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Hannachi défend Meftah et rassure les Kabyles...«Sa mise à l’écart a choqué la Kabylie»
30/09/2009 15:03
Une fois que la liste des 22 joueurs retenus pour le prochain match face au Rwanda a été dévoilée, nous avons pris attache avec le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, afin de connaître sa réaction après la non convocation de Rabie Meftah. Le premier responsable du club kabyle n’a pas caché son désarrois, il nous dira à ce sujet : «J’ai été choqué en apprenant que Meftah n’a pas été retenu. C’est un geste non faisable vis-à-vis d’un joueur qui a servit la sélection durant 4 ans. Je ne dis pas qu’il doit jouer en tant que titulaire, mais j’estime qu’il mérite sa place en équipe nationale. Je ne dis pas ça parce qu’il joue à la JSK, mais seulement parce que le joueur est plein de talent. Cette non convocation constitue un choc pour toute la Kabylie. Je suis stupéfié.»
«L’avenir d’un entraîneur est lié aux résultats réalisés» Loin de cette affaire Meftah, Mohand Cherif Hannachi a discuté récemment avec certains de ses proches sur l’affaire Lang, mais aussi de plusieurs points, notamment le remaniement de l’effectif et les départs des cadres, à l’image de Chaouchi, Achiou et Derrag. En premier lieu, Hannachi aurait fait s’avoir à ses proches que son entraîneur Lang est condamné par les résultats à la tête de la JSK. Il dira à ce sujet : «L’avenir d’un entraîneur à la tête d’une équipe est lié aux résultats réalisés. Il est clair que si la JSK réalise un faux pas face à l’ASK, son maintien à la tête de la JSK sera compromis. Je n’exerce pas de pression supplémentaire ou autre. Le football est ainsi fait. Pour l’instant, Lang bénéficie de toute ma confiance, mais il doit trouver des solutions ».
«Je ne regrette ni Achiou, ni Derrag ni même Chaouchi» Par la suite, le boss kabyle a abordé le point du remaniement de l’effectif. Il estime que la JSK possède une équipe jeune qui aura son mot à dire cette saison. De plus, il ne regrette guère les départs des cadres de l’équipe, à l’image d’Achiou, de Derrag et Chaouchi. «Contrairement à ce que pensent certains, je ne regrette jamais le départ d’un joueur. Achiou est parti de son propre gré. Pour Derrag, je l’ai laissé partir, car je n’ai pas été satisfait de ses prestations durant la saison. Concernant Chaouchi, j’estime qu’il a bousillé sa carrière en allant à Sétif. Il ne connaît pas ses intérêt.»
«Le titre de champion se jouera entre la JSK et l’ESS» Pour ce qui est des résultats de son équipe, Hannachi n’est guère inquiet. Il dira à ce sujet : «La saison dernière, on a fait pire. A la JSK, jouer les premiers rôles est une tradition qui ne changera pas. On va se ressaisir et je suis rassuré de ce côté-là. J’ai assez d’expérience pour dire que les équipes qui débutent dans le haut du tableau ne sont pas celles qui finissent championnes en fin de saison. Le titre de champion se jouera entre la JSK et l’ESS. Ce sont les deux formations les plus puissante en Algérie.» L. F.
Publié dans :jsk , meftah , équipe nationale , hannachi
Source : http://www.lebuteur.com/division-1/actualites/hannachi-defend-meftah-et-rassure-les-kabyles
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«Awyd Aylaw» résiste au temps...TASSAFT OUGUEMOUN CÉLÈBRE CETTE TRADITION
29/09/2009 04:26
Sur les hauteurs du Djurdjura, Tassaft perpétue ainsi son authentique art de vivre.
«Si Tassafth Id Ghigh Asghar Macci De Dderya Ughanim», avait tranché le magistral Aït Menguellet. Dans la langue de Molière, cela donne, à peu près: «Je suis issu du chêne et non du roseau.» C’est dire que les gens de la montagne n’ont pas pour habitude et encore moins pour principe de courber l’échine. En voici l’illustration parfaite: sous le slogan «Awyd Aylaw» (donnez-moi mon droit), le village de Tassaft, s’apprête à ce rituel, tant attendu par tous avec un engouement particulier pour cette fête ancestrale, qui allie mythe et traditions. Une tradition qui résiste au temps et à la modernité et se perpétue de génération en génération pour la plus grande joie des grands et des petits qui l’attendent avec impatience chaque année. Elle est aujourd’hui, intensément pratiquée, dans ce village et perdure aussi dans quelques villages kabyles. La manifestation ne prendra pas un caractère festif mais se limitera à l’esprit de solidarité et de paix marquant un bon présage pour la nouvelle année qui est la caractéristique essentielle de la célébration de ce rendez-vous. Le moment tant attendu s’annonce, et est visible grâce aux diverses friandises étalées dans les commerces et magasins. A cette occasion, les mères de famille préparent leurs produits exposés dans la cour, devant la porte d’entrée, dans l’attente de ces révoltés en herbe. Très tard dans la nuit, vers deux heures du matin, souvent jusqu’aux premières lueurs de l’aube, les enfants parcourent les ruelles du village. Passant de maison en maison, ils réclament des denrées alimentaires, plus souvent des friandises, des oeufs ou de la monnaie en scandant très fort: Awid aylaw. La tradition veut que, par ce geste d’offrande, des liens se tissent avec les forces invisibles, un contrat d’alliance qui place la nouvelle année sous d’heureux auspices. La solidarité entre les villageois veut qu’à la fin de la quête des enfants, tous les dons collectés sont remis aux plus démunis et ce, dans la discrétion totale. Vivre en harmonie avec soi-même, les autres et notre mère-patrie est une source de bonheur et de plénitude. Les villageois se réunissent, en partageant cette façon de voir le monde et veulent la vivre et la cultiver au quotidien. Le village est un projet collectif, où chacun apporte sa touche, sa propre créativité. Tolérance, ouverture d’esprit et joie de vivre sont des valeurs partagées par tous les habitants de Tassaft. Il ne s’agit pas de «sortir du troupeau» pour en reformer un autre... bien au contraire. «Se rassembler sans se ressembler» est un véritable art de vivre! Awid aylaw est un événement incontournable pour tous les habitants de ce village, et toutes les familles se font un devoir d’être présentes avec leurs enfants même celles qui vivent en dehors du village ou à l’étranger. D’ailleurs, ce rendez-vous annuel est considéré comme une pépinière de militants qui serviront leur patrie et toutes les causes justes. A cet effet, le village de Tassaft Ouguemoun a marqué l’histoire nationale grâce aux sacrifices de ses dignes et valeureux fils. Il est à remarquer que chaque crise que traversa notre pays à été funestement marquée, pour ce village, par la perte de l’un de ses valeureux fils tel, Amar Ould Hamouda, militant de la cause nationale et membre du PPA. Durant la guerre d’Algérie, nommé colonel à la tête de la Wilaya 3 hisorique, Amirouche Aït Hamouda tomba au champ d’honneur, martyr parmi tant d’autres martyrs, en 1959. Quelques décennies plus tard, le terrorisme barbare arracha deux dignes fils à ce village, en l’occurrence Djaffer Ouahioune et Kamel Aït Hamouda. La crise que traversa la Kabylie, connue sous le nom de Printemps noir, emmènera avec elle Azzedine Yousfi. Ainsi, dès leur plus jeune âge, les enfants de Tassaft sont initiés à cette coutume qui nourrit l’esprit de revendication et l’esprit de militantisme, selon le témoignage des habitants de Tassaft Ouguemoune. En effet, l’enseignement et la retransmission de ces valeurs est un facteur décisif dans la définition sereine et honnête de l’identité nationale. Elle est également une source d’unité et de paix pour former une relève face aux conflits qui surgissent inévitablement dans les domaines politique, économique et social. Ainsi, il devient possible de vivre les nouvelles situations sans amoindrir la dignité transcendante de la personne humaine.
Idir AMMOUR
Source : http://www.lexpressiondz.com/article/3/2009-09-28/67973.html
Photo en haut : Ania Ait-Ouahioune
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JSK : Lang : «Je suis content et triste en même temps»
20/09/2009 06:20
sur l’équipe rien que pour salir l’image de la JSK et du football national en général. Il y a des gens qui se permettent par méchanceté gratuite de tirer sur nous à boulets rouges. Je souhaite qu’un jour tous ces propos malveillants leur retombent sur la tête, gentiment pas avec méchanceté comme ils le font eux…. »
«Hamiti se libère» «Il n’ y a des gens qui n’ont jamais joué au football, et qui ne savent pas que lorsqu’un attaquant ne marque pas de but il est malheureux, il souffre. Donc, au lieu de l’attaquer comme le font et l’ont d’ailleurs fait certaines personnes stupides ce vendredi, il a besoin d’être soutenu et encouragé comme nous l’avons fait aujourd’hui en tant que staff technique, au même titre que le président Hannachi et l’ensemble des joueurs. Et Dieu merci, il a répondu à tous ses détracteurs d’une manière éclatante, je suis content pour lui et pour la JSK ainsi que nos supporters.»
«Nos supporters ont montré la voie à suivre» «Aujourd’hui, les supporters kabyles ont réédité leur comportement exemplaire comme ils l’ont fait la dernière fois. Ils ont montré aux supporters algériens la voie à suivre, c’est comme ça que doivent se comporter tous les supporters, non pas en versant dans la violence mais en semant la joie et le bonheur dans les stades.»
«La réponse du terrain est celle des joueurs» «Dans tous les pays du monde, le staff technique accomplit sa mission dans la semaine, alors que les jours de matchs ce sont les joueurs qui traduisent le travail de la semaine sur le terrain et cela, beaucoup ont tendance à l’oublier. Si le président a déclaré à la presse qu’il me renouvellait sa confiance, moi je ne me suis jamais posé la question, je travaille sans inquiétude et sans pression. Je crois que les médias qui incitent à virer un entraîneur font dans l’incitation à la débauche.»
«Nous avons préparé notre match dans une ambiance agréable» « Ceux qui sont venus voir l’équipe lors des séances d’entraînement ont constaté que le groupe a travaillé dans un climat serein et avec professionnalisme. A aucun moment on n’a senti la pression ou le sentiment d’angoisse. Les joueurs sont conscients que c’était à eux de travailler et de traduire tout ce qu’ils font de bien à l’entraînement.»
«Les joueurs ont bien réagi grâce aux supporters» «Les joueurs se sont libérés grâce au soutien des supporters. Lorsqu’ils sont rentrés sur le terrain ils ont été accueillis par des applaudissements nourris, et moi-même j’ai bénéficié de ce bonheur d’être applaudi. Cela a fait que les joueurs se sont libérés, et c’était là aussi la preuve que les supportes kabyles ont confiance en leur équipe et l’encouragent à aller de l’avant. Je lesles félicite et je les remercie en leur dédiant cette victoire», a dit Lang. A.Lyès
Publié dans :jsk , lang © LEBUTEUR
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Définition de l'algérianité...
15/09/2009 04:30
1.tu ne tiens pas debout facilement, il te faut un mur, une voiture ou n'importe quoi. 2. tu n'es pas entièrement arabe. tes ancêtres sont turcs, berbères, espagnols, français, touaregs, siciliens. 3. ton père (ou l'1 de tes proches) travaille dans le BTP ou il est proprio d'un café ou d'une épicerie. 4. tu penses savoir parler arabe, mais essaies de discuter avec des gens du moyen orient 5. tu peux reconnaître tous les accents algériens 6. si t'es de l'est, tu te moques des gens de l'ouest et vice-versa 7. si t'es d'Alger, tu te moques de tout le monde 8. si t'es du sud, tu manges des dattes 9. les hommes dansent mieux que les femmes (surtout chez les kabyles) 10. t'écoutes du raï surtout quand t'es à l'étranger 11. Dès que quelqu'un s'en va, on commence à parler de lui. En bien ou en mal 12. Tes conversations concernent SURTOUT les autres. tu peux pas 't'occuper de tes affaires ! 13. les amis de tes parents, ou les parents de tes amis, sont tes oncles et tantes 14. tu portes des tongs Adidas-Lacoste 15. tu embrasses des cousins que tu n'as jamais vu de ta vie 16. tu aime squatter la terrasse des cafés et parler des passants 17. si tu es une fille, ton prénom finit par un A 18. dans les mariages, des mères viennent te demander si t'es célibataire, et si oui, où est ta mère. 19. Les femmes algériennes entres elles, jouent à "qui parle le plus fort" 20. ou à "qui a le plus de bijoux" 21. ou à "qui a le plus de dents en or" 22. quand tu vas à la plage, tu fais pas semblant : levés à 5h du mat, toute la famille (20 personnes) la tente avec cuisinière intégrée et tu rentres chez toi à 21h 23. l'inspecteur Tahar est ton héros preferé 24. tu manges TOUT avec du pain. même le pain. 25. un plat sans harissa, c'est pas un plat 26. d'ailleurs, même dans le café tu mets de la harissa 27. on dit même que t'en avais dans le biberon 28. tu es trop fier pour accepter quelque chose sans payer. ou être payé après avoir rendu service 29. quand tu t'ennuie, tu fais chier le premier venu.. surtout quand c'est un policier ou un gars de l'administration. 30. pour faire ou renouveler un passeport ou une carte d'identité, ça te prends 3H maximum(.........) 32. tu respectes tes parents et tes aînés en général, quoiqu'il arrive 33. tu connais au moins 5 mots pour dire chewing-gum* 34. tu as algerianisé la langue française 35. quand t'es en Algérie, tu dis "pays de merde", quand t'es en Europe, tu pleures ta race pendant 3 mois ! 36. tu passes des journées entières avec le même cure-dent entre les lèvres 37. tout ce qui est bien, est qualifié de "la classe" 38. le tunning consiste à coller des stickers de la JSK/USMA/MCA et à mettre une serviette sur le tableau de bord 39. ou des stickers vache qui rit aussi 40. déjà, ta voiture, c'est une diesel 41. et c'est une Pigeot ou une Rinault 42. tu dis "ça va" au moins 8 fois dans la même conversation 43. à la fin de la conversation, t'es au courant de tout c'qui s'passe dans la famille de ton ami 44. t'as des cousins ultra-bricoleurs qui fabriquent des jouets pour enfants, des instruments de musique et des pièces pour auto avec pour seule matière première : le fil de fer (silenne.selk) 45. quand tu entends "one two three" tu peux pas t'empecher de crier "viva l'algérie" ! 46. tu as un poster de Zinedine Zidane 47. tu as des autocollants "A vendre" sur ta voiture alors qu'en fait elle ne l'est pas 48. a force de voir la photo de Boumedienne dans le salon tu croyais que Houari c'etait ton oncle 49. quand l'equipe nationale joue contre l' brizil ou l'argentine tu penses qu'elle va gagner 50. tu n'a pa vu le match en 1982 mais tu sais que l'algerie a gagner contre l'allemagne tellement ton père ta raconter ce match 51. quand regarder un film sur les chaines allemandes du baraboule c'est toujours mieux que regarder la chaine algerienne 52. tu vien de lire tout l'article mais t'a pa remarquer qu'il n'y avait pas de Numero 31 53. tu remonte la page pour verifier.....
Publié par beka sur : http://cheikhsidibemol.ning.com
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Commentaire de algerien_kabyl (15/09/2009 07:14) :
merciiiiiiiiiiiiiiiiii a3lik!
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JSK : Les supporters inquiets
14/09/2009 06:10
«Nous ne voulons pas revivre le scénario de la saison passée»
Au lendemain de la défaite des Canaris à Rouiba face au leader du championnat, le MCA, c’est toujours le sentiment d’inquiétude qui plane dans les milieux sportifs kabyles où la JSK détient la part du lion de leurs discussions. Tôt le lendemain du match, c’est la ruée du public vers les librairies les plus proches, à la quête d’un journal dans lequel ils trouveraient les détails d’une autre contre-performance de leur équipe fétiche qui vraiment tarde à décoller, et à laquelle ils n’avaient pas été autorisés à supporter en raison du huis clos infligé au Mouloudia d’Alger. Les supporters n’arrivent pas à réaliser ce qui arrive à leur équipe en ce début de saison et ne veulent pas revivre le scénario de la saison passée. Ils sont impatients de voir à l’œuvre la nouvelle génération dont on dit beaucoup de bien, et sur laquelle tous les espoirs sont placés. Le premier responsable de la maison kabyle à lui-même tenu à rassurer à travers ses sorties médiatiques que la JSK de cette année, bien qu’elle soit rajeunie à plus de 80%, saura défendre ses intérêts et jouer les premiers rôles. Le bilan : la JSK a joué depuis le coup d’envoi de la saison 450 minutes. Elle n’a pu inscrire que deux buts et en a encaissé 3. Le compartiment offensif n’arrive pas à faire parler de lui et c’est ce qui n’est pas du tout pour rassurer les fidèles de la JSK qui s’attendaient vraiment à un meilleur résultat. Autrement dit, les Kabyles craignent le scénario de l’exercice précédent.
«Nous ne voulons pas revivre le scénario de la saison passée» Depuis l’accession de la JSK en division 1 en 69/70, les supporters ne se rappellent que de cette fatidique saison de l’année 92 où elle a failli revenir en D2, sinon toutes les années, la JSK n’a joué que pour le peloton de tête si ce n’est pour le titre carrément, surtout avec la belle épopée du Jumbo-Jet, une tradition que les Kabyles ne veulent pas lâcher. La saison passée, alors que la JSK était encore en course dans la ligue des champions, les résultats ne suivaient pas en championnat national sous la coupe de Younès Ifticène. Ce dernier n’a d’ailleurs pas tardé à remettre les clés sous le paillasson, les contre-performances s’enchaînaient jusqu’à ce que la JSK visite le fond. Un scénario que les coéquipiers de Meftah ne veulent pas reproduire cette année.
«On comprenait les faux pas que lorsque l’équipe était engagée en Coupe d’Afrique» Pour les supporters de la JSK, la nouvelle équipe n’a pas le droit de ne pas connaître un bon début de saison, elle revient juste d’une préparation d’intersaison du Maroc et elle n’est pas encore engagée en Coupe d’Afrique. Donc les joueurs ont eu tout le temps nécessaire pour récupérer de leurs efforts. En plus, plusieurs d’entre eux n’ont pas été trop utilisés la saison dernière. Sur ce point, un supporter nous dira ceci : «Je ne vous cache pas, j’aurais bien compris cette situation, autrement dit, ce mauvais départ en championnat si l’on était engagés dans une Coupe africaine, comme ce fut le cas pour les précédentes éditions, l’exemple l’année dernière. D’ailleurs, depuis notre élimination face aux Libyens, l’entraîneur Lang a réussi progressivement à remonter la JSK dans le classement général. A la fin, tout le monde connaît la suite, en inquiétant même le potentiel leader, l’ESS.» Et d’ajouter : «Ce qui n’est pas le cas pour ce début de saison, la JSK n’est pas engagée dans une autre compétition, elle doit focaliser toute son attention sur le championnat qu’elle ne doit pas perdre de vue.»
«Nous avons une équipe jeune certes, mais qu’elle joue au foot au moins !» Un lecteur que nous avons croisé sur notre chemin en sortant de la librairie du centre-ville de Tizi Ouzou, nous a reconnus puisqu’il a eu déjà à s’exprimer sur nos colonnes, il avait le visage pâle en cette matinée de dimanche, peut-être c’est le jeûne, mais le garçon nous dira que rien n’est fait pour lui rougir le visage : «Comment voulez-vous avoir le visage rouge ? Avez-vous suivi la rencontre à Rouiba ? Dites-nous, s’il vous plaît, ce qui n’a pas marché ce soir-là face au MCA, le manque de fraîcheur physique des joueurs ou le choix tactique de l’entraîneur. On veut entendre une seule version.» A l’extérieur, se trouvaient deux autres personnes qui commentaient une déclaration du coach qui avoue que le groupe est encore jeune et a besoin de plus de maturité, un d’eux déclarera : «Nous avons une équipe jeune certes, mais qu’elle joue au foot au moins ! L’entraîneur doit les faire travailler davantage.»
«Finalement, le huis clos arrangeait plus le MCA» Il faut dire que les supporters de la JSK avaient espéré au moins un match nul face au MCA. Pour eux, le huis clos était fait pour arranger plus la JSK qui n’avait pas à subir la pression des Chnaoua. Or, vendredi dernier, il s’est avéré que ce sont les Verts et Rouge qui en avaient profité pour venir à bout d’une équipe kabyle en quête de rachat après son faux pas à domicile face au MCO.
«La dernière cartouche de Lang ce vendredi face au WAT» Il est dit qu’en football, lorsque les résultats d’une équipe ne suivent pas, c’est l’entraîneur qui en fait les frais. C’est le cas de la JSK et de son entraîneur franco-polonais, jean-Christian Lang, dont les jours sont désormais comptés en Kabylie, après la défaite subie par ses poulains face au MCA. Son président a bien dit qu’il ne tolérerait plus une autre déconvenue à compter du match prochain face au WAT. Les supporters de la JSK, qui ne se déplaceront sûrement pas en masse au 1er-Novembre vendredi prochain, comme ils l’ont fait face au MCO, exigent de Lang une large victoire face au WAT, la seule issue pour lui de conforter son poste. Dans le cas contraire, l’on voit mal Hannachi maintenir son employé au poste de responsable à la barre technique.
«La saison est encore longue, il ne faut pas parler de titre» Une autre partie des supporters est de l’avis de l’entraîneur kabyle qui estime que le groupe est encore immature et a besoin de plus de temps pour faire étalage de tout son savoir-faire. Nombreux sont les supporters de la JSK qui se sont montrés patients et sereins et qui ne sont pas pris de panique de voir la JSK rétrograder. Au contraire, l’on a compris qu’il accorde une entière confiance à Lang et aux coéquipiers de Tedjar et Yahia-Cherif : «Nous pensons qu’il n’y a pas le feu en la demeure, le groupe est jeune et il sera bien meilleur dans un avenir proche. C’est vrai, la JSK joue tous les ans les premiers rôles, avec comme objectif remporter un titre. Cette année, les joueurs sont très jeunes et n’ont pas encore acquis l’expérience nécessaire. Nous pensons qu’il leur faudra encore plus de temps et de travail pour bien s’appliquer. Le plus important, c’est de réaliser un parcours qui honore les couleurs. Maintenant, si Hannachi parle de titre déjà, là, il aurait fait mieux alors de garder l’ancienne ossature, peut-être l’expérience aurait joué son rôle.» Pour les supporters de la JSK, il est encore trop tôt pour parler de titre de champion. La phase aller n’a même pas atteint sa moitié. «Comment voulez-vous parler de titre alors que nous sommes qu’à la cinquième journée du championnat, et puis, pourquoi priver le MCA de ce rêve, peut-être c’est leur année», ironise un supporter. L. A.
Publié dans :jsk , lang
Source : http://www.lebuteur.com/division-1/actualites/jsk-les-supporters-inquiets
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Commentaire de tchouky21 (30/03/2012 17:53) :
une chose est sure pour que hennachi degage il faut parler du foot a l
echel national,il est question que les presidents hannachi ,zaim et
autres,ces vieux doivent partir pour que le foot redvien comme avt ou
meilleur,regarder un monsieur comme haddad il investi sur les jeunes (voir
les moins de 21 ans) autre exemple l immage que donne haddad pour les
entraineur etranger(herve renard)qui est pati avec une bonne immage et a
cote voir comment hannachi a viré gueguer,chay ca suffit place aux jeunes
,barakat les maguouilles
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