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Le merveilleux public Kabyle...
30/03/2014 23:44
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La vie !
18/03/2014 16:28
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TASSAFT - Recueillement à la mémoire de Said Ouahioune, militant de la cause identitaire...
16/02/2014 16:10
SAÏD OUAHIOUNE , Le devoir de mémoire.
Il y a 10 ans disparaissait à l'âge de 58 ans, Saïd OUAHIOUNE, fervant militant de l'amazighité et cadre du secteur minier. La Famille OUAHIOUNE, soutenue par le Comité de village,organise une cérémonie de souvenir et de recueillement à Tassaft Ouguemoune...Samedi 1er Mars 2014 à 10 heures et à laquelle prendront part aussi les amis et compagnons du défunt.
Soyez les bienvenus.
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INAS: La mobilisation prend de l'ampleur
02/12/2012 03:37
Afin de soutenir l'enseignement de Tamazight à Montréal, un couscous-bénéfice a été organisé au Centre Lajeunesse de Montréal, le 24 novembre 2012 à 19 h. Cette fois-ci, ce sont les amis d'INAS qui se sont mobilisés pour la collecte de fonds en donnant substance à la devise d'INAS : Ma ulac tamazight ulac-iken ; ma ulac-iken, ulac tamazight (Sans vous, il n'y aura pas de tamazight ; sans tamazight, vous n'existeriez pas.)
La communauté se mobilise et la solidarité s'étend :
Tout d'abord, le programme de la soirée a été confié aux organisateurs Karim Akouche, Moussa Djafer, Mourad Yaya, Amar Nessah, et l'animation au dynamique Nacer Oukmoum. La soirée a débuté par le souper à base d'un couscous à la bonne sauce aux légumes. Les invités ont eu droit ensuite à des mélodies du patrimoine culturel, notamment au chaabi kabyle, interprétées par Nacer Djenadi et son orchestre. S'en est suivi la prise de parole de Merzouk Yacine, président d'INAS, qui a tenu à remercier les présents et à saluer les efforts de tous ceux qui ont rendu cet événement possible. L'assistance a également pu apprécier la prestation de l'artiste Moh Aid Deflaoui et celles des poètes Moussa Djafer, et Gary Klang qui a déclamé son poème sur Matoub Lounès. De même, l'interprétation et la présentation sur scène de la chanson d'Idir, Tamacahut n tsekkurt, par les élèves d'INAS, ont charmé les invités.
Un élan de solidarité digne d'une fratrie ancestrale :
En effet, plusieurs amis se sont réjouis d'être présents pour faire acte de soutien. Parmi eux, on compte le restaurant La maison berbère, Salon de thé Tikjda, la Boulangerie Serrir, et Mohand de Berberes.com par ses affiches et billets. Aussi, la Coordination canadienne pour la promotion de Tamazight, Tiregwa, et la Fondation des Kabyles du Canada n'ont pas manqué à l'appel. Enfin, sans surprise, les courtiers Karim Ighil et Nassima Kebir ont fait de leur participation une énième réaffirmation de leur solidarité.
Les activités à venir :
De nombreuses autres activités sont au programme pour les prochains mois. La Coordination Tiregwa organise le 1er décembre 2012 au Centre Africa, une conférence sur Dda Lmulud, qui sera animée par Dr Boussad Berrichi et rend hommage à Slimane Azem, le 26 janvier 2013, par une conférence-débat, qui sera animée par Dr Hacene Hireche, à la Société Saint-Jean-Baptiste et par un gala au Théâtre Le Château. De plus, à l'occasion de la célébration de l'an amazigh, le 12 janvier 2013, Akli Yahiatene et Lani Rabah animeront deux galas, ici à Montréal. Saliha Abdenbi
http://www.berberes.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3545:inas&catid=41:culture&Itemid=62
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L'école amazighe INAS. Enseigner Tamazight à Montréal : tout un défi à relever
18/06/2012 23:26
INAS, association culturelle qui se consacre exclusivement à l’enseignement de la langue amazighe à Montréal, a organisé au Centre Notre-Dame-Des-Victoires rue Pierre Courtin, le 16 juin 2012, la troisième fête consécutive de fin d’année scolaire pour récompenser ses jeunes élèves et ses bourgeons de printemps naissants de niveau primaire. C’est dans une ambiance familiale et festive que terminent les organisateurs d’INAS l’année scolaire 2011-2012 en présence des parents et de leurs enfants. Inas a donc décerné des prix d’encouragement, des récompenses pour les meilleures performances, mais aussi pour l’assiduité et le sérieux démontrés par les élèves tout au long de l’année.
La soirée débute par la prise de parole du président de l’association, Merzouk Yacine qui, après avoir accueilli l’assistance, rappelle la mission de l’association qui est de promouvoir la langue et la culture amazighes. Il a également remercié les organisateurs qui œuvrent pour réaliser ce noble objectif en les présentant individuellement. Il présente enfin les enseignants qui, dira-t-il, « sans eux, rien n’aurait été possible ». En effet, Mme Zahia Belaid, M. Karim Hamidouche, M.Aomar Boumedine, M. Idir Hettal et M. Nacer Oukmoum ont assuré de bonne foi la continuité de l’enseignement de Tamazight aux enfants de la communauté.
Avant d’attaquer le programme de la soirée, le président propose une minute de silence en la mémoire des martyrs du combat pour l’identité amazighe. Ce moment sobre et solennel a été suivi de l’hymne « aghourou » du ténor Lounès Matoub. Ensuite, la soirée qui a commencé par de modestes présentations et chants en berbères des élèves de l’école, s’est poursuivie par la remise de prix d’excellence et d’assiduité et la déclamation de poèmes. La fête s’est terminée par des chants dansants qui ont « enflammé » la scène.
L’enseignement de la langue amazighe à Montréal reste embryonnaire et les difficultés sont encore importantes. Le président explique que hormis les cotisations des adhérents et les frais de scolarité payés par les parents d’élèves, il n’y a aucune autre source de financement pour faire face aux dépenses liées à cette activité : « L’organisation de deux galas-bénéfices, en 2011, nous a permis de prendre un peu de répit. Il existe évidemment le PELO (programme d’enseignement des langues d’origine) auquel il faut s’inscrire pour obtenir l’aide nécessaire dont bénéficient d’ailleurs plusieurs communautés notamment la communauté italienne. Toutefois, il faut réussir à rassembler 15 élèves, au minimum, par cycle dans une même école (donc résidant dans le même quartier). Ce qui est n’est pas possible encore dans notre situation étant donné que notre clientèle est dispersée. », Précisa Merzouk Yacine.
Ce qu’il faut peut-être rappeler est que le gouvernement, qui reconnait et favorise le pluralisme culturel, a créé ce programme en 1978 pour aider financièrement les artisans de l’enseignement des langues d’origine aux enfants d’immigrants. En fait, cette loi couvre surtout le salaire des enseignants et l’achat de matériel didactique. L’objectif étant la consolidation des acquis linguistiques de l’élève émigrant qui lui permettraient un meilleur apprentissage de la langue d’enseignement.
Cependant, si la finalité du gouvernement est l’intégration de nouveaux arrivants, alors pourquoi cette intégration est-elle tributaire d’une concentration d’émigrants dans une même place? Autrement dit, la mixité sociale ne serait-elle pas la voie royale pour une meilleure intégration ?
Par :Saliha Abdenbi
Source : http://www.ksari.com/index.php?option=com_content&view=article&id=2894:lecole-amazighe-inas-enseigner-tamazight-a-montreal--tout-un-defi-a-relever&catid=84:education&Itemid=457
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