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VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

  • 40 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

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    Notre mémoire » Histoire et Identité : Les Arabes ont-ils conquis l’Algérie?

    21/12/2009 01:33

     Notre mémoire » Histoire et Identité : Les Arabes ont-ils conquis l’Algérie?


    image

    Le débat secouant la société algérienne sur la question cruciale de l’identité arabe ou berbère de l’Algérie nécessite un retour à la source de ce clivage. L’origine en est, bien entendu, l’expansion arabe en Afrique du nord. Certains affirment que les Arabes n’ont jamais conquis l’Algérie, d’autres se revendiquent une origine arabe justifiant ainsi l’identité arabe de l’Algérie. Qu’en est-il en réalité? Afin de répondre à cette question, deux périodes, marquées  par deux mouvements d’expansion majeurs,  doivent être prises en considération : La période de la première expansion et celle ayant trait à la seconde, celle les Béni-hillals

    Première vague: Période 700-973

    Les Arabes, après avoir imposé leur dominations sur La Tripolitaine (Libye) et l’Ifrikiya (Tunisie) s’imposeront face aux  Berbères (698) dirigés par Tarik Ibn-Ziad, les intègrent  à leur armée et continuent leur expansion vers l’Ouest en suivant l’axe Biskra-Tlemcen et Tanger pour finalement conquérir l’Andalousie (711). Dans  le cadre algérien, seul le Constantinois fera l’objet, de leur part d’une présence de type militaire, caractérisée, par ailleurs,  par une forte méfiance vis-à-vis des populations locales. En effet, la région  voit l’installation, sur son sol, de forteresses dans le Hodna et le Mzab qui montaient la garde face à l’Aurès et d’autres dans la région de Annaba  contre  la Kabylie, renforçant par là même l’enracinement des populations berbères dans les montagnes. Les Arabes établiront avec les Berbères des relations distantes, marquées surtout par le désir de soumettre les habitants au payement de l’impôt (villes) ou du tribut (campagnes). Cette politique déclenchera de la part des communautés Berbères de nombreuses insurrections qui s’étaleront durant tout le 8ème siècle et créeront un contexte approprié à la naissance d’un mouvement d’opposition non- arabe: il s’agit du kharidjisme (700-799),  qui est le premier mouvement de remise en cause de  la présence ethno-arabe en Afrique du nord. Les révoltés berbères adhèrent, en effet, à ce mouvement, de type islamique, et l’utilisent comme idéologie de contestation et de mobilisation face au pouvoir arabe. Il se localisera  dans le Mzab, et  mènera, sous la direction de Ibn Rustum, émir de Tahart, la  guerre contre les troupes arabes mais il ne réussira pas à s’étendre en dehors des régions sahariennes. Les troupes arabes, dirigées par le gouverneur du Mzab, Aghlab vaincront  les Kharidjites, et les obligeront à s’engager à vivre dans leurs cités du Mzab. Les Aghlab bénéficient, pour cette victoire du pouvoir au Maghreb. En effet en 800, le premier Aghlab obtient  le titre Émir et il le lèguera à ses héritiers. La dynastie aghlabide règnera sur le Maghreb pendant tout le 9ème siècle (800-900). Elle  concentra ses actions sur la Tunisie et le Maroc, régions riches et prospères et sources d’impôts et de tribut. Les Aghalabides ne s’intéressèrent pas au territoire proprement algérien car celui-ci n’offrait aucun intérêt économique. Même le Constantinois, proche du centre du pouvoir (Kairouan) est ignoré, car il brille, comparativement à la Tunisie, par sa pauvreté. Pauvre, la région est délaissée à elle-même, de sorte que les Aghlabides n’entreprirent aucune campagne pouvant aboutir à l’installation d’une population arabe dans cette contrée. Plus encore, ils établirent avec les populations un rapport basé sur la force et la distance, rapport symbolisé  par les forteresses, comme mentionnées ci-haut. Cette marginalisation, dont étaient victimes les Berbères, en fera un terrain fertile pour les ennemis des Aghlabides, à savoir, Les Fatimides. Alliés du mouvement abbaside, les aghlabides vont, en effet, être la cible d’un deuxième mouvement de remise en cause de leur présence en Afrique du nord, entre 900 et 976. Il s’agit du chiisme. Adeptes de l’imam Ali, les chiites ou Fatimides, se posèrent en adversaires des Abbassides au pouvoir en Orient et au Maghreb. La contreverse portait sur la succession du prophète de l’Islam. Une guerre entre les deux camps s’en suivit et le conflit se transposa au Maghreb. Les dirigeants arabes du mouvement, réussirent à convaincre certaines tribus berbères du Sud-constantinois de se joindre à leur lutte. Ces Berbères vont constituer la force de frappe de l’armée fatimide et participer aux assauts contre le pouvoir arabe en Afrique du nord. La guerre entre les deux tendances (Abbassides et Fatimides) s’est étalée  de 902 à 946  pour finalement se conclure par la victoire des fatimides. Ce mouvement, dirigé par des Arabes avec des groupes berbères, comme supports, qui a eu comme champs d’action  l’axe Tunisie-Sahara-Maroc mais  non pas l’Algérie-nord (constantinois, Kabylie, Algérois, Oranie), n’eût pratiquement aucun impact  sur la composition ethno-berbère de la population algérienne. Bien plus encore, sa victoire sur les Aghlabides donna lieu à un événement majeur qui allait faire chuter la présence arabe en Algérie au point zéro. Il s’agit de la décision du calife fatimide Al-Mu’izz, dernier suzerain arabe au Maghreb (Tunisie), de conquérir l’Égypte. Cette action entreprise, avec l’aide d’une armée composée de 100 000 cavaliers Berbères (Kotamas,Sanhadjas), originaires en majorité du sud-constantinois, vit le départ des populations arabes d’Afrique du nord et la transmission du pouvoir à des Berbères islamisés(Zirides). Cette évolution aboutit à une disparition totale de l’élément arabe en Algérie de sorte qu’on peut dire que la première vague arabe ayant établi sa domination sur l’Afrique du nord, ne fut pas, dans l’espace algérien, une colonisation de peuplement. La présence arabe se localisa, en effet, en Tunisie, au Maroc et en Andalousie, en raison de leur potentiel dans les domaines agricole et abricole. L’Algérie fut essentiellement une zone de passage suivant l’axe Sud-constantinois-Biskra-Tahert-Tlemcen. Qu’en sera-t-il avec la deuxième vague, celle des Béni-hillal (1051) ? Sera-t-elle une colonisation de peuplement, ou bien un mouvement passager sans aucun effet sur le caractère berbère de l’Algérie ?

    Seconde Vague : Les Béni-hillals (1051-1163)

    Ces tribus arabes, ont  migré en Afrique du nord en 1051. Leurs mouvements se sont inscrits par rapport à trois axes. En premier la Tunisie. Les tribus arabes renversent le pouvoir central des Zirides et imposent leur domination. Chaque chef de tribu accapare une principauté, impose son autorité, soumet les habitants des villes à payer une redevance et  les cultivateurs et arboriculteurs à donner une partie de leurs récoltes de blé, de dattes, et d’olive (un tribut), se charge du commerce ou bien le contrôle. En deuxième, le Maroc. Leur avancée, dans un premier temps vers l’Ouest est stoppée nette par des tribus berbères (Zénètes), fidèles au pouvoir marocain, de sorte qu’ils ne conquérront pas le Maroc. Ils rebrousseront chemin vers la Tunisie, ou bien s’adonneront à la razzia, soit des villes limitrophes des hauts plateaux, provoquant ainsi la ruine de Tahert, soit à l’encontre des caravanes commerciales allant de l’Est à l’ouest entraînant ainsi un déplacement des routes commerciales traditionnelles vers l’intérieur du Sahara. En troisième lieu, le Sahara:Une partie des tribus se retrouvent intégrées avec le temps dans le commerce transaharien sillonnant les régions sahariennes. Un commerce surtout autour de  Sidjilmassa, zone ou les nomades allaient échanger la poudre d’or contre le sel, pour passer ensuite par vingt quatre oasis-escales, lieu de chargement des dattes et finalement pour se diriger vers l’Orient, l’Andalousie ou bien, le Maroc ou la Tunisie, une région qui par ailleurs a reçu le plus grand nombre de nomades arabes. Qu’en est-il, sur ce point de l’Algérie, en d’autres mots, les nomades arabes se sont-ils établis dans l’espace formant aujourd’hui l’Algérie ? Quatre zones, pouvant permettre de répondre à cette question, sont à distinguer : Le Constantinois, la Kabylie/Aurès, l’Algérois et l’Oranie. S’agissant du Constantinois, exposé à la Tunisie, il est marqué par une paix relative entre Arabes et Berbères  pendant les cinquante premières années. Néanmoins, par la suite les Arabes poussèrent leurs incursions et les razzias vers cette région restée sous l’autorité des Hammadides, dynastie berbère. L’émir An-nasir, chef  de cette dynastie, ébranlé par les attaques arabes évacua la région et reflua vers l’ouest, au-delà des montagnes de la petite Kabylie. Il fonda An-nasiriya (bédjaia), un lieu choisit car les montagnes, inaccessibles aux chameaux, moyen de déplacement des nomades, offraient une protection certaine contre les attaques arabes. L évacuation par l’émir du constantinois créa un champ libre pour les troupes arabes. Vont-elles l’occuper comme dans le cas de la Tunisie ? Le Constantinois qui donnait sur la Tunisie se composait, schématiquement, de trois régions: a)- la plaine d’Annaba qui n’offrait pas de point d’ancrage, c'est-à-dire une économie agricole, en d’autres mots une paysannerie pouvant, comme dans le cas de la Tunisie, fournir un tribut ou un impôt. C’est une région parcourue par des éleveurs de moutons, vivant à la limite de la survie, refusant de payer des impôts ou un tribut. Les montagnes environnantes constituaient pour eux un refuge sûr face aux incursions arabes. De fait, la plaine d’Annaba ne constituait pas un fort attrait pour les nomades arabes. Ces derniers ne s’établirent pas dans cette région. b)- Axe plaine d’Annaba-Sud constantinois. Cette zone qui allait de la plaine d’Annaba au sud-constantinois était une région boisée parcourue aussi par des éleveurs berbères, relativement pauvres, et qui, en cas d'attaques nomades, se réfugiaient dans les montagnes. Ils le firent d’ailleurs, fuyant les razzias arabes, donnant lieu ainsi à la naissance de villages encore présents aujourd’hui. Comme dans le cas précédent, les Arabes, impuissants à obliger les Berbères de cette région à leur fournir des moyens de subsistance, ne s’y établirent pas. c)- La troisième région est le sud de Constantine, une région marquée par deux éléments ayant suscités la convoitise des tribus arabes (Athbej) : une activité agricole autour de la production de céréales qui soumit les paysans au harcèlement et aux razzias ainsi qu’une route empruntée par des caravanes venant du Sahara et se dirigeant vers le port de Bédjaia ou la Tunisie. Cette région qui était sous contrôle des hammadites devint le théâtre de batailles fréquentes entre les nomades arabes qui contrôlaient une bonne partie de la Tunisie et les Berbères. Les nomades cherchaient à imposer leur domination aux paysans ainsi que leur contrôle sur cette nouvelle route caravanière allant du Sahara à Bédjaia, devenue port d’exportation. L’issue du conflit entre les deux groupes semblait incertaine quand une élément extérieur à la région allait précipiter les événements : La montée en puissance des Mouahidines (Almohades) au Maroc. Abdelmoumem, l’émir de cette dynastie, décida, en effet, d’organiser une expédition militaire  afin d’imposer son autorité sur l’Ifrikiya ou les Hillaliens disposaient du pouvoir. Une bataille qui dura quatre jours eût lieu en 1151 à Sétif. L’armée almohade  fit face aux Hillaliens, les écrasa et les entraîna à fuir la région vers le désert tunisien et libyen. Les troupes almohades poursuivirent leur déploiement vers la Tunisie, dans le but de mettre fin définitivement au pouvoir des Béni-hillals : Début 1159, Tunis fut conquise, Mahdiya prise, ainsi que Sfax, Sousse, Gabès et Tripoli. Défaits et définitivement terrassés, les Arabes disparaîtront totalement comme pouvoir de l’ensemble de l’Afrique du nord. Ils se disperseront au point ou peut-être beaucoup d’entre eux retourneront vers l’Orient. On n’entendra parler d’eux par la suite, dans les écrits de Ibn-khaldoun, que comme individus enrôlés comme soldats-mercenaires dans les armées marocaines. En ce qui a trait à l’Algérie, la plus grande des conséquences de cette victoire  fût la disparition de l’ethnie arabe du Constantinois. Une disparition qui évita à cette région la même évolution que la Tunisie. Une situation que la Kabylie et les Aurès ont pu aussi éviter en raison de la topographie. Les montagnes furent en effet, une forteresse à laquelle les Arabes évitèrent de s’attaquer. En effet, ils n’y mirent jamais les pieds. Et pour cause, les nomades, ne sont à l’aise que dans le désert ou bien dans les plaines. Des régions qui ne les attirent que dans un cas: la présence d’une paysannerie qu’ils peuvent soumettre et exploiter à outrance. Une situation qui n’existe, par ailleurs, ni dans l’Algérois, ni dans l’Oranie et qui explique que ces deux régions n’aient pas été investi par les nomades arabes, n’aient pas connu de présence ou de conquête arabe. L’Algérois, région boisée, ne fut pas aussi une zone attractive. Les plaines de l’Algérois étaient, en effet, boisées, non cultivées, relativement désertes. Il n’existait pas dans cette région, comme dans le cas de la Tunisie, une paysannerie pouvant susciter la convoitise des Arabes. L’Oranie offrait le même visage que l’Algérois. Plus encore, elle était non seulement boisée mais aussi couverte de marécages. Cela dit, si pour la Kabylie et les Aurès, le désintérêt des Arabes pour ces régions est évident du fait de leur inaccessibilité aux chameaux, leur principal moyen de déplacement, dont ils ne se séparent jamais, s’agissant de l’Algérois et de l’Oranie, les nomades auraient pu, dirait-on, occuper le sol et travailler la terre ou bien devenir éleveurs de bétails. La réponse est non car une telle situation est inimaginable et  impossible et elle s’explique par la sociologie des nomades. En effet les nomades ne se voient que dans le nomadisme qu’il pratique dans le désert à travers le convoyage des caravanes, le transport des marchandises, les razzias et l’élevage des chameaux. Activité noble par excellence. En dessous, vient la catégorie élevant le mouton, une situation dégradante. En dessous de ce dernier, l’éleveur de bœufs ou de buffles relève de la dernière catégorie, celle des affreux sédentaires. Le travail de la terre est étranger à la vie du nomade, une activité méprisante et dégradante, car le nomade rejette la sédentarisation. Il est toujours en mouvement. Le seul compromis pour lui de se stabiliser dans un environnement précis est la possibilité, comme dans le cas de la Tunisie, de soumettre au servage une population paysanne, population qu’il exploite à fonds, poussant, par inconscience, les paysans à la ruine et à la fuite. Une situation, le ramenant à la vie d’éleveur et de nouveau au départ vers d’autres cieux. Un cycle signalé par Abdellah Laroui, dans son livre, Histoire du Maghreb. Une telle situation ne pouvait se réaliser dans  l’Algérois et dans l’Oranie étant donné l’absence d’une économie agricole et arboricole (arbres fruitiers). Un cas de figure qui explique pourquoi les tribus arabes n’ont pas imposé leur domination sur l’Algérie. La présence arabe a été restreinte dans l’espace algérien, au Sahara (Mzab) t elle finira aussi par disparaître. En effet, le déclin du commerce transaharien autour de l’or de sidjilmassa, voies détournées par les Portugais arrivés par l'Océan, mettra fin à leur présence dans cette région. Tous ces faits expliquent pourquoi le phénomène de la migration des tribus arabes en Afrique du nord n’a pas abouti à leur installation dans l’espace algérien. L’analyse de cet aspect sous l’aspect de la sociologie des nomades et de leur philosophie de la vie (nomadisme et mépris de la sédentarisation), la topographie algérienne (montagnes-forteresses), l’économie pratiquée (éleveurs de bétails dans le constantinois, absence de paysans), la géographie (plaines marécageuses et boisées), l’attrait du Maroc et la Tunisie, régions très prospères sur le plan économique et dirigées par des pouvoirs, notamment le Maroc, grands recruteurs, après 1151 (bataille de Sétif) de  Hilaliens, comme mercenaires,  permet de comprendre pourquoi l’Algérie n’a pas subi  de conquête ou de colonie de peuplement arabe, et que, les Algériens, même ceux  parlant l’arabe algérien ( en réalité un mélange de l’arabe classique et du berbère), sont dans leur totalité des Berbères.

    ARISTOTE, (Y.S)

    Source : http://www.lematindz.net/news/2897-histoire-et-identite-les-arabes-ont-ils-conquis-lalgerie.html



    Commentaire de Aristote(ys) (30/08/2010 16:49) :

    Nouvelle étude sur mon site-(texte 9):émigration des nomades,disparition des derniers groupements arabes de l'Algérie(Période 1921-1954) site:aristote-algeria.com

    http://aristote-algeria.com
    aristote2010@hotmail.com

    Commentaire de Aristote(ys) (13/10/2010 01:44) :

    Nouvelle étude(texte 10) sur mon site-aristote-algeria.com:l'évolution des tribus arabes Béni-hillal par rapport aux régions(Constantinois,algérois,Oranie,Sahar,Kabylie)***Bonne lecture***Aristot(y.s)

    http://www.aristote-algeria.com
    aristote2010@hotmail.com

    Commentaire de Aristote(ys) (18/10/2010 23:58) :

    17 oct.2010:NOUVELLE ÉTUDE (texte 11) sur mon site:aristote-algeria.com.L'ÉVOLUTION DES TRIBUS ARABES BANU-HILLAL DANS L'ALGÉROIS

    http://www.aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (25/10/2010 00:28) :

    22 octobre 2010:NOUVELLES ÉTUDES sur mon site:aristote-algeria.com L'évolution des tribus arabes par rapport aux régions: Texte 11:La KABYLIE Texte 12:L'ALGÉROIS

    http://www.aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (06/11/2010 02:43) :

    5 novemmbre 2010-NOUVELLE étude sur mon site:aristote-algeria.com TEXTE 13:CONCLUSION ET ÉVALUATION DU NOMBRE D'ARABES DANS LE CONSTANTINOIS, LES KABYLIES ET L'ALGÉROIS EN 1852 ***Aristote(y.s)

    http://aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (13/11/2010 14:17) :

    13 nov.2010:NOUVEAU sur mon site:aristote-algeria.com, TEXTE 14:Identité et histoire:''Quand Kateb Yacine contredit son lointain cousin, le colonel Cherif CAdi, sur l'origine de leur tribu''. ***Aristote(ys)

    http://aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (19/11/2010 22:55) :

    19 nov.2010:Nouveaux textes sur mon site:aristote-algeria.com 1)-Texte 15:Quand Kateb Yacine contredit son lointain cousin, le colonel Cherif Cadi,sur les origines de leur tribu*** 2)-Texte 16:L'évolution des tribus arabes dans le cadre de l'Oranie ***Aristote(ys)

    http://aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (17/12/2010 04:27) :

    16 déc.2010 Lire ma nouvelle étude:''Les Arabes n'ont pas conquis l'Algérie...'' dans le Matindz, 14 déc.2010 Aristote(ys)

    http://aristote-algeria.com

    Commentaire de Aristote(ys) (26/02/2011 18:02) :

    25 fév.2011.Nouvelles études sur mon site(Période 1962-2011)** 1)-Documents politques et identité nationale 2)-Présidents et identité nationale(Ben Bella-Boumedienne-Chadli-Bouteflika) site:Aristote-algeria.com** Aristote(y.s)

    http://aristote-algeria.com
    aristote2010@hotmail.com

    Commentaire de Aristote(ys) (02/05/2011 04:53) :

    2 mai 2011-lire sur mon site,aristote-algeria:Algérie-centre-Le clan d'Oujda a détaché les kabyles des Algérois.Les Kabyles embouteillés par Bouteflika et le clan d'Oujda aristote(ys)

    http://aristote-algeria.com




    Célébration de la fête de l’Aïd à Tassaft Ouguemoune

    08/10/2009 03:37

    Célébration de la fête de l’Aïd à Tassaft Ouguemoune


    «Awid aylaw»,  une tradition séculaire pour le grand bonheur des enfants...
    Par :
    Sihem Ammour .

    La célébration de la fin du Ramadhan et de l’Aïd revêt un caractère particulier à Tassaft Ouguemoune, village kabyle, perché tel un nid d’aigle sur les hauteurs des montagnes du Djurdjura. En effet, une tradition résiste au temps et à la modernité et se perpétue de génération en génération pour la plus grande joie des grands et des petits qui l’attendent avec impatience chaque année.
    Dès l’annonce de la célébration de l’Aïd, dans toutes les maisonnées, les femmes s’affairent à remplir une grande «djefna» en terre cuite, en bois ou en aluminium, d’un mélange de friandises, de bonbons, de cacahuètes entières, de gâteaux secs et de petits biscuits.
    Une table est alors dressée dans la cour devant la porte d’entré dans l’attente des enfants. Très tard dans la nuit, vers une heure ou deux heures du matin, différents groupes d’enfants vont sillonner les quartiers du village pour frapper aux portes des maisons en scandant très fort «Awid aylaw» (donnez-nous notre droit, notre dû).
    La maîtresse des lieux, accompagnée des autres femmes de la maison, ouvre alors la porte pour distribuer les friandises par grosses poignées à ceux qui sont venus réclamer leur part de gâteaux et de confiseries variées.  Parfois, elles les font piaffer d’impatience avant d’ouvrir la porte pour les faire scander leurs slogans encore plus fort, ponctués d’éclats de rire.
    Toute la nuit, la farandole des groupes d’enfants emplit les airs nocturnes de leurs cris et rires cristallins souvent jusqu’aux premières lueurs de l’aube.
    Selon les natifs du village de Tassaft, les processions d’enfants réclamant leurs droits lors de la veillée de la fête de l’Aïd est une des plus importantes fêtes annuelles du village. Il est à noter que  le village de Tassaft Ouguemoune est un véritable vivier de personnages emblématiques de la guerre de libération nationale, du militantisme national ou identitaire, à l’instar du grand martyr, le colonel Amirouche, ou des militants Amar Aït Hamouda et Bacha Mustapha.
    «Awid aylaw» est un événement incontournable et toutes les familles se font un devoir d’être présentes avec leurs enfants même celles qui vivent en dehors du village ou à l’étranger. Certains nostalgiques de cette période de leur enfance ne se privent pas de participer à cette ambiance festive et de faire partie des groupes d’enfants en prétextant le fait d’accompagner les très jeunes enfants ou de prendre dans leurs bras les bébés. Ainsi, dès leur plus jeune âge, les enfants de Tassaft sont initiés à cette coutume qui nourrit l’esprit de revendications et l’esprit de militantisme, selon le témoignage des habitants de Tassaft Ouguemoune.

     Source :  http://www.latribune-online.com/suplements/cahiers_du_week-end/22915.html



    Commentaire de Arezki Ait-Ouahioune (08/10/2009 04:04) :

    Tannemirt a Siham pour ce beau article ...Bonne fête de l'aid a vous et a votre famille qu'ainsi qu'a tous les habitants de Tassaft ...L'Aid Tamarvuht tass3adit thin a d yawin lehna d isserim i ya k imdanen dhi kul tama n ddounith...A r tufat

    http://kabylie.mon-vip.com

    Commentaire de nina (09/10/2009 22:47) :

    azul arezki je suis tres heureuse de voir en image le village natal de mes parents il y fait bon vivre et l'air y est tres pur c'est une image superbe. merci beaucoup pour cette photo et votre blog est magnifique ,j'aimerai en voir d'autres photos ,tanemirt.





    Berberophones de Tamazgha(Afrique du Nord)...

    04/09/2009 19:50

    Berberophones de Tamazgha(Afrique du Nord)...


    Source : http://tahanut.weebly.com/tamazgha.html






    La Kabylie...

    03/09/2009 05:44

    La Kabylie...


     

     

    La Kabylie est située au Nord-Est de l'Algérie et lovée au pied des montagnes du Djurdjura...

     Source : http://kdanoun.free.fr/kabylie_par_karim/kabile.htm






    Mustapha Bacha : Mmis n Tasaft Ugemmun-Kabylie

    21/08/2009 16:53

    Mustapha Bacha : Mmis n Tasaft Ugemmun-Kabylie


    Source :http://mak.makabylie.info/?lang=en&page=agenda&date_liste=2009-06-06






    Commémoration du 15e anniversaire de la disparition de Mustapha Bacha :Un homme, un militant... un repère

    10/08/2009 01:05

    Commémoration du 15e anniversaire de la disparition de Mustapha Bacha :Un homme, un militant... un repère


    La région des Iboudrarène, sur les hauteurs de la daïra des Ath Yanni, se rappelle aujourd’hui le souvenir de Mustapha Bacha, son enfant prodige qui s’est donné corps et âme pour faire vivre le combat identitaire dans les cœurs de la génération de son époque.

    Ce grand homme politique dont la simple évocation du nom provoque chez “certains” le sentiment de peur...; des frissons qui montrent toute l’appréhension qui les envahit. Sa mort n’a pas suffi à ces “politiques” pour se libérer de leurs complexe vis-à-vis de l’homme ambitieux que fut Mustapha. Il a été ravi à l’Algérie un certain 8 août 1994 des suites d’un arrêt cardiaque à l’âge de 40 ans laissant derrière lui ses amis, les vrais, endeuillés. Mustapha Bacha s’est consacré entièrement au combat identitaire, à la lutte pour la démocratie et les droits de l’homme. Son passage à la Fac centrale d’Alger (Ben Aknoun) dans les années 1976-1977 a été celui de l’affirmation du militant comme catalyseur des forces existantes déjà. Il contribuera à l’émergence d’une véritable élite qui a pris sur elle le devoir d’organiser, de structurer la lutte dont la finalité n’était que d’amorcer une dynamique au sein de la société qui aboutira au déclenchement des premiers évènements de 1980, annonciateurs d’un changement de fond dans le cheminement du combat.

    Epris de justice avec bon nombre de ses camarades, il participera à la marche du 7 avril 1980 à Alger, quelques jours seulement avant le déclenchement des évènements du Printemps berbère à Tizi-Ouzou. Il sera arrêté et jeté, en compagnie de vingt-trois de ses camarades, à la prison de Berrouaghia. Ils ne seront libérés qu’en août 1980. Militant actif, Mustapha Bacha continuera à animer le combat  en assurant la coordination entre les sections d’Alger et Tizi-Ouzou.

    Branché sur la culture, puisqu’il était proche de Kateb Yacine et du groupe Debza, il participera à la rédaction d’un dossier culturel, peaufiné lors du séminaire de Yakouren du Mouvement culturel berbère (MCB) avec le reste des participants audit séminaire. L’enfant des Iboudrarène intégrera par la suite l’Organisation révolutionnaire des travailleurs (ORT ) qui activait sous l’égide de l’Internationale Socialiste.

    A l’ouverture politique de 1989, il annoncera le 10 février la naissance du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), en assurant la fonction de secrétaire national à la formation. En fin animateur, il animait des conférences et meetings et menait une lutte infatigable contre l’intégrisme et le système.

    Cependant, comme il est de coutume chez les “castes” politiques algériennes, l’émergence des compétence est vue comme menace contre “le chef”. Mustapha Bacha sera isolé, victime de la lutte de clans, des arrivistes de tous bords, au sein d’un parti auquel il a pourtant tout donné. Son cœur ne pouvait plus résister, il craquera un certain 8 août 1994. Sa famille lance un appel contre l’oubli.

    “On commence à comprendre que la mort de notre frère a fait les affaires de certains, il dérangeait beaucoup d’intérêt. La Kabylie ne doit pas oublier les sacrifices de Mustapha, on ne doit pas être amnésique”, nous dit Ali, le jeune frère de Mustapha Bacha.

    Par A.Z.

     Source :http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=74333&ed=MjE5MA==







    Matoub Lounès, le sacrifié. Assa nella, azeka wissen

    27/06/2009 21:06

    Matoub Lounès, le sacrifié. Assa nella, azeka wissen


    Image : par Muhand Saïd

    Azul a Lounès Matoub. Le serment de continuer ton combat, notre combat est toujours vivant en nous. Tamazight est et sera toujours la priorité de nos vies.


    Que c’est dur de porter la cause de son peuple et de l’assumer jusqu’au bout comme tu l’as fait. Tout comme toi, des hommes et des femmes ont donné leur vie pour que Tamazight soit rehaussée. Malheureusement, d’autres hommes et d’autres femmes de ce même peuple t’ont trahi et ont tendance à oublier très vite qu’il y a une cause à défendre et des sacrifices à honorer. Pis encore, ils et elles remettent en cause les acquis d’une grande lutte. Ils et elles banalisent le combat, le folklorisent et le vendent au plus offrant.

    Aujourd’hui, 11 ans après ton assassinat, toi chantre de la chanson berbère engagée,  certains Kabyles se rappellent de toi le temps d’un hommage. Ils se rappellent qu’ils ont perdu l’un des piliers de leur cause, mais juste après, ils oublient ton beau rêve. Ils ferment les yeux sur la catastrophe qui s’abat sur notre culture, notre identité et surtout sur l’avenir et la mémoire des générations futures. Matoub, je sais que tu nous observes et que tu aimerais qu’on continue le chemin tracé par nos aînés comme Mammeri et Yacine pour nous affranchir de nos égoïsmes, de nos archaïsmes et aller de l’avant dans le respect de nous-mêmes certes, mais aussi de ce que sont les autres.

    Une décennie passée depuis que tu nous été arraché par les forces du mal. Devrions-nous pour autant devenir aussi cruels que les ennemis de notre identité ? Non et mille fois non !  Nous avons tellement été brimés dans ce que nous avons de plus cher que nous avons tendance être intolérants et fermés sur nous-mêmes,  à oublier qu’un artiste de ta trempe est par définition ouvert d’esprit et respectueux du génie de tous les peuples et de toutes les différences.

    Donc, la meilleure façon de te rendre hommage en ce 2009 est sans aucun doute de cesser d’entretenir l’intolérance et la haine gratuites et d’être à la hauteur de ces grands sacrifices. Il est temps pour nous démener pour bâtir l’avenir de notre peuple en encourageant les hommes et les femmes qui entretiennent notre héritage et notre mémoire millénaire.  À défaut, il ne restera rien de nous dans quelques années. Et ce que tu as toujours redouté Lounès !
     

    Djamila Addar
    Montréal, 25 juin 2009

    Source : http://www.ksari.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1031:matoub-lounes-le-sacrifie-assa-nella-azeka-wissen&catid=822:opinion



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