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Ces Algériens qui rentrent au pays après une expérience canadienne : témoignages sur Facebook
28/03/2009 15:08
Ces Algériens qui rentrent au pays après une expérience canadienne : témoignages sur Facebook.
Chaque année, ils sont des milliers d'Algériens à traverser l'océan Atlantique pour poser leurs valises au Canada, avec la promesse d'une vie meilleure. Sur Facebook, au sein du groupe « Alger-Montréal », quelques uns parmi eux partagent leurs vécus et débattent du nouveau sujet d'actualité : revenir au pays après une expérience canadienne. Le débat est intéressant dans un contexte où en Algérie, c'est la tendance inverse qui domine depuis de nombreux mois : par centaines, des jeunes harragas tentent quotidiennement, souvent au péril de leur vie, d'immigrer vers l'Europe où les conditions d'accueil et de séjour des étrangers sont de plus en plus dures.
Pourquoi en effet un Algérien, parti quelques années auparavant, voudrait-il délaisser aujourd'hui « l'eldorado canadien » pour revenir au pays ? Autres interrogations sur ce phénomène difficile à quantifier : s'agit-il de décisions isolées ou d'une tendance significative et durable? Ces retours sont-ils liés à la crise économique mondiale qui touche de plein fouet les pays industrialisés d'Europe et d'Amérique du Nord et jette des millions personnes au chômage? « Les perspectives de carrière en Algérie sont-elles devenues plus intéressantes ou celle du Canada moins ? », se demande un membre du groupe. Ni l'un ni l'autre, répondent beaucoup de participants. En réalité, les choix de chacun semblent motivés par des considérations personnelles.
Exemple : Il y a quelques années, « Skander » décide de retourner en Algérie pour savoir « ce que c'est que de vivre en Algérie en dehors des vacances d'été ». Mais au bout de deux ans de vie en Algérie et malgré un « excellent souvenir humain », il déchante coté professionnel et part vivre à Marseille, en France. Sa conclusion : il est toujours préférable d'avoir le choix de rebrousser chemin, notamment lorsqu'on a une famille et des enfants auxquels on voudrait assurer un avenir stable.
Curieusement, ce sont justement ses enfants qui poussent « Angelo » à songer à un retour au bled. Explication : cet Algérien vivant au Canada ne souhaite pas qu'ils « grandissent avec les valeurs que prône la société québécoise ».
Autre sujet abordé dans les discussions : comment sont perçus ces Algériens, rentrés au pays après l'expérience canadienne ? Ils sont vus comme « des gens aimant leur pays et qui reviennent pour y contribuent ...! » ou « des fous », pense Katia. Cette dernière n'envisage pas de revenir en Algérie.
Alors, sont-ils si nombreux, ces Algériens installés au Canada à faire le chemin inverse ? Tendance éphémère ou phénomène en devenir? Qu'est-ce qui pousse réellement un Algérien qui aura passé des années dans un pays qui est souvent au sommet des classements des pays où il fait bon vivre à revenir au pays ? En attendant des statistiques et des données fiables, chacun peut toujours donner son avis sur Facebook.
Par Nesrine Sellal , le 28/03/2009 .
Source : http://www.tsa-algerie.com/Ces-Algeriens-qui-rentrent-au-pays-apres-une-experience-cana_6452.html
Commentaire de ali sid (10/05/2009 18:22) :
j'ai connu le canada dans les années 70 ;a cette epoque les
canadiens possédaient 3 et parfois 4 jobs;je suis tout etonné de savoir que
des algeriens puissent retourner au pays apres avoir vecu dans l'un
des plus beau pays au monde,pour mériter de vivre dans un pays je pense
qu'il faut un minimum de sacrifice;et considerer le pays
d'accueil comme son propre pays ,et faire des sacrifices et si le
besoin le demande le faire meme au prix de sa vie,je ne sais pas je suis
peut etre un peu chauvin car j'adore le canada,je trouve les canadiens
comme des gens formidables,si un jour l'occasion se presente a nouveau
je n'hesiterai pas un seul instant de retourner dans ce beau pays pour
y vivre a bon entendeur salut
ali.sid@live.fr |
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Ce qu'il faut manger (ou pas) pour prévenir les risques de cancer
07/03/2009 15:20
© Getty Images.
Dans le cadre du Programme national nutrition santé, les autorités sanitaires ont publié la liste des aliments qui protègent ou exposent au cancer.
Bannir l'alcool ou limiter la viande rouge font partie des recommandations.
Commentaire de Barbara (08/03/2009 23:01) :

Bonsoir...Arezki... A l’occasion de la célébration par le monde Musulman de
l‘anniversaire de la naissance du prophète Mohammed (PBSL) Salla Allahou
Alaihi oua Sallam qui est pour le 09 Mars 2009 Mes meilleurs Vœux pour
cette heureuse occasion et je te souhaite à toi et tes proches à ta famille
que cette joyeuse fête renforce les liens de solidarité dans les familles
et avec les voisins, et qu'elle soit aussi l'occasion de se
réconcilier avec certaines personnes...et en particulier se réconcilier
avec soi même...

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Commentaire de Barbara (08/03/2009 23:04) :
Bonsoir...Arezki je viens te souhaiter une bonne soirée et
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Attention la JSK thughaled !
07/03/2009 00:18
Attention la JSK arrive !
Suite : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=67572&ed=MjA1OA==
Commentaire de Ali C. (13/06/2009 03:19) :
Il devrait avoir lieu le 24 juillet prochain au stade Vélodrome
Le match JS Kabylie – O. Marseille reporté....
Prévue pour le 24 juillet prochain au stade Vélodrome de Marseille dans le
cadre du tournoi méditerranéen de football, la rencontre JS Kabylie
-Olympique de Marseille, n’aura finalement pas lieu à la date initiale en
raison du désengagement du club phocéen.
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=71870&ed=MjE0Mg==
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Le 8 mars : Rêves de femmes de l’Algérie d’antan?
06/03/2009 23:57
Il me souvient des 8 mars d’un autre temps, sans doute aux couleurs de mes vingt ans dans cette Algérie naissante. Mais aussi aux couleurs d’une époque riche d’espoir de cette humanité gonflée à bloc par sa jeunesse, folle de liberté et de justice.
Il me souvient d’une anecdote si proche de moi, si complice du rêve de tant de femmes, attirées par un rayon de lumière qui éclaire leur univers le temps d’une célébration. C’était, il y a déjà quelques décennies dans un pays encore vierge de sa tragédie future, l’Algérie d’antan. Celle du 8 mars au symbole si puissant. Celle des roses et des femmes résolument tournées vers l’avenir qui désertaient bureaux et maisons pour remplir et animer les rues principales du centre-ville. Des 8 mars vierges de haine, de violence et de sang. Il me souvient de cette anecdote lourde de sens et de symboles qui a vite fait le tour de la ville, Alger, fière de ses prouesses en ce temps-là. Des prouesses comme celle dont s’est inspirée cette femme qui se trouve au cœur de l’anecdote en question. Une femme qui a bravé l’interdit de son conjoint pour vivre sa journée. C’était écrit partout. Dans les médias et les agendas les plus officiels. Le 8 mars c’est la journée internationale de la femme. Et en Algérie, la femme ne l’aurait manquée pour rien au monde.
Cachée aux regards dans son haïk blanc, elle a traversé son quartier animée par le désir d’être, et de répondre présente à l’appel de cette journée mémorable. C’était sa façon de prendre part à l’histoire en marche de l’Algérie indépendante, tout comme l’avaient fait ses sœurs durant la terrible et longue nuit coloniale.
Dans une salle comble de femmes, elle a ri aux larmes et applaudi une pléiade d’artistes venus spécialement pour lui rendre hommage. À elle, la femme, et fêter avec elle cette nouvelle ère, toute prometteuse de son indépendance à elle. Sa liberté à elle dans son pays nouvellement libéré. Bientôt, rêvait-elle, le féminin imprègnera la vie de la cité, puis de toute la société. Les discours disaient qu’il y aura des femmes partout : dans les bureaux, les écoles, les hôpitaux, les usines et dans la rue. Le gris des façades cèdera le pas à une nuée de couleurs qui embelliront la ville. La désolation des terrains vagues explosera en oasis invitantes et le langage brut de la rue se diluera au contact du féminin. Ce féminin qui s’affichera dans l’espace public tout en couleur dans les villes et villages, tout en douceur dans les mœurs rigides d’ignorance. Le pays semblait définitivement embarqué dans le train de l’égalité. De quoi réjouir les féministes. De quoi ravir les femmes, tout court. Beaucoup étaient prêtes à saisir ce moment de bonheur furtif qui ne durait que le temps des célébrations. Un éclair de lumière qui les éblouissait, pulvérisant au passage les remparts de cet univers strict et étroit qui balisaient leur vie. Alors, la fête était de rigueur. Un droit et un devoir au regard de l’histoire tourmentée de leur peuple, mais aussi en vertu de ses propres espoirs à elle. Qui avait tant donné. Si peu reçu.
Dans l’allégresse, on ne fait pas d’effort pour oublier les tabous. Ils se dissipent d’eux-mêmes. On les ignore. Tout comme cette femme à qui l’on doit l’anecdote. Et l’interdiction des maris, à propos de la célébration du 8 mars, ne pouvait que passer par-dessus la tête des femmes, tant elle leur semblait absurde. Dans le contexte et dans le fond. Combien étaient-elles dans les salles de fête, dans les rues à l’avoir bravée pour être de la communion? C’est le cœur de l’anecdote dont il me souvient.
Toute la symbolique de l’anecdote était là. Mise à nue, brusquement, par ce mari furieux et menaçant qui se présente à l’entrée de la salle des fêtes pour récupérer sa désobéissante femme. L’accès étant réservée aux femmes, il ordonne qu’on aille chercher la sienne. Mais, le hic, c’est qu’il refuse de s’identifier, question redjla, wahchouma. Alors, il demande qu’on fasse l’annonce suivante dans la salle, sans citer de nom : « Que la femme qui est dans cette salle sans l’autorisation de son époux veuille bien se présenter à l’entrée! »
Un coup de tonnerre que cette phrase! 80 % des femmes présentes se dirigent alors vers la sortie. Toutes avaient spontanément pris la même résolution en cette journée symbolique du 8 mars. Un acte de liberté si naturel, prélude de cet avenir aux couleurs de leurs espoirs dans l’effervescence d’un pays en devenir. Tout était inscrit dans l’air du temps. La modernité passe par l’émancipation de la femme. Et la maison Algérie ne pouvait pas se passer de modernité.
Mais pour paraphraser un chanteur bien connu « je parle d’une époque que les moins de trente ans ne pouvaient pas connaître » En ce temps-là, la violence, le FMI, la banque mondiale, l’OMC et les barons locaux de l’import-export n’avaient pas la main mise sur la maison Algérie. Les gens voulaient s’éduquer, grandir avec leur pays et combler leurs besoins plutôt que d’attendre sur les quais les aliments de leur survie. En ce temps-là, l’Algérie semblait vaste de l’espoir de ses femmes et l’avenir prometteur de ses enfants. Les vannes du terrorisme n’avaient pas encore été actionnées par les faiseurs de deuils et le cœur des femmes pouvait se réjouir et vibrer à la multitude d’images et de sons qui célébraient le 8 mars dans l’Algérie d’antan.
Par : Zehira Houfani Berfas, écrivaine.
Source :http://www.ksari.com/index.php?option=com_content&view=article&id=907:le-8-mars-reves-de-femmes-de-lalgerie-dantan&catid=841:histoitre-a-societe&Itemid=339
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Une première en Amérique du Nord ...De la pub en tamazight dans les radios canadiennes ...
03/03/2009 14:17
CFMB 1280 AM diffuse depuis quelques jours un spot publicitaire en langue amazighe. C'est une publicité pour une entreprise œuvrant dans le domaine de l'électricité. Le spot publicitaire sollicite le public en tamazight. La communauté maghrébine, majoritaire au Québec, est fière d'écouter dans sa langue maternelle des annonces la touchant directement. Désormais, les annonceurs québécois solliciteront cette radio pour d'autres pubs en tamazight ciblant la communauté berbère basée en Amérique du Nord.
Par :Rubrique Radar
Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=110051
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un sourire...
01/03/2009 01:08
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Coulibaly ne connaît pas le langage du capitaine
24/02/2009 05:44
Abdeslam devant certainement parler en dialecte algérien, le défenseur malien ne se sentait pas concerné pour la simple raison qu’il ne comprenait rien.
Scène classique depuis quelques années dans presque tous les stades : avant le coup d’envoi, les joueurs se regroupent dans leur camp et écoutent les derniers encouragements et consignes du capitaine d’équipe.
Sur cette photo, les joueurs de la JSK alignés jeudi passé face à l’USMA ne manquent pas au rituel et semblent concentrés autour du capitaine Cherif Abdeslam. Tous sauf… Idrissa Coulibaly, qui semble avoir la tête ailleurs.
Moralité : Abdeslam devant certainement parler en dialecte algérien, le défenseur malien ne se sentait pas concerné pour la simple raison qu’il ne comprenait rien.
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