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VIP-Blog de kabylie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

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    Salem Chaker: "La majorité des Maghrébins sont des Berbères arabisés"

    25/11/2009 01:43

    Salem Chaker:


     

    Salem Chaker:

    Interview de Salem Chaker, Linguiste et professeur de langue berbère (université de Provence,  Institut national des langues et civilisations orientales,  Inalco).Considérée comme un facteur de division durant la lutte pour l’indépendance, puis comme une menace pour l’unité nationale, l’amazighité constitué désormais l’un des éléments reconnus de l’identité algérienne. Le combat pour la langue est cependant loin d’être gagné selon ce spécialiste et ardent défenseur de la culture berbère. Nous vous proposons cette interview en exclusivité avant de retrouver notre dossier complet sur les Berbères d'Algérie dans l'édition de Jeune Afrique du 16 au 21 novembre.

    Jeune Afrique : Quelles sont les origines des Berbères ?
    Salem CHAKER : Cette question a fait couler beaucoup d’encre. Les sources latines les ont fait venir de Perse, les historiens arabes médiévaux de Palestine ou du Yémen, et les fumeuses théories coloniales du XIXe siècle leur attribuaient volontiers des origines « européennes ». Mais tout cela n’est que légende ou idéologie. Les Berbères doivent être considérés comme les habitants autochtones de l’Afrique du Nord. Tous les indices scientifiques,
    données archéologiques, anthropologiques, linguistiques et témoignages de sources anciennes (égyptiennes, grecques, latines…) convergent pour établir qu’ils y sont installés depuis des millénaires.

      Mais alors, pourquoi ces légendes et idéologies ?
    Chaque conquérant a eu tendance à donner aux Berbères une origine qui légitimait sa domination sur l’Afrique du Nord. Cela est tout à fait explicite chez de nombreux idéologues arabes, algériens notamment, qui prétendent justifier une politique d’arabisation des Berbères par leurs origines « yéménites ».
    De la même façon, une prétendue origine celtique, germanique ou grecque justifiait la colonisation européenne. De nombreux conquérants (Phéniciens, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes, Turcs, Français et autres Européens)  se sont implantés dans cette aire géographique au cours de l’histoire et il y a eu bien des apports de populations étrangères (Négro-Africains, Andalous et Juifs). Mais aucune de ces dominations extérieures, aucune de ces arrivées de populations ne change radicalement le fond du peuplement indigène, qui reste berbère.

      Que signifie être berbère à notre époque ?
    C’est d’abord et avant tout être berbérophone, car la langue est le principal critère d’identification du Berbère par rapport au reste de la population d’Afrique du Nord. Bien sûr, il y a d’autres paramètres : une tradition et des références culturelles particulières, une mémoire historique spécifique, éventuellement des restes d’organisation sociale propre, du moins là où l’intégration nationale et le monde moderne n’ont pas complètement écrasé les structures sociales anciennes. Cependant, tous ces paramètres n’existent, et surtout ne perdurent, que si la langue qui les porte se maintient. Si l’on considère la situation en Afrique du Nord, le berbérophone qui abandonne l’usage de sa langue se fond dans la majorité environnante arabophone et devient Arabe. C’est un processus mécanique, parfaitement connu, qui est à l’œuvre depuis des siècles avec la conquête arabe et l’islamisation des Berbères. L’immense majorité des Maghrébins sont des Berbères arabisés au cours des siècles, dans le cadre de ce processus de substitution linguistique qu’est l’arabisation. La berbérité en dehors de la berbérophonie me paraît illusoire et sans avenir.

    Jusqu’à la fin des années 1980, le pouvoir refusait de reconnaître la dimension berbère du peuple algérien. Pourquoi ?

    C’est une vieille affaire qui a à la fois des racines idéologiques anciennes et des causes politiques plus récentes. Dès ses débuts dans les années 1920, le nationalisme algérien a défini l’identité nationale comme arabe et musulmane. Tout ce qui n’entrait pas dans ce cadre a été voué aux gémonies, exclu et condamné comme facteur de division face à l’ennemi colonial. Cette position se comprend bien dans le contexte colonial. Face à l’entreprise de négation, voire d’assimilation de la France, il fallait affirmer une identité forte, unie et opposable à la culture et à la langue françaises. Les Berbères, dans cette opposition binaire, étaient perçus comme une réalité gênante, voire un obstacle. Par ailleurs, ce nationalisme puise toute son inspiration dans le modèle d’État- nation français, dont il n’est que la réplique symétrique. La conception jacobine française centralisée et unifiée de l’État et de la nation, a été reprise telle quelle par les nationalistes algériens. Comme en France, il leur fallait un État, une nation, une langue. Ils y ont ajouté une religion…

        Et après l’indépendance ?
    À l’indépendance, les luttes pour le contrôle du pouvoir rassemblent d’un côté des chefs arabes, de l’autre des chefs kabyles, très divisés, principalement Krim Bel-kacem et Hocine Aït Ahmed. Dès 1963, l’insurrection armée de ce dernier en Kabylie est durement réprimée par l’armée nationale. Il y aura en conséquence, pendant des décennies, une hostilité tenace du pouvoir vis-à-vis de tout ce qui est berbère. S’intéresser à la langue ou à la culture berbère, était perçu comme un acte d’opposition. Dans les années 1970, on a ainsi envoyé en prison des adolescents pour la simple détention d’un alphabet berbère ! Et la Cour de sûreté de l’État a régulièrement condamné les militants berbéristes à de lourdes peines.

    Mais depuis les années 1990, les choses ont évolué dans le bon sens…

    Oui, mais ces évolutions ne « tombent pas du ciel ». Elles résultent du combat, sur plusieurs décennies, de militants de la culture berbère qui, à partir de 1980, ont été relayés par une mobilisation de masse constante en Kabylie. Depuis, les mouvements de protestation et de revendication n’ont jamais cessé dans cette région. Mais cet assouplissement sur « la question berbère » est aussi lié à des évolutions du contexte politique global algérien. Le parti unique s’est effondré. Il y a eu desserrement de l’étau. D’autre part, à partir du milieu des années 1980, un autre phénomène est venu changer profondément la donne politique : l’islamisme radical, devenu, au tournant des années 1990, l’ennemi numéro 1. La menace islamiste a amené le pouvoir algérien à chercher des alliés potentiels du côté des Berbères.

    Résultat, la langue berbère, le tamazight, est aujourd’hui enseignée dans les écoles algériennes…

    J’insisterai sur la nécessité d’être extrêmement précis concernant la reconnaissance de la langue berbère et son enseignement. Il serait inexact de parler de reconnaissance pleine et entière et d’un développement vigoureux de l’enseignement. Le berbère est encore dans une position très marginale dans le système scolaire et dans la vie publique. Les mesures prises par l’État ne sont pas encore de nature à assurer la survie, une diffusion large et le renforcement du statut réel de cette langue.

    Photo: © DR

     La rédaction web de Jeune Afrique | Propos recueillis par Tayeb Belmadi

    Source : http://www.jeuneafrique.com/Articleimp_ARTJAWEB20091117170547_






    Mon voyage

    24/11/2009 20:33

    Mon voyage


    J’ai marché depuis des semaines, des mois
    sur les grandes routes droit devant moi
    j’ai surtout marché hors des sentiers battus
    en traversant des chemins assez ardus
    avançant tous les jours sur ces allées tordues.

    J’ai traversé des kilomètres avec ma flute
    j’ai vu de sacrés personnages en cours de route
    personne n’allait dans la même direction
    nous nous somme croisés spontanément
    très peu ont continué le trajet avec moi
    les autres sont restés dernière mes pas.

    Assez tôt, encore à quatre pattes
    sur une chaussée pas toujours plate
    j’ai rencontré l’innocence
    la meilleure amie de l’enfance
    celle qui nous remplit de complaisance
    et qu’on ne voudrait jamais quitter
    la mienne m’avait laissée tomber
    avant d’arriver à la première intersection
    à la rencontre de nouveaux éléments
    qui m’ont détournée de mon cheminement.

    J’ai poursuivit le chemin debout
    je voulais prendre les jambes à mon cou
    je voulais y aller de plus en plus vite
    j’ai essayé de prendre la fuite
    toujours pressée d’avancer
    sans prendre le temps d’observer.

    Parfois je trébuchais
    ma flute s’est cassée
    j’ai donc arrêté de m’essouffler
    rien ne sert de courir mieux vaut marcher
    de toute façon, tout le monde le sait
    que c’est la tortue qui va gagner
    continuant donc sur un pas plus lent
    façonnant le chemin à ma façon.

    Après avoir quitté l’innocence
    je suis tombée sur l’adolescence
    ces deux là aiment s’haïr
    très vite je voulais fuir
    quitter l’adolescence
    pleine d’imprudences.

    L’ado pour les intimes
    n’avait jamais eu bonne mine
    elle m’avait trop saoulée
    torturée d’insécurités
    tourmentée en pensées
    elle peut bien nous marquer
    mais jamais nous recroiser.

    L’adolescence était encore auprès de moi
    lorsque je commençais à marcher dans le froid
    je passais d’un chemin rocailleux et fissurée
    à un chemin venteux et enneigé
    il m’était difficile de marcher
    l’ado, cette frileuse, s’est barrée
    quant à moi, j’ai fini par m’habituer
    à marcher à travers des nids de poule gelés.

    Été comme hiver
    avec une volonté de fer
    je brave les saisons
    regardant tout droit devant
    je poursuis le cours de la vie
    même à la tombée de la nuit
    je marche dans la noirceur
    plus rien ne me fait peur
    avec de la rage dans le cœur
    je rêve de mener le troupeau
    mais je traîne un si lourd fardeau.

    J’ai marché longtemps en solitaire
    seule dans l’immensité du désert
    ne voyant plus personne sur mon passage
    ayant comme seul compagnon, un paysage
    que j’ai appris à apprivoiser avec le temps
    que je contemple encore comme une enfant.

    Un beau jour j’ai rencontré l’amour
    cette créature au beaux discours
    avec qui j’ai fait bien des détours
    et après un si long parcours
    nous nous sommes séparés
    chacun est allé de son côté
    elle qui peut être si cruelle
    elle qui peut occasionner tant de peine
    est allée rejoindre sa cousine, la haine.

    J’ai aussi rencontré l’amitié
    elle, est toujours à mes côtés
    avec elle, je discute de tous les sujets
    sans jamais me lasser
    avec elle, j’ai tout partagé
    des rires, des pleurs
    mes joies, mes peine et mes peurs
    avec elle, j’ai vraiment tout connu
    et même lorsque je m’étais perdue
    elle ne m’avait jamais déçue
    en m’aidant à retrouver mon chemin
    comme moi, elle croit au destin.

    Comme quoi, c’est elle la plus fine
    l’amitié reste ma meilleure copine
    mais gare aux d’imposteurs
    j’ai dû en rencontrer plusieurs
    avant de reconnaître l’amitié
    celle qu’on ne peut altérer
    malgré nos défauts divulgués.

    Un moment donné j’ai rencontré la trahison
    on a marché ensemble, rapidement
    je me suis rendue compte finalement
    que la trahison n’a aucune conversation
    alors on s’est séparés un bon moment
    j’ai continué seule et la trahison
    est allée voir sa cousine, la déception
    plus loin, je l’ai retrouvée de nouveau
    et cette fois là, je l’aurais bien mise KO.

    Lorsque j’ai croisé la poésie
    je l’ai trouvé fort jolie
    elle aussi est une amie
    avec ses rimes et ses vers
    elle sait apaiser la colère
    et dissiper le désespoir
    que j’ai rencontré sans le vouloir
    lorsque, lasse, j’ai voulu m’assoir.

    Le désespoir m’a donné une migraine
    car il profite de la condition humaine
    pour introduire ses amis scabreux
    alors, j’ai voulu changer de milieu
    je me suis donc levée du banc
    et j’ai continué tout droit devant.

    Plus tard j’ai rencontré le décès
    ce personnage que personne ne veut croiser
    pourtant, il trouve toujours le moyen de nous rattraper
    autant vous dire que cette rencontre m’a transformée
    brutalement, il me fait sans cesse rappeler
    que mon voyage peut être, à tout moment, écourté.

    Mon voyage était bien entamé
    je commençais même à boiter
    lorsque j’ai rencontré la sagesse
    la marraine de la jeunesse
    je lui ai dit : tiens, je suis contente que tu sois là!
    après ces fâcheuses rencontres, j’aurais besoin de toi
    je te présente la jeunesse, elle n’est pas facile à vivre!
    franchement effrontée, carrément têtue et clairement ivre
    elle m’a mise, à quelques reprises, dans un pétrin sans fin
    pourtant, je ne pourrais jamais l’écarter de mon chemin.

    La sagesse me répond en toute humilité :
    moi aussi j’ai beaucoup marché
    et tout le monde que j’ai croisé
    était à la recherche du fruit sacré
    mais le bonheur est timide, il se cache
    il ne se dévoile que s’il aime notre démarche
    une fois le bonheur enfin trouvé
    il faut savoir le garder, le protéger
    le bonheur n’aime pas le futile
    il n’est ni capricieux ni difficile
    il est simplement très fragile.

    J’ai marché depuis des semaines des mois
    sur les grandes routes tout droit devant moi
    j’ai surtout marché hors des sentiers battus
    en traversant des chemins assez ardus
    avançant tous les jours sur ces allées tordues
    des chemins aussi tordus que la vie
    parfois, sans trouver de raccourcis.

    Des routes aux multiples croisements
    où chacun emprunte un sentier différent
    mais qu’importe le choix des hommes
    tous les chemins mènent à Rome
    des chemins aux multiples péripéties
    mais grâce auxquels j’ai beaucoup appris
    un voyage dont chaque mètre me fortifie.

    Ma vadrouille a été parsemée de rencontres
    j’ignore ce que ce voyage me réserve encore
    et pour tout dire, je ne m’en préoccupe pas
    je continue toujours d’avancer devant moi
    malgré les obstacles et les changements de climat.

    Il me reste encore du chemin à faire
    j’ai tout de même déjà de quoi être fière
    car beaucoup se sont arrêtés à mi-chemin
    en capitulant à la rencontre du premier chagrin
    j’ai beaucoup d’autres personnages à rencontrer
    des bons, des moins bons et même des mauvais
    mais toutes ces rencontres ont de la valeur
    car tous contribuent à ce que je sois meilleure.

    J’ignore le jour et l’heure de mon arrivée
    j’ignore toujours l’issu de ma destinée
    j’apprends tout les jours le code de ma route
    à la marche, à la nage mais à reculons ça j’en doute!
    et en attendant d’arriver à destination
    je continuerais d’avancer tout droit devant.

    © Lili

    - 30 -

    Publié par : lilaait le : 14 juin 2009

    Source : http://lilaait.wordpress.com/



    Commentaire de Hamid (17/12/2009 10:05) :

    Magnifique "Voyage" ! Je félicite chaleureusement Lili , son auteur, et l'encourage vivement à écrire d'autres poèmes .... Bravo ! L'illustration choisie, cette rustique petite maison de campagne isolée, qui tient encore debout malgré le poids des ans, cadre parfaitement avec les sentiments exprimés.... Salut et à la prochaine.

    http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/
    hamidaitkaki@yahoo.fr




    Algérie Egypte : 18 novembre 2009 : Célébrations à Montréal.

    22/11/2009 22:13




    Par : TheShaxman...
    Les Algériens de Montréal: Célébrations pour la victoire contre l'égypte le 18 Novembre 2009.
    Qualification pour le mondial Sud Africain en 2010.
    One two three... viva l'Algérie.!!!
    Source : http://www.youtube.com/watch?v=vcNVjat96Gg





    Tout simplement Scandaleux ...

    15/11/2009 09:16

    Tout simplement Scandaleux ...


     La décision de la FIFA de ne rien faire  après le guet-apens de jeudi est scandaleuse. Certes l'EN a perdu par deux buts à zéro, certes nous avons joué ce match, et nous irons jouer au Soudan,  mais que ce serait il passé si les Verts avaient gagné, ou simplement tenu leur résultat, en perdant par deux buts leur bus a été bloqué plus de deux heures au stade. Est ce réellement des conditions pour jouer un match ?  Les mêmes évènements survenus en Europe auraient été gravement sanctionnés. La FIFA a fait tout un mic mac pour les paroles du sélectionneur Maradona il y'a peu, et rien du tout pour un caillassage en règle de nos joueurs, qui ont risqué leur vie en Egypte (on parle également de supporteurs dans un état grave). Faut il attendre un mort pour s'alarmer, dans ce contexte le football devient futile et l'Algérie ne risquera plus à l'avenir la vie de ses enfants pour un ballon rond. Ce deux poids, deux mesures est inadmissible. Esperons que l'instance mondiale prenne ses responsabilités.

    DZfoot.com

    15/11/2009
    ***************************************
      Le bus algérien bloqué au stade:
     
    *******************************
     Les supporteurs algériens caillassés

    Des dizaines de jeunes Egyptiens ont caillassé des bus transportant des supporteurs algériens samedi soir au Caire, à l'issue d'un match de football précédé de vives tensions et remporté 2-0 par l'Egypte contre l'Algérie, a constaté un journaliste de l'AFP.

    Postés à un barrage de police abandonné, les supporteurs des Pharaons ont attendu la sortie des bus devant ramener les Algériens à leurs hôtels aux abords du stade, en banlieue du Caire.

    Ils ont fait ralentir tous les véhicules au niveau du barrage pour vérifier si les passagers étaient algériens ou égyptiens.

    A chaque fois qu'un bus transportait des Algériens, il s'est fait copieusement caillasser. Au moins quatre bus ont ainsi été attaqués, a rapporté le journaliste de l'AFP sur place, constatant que la rue était jonchée de verre brisé.

    A quelques dizaines de mètres de là, se trouvaient quatre camions de la police anti-émeutes, mais les forces de l'ordre ne sont pas intervenues.

    Un policier est ensuite venu voir les jeunes supporteurs égyptiens en leur disant: ''Rentrez chez vous, ils sont tous partis''.

    Les vives tensions qui ont précédé cette rencontre cruciale entre les deux formations rivales faisaient craindre que des violences n'éclatent à la fin du match.

    Ces dernières semaines, les supporteurs des deux équipes se sont en effet invectivés par médias interposés et sur internet, s'accusant de provocations mutuelles, au point que les autorités des deux pays ont dû multiplier les appels au calme.

    La tension avait culminé jeudi soir avec le caillassage du bus de la sélection algérienne peu après son arrivée au Caire. Les traces de l'agression étaient d'ailleurs visibles pendant la rencontre sur deux des trois joueurs algériens blessés, qui portaient des pansements à la tête.

    Les esprits s'étaient encore échauffés quand les médias et les services de sécurité égyptiens ont soutenu que l'équipe d'Algérie avait mis l'attaque en scène. En Algérie, la presse a en revanche évoqué un ''guet-apens''.

    Dans cette ambiance survoltée, la Fifa a demandé aux autorités égyptiennes de prendre ''toutes les mesures de sécurité'' pour que le match ait lieu.

    AFP

    15/11/2009
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    One,Two,Three...Viva l'Algérie!

    14/11/2009 01:19

    One,Two,Three...Viva l'Algérie!







    J.S.K ...le grand retour?

    08/11/2009 22:38

    J.S.K ...le grand retour?







    Taddartiw...

    01/11/2009 17:18

    Taddartiw...




    Commentaire de mis n \'tassaft (28/11/2009 15:07) :

    tassaft ouguemoune mon village natal...loin de toi ...je ne t'oubelerais jamais ...taddartiw a3zzien ...am assa anughalegh ...mes monjours a toute la famille ait ouahioune de tassaft ,de reghaia , de kouba ,blida ,bouira ...anda malan les ait ouahioune ...ath ahmed amezian ,ath m'hemd, ath mohdharab...yak adhrum ay dahmane.......kiko





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