a-t-il confié.
    Il estime qu’il y a une transmission de l’amour, de l’affection que portent les parents à leurs enfants. Les parents ont su transmettre, communiquer à leur progéniture ce qu’ils ressentent, ce qu’ils ont ressenti eux-mêmes en écoutant les chansons de Lounis Aït Menguellat.

    Admirateurs de père en fils
    Le chanteur ne pense pas que ce soit les chansons elles-mêmes qui se sont imposées aux jeunes, comme ça, par hasard. Les parents ont joué un grand rôle en mettant l’accent sur l’importance du texte, en incitant, directement ou indirectement, leur progéniture à écouter attentivement les œuvres de leur idole. Et les enfants découvrent, par la suite, qu’il y a des paroles à écouter, à comprendre et aussi à méditer. “Ce qui prouve qu’il y a une communication extraordinaire entre les générations”, note Aït Menguellat.
    Un groupe de jeunes adolescents, justement, ont brandi dans la salle, à quelques mètres du chanteur, une banderole sur laquelle on pouvait apercevoir les photos, côté à côte, de Lounis Aït Menguellet et de Matoub Lounès. Un beau symbole. Un bel hommage pour les deux artistes qui ont marqué, chacun à sa manière, la chanson kabyle.
    Le prochain album ? “Il sortira dans le meilleur des cas, si tout se passe bien, d’ici le début de l’été. Je ferai tout mon possible pour qu’il sorte au maximum au mois de juin”, confesse le chanteur. Le contenu ? Motus et bouche cousue. L’une des chansons de l’album renferme une “anecdote savoureuse et significative”, tirée d’une blague que Ben Mohamed lui avait envoyée via internet. “Une blague qui avait déclenché en moi quelque chose qui a épaté Ben. Et pour épater Ben, ce n’est pas facile”, dira-t-il en souriant.
    Les spectateurs présents au concert ont exprimé le souhait de voir la salle Atlas renouer avec les spectacles d’antan. “Une belle salle comme celle-ci, agréablement retapée, offrant toutes les commodités, ne doit pas rester fermée. Bien au contraire, elle doit offrir régulièrement des spectacles. Surtout qu’elle est située dans un quartier populaire, le quartier le plus animé d’Alger”, relèvent-ils.

    Par : Mohamed Arezki Himeur

    LIBERTE






    Mot du maire de Montréal - Aseggas Ameggaz !

    13/01/2010 23:39

    Mot du maire de Montréal - Aseggas Ameggaz !


    Mot du maire de Montréal - Aseggas Ameggaz !

    Pour la première fois dans l’histoire, les autorités officielles montréalaises souhaitent Aseggas Ameggaz (Bonne Année) à toute la communauté amazighe.

    Nous remercions tous ceux et toutes celles qui ont participé, de près ou de loin, pour que celà soit possible : Khelifa Hareb ; Mourad Itim ; Lahcene Amer...

    Aussi, nous remercions toutes les associations culturelles amazighes à Montréal, à leur tête le CAM et Tafsut.

    Source : http://aqvayli.com/Mot-du-maire-de-Montreal-Aseggas-Ameggaz,00440.html
    _/|_____________________

    Maire de Montréal

    À l’occasion du Nouvel An Amazigh de la tradition berbère, selon laquelle le « 1er Yennayer 2960 » correspond au 12 janvier 2010, je souhaite tous mes meilleurs vœux à la communauté amazighe de Montréal.

    Notre métropole est fière d’entamer une nouvelle année placée sous le signe de multiples activités économiques, sociales et culturelles, avec l’énergie et la créativité de toutes les communautés qui contribuent à son rayonnement.

    Bonne année - Aseggas Ameggaz !

    Gérald Tremblay
    Maire de Montréal






    Aseggas Ameggaz 2960 ,Bonne Année 2010...Calendrier Amazigh...

    04/01/2010 03:09

    Aseggas Ameggaz 2960 ,Bonne Année 2010...Calendrier  Amazigh...


    Le Mouvement des Amazighs du Québec distribue un calendrier amazigh à Montréal.

    Aujourd’hui le 3 Janvier, le Mouvement des Amazighs du Québec (MAQ) a commencé une compagne de distribution d’un calendrier amazigh gratuit à Montréal, ce produit est dédié spécialement au groupe TAFSUT, Chants et Danses de Kabylie.

    L’idée de faire des calendriers est concrétisée par un groupe dont les noms sont :
    Mourad ITIM.
    Mourad MEDJBER.
    Ali MADACI.
    Dahman DJENADI.
    Khelifa HAREB.
    Et sans oublier la contribution du site aqvayli.com dans la conception.

    Un grand merci à tous ces gens et surtout à Tassadit OULD-HAMOUDA et son Groupe TAFSUT qui se sont toujours distingués par leur courage et leur bon sens dans leurs innombrables activités socio-culturelles.

    Cette modeste contribution marque un point de départ concrèt dans la mise en valeur réelle de notre dimension amazighe à Montréal et à travers toute la Belle Province. Nous espérons que cette action va consolider davantage l’union des forces militantes et la production amazighe dans toute sa diversification.

    Assegas Ameggaz 2960, Bonne année 2010.

    Montréal, le 03/12/2009

    Un militant autonome.

    Source : http://aqvayli.com/Le-MAQ-distribue-un-calendrier-amazigh-a-Montreal,00426.html






    Imazighen du Québec vous souhaitent Aseggas Ameggaz 2960.

    03/01/2010 03:45



     

    Imazighen du Québec vous souhaitent Aseggas Ameggaz 2960.
    Azul à toutes et à tous,

    Nous avons enregistré l’émission d’hier - "Timlilit Imazighen" - animée par Madjid BENBELKACEM et Mourad MEHAMELLI sur CFMB à Montréal.

    Il y a eu l’intervention de Mme Tassadit AT-HAMOUDA, présidente du Groupe TAFSUT, Chants et danses de Kabylie, et de M. Khelifa Hareb, militant du Mouvement Amazigh du Québec. Émission présentée par Madjid BENBELKACEM et Mourad MEHAMELLI.

    L’émission dure 27 minutes et nous l’avons mise intégralement, chansons et interventions, sur blip.tv.
    Source :
    http://aqvayli.com/Imazighen-du-Quebec-vous-souhaitent-Aseggas-Ameggaz-2960,00238.html
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    (¯¯¯ Aseggas 2960 Ameggaz ¯¯¯)
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    Timlilit Imazighen du 01/01/2010 - 2e partie (MP3 – 27.4 Mo)

     






    Mon voyage

    24/11/2009 20:33

    Mon voyage


    J’ai marché depuis des semaines, des mois
    sur les grandes routes droit devant moi
    j’ai surtout marché hors des sentiers battus
    en traversant des chemins assez ardus
    avançant tous les jours sur ces allées tordues.

    J’ai traversé des kilomètres avec ma flute
    j’ai vu de sacrés personnages en cours de route
    personne n’allait dans la même direction
    nous nous somme croisés spontanément
    très peu ont continué le trajet avec moi
    les autres sont restés dernière mes pas.

    Assez tôt, encore à quatre pattes
    sur une chaussée pas toujours plate
    j’ai rencontré l’innocence
    la meilleure amie de l’enfance
    celle qui nous remplit de complaisance
    et qu’on ne voudrait jamais quitter
    la mienne m’avait laissée tomber
    avant d’arriver à la première intersection
    à la rencontre de nouveaux éléments
    qui m’ont détournée de mon cheminement.

    J’ai poursuivit le chemin debout
    je voulais prendre les jambes à mon cou
    je voulais y aller de plus en plus vite
    j’ai essayé de prendre la fuite
    toujours pressée d’avancer
    sans prendre le temps d’observer.

    Parfois je trébuchais
    ma flute s’est cassée
    j’ai donc arrêté de m’essouffler
    rien ne sert de courir mieux vaut marcher
    de toute façon, tout le monde le sait
    que c’est la tortue qui va gagner
    continuant donc sur un pas plus lent
    façonnant le chemin à ma façon.

    Après avoir quitté l’innocence
    je suis tombée sur l’adolescence
    ces deux là aiment s’haïr
    très vite je voulais fuir
    quitter l’adolescence
    pleine d’imprudences.

    L’ado pour les intimes
    n’avait jamais eu bonne mine
    elle m’avait trop saoulée
    torturée d’insécurités
    tourmentée en pensées
    elle peut bien nous marquer
    mais jamais nous recroiser.

    L’adolescence était encore auprès de moi
    lorsque je commençais à marcher dans le froid
    je passais d’un chemin rocailleux et fissurée
    à un chemin venteux et enneigé
    il m’était difficile de marcher
    l’ado, cette frileuse, s’est barrée
    quant à moi, j’ai fini par m’habituer
    à marcher à travers des nids de poule gelés.

    Été comme hiver
    avec une volonté de fer
    je brave les saisons
    regardant tout droit devant
    je poursuis le cours de la vie
    même à la tombée de la nuit
    je marche dans la noirceur
    plus rien ne me fait peur
    avec de la rage dans le cœur
    je rêve de mener le troupeau
    mais je traîne un si lourd fardeau.

    J’ai marché longtemps en solitaire
    seule dans l’immensité du désert
    ne voyant plus personne sur mon passage
    ayant comme seul compagnon, un paysage
    que j’ai appris à apprivoiser avec le temps
    que je contemple encore comme une enfant.

    Un beau jour j’ai rencontré l’amour
    cette créature au beaux discours
    avec qui j’ai fait bien des détours
    et après un si long parcours
    nous nous sommes séparés
    chacun est allé de son côté
    elle qui peut être si cruelle
    elle qui peut occasionner tant de peine
    est allée rejoindre sa cousine, la haine.

    J’ai aussi rencontré l’amitié
    elle, est toujours à mes côtés
    avec elle, je discute de tous les sujets
    sans jamais me lasser
    avec elle, j’ai tout partagé
    des rires, des pleurs
    mes joies, mes peine et mes peurs
    avec elle, j’ai vraiment tout connu
    et même lorsque je m’étais perdue
    elle ne m’avait jamais déçue
    en m’aidant à retrouver mon chemin
    comme moi, elle croit au destin.

    Comme quoi, c’est elle la plus fine
    l’amitié reste ma meilleure copine
    mais gare aux d’imposteurs
    j’ai dû en rencontrer plusieurs
    avant de reconnaître l’amitié
    celle qu’on ne peut altérer
    malgré nos défauts divulgués.

    Un moment donné j’ai rencontré la trahison
    on a marché ensemble, rapidement
    je me suis rendue compte finalement
    que la trahison n’a aucune conversation
    alors on s’est séparés un bon moment
    j’ai continué seule et la trahison
    est allée voir sa cousine, la déception
    plus loin, je l’ai retrouvée de nouveau
    et cette fois là, je l’aurais bien mise KO.

    Lorsque j’ai croisé la poésie
    je l’ai trouvé fort jolie
    elle aussi est une amie
    avec ses rimes et ses vers
    elle sait apaiser la colère
    et dissiper le désespoir
    que j’ai rencontré sans le vouloir
    lorsque, lasse, j’ai voulu m’assoir.

    Le désespoir m’a donné une migraine
    car il profite de la condition humaine
    pour introduire ses amis scabreux
    alors, j’ai voulu changer de milieu
    je me suis donc levée du banc
    et j’ai continué tout droit devant.

    Plus tard j’ai rencontré le décès
    ce personnage que personne ne veut croiser
    pourtant, il trouve toujours le moyen de nous rattraper
    autant vous dire que cette rencontre m’a transformée
    brutalement, il me fait sans cesse rappeler
    que mon voyage peut être, à tout moment, écourté.

    Mon voyage était bien entamé
    je commençais même à boiter
    lorsque j’ai rencontré la sagesse
    la marraine de la jeunesse
    je lui ai dit : tiens, je suis contente que tu sois là!
    après ces fâcheuses rencontres, j’aurais besoin de toi
    je te présente la jeunesse, elle n’est pas facile à vivre!
    franchement effrontée, carrément têtue et clairement ivre
    elle m’a mise, à quelques reprises, dans un pétrin sans fin
    pourtant, je ne pourrais jamais l’écarter de mon chemin.

    La sagesse me répond en toute humilité :
    moi aussi j’ai beaucoup marché
    et tout le monde que j’ai croisé
    était à la recherche du fruit sacré
    mais le bonheur est timide, il se cache
    il ne se dévoile que s’il aime notre démarche
    une fois le bonheur enfin trouvé
    il faut savoir le garder, le protéger
    le bonheur n’aime pas le futile
    il n’est ni capricieux ni difficile
    il est simplement très fragile.

    J’ai marché depuis des semaines des mois
    sur les grandes routes tout droit devant moi
    j’ai surtout marché hors des sentiers battus
    en traversant des chemins assez ardus
    avançant tous les jours sur ces allées tordues
    des chemins aussi tordus que la vie
    parfois, sans trouver de raccourcis.

    Des routes aux multiples croisements
    où chacun emprunte un sentier différent
    mais qu’importe le choix des hommes
    tous les chemins mènent à Rome
    des chemins aux multiples péripéties
    mais grâce auxquels j’ai beaucoup appris
    un voyage dont chaque mètre me fortifie.

    Ma vadrouille a été parsemée de rencontres
    j’ignore ce que ce voyage me réserve encore
    et pour tout dire, je ne m’en préoccupe pas
    je continue toujours d’avancer devant moi
    malgré les obstacles et les changements de climat.

    Il me reste encore du chemin à faire
    j’ai tout de même déjà de quoi être fière
    car beaucoup se sont arrêtés à mi-chemin
    en capitulant à la rencontre du premier chagrin
    j’ai beaucoup d’autres personnages à rencontrer
    des bons, des moins bons et même des mauvais
    mais toutes ces rencontres ont de la valeur
    car tous contribuent à ce que je sois meilleure.

    J’ignore le jour et l’heure de mon arrivée
    j’ignore toujours l’issu de ma destinée
    j’apprends tout les jours le code de ma route
    à la marche, à la nage mais à reculons ça j’en doute!
    et en attendant d’arriver à destination
    je continuerais d’avancer tout droit devant.

    © Lili

    - 30 -

    Publié par : lilaait le : 14 juin 2009

    Source : http://lilaait.wordpress.com/



    Commentaire de Hamid (17/12/2009 10:05) :

    Magnifique "Voyage" ! Je félicite chaleureusement Lili , son auteur, et l'encourage vivement à écrire d'autres poèmes .... Bravo ! L'illustration choisie, cette rustique petite maison de campagne isolée, qui tient encore debout malgré le poids des ans, cadre parfaitement avec les sentiments exprimés.... Salut et à la prochaine.

    http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/
    hamidaitkaki@yahoo.fr




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