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Vivre dans un corps sain.
16/08/2008 02:30
Bien des personnes pourraient améliorer leurs soucis de santé avec la pratique d'un sport. Pour avoir un corps sain, il n'y a pas de recette magique. Si vous faites partie de ces gens qui veulent vivre longtemps et rester autonomes, il vous faudra "choisir" votre mode de vie. Cette décision vous appartient. On a oublié ces dernières années combien le sport pouvait aussi être bénéfique pour la santés.
Il permet d'évacuer les tensions professionnelles ou familiales Il favorise le repos par un sommeil de plomb Il élimine nos toxines Il nous rend plus résistants à l'effort Il développe l'esprit compétitif Il nous enseigne la discipline Il nous apprend à dépasser nos propres limites Il favorise l'appétit Il donne bonne mine Il favorise les liens humains entre gens sains Il rend plus résistant aux maladies Il donne une meilleure présentation au corps qui se tient plus droit Il permet d'avoir un corps harmonieux dont on est fier Il vous permettra de rester autonome jusqu'à un âge avancé Il est bon aussi pour le cœur Il rend aimable et souriant.
Source :http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2008/08/16/article.php?sid=72182&cid=7
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Timlilit n Imazighen - Nouvelle émission en Tamazight à Montréal - Samedi à 21h.
09/08/2008 03:15
Madjid Benbelkacem et Mourad Mahamli viennent de décrocher une émission entièrement en Tamazight sur les ondes de Radio Montréal CFMB.
"Timlilit n Imazighen" (Rencontre des Berbères) sera diffusée tous les samedi de 21 heures à minuit avec un contenu construit autour de nouvelles cuturelles, des reportages et entrevues.
Avant qu'ils ne s'installent à Montréal, Madjid et Mourad étaient tous les deux journalistes sur les ondes des radios algériennes Chaîne 2 (Kabyle) pour le premier et Beur FM pour le second.
Dès leur arrivée à Montréal, ils rejoignent les mouvements associatifs.
Après la réussite de leur émission (en français) sur les ondes de Radio Centre-Ville, ils viennent renforcer les médias amazighs avec cette nouvelle émission.
Soyez au rendez-vous de 21h à Minuit sur les ondes de CFMB 1280 AM ou
par internet : www.cfmb.ca/default.asp
Source : http://www.kabyle.com/timlilit-n-imazighen-nouvelle-emission-en-tamazight-montreal-samedi-21h-1852-300708
Commentaire de samira (20/09/2008 13:46) :
j'adore!!!!!! je suis completement émue ;
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Commentaire de moha (22/03/2009 21:03) :
votre region est tré belle ..elle ressemble beaucoup a chez nous dans le
nord du maroc le rif ou je suis originaire je vous propose d'aller sur
blog azhgar ouled amghar vip il ya bcp de simulitude avec votre chere
region merci atass ayma
zinah.mohamed@hotmail.fr |
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Tassaft,mon village...Tajmath Ay Dahmane...
03/08/2008 03:47
Source : http://tassaft.blogs-de-voyage.fr/album/mon-village/23470867.html
Commentaire de CHAMANE (08/08/2008 13:00) :

La pensée est un oiseau d'espace qui dans la
cage
des mots saura peut-être déployer les ailes,
mais pas voler-
(Khalil Gibran)
Kikoo
Je viens te souhaiter un bon week-end
avec toute mon Amitié
Gros bisouxxxxxxxxx
http://chamane.vip-blog.com
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Commentaire de salah (02/09/2008 13:50) :
azul a yarézki.thdhoul alghibak j'espere que tu va bien.merci pour
tout et bonne continuation slamiwe iymazighane anda malane...
http://aitaliouharzoune-bs.vip-blog.com
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Commentaire de lamia ammour fille de ammour arezki (18/12/2008 10:35) :
c'est le plus beau village de la kabylie vive tassaft
................
maya-mamy@hotmail.fr |
Commentaire de chabane 15 (06/01/2009 09:14) :
azul fellawen a yimazighen, mebla masough tadertiw tassaft ouguemoune,
sghour chabane ammour.
ammour_chabane@yahoo.fr |
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Mon village - Taddart-iw
02/08/2008 00:55
On le voit de tous les horizons
Perché sur une colline, entouré de monts
Plus on se rapproche, il est fascinant
Il est si beau et impressionnant
Le village de mon père et de mes grand-parents
Il est tellement loin, il me manque tant.
Je garde encore en moi, les souvenirs d'été
Où soeurs, frères, cousins, la famille réunie
Dans la cour, à l'air pur, on restait pour veiller
Se raconter des blagues, discussions infinies
Des rires, des chants, des "urars", on improvisait
C'était le bon temps, qui ne reviendra jamais.
Je le revois encore en hiver, enneigé
Sous un manteau blanc, ses arbres alourdis
Le Djurdjura autour, lui donnant ses reflets
Les ravins, les rivières, au bas à son chevet
Ce beau panorama n'existe dans nul pays
Je donnerai cher pour le retrouver.
Tassadit Ould Hamouda, Montréal Source : http://www.kabyle.com/mon-village-taddart-iw-1301-160408
Commentaire de CHAMANE (02/08/2008 10:35) :

"L'or des gitans ne brille
ni ne tinte.
Il luit dans le soleil et hennit
dans l'obscurité"
(Dicton des gitans claddagh de galway)
Je te souhaite un très bon
Week-End
Bisouxxxxxxxx
kikoo mon ami il est très beau ton
village
http://chamane.vip-blog.com
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Commentaire de sophia (15/08/2008 04:05) :
papa aussi est au pied des djudjura ...
cadre magnifique devant lequel je rêve en regardant ses photos de vacances
et ses vidéos mais qui sait, le rêve deviendra-t-il réalité ?
seul Dieu sait...
Amitiés
Sophia
http://sophia.vip-blog.com
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Commentaire de gaty (27/08/2008 22:23) :
je voudrais dire une petite chose pourquoi dire jamais? impossible
n'est pas... non je dirais pas Français " sourire " mais Algérien! il
faut laisser le temps au temps!!, je suis trés curieuse dans le sens "
savoir ", ici je découvre des faits que j'ignorais. Je dis toutes les
guerres sont affreuses et c'est toujours la population qui souffre. Je
suis satisfaite de ma visite, moi la Française, bien à vous.
http://gaty.vip-blog.com
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Coupe de la Confédération africaine...Astres de Douala 0 - JSK 1 : Les Canaris cœur de lion...
28/07/2008 00:12
Stade Ahmadou-Ahidjo (Yaoundé) Affluence : faible Arbitres : Doué Noumandiez, Bayere Moussa et Koffi Kablan (Côte d’Ivoire) Avertissements : Nguegom (28’), Mvondo (56’) (Astres de Douala) ; Coulibaly (30’) (JSK) Expulsion : Nyamsi (90’+2) But : Berramla (78’) (JSK)
Astres de Douala Nyamé, Bikima, Eyidi, Nyamsi, Ncha, Seugang, Eyengue, Nguegom (Dzou 82’), Mvondo, Owona, Mangolo (Myanguele 50’) Entraîneur : Tonyé Tonyé
JSK Chaouchi, Meftah, Oussalah, Aït Kaci, Coulibaly, Abdeslam, Hamouda, Douicher (Wassiou 59’), Berramla, Derrag (Amaouche 59’), Bensaïd (Chebbah 90’+3) Entraîneur : Moldovan
La JS Kabylie a réussi à se qualifier à Yaoundé pour la phase des poules de la Coupe de la CAF aux dépens des Astres de Douala bien qu’elle eut compromis ses chances au match aller à Tizi Ouzou en se faisant accrocher 1 à 1. Un seul but a suffi au bonheur des Kabyles, tombeurs des Camerounais dans un match où ils ont fait preuve de plus de volonté. Pourtant, la première mi-temps ne laissait pas espérer cette issue. Les Kabyles étaient trop crispés pour pouvoir inquiéter leurs hôtes, avec, notamment, une attaque qui n’arrivait pas à trouver ses marques. En face, les Astres de Douala n’osaient pas trop s’aventurer en attaque, un peu par prudence et beaucoup par excès de confiance. La seule occasion réelle de scorer s’est présentée dans les pieds de Mvondo à la 35’, mais Meftah a su sauver la situation. Le début de la seconde période a été à l’actif des locaux, désireux d’inscrire un but à même de leur épargner une mauvaise surprise, mais la défense kabyle veillait au grain et annihilait leurs premières offensives. Prenant conscience que l’adversaire était prenable, l’entraîneur de la JSK, Alexander Moldovan, a décidé de prendre tous les risques en procédant à un double changement à vocation offensive : Wassiou et Amaouche à la place de Douicher et Derrag. Cela a eu le mérite de donner plus d’équilibre à l’équipe qui a commencé alors à se porter vers l’attaque. A la 78’, une longue transversale de Coulibaly est déviée de la tête par Bensaïd sur Amaouche qui, sur son flanc droit, a pris son vis-à-vis de vitesse et effectue un centre en retrait. Le ballon est passé entre les jambes de plusieurs joueurs, avant d’arriver dans les pieds de Berramla qui, sans se poser de question, a adressé un maître tir qui s’est logé dans la lucarne de Nyamé. Buuuuuuuuut ! Les Kabyles n’en croyaient pas leurs yeux. Il fallait toutefois tenir encore un quart d’heure, ce qu’ils ont fait admirablement. Donnés pour éliminés, les Kabyles parviennent à se qualifier à l’extérieur. Au Cameroun, les Canaris avaient un cœur de lion. C’est la marque des grands de l’Afrique. A. H.
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/07/27/3542370
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Idir, l’espace kabyle et les grands espaces
28/07/2008 00:07
Photo Rémi Lemée, La Presse
La carrière de cet auteur-compositeur-interprète, né en 1949, remonte à son adolescence alors qu’il se destinait vers des études de géologie. Après un premier tube (Rsed A Yidess) diffusé à Radio Alger en 1973, Idir signait chez Pathé Marconi en 1975 et lançait un album réalisé à Paris: A Vava Inouva, dont la chanson-titre allait devenir un succès planétaire, c’est-à-dire distribué dans 77 pays et traduit en 15 langues.
«J’ai commencé à 17 ans, ça m’a toujours fait bizarre de voir des gens beaucoup plus âgés venir me demander conseil à partir des mots que j’écrivais dans mes chansons. Je crois qu’on m’attribuait des choses qui dépassaient de loin ma compétence. C’était l’effet du succès… C’était être là au moment où il fallait, avec les mots qu’il fallait dire à l’époque. C’est vrai que j’ai vite occupé une place à part, il ne faut pas faire de fausse modestie. Je suis un privilégié, je dépasse le cadre d’un simple chanteur.»
Le sociologue français Pierre Bourdieu, d’ailleurs, a déjà fait observer qu’Idir n’était pas un chanteur mais un membre de chaque famille qui possédait ses disques.
«À travers la tradition dont je suis tributaire, en révélant qui je suis, mes fans retrouvent une tranche de leur histoire dans la mienne.»
Jamais Idir, d’ailleurs, n’a cessé de cultiver une saine proximité avec son public kabyle, qu’il fréquente toujours : «Il est tout à fait normal pour moi d’aller chez les gens comme ça, simplement. Sans eux je ne suis rien, déconnecté, mal à l’aise, je ne peux évoluer comme il le faut. Ce sont les petites gens qui m’attirent, souvent âgées, qui ne savent ni lire ni écrire. Je suis bien en leur compagnie car on évite le superflu. On va tout de suite à l’essentiel.»
Issus d’une tradition orale jusqu’à une période encore récente, les Kabyles algériens n’ont quand même pas peur des mots, bien au contraire.
«Chez nous, la valeur du mot est énorme. Avant la modernité, les tribus kabyles en guerre faisaient s’opposer leurs poètes dans des joutes oratoires. Toutes les tribus se rendaient à l’évidence des mots les plus extraordinaires… et la guerre finissait ! Même les personnes âgées qui vivent encore d’aujourd’hui et qui n’ont pas eu d’éducation veulent d’abord savoir ce que raconte une chanson.»
Chantre de l’identité kabyle dans les années 70, Idir s’identifie aussi à l’espace berbère, qui s’étend des îles Canaries à l’Égypte, du Tchad à la Méditerranée. «On y retrouve la même base linguistique que dans la langue kabyle explique le chanteur. C’est passionnant de voir comment une civilisation qui a couvert un territoire aussi immense a pu résister dans certaines poches stratégiques. Les montagnes, le désert…»
Idir, lui, résiste en région parisienne, bien qu’il retourne très souvent en Algérie où vit encore sa vieille maman de 93 ans. Il explique sa migration: «Dans ma langue maternelle, je n’étais pas reconnu de fait en Algérie. Je n’arrivais pas à m’épanouir. J’en étais même venu à me demander si la société occidentale n’avait pas eu raison de moi, si je ne courais pas après un pays qui s’éloignait chaque jour un peu plus. L’espace kabyle subit l’arabisation à outrance, l’idéologie a pris le pas sur le reste de la vie. On a uniformisé cette région avec un chômage énorme… Je crois qu’on ne veut pas d’une région qui puisse être une conscience, une matière grise, car ça fait peur aux gens qui sont en face.»
Outre le kabyle qui constitue son premier véhicule linguistique, le français est aussi une langue d’expression pour Idir. En témoigne La France des couleurs, un album de 17 titres réalisé l’an dernier avec une foule de jeunes artistes français issus tous horizons raciaux et culturels. Jeudi soir, il compte d’ailleurs présenter un répertoire bilingue au public des Nuits d’Afrique.
«J’ai été nourri au biberon de Brel, Brassens, Ferré, Vigneault et Leclerc. Des enregistrements québécois chez moi à l’époque? Bien sûr. Nous étions des enfants de l’indépendance, nous étions ouverts, nous recevions Fidel Castro et le Che. Nous avions réussi notre révolution, nous étions le phare du Tiers-Monde, champion du non alignement. Toute l’Afrique était en marche vers la décolonisation, tu imagines la fierté d’un lycéen algérien de 17 ans? C’était une période très porteuse», souligne-t-il, sans cacher son bonheur de parrainer un festival qui célèbre l’Afrique dans toutes ses couleurs.
Cela étant, Idir ne semble plus retrouver tous ses repères dans le nouveau paysage culturel de Kabylie «Les chanteurs des plus jeunes générations, pense-t-il, font plus dans l’illustration et dans le folklorisme. Je suis profondément kabyle dans l’âme mais ça ne m’empêche pas de venir au Québec, de m’imprégner de l’Autre. Or, j’ai l’impression que là-bas, on s’en tient au kabylo-kabyle. Et ça m’énerve un petit peu. Ce n’est pas la Kabylie qui doit l’emporter chez un artiste kabyle, c’est son art. Si je te regarde, je préfère te débusquer dans ton clin d’œil, dans ta manière de sourire. Ça me renseignera plus sur toi que tes idées.»
Pour Idir, en fait, l’art est un combat du profane sur le sacré, c’est le pouvoir de dire non et donc le pouvoir de plaire, d’attirer des gens juste par la beauté du mot et d’une belle mélodie.
«En vieillissant, confie-t-il en concluant, je me suis rendu compte que la musique était quelque chose d’essentiel à mon travail. Mais j’ai longtemps cru que la musique était un prétexte pour dire un mot. Oui, j’aurais fait des joutes oratoires si j’avais vécu au 19e siècle. Et j’aurais remporté des victoires!» Source :http://www.cyberpresse.ca/article/20080709/CPARTS03/80709200/1017/CPARTS
Commentaire de sophia (15/08/2008 03:56) :
ma maman est Française , mon père est Kabyle !!
J'adore Idir : a vava inouva est culte pour moi même si je préfère son
dernier album " la france des couleurs "
De part cette mixité culturelle, je me définis citoyenne du monde !
J'aime le mélange de cultures !
Je ne suis jamais allée en Kabylie mais Dieu sait que j'aimerais y
aller pour au moins faire un bisous à mon grand-père que j'ai trop peu
connu...
Mon père devrait quitter la France pour retourner s'y installer
définitivement.
Voilà
Amitiés
Sophia
http://sophia.vip-blog.com
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Commentaire de labelleeve (15/08/2008 16:30) :
Kikou Kabylie! Tu vois, je suis revenue voir ton blog magnifique! Idir
c'est mon idole Kabyle, je n'aime et n'écoute que lui, et au
contraire de ma fille (Sophia), la chanson qui m'a le plus marquée
c'est "l'mut". Je sais que cette chanson parle de la mort, mais
elle est tellement douce et c'est tellement vrai tout ce qui est dit
dans ses chansons! J'ai su comprendre et j'aurais pu parlé le
kabyle, mais les kabyles sont moqueurs et moi timide, je n'ai jamais
osé ouvrir la bouche que pour répondre en Français. Je ne crois pas que
j'irai un jour dans ces magnifiques montagnes du Djudjura, puisque mon
ex-mari s'est reconstruit une petite famille, et c'est bien
dommage que je n'ai pu le faire avant. Je le souhaite pour mes enfants
qui sont grands maintenant, car lorsqu'ils étaient petits, nous avons
toujours eu peur des traditions ancestrales et "des jeteurs de sorts" (je
sais qu'il y en a partout, mais nous n'étions concernés que pour
la Kabylie). Je te souhaite un très beau Vendredi mon ami Kabyle et je te
salue bien bas pour ton magnifique blog et cet hommage rendu à Idir. Je te
fais des gros bisous, mon ami. A plus.
http://labelleeve.vip-blog.com
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Commentaire de sheirine (20/08/2008 08:15) :
amical bonjour Arezki, je viens de lire attentivement l'article sur
Idir...éloquent et talentueux personnage en effet, je dirais même plus :
authenticité, fratrie, intégrité et nostalgie proviennent de son regard, Un
Grand homme, véhiculant des émotions intemporelles c'est
indéniable,j'en conviens, merci pour cet article.
Bonne continuation, un plaisir de te lire.
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Commentaire de labelleeve (26/08/2008 03:13) :
Kikou Kabylie! C'est quand tu veux, tu me réponds, mon ami Berbère de
Montréal! Dis, je voudrais te signaler un 'petit nouveau' chez
nous, c'est "Aourir" et il n'a pas encore fait son blog. En fait
il n'y a qu'une page et ce qui me contrarie le plus, c'est
que ce village perdu dans le Djudjura est le village de la famille de mon
ex-mari où il y a pratiquement que de la famille. En fait, il n'est
"connu" que de 2 personnes, ma fille et moi-même ... Je te remercie de lui
faire un petit coucou avant le Ramadan ou pendant, enfin quand tu veux, car
tu es long à répondre, même si je sais que tu t'occupes
d'Associations! Je te bizes, mon Kabyle. A plus.
http://labelleeve.vip-blog.com
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Commentaire de ninez (21/11/2008 17:56) :
cc ! merci pr ton comm ca me fais tjrs plaisir .. excellente soirée !
http://ninez.vip-blog.com
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Commentaire de tinhinane (23/12/2008 14:03) :
cet homme on lui doit un grand respect...tant qu'il vivra il portera
haut et fort la culture kabyle
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J.S.Kabylie_2008
25/07/2008 11:22
Source :http://www.jeunessesportivedekabylie.com/
Commentaire de labelleeve (25/07/2008 11:38) :
Kikou Kabylie de mon coeur ... Mes petits-fils, si sa mère leur montre cete
photo, vont être très fiers, car leur grand'père, une année, leur
avait rapporté le maillot et le short mais ils étaient verts! Ca y est le
grand'père est dans ses montagnes du Djudjura jusqu'à fin Août,
puis il revient un peu et repart définitivement. Magnifique blog, nostalgie
... Gros bisouxxx, mon ami. A plus.
http://labelleeve.vip-blog.com/
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