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VIP-Blog de kabylie
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  • 121 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
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    L’AVANT-PREMIÈRE AURA LIEU LE 25 JUIN PROCHAIN : Un film sur Matoub Lounès

    23/06/2007 01:52



    Un travail cinématographique impressionnant vient d’être finalisé en l’honneur de l’auteur de la célèbre chanson Aghuru.

    Pour immortaliser le parcours et l’oeuvre du chantre kabyle, Matoub Lounès, des initiatives émergent par-ci, par-là, afin de ressusciter l’artiste.

    En effet, un travail cinématographique impressionnant vient d’être finalisé en l’honneur de l’auteur de la célèbre chanson Aghuru.

    Il s’agit d’un film intitulé Le Rebelle et l’ironie du sort réalisé par le jeune scénariste Mokrane Hammar qui a mis en relief la vie et l’itinéraire de Matoub.


    «
    Le feu a failli ravager tout le village, l’artisan n’était autre qu’un enfant de cinq ans.

    Le feu fût éteint, c’est le cessez-le-feu mais la guerre froide congèle les frontières algéro-marocaines où se trouvait le rebelle qui refusait toute soumission.


    Il laissait libre cours à sa voix, son unique arme, ses propos n’ont épargné personne, encore moins les gens de la nomenklatura.

    Il disait tout haut ce que les autres pensaient tout bas.

    L’Algérie à feu et à sang.


    L’étincelle a atteint tout le monde et le peuple souffrait en silence.

    La voix du rebelle fut éteinte pendant quinze jours car il a été kidnappé et ses ravisseurs laissaient entendre qu’ils allaient l’exécuter avant de le libérer, enfin. Des frères allument le feu.

    Une grosse fumée s’y dégage.


    Le monde entier observe ces frères qui se brûlent sans souffler mot.

    Le pays est assis sur un brasier. La maison Algérie brûle.


    Le rebelle prend sa revanche sur la situation et appelle au secours.

    Il accuse, il pleure l’Algérie, il crie...le rebelle fut assassiné», peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité. », peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité.

    », peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité.

    «La rigueur et l’exactitude font de ce film une oeuvre beaucoup plus proche du document historique que de la fiction».


    L’autobiographie de Lounès Matoub, tient dans cette oeuvre, le rôle de la référence majeure.


    «Une autre référence et non des moindres est la présence récurrente, tout au long du film, de Na Aldjia, la mère de Matoub, qui intervient souvent pour, parfois authentifier, parfois apporter l’éclairage nécessaire à la bonne compréhension de la complexe personnalité de son fils», nous explique le réalisateur qui précise, en outre, que le film commence par «l’enfance tumultueuse durant la guerre d’Algérie et les précoces démêlés de Lounès avec la justice puis se déroule la suite des événements: le Service national avec déjà le refus d’obéir à l’ordre de combattre nos frères marocains, la prison en France, les blessures physiques et morales qui sont restées ancrées en lui jusqu’à sa mort.»


    En somme, ajoute le réalisateur, «le film montre, à travers, la vie de Lounès, la complexité de la société kabyle, ses tiraillements et pourtant il y a la possibilité d’union».

    Par ailleurs, Mokrane Hammar estime que «le film gagne beaucoup artistiquement» du fait qu’il s’agit de l’adaptation d’une pièce théâtrale maintes fois présentée, et qui rend les dialogues plus fluides.

    Enfin, notons que l’avant-première de ce long métrage sera projetée à la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, le 25 juin, date du 9e anniversaire de l’assassinat de Matoub Lounès.


    Hafid AZZOUZI

    Source : http://www.lexpressiondz.com/T20070619/ZA5-13.htm



    Commentaire de Arezki de Montréal (25/08/2007 01:05) :

    « Tisedhsa n zman » Avant-première de « Le rebelle et l’ironie du sort » à Tizi Ouzou 25 juin 2007 Comme annoncé dans nos précédentes éditions, la projection, en avant-première, du film censé porté sur les écrans la vie de Lounès MATOUB a bien eu lieu à Tizi Ouzou, dans le cadre du programme de commémoration mis sur pied par la Fondation Lounès MATOUB au niveau de la Maison de la Culture Mouloud MAMMERI de Tizi Ouzou, lors de la journée du lundi 25 juin 2007. Bien des choses ont été dites sur les forums de Kabyle.com, à propos de ce film, depuis la publication de deux articles le concernant (Voir : « Le rebelle et l’ironie du sort », première fiction sur la vie de Lounès MATOUB et L’interview du réalisateur : Hammar Mokrane), afin de clore définitivement le sujet, nous avons jugé utile d’apporter notre appréciation de l’œuvre tout en mettant à la disposition de nos lecteurs un extrait avec, bien sûr, l’autorisation du réalisateur. De retour du recueillement à Taourirt Moussa (At Mahmoud, At Douala), nous nous dirigeâmes directement à la Maison de la Culture Mouloud MAMMERI de Tizi Ouzou où un public assez nombreux est venu visiter l’exposition dédiée à la mémoire du grand absent de la journée, Lounès MATOUB en l’occurrence, et s’enquérir, par la même occasion du moyen d’obtenir une invitation - pas nécessaire selon la rumeur - afin d’assister à l’avant-première du film qui lui est consacré programmé à 14 heures. La rumeur s’avéra fausse, l’entrée de la grande salle de la Maison de la Culture est filtrée par les agents qui demandaient systématiquement la présentation d’une invitation afin d’y accéder. Ayant eu notre invitation en main, nous avons quand même pu franchir ce point de contrôle sans aucune autre forme de procès. Arrivés à l’intérieur, il a fallu patienter une bonne demi-heure afin que la projection débute, un autre film du même réalisateur, « Ddigh d yir arfiq », est projeté afin de faire patienter l’assistance assez nombreuse. Aux premières images du film, l’on commence déjà à douter qu’il s’agisse d’une fiction, pourquoi ? L’image montre le réalisateur travaillant sur un ordinateur et feuilletant le livre écrit par Lounès MATOUB : « Le Rebelle ». Quelques instants plus tard, le même personnage est montré arrivant au domicile du chanteur, frappant sur sa porte d’entrée et reçu par sa mère avec laquelle il aura une discussion. Les premiers mots de Nna Aldjia se rapportent au fait divers raconté par Lounès lui-même au début de son livre, il s’agit, bien sûr, du jour où il a été à l’origine du départ d’un feu qui a embrasé une partie des vergers de son village lors de la guerre de Libération (54-62). Toute de suite après, place à une reconstitution à la limite du caricatural : La mère de Lounès (Dans le film) est montrée en train de travailler dans son verger, s’apercevant du départ du feu, elle dit tout de suite que c’est son fils qui en est à l’origine. Elle part à sa recherche et la retrouve chez sa tante. Convoqués à l’assemblée du village, où les attendaient les membres de celle-ci en discutant de leur cas, ceux-ci se dispersent sans prendre le soin de parler à leurs vis-à-vis en parfaite contradiction par rapport à ce que dit Lounès dans son livre. Nous citons, en page 15 du même livre : « … Ils sont donc venus chez nous et ont demandé à ma mère de leur livrer le « coupable », dont ils avaient appris le nom, afin de le juger. Ma mère est allée me chercher. Je n’étais pas bien grand et m’a installé sur son dos, comme les femmes le font chez nous. La voyant revenir apparemment seule, les maquisards, un peu énervés, lui ont demandé où était l’auteur du délit. « Là » leur a simplement dit ma mère – et elle m’a désigné du doigt. Ils s’attendaient à voir un adulte, ils ont découvert un petit bonhomme de rien du tout. Pris d’un fou rire, ils ont eu cette réflexion : Des gosses comme ça voudraient-ils incendier des villages ? Ils sont l’innocence même. » Cette scène sera la seule où le concerné sera montré (A travers un personnage bien sûr), tout au long de la suite du film, il ne sera question que de dialogues autour de lui, œuvre de différents personnages qui l’auraient côtoyaient en prison, d’autres qui auraient manifesté pour demander son transfert à l’étranger lorsqu’il fut blessé en 1988, certains qui polémiquaient autour de son enlèvement en 1994 et de simples inconnus qui se chamaillaient au sujet de leurs diverses appréciations du personnage. C’est ainsi que les différentes épreuves qu’a eu à vivre Lounès MATOUB, certaines l’ayant marqué dans sa chaire, se trouvent « survolées » et « discutaient » dans une sorte de flash-back incessants mixant entre images réelles, de Lounès et de sa mère, et images reconstituées par des personnages dont même les éloges laissaient à désirer, ceci, pour ne pas parler des différentes « critiques » souvent gratuites, dont personne ne nie l’existence d’ailleurs, mais qui auraient gagné à être balayées au lieu de leur offrir une seconde vie. La projection du film prendra fin 68 minutes plus tard, l’assistance, qui est restée assez sceptique et partagée sur ce qu’elle venait de voir, se fonda d’applaudissements nourris et « Tighratin » (Youyous) de fuser, une façon de rendre hommage à Lounès MATOUB et de dire « peut mieux faire » aux auteurs du film ainsi qu’aux autres qui voudraient se lancer dans la réalisation d’œuvres sur le même sujet, dommage que le débat qui suit traditionnellement toute avant-première n’ait pas eu lieu, le réalisateur aurait gagné en critiques constructives, car, en Kabyle nous disons : « Hemmalgh ad wtagh gma, karhagh win ara atyewten » (J’aime frappé mon frère, mais je déteste celui qui le frappe), à méditer ! En définitive, il convient de signaler que le titre du film en Kabyle est : « Tisedhsa n zman », contrairement à ce qu’ont pensé plusieurs personnes, le réalisateur a bel et bien pensé à ça. Après visionnage, nous pouvons considérer qu’il ne s’agit pas d’une fiction à proprement dite, nous préférons parler d’une sorte de documentaire doublé d’une reconstitution de faits plus ou moins avérés. Les auteurs du film, qui ont le mérite d’avoir osé entreprendre pareille aventure, gagneraient à considérer positivement les « critiques » qui leur ont été apportées par tout un chacun afin de s’améliorer. En page 100 du Rebelle, Lounès MATOUB écrivait : « … Je n’ai jamais cherché à dissimuler les moments difficiles pour donner de moi une image magnifiée, comme le font certains artistes. Je me présente devant mon public tel que je suis, et tel que j’ai vécu : c’est le minimum de loyauté que je dois aux gens qui m’écoutent. », alors, soyons loyaux envers lui à notre tour. Extrait du film « Tisedhsa n zman » (« Le rebelle et l’ironie du sort ») Pour Kabyle.com : Djamel BEGGAZ http://www.kabyle.com/Avant-premiere-de-Le-rebelle-et-l,12376.html

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    Médias écrits: Nouveau journal communautaire à Montréal "Le Nord-Africain"

    22/06/2007 00:55

    Médias écrits:  Nouveau journal communautaire à Montréal


    Le Nord Africain
    Journal communautaire libre

    10146,rue Berri, Montréal, Qc, H3L 2G7
    Tel.: 514-465-4071  - 
    lenordafricain@gmail.com

     

    Directeur de la publication Ahmed Benchabane
    Directrice de la publicité Naime Hasbellaoui
    Maquette et infographie Salah Amrane

    Collaborateurs 

    El Hadj Larbi Zouaimia
    Abdellatif Azzouzi
    Arezki Slifi
    Azzeddine Harkat
    Daniel Lamontagne  

    Les titres du Volume 1-No 1-Juin 2007

     L'édito:

                   A vous la parole!

    • Québécoiseries: Les paranos
    • Classe politique Algerienne: Le temps des remises en cause
    • Air-Algerie Alger-Montreal sans escale
    • Mohamed Gahche: Portrait d'un nouveau député
    • UMA: L'unique salut face a la mondialisation
    • Maroc-Info
    • Tunisie-Info
    • Algerie-Info
    • Mauritanie-Info
    • Vie communautaire: De Saint-Augustin d'Algérie à Saint-Augustin-de-Desmaures
    • et plus...

              Source :http://www.algeroweb.com/divers/le_nord_africain.htm



    Commentaire de aimer_la_vie..hoder..chamane (22/06/2007 01:14) :

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    Bonjour…Arezki... Bon vendredi et bon weekend …Nous te souhaitons un week-end remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie…
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié


    Commentaire de Stanza (08/04/2008 12:26) :

    I love you much You deserve all love, I wanna to share with you happiness, pains for ever I will never forget you Merzouk, Inspite of our separation, i fell and i have alwayes felt the same thing, love believe me your love is in my blood, and i can never love someone else , I love you Merzouk and I will love you for ever

    http://www.yahoo.fr
    malikadz@yahoo.fr




    Ouverture de la ligne Alger-Montréal par Dilem

    17/06/2007 02:17

    Ouverture de la ligne Alger-Montréal par Dilem


     Source : http://www.liberte-algerie.com/dilem.php?id=1504




    Air-Algérie à Montréal.

    16/06/2007 17:38

    Air-Algérie à Montréal.


    En ce vendredi 15 juin 2007 à 11h07, a atteri l'avion d'Air-Algérie avec ses 175 passagers à bord.

    L'avion est un Airbus A330/200 d'une capacité de 269 sièges.

    Une date à retenir pour la communauté algérienne établie à Montréal, et en Amérique du Nord!


     

       Source : http://www.algeroweb.com/divers/air-algerie20070615_0.htm



    Commentaire de /R.E. (05/02/2009 01:57) :

    Des tarifs préférentiels pour les journalistes algériens en France.... Aigle Azur introduit les consignes de vol en tamazight... Il faut rendre hommage à M. Idjerouidene, patron de la compagnie, car ce n’est pas dans tous les vols que vous aurez l’occasion d’entendre “Attachez votre ceinture” en kabyle. C’est une grande première à bord des compagnies aériennes desservant l’Algérie. Désormais, les consignes de vol, jusque-là édictées dans les trois langues à savoir français, anglais et arabe, sont également énoncées en tamazight à bord des appareils d’Aigle Azur. C’est tout à l’honneur de cette compagnie sur a opté pour le rapprochement avec ses clients. “Franchement, on ressent de l’émotion quand on entend la voix résonner en kabyle. C’est une nouvelle dimension pour notre existence, de la fierté, on sent qu’on a notre place dans ce monde quoi. Il faut rendre hommage à M. Idjerouidene, patron de la compagnie car ce n’est pas dans tous les avions que vous aurez l’occasion d’entendre : “attachez votre ceinture” en kabyle. C’est un peu comme dans le temps lorsque nos grands-parents se mettaient face à la télé sans rien comprendre, maintenant à bord de savoir Aigle Azur ils comprennent ce que l’hôtesse leur dit”, commente un fidèle de la compagnie. Par ailleurs, pour commencer 2009 en beauté, Aigle Azur a mis en place une grille de tarifs préférentiels spécialement dédiée aux membres du Club des journalistes algériens en France, afin de leur faciliter à tout moment les déplacements entre la France et l’Algérie. Désormais, les correspondants des journaux algériens bénéficient de tarifs négociés très concurrentiels, sur présentation de leurs cartes de presse, pour tous les vols réguliers Aigle Azur au départ de France (Paris et province) vers l’Algérie, à compter du 1er février 2009.

    http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=66188&ed=MjAzMw==




    YouTube à la sauce algérienne : Dztube.com

    11/06/2007 05:18

    YouTube à la sauce algérienne : Dztube.com


    Si vous avez raté le match Algérie-Argentine, que vous soyez fan de Beyouna, nostalgique du dessin animé Sinane ou apprenti-dragueur algérien, ne perdez pas votre temps sur YouTube ou Dailymotion. Depuis près de deux mois, DzTube (www.dztube.com) a réussi à ramasser presque tout ce qui se trouve sur internet en vidéos liées à l’Algérie.

    Surfant sur le succès que connaissent les sites de partage de vidéos, comme l’Américain Youtube et le Français Dailymotion, Hamza Ouitas, un jeune algérien de 28 ans installé en France, a lancé DzTube après avoir constaté que l’Algérie « est abondamment représentée sur ces plates-formes (youtube et dailymotion, NDLR) et a un grand volume de production culturelle ». Une question s’est posée à ce diplômé de l’Ecole polytechnique d’Alger : « Pourquoi laisser les Américains et les Français en profiter et générer des revenus colossaux pendant que nous nous amusons à regarder et à rigoler et, parfois, nous faire insulter par des commentaires de racistes et de jaloux ? » C’est donc, mû par son amour pour la culture de son pays que Hamza a lancé Dztube en mars dernier. « J’ai décidé d’agir et de créer cet espace propre à l’Algérie où le premier critère est le respect de l’Algérie et des Algériens et de leur culture », affirme-t-il. Il insiste aussi pour mettre en avant la spécificité de dztube. Pour Hamza, « Youtube est très dangereux pour les enfants car il n’est pas contrôlé. Par contre, si demain DzTube deviendra une grande base de partage 100% algérienne et que votre fils ou votre fille s’y connecte vous serez rassuré qu’ils ne risquent pas de tomber sur un contenu malsain, pour la simple raison qu’il y a des Algériens qui ont les mêmes valeurs que vous qui sont derrière ce site. Ceci m’a donné, par exemple, l’idée de créer la chaîne ‘‘Roussoum Moutaharika’’, dessins animés. » Le succès ne s’est pas fait attendre. Le site « est monté dans le classement Alexa de la 7 millionième à la 450 100e place. Actuellement, il reçoit entre 500 et 600 visiteurs par jour et a enregistré 6000 impressions de pages », affirme ce jeune Jijelien qui a quitté l’Algérie il y a de cela quelques années pour poursuivre ses études en France. Les internautes qui s’y connectent viennent, évidemment, en premier lieu d’Algérie, de France, du Canada, d’Espagne et d’Australie, entre autres. Globalement, les accès suivent la présence algérienne dans le monde. Il est vrai que Hamza dédie ce site « à toute personne qui se sent liée à l’Algérie ou tout simplement désirant la découvrir ». DzTube est hébergé aux Etats-Unis. Les coûts générés par ce site (hébergement, bande passante) sont couverts par la publicité. Il sait bien, aussi, que le seul handicap à plus de succès en Algérie est la vitesse de connexion. Mais, il reste optimiste puisqu’on va vers « la généralisation de l’ADSL ». Le principe de fonctionnement de DzTube reste le même que YouTube. Sa philosophie et sa technologie permettent l’interaction entre internautes. Les sites web sont enrichis par les utilisateurs eux-mêmes et ne sont plus des vitrines statiques. Donc, l’internaute se connecte à DzTube, s’inscrit puis poste sa vidéo. Il peut aussi se suffire de consulter. Les autres internautes qui la visionnent peuvent laisser leurs commentaires et l’évaluer. Une particularité de DzTube : « le logo avec un D en forme d’étoile et croissant, ce qui donne une icône originale et identifiable. Même les étoiles d’évaluation des vidéos prennent cette forme », fait remarquer fièrement Hamza. Ses vidéos préférées ? « Jamal biladi (La beauté de mon pays) et une autre de la chanteuse kabyle Karima où elle chante sa maman. Ceci me touche beaucoup. ça me rappelle ma mère qui est au bled. » YouTube a été lancé en février 2005 par trois employés de Paypal, un système de paiement très prisé sur internet. Il est consulté par plus de 30 millions de visiteurs uniques par mois. En octobre 2006, il a été racheté par Google pour 1,65 milliard de dollars. Hamza, réaliste, pense plus à développer l’audience de DzTube qui pourra aboutir à la création d’une entreprise dont une partie de ses tâches sera délocalisée en Algérie, permettant le recrutement de jeunes informaticiens…Les paris sont lancés !

    Samir Ben Djafar

     Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=70059



    Commentaire de aimer_la_vie/hoder/chamane (12/06/2007 22:48) :

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    Bonsoir…Arezki... Bonne soirée…et bon mercredi…Nous te souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie.
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié,


    Commentaire de gina (14/06/2007 23:01) :

    Image hébérgée
par hiboox.com ptit porte bonheur pour toi bise bonne fin de semaine boop de moi yessssssssss

    http://gina.vip-blog.com

    Commentaire de aimer_la_vie/hoder/chamane (15/06/2007 00:36) :

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    Bonjour…Arezki...Bon vendredi et bon week end…Nous te souhaitons un week-end remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie…
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié





    L’épopée nord-américaine de de "Mister" TAKFARINAS

    09/06/2007 04:48

    L’épopée nord-américaine de de


    Kabyle.com Montréal Amérique du nord. De notre correspondante.

    Il ébahit à San Francisco et fait un tabac à Montréal.

    La virée du chanteur kabyle Takfarinas dans le pays de l’oncle SAM, a débuté au centre des arts de San Francisco le 18 mai.

    Devant un public cosmopolite réunissant à la fois Américains, Kabyles et autres régions d’Algérie et de l’Afrique du nord, l’enfant de Tixeraïne a déployé tout son art sur scène.

    Le roi de la musique YAL, en l’espace d’un concert a tracé un sillon de bonheur dans le ciel américain pour des centaines de nostalgiques.

    Tous ceux, atteints du mal du pays ont trouvé leur guérisseur.

    Animé par la charmante Nadia, qui a permis de faire un pont entre la langue anglaise d’une partie du public et le Kabyle de l’artiste.

    Comme les événements d’une telle intensité pour les expatriés se comptent sur les doigts d’une main, le spectacle est vécu comme une cure de jouvence.

    La piste de danse n’a pas désemplie tout au long du concert.

    Goutte par goutte, seconde par seconde, l’heure et demi de fête, est savourée telle des perles de miel extraites des ruches jonchant les prairies fleuries du Djurdjura.

    Le spectacle devrait durer une heure et quart, avec deux rappels bruyamment réclamés par le public, les organisateurs ont rallongé le plaisir d’une bonne vingtaine de minutes.

    Malgré la rigueur américaine pour le respect des horaires, c’est avec un esprit festif que la directrice exécutive du festival Mme Denise Bradley (équivalent en France du commissaire), a accepté.

    Happés par le rythme, les organisateurs comme dans un spectacle des Derviches Tourneurs, ont laissé libre cour à l’expression gestuelle de leur joie.

     M. Andrew Wood directeur du festival Rhodessa Jones directrice de la programmation et tout le staff technique se sont retrouvés sur scène pendant les vingt dernières minutes à se déhancher.

    Les Algérien établis aux Etats-Unis qui sont pour la majeure partie des Kabyles, ont fait des milliers de kilomètre pour assister à l’événement.

    New York, Boston, Washington… toutes les villes américaines sont représentées.

    Moh Allileche, le troubadour de la chanson kabyle sur la baie Californienne, était de la partie.

    A ces côtés Moh Aazzi et Madjid Ramdane et tous les anonymes.

    Parmi l’assistance des personnalités de marque se sont mêlées à la foule.

    Le corps diplomatique français accrédité aux Etats-Unis, s’est distingué par une présence remarquée.

    Autour du consul général de France à San Francisco M. Frédéric Desagneaux et de Mme Karen Rispal conseillère culturelle de l’ambassade, étaient présents, l’attaché culturel du consulat M. Christophe Musitelli et de toute son équipe.

    L’hospitalité des diplomates français a retrouvé ses lettres de noblesse dans les salons de la résidence privée du consul général.

    Un dîner où tout le gratin de la scène artistique de la côte ouest américaine est convié.

    Dans son discours de bienvenue Monsieur le consul général a loué les mérites et les qualités artistiques de M. Takfarinas, qu’il a présenté comme son invité d’honneur.

    Il a rappelé l’origine algérienne de son hôte, que son pays la France a adopté.

    Le lendemain du concert, Kevin Cloud, un Américain, a organisé un barbecue dans son jardin à Oakland.

    Dans le cadre de ce voyage à rappeler aussi les deux visites pédagogique à la rencontre des écoliers Américains.

    La première s’est effectue dans la résidence à l’école Bessie Carmichael- ExCEL / Embarcadero le 16 mai.

    La deuxième a eu lieu dans une école d’art, School of the Arts de San Francisco.

    La chose qui a le plus marqué Takfa, c’est quand un écolier ricain a dis que la langue la plus parlé au monde n’est pas l’anglais, mais c’est la musique.

    Là, l’artiste répond « Vive Tamazgha, Vive la musique ».

    Et fait un tabac à Montréal,

    La salle Pierre Charbonneau ne pouvait contenir tout ce monde venu de toutes les villes de l’Amérique du Nord, voir leur idole, le samedi 2 juin.

    Environ 3000 personnes ont assisté au spectacle organisé par Kabylie Spectacles-Production (K.S.P) et jamais dans les annales, un spectacle d’un chanteur Africain n’ait pu drainer autant de monde en Amérique du Nord.

    Les trois acolytes de KPS Mouloud Kacher, Mourad Itim et Saïd Lassene ont été agréablement surpris par l’affluence impressionnante.

     

    Après l’ouverture du spectacle par la très dynamique Troupe Tafsut, qui, à cette occasion, a présenté 4 danses dont 2 en hommage à l’artiste.

    Le groupe Syphax a pris le relais en nous agrémentant de 2 belles chansons de "Idir".

    Après un instrumental de l’orchestre la Stare, c’est avec émotion que Takfarinas fait son entrée devant un public en délire qui s’est précipité au devant de la scène pour voir de plus près son idole.

    Absent de la scène canadienne depuis quatre ans, ce jour-là était celui des grandes retrouvailles avec le public Montréalais.

    A l’aise dans tous les styles de chants allant du le Chaabi, Kabyle, aux différentes musiques modernes comme l’illustre si bien son dernier double album.

    Takfarinas a fait valoir sa voix timbrée, au registre large, imposant un style personnel et digne à la dimension de l’humain.

    La star de renommée mondiale, s’est permis d’explorer plusieurs facettes de la créativité artistique.

    Ce jour-là, on a eu droit à un Takfarinas des grands soirs, un artiste qui a su tenir l’assistance sur la piste de danse tout au long de cette soirée inoubliable.

    Le roi de la YAL musique a enflammé le centre pierre Charbonneau.

    De sa voix envoûtante, aux jeux de Mandole par excellence, Takfarinas en magicien des rythmes a permis l’alchimie qui transforme la joie en bonheur.

    Le bonheur des femmes qui l’expriment avec des youyous.

    Celui des enfants présents par centaines, qui découvrent pour la premières fois pour certains d’entre eux, la beauté de leur culture si majestueuse.

    Le bonheur des autres de verser une larme de nostalgie sur l’autel d’un amour passé, d’une fille, d’une Kabylie si lointaine dans l’espace mais si présente dans les coeurs.

    L’ambiance était tellement chaude que le public n’a aucun souci à se faire pour l’hiver prochain.

    De retour à Paris, Takfarinas a tenu à envoyer un message de remerciements, un message d’amour à tous ceux et celles qui de près ou de loin ont tenu à être présent lors de cet événement.

    Des petites mains qui ont bénévolement prêter force aux organisateurs. particulièrement a sud-culture qui concocté et coordonné ces festivités.

    Par le biais de Kabyle.com, pour tous et pour toutes, honneur aux dames pour le grand bonheur des âmes.

    Tassadit Ould Hamouda de Montréal

    Boukhelifa Zahir de Paris

    www.Takfarinas.net

     Source : http://www.kabyle.com/L-epopee-Nord-Americaine-de-Mister,12278.html



    Commentaire de hoder & aimer_la_vie&chamane (09/06/2007 10:30) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    Bonjour… Arezki…Nous te souhaitons un week-end remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie.
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié, Samira ,Barbara,Chamane





    Le conte de Vrirouche 'Briruc'

    26/05/2007 16:03

    Le conte de Vrirouche 'Briruc'


    Vrirouche est un petit garçon qui a une brebis.

     Un jour où il l'emmene paître loin dans la prairie.

    Il se mit a pleuvoir et un froid glacial les submerge d'un coup.  

    Alors Vrirouche dit à sa brebis:

    - « Brebis, il faut rentrer à la maison, Vrirouche a tellement froid! »

    La brebis répond à Vrirouche:  « Je ne rentre pas encore, je n'ai pas assez mangé! »

    Vrirouche:

    - «  Rentre ou j'appelle le chacal! »

    La brebis lui répond insolente:

    -« Appelle-le ! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du chacal. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Chacal, il faut que tu viennes manger ma brebis, elle ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le chacal lui répond:

    • « Je ne vais pas manger ta brebis! Et puis, que m'a-t-elle fait ?

      Vrirouche le menace à son tour:

    • « Viens la manger ou j'apelle le loup! »

      Le chacal: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du loup. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Loup, il faut que tu viennes manger le chacal, il ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le loup lui répond:

    • « Je ne vais pas manger le chacal! Il ne m'a rien fait!

      Vrirouche le menace:

    • « Viens le manger ou j'apelle le bâton! »

      Le loup: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du bâton. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Bâton, il faut que tu viennes frapper le loup, il ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le bâton lui répond:

    • « Je ne vais pas frapper le loup ! Il ne m'a rien fait!

      Vrirouche le menace:

    • « Viens le frapper ou j'apelle le feu! »

      Le bâton: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du feu. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Feu, il faut que tu viennes brûler le bâton. Il ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le feu lui répond:

    • « Je ne vais pas brûler le bâton ! Il ne m'a rien fait!

      Vrirouche le menace:

    • « Viens le frapper ou j'apelle la fontaine! »

      Le feu: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche de la fontaine. Lorsqu'il la trouve, il lui dit:

    • « Fontaine, il faut que tu viennes éteindre le feu, il refuse de brûler le bâton. Le bâton ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      La fontaine lui répond:

    • « Je ne peux pas éteindre le feu! Elle ne m'a rien fait!

      Vrirouche la menace:

    • « Viens l'éteindre ou j'apelle la vache! »

      La fontaine: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche de la vache. Lorsqu'il la trouve, il lui dit:

    • « Vache, il faut que tu viennes boire la fontaine, elle ne veut pas éteindre le feu. Le feu refuse de brûler le bâton. Le bâton ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      La vache lui répond:

    • « Je ne peux pas boire la fontaine! Elle ne m'a rien fait!

      Vrirouche la menace:

    • « Viens boire la fontaine ou j'apelle le couteau! »

      La vache: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du couteau. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Couteau, il faut que tu viennes tuer la vache, elle refuse de boire la fontaine. La fontaine ne veut pas éteindre le feu. Le feu refuse de brûler le bâton. Le bâton ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le couteau lui répond:

    • « Je ne peux pas tuer la vache! Elle ne m'a rien fait!

      Vrirouche le menace:

    • « Viens tuer la vache ou j'apelle le soufflet du forgeron qui te fera fondre! »

      Le couteau: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du soufflet du forgeron. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Soufflet, il faut que tu viennes faire fondre le conteau, il refuse de tuer la vache. La vache de boire la fontaine. La fontaine ne veut pas éteindre le feu. Le feu refuse de brûler le bâton. Le bâton ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      Le soufflet du forgeron lui répond:

    • « Je ne peux pas faire fondre le couteau! Il ne m'a rien fait!

      Vrirouche le menace:

    • « Viens faire fondre le couteau ou j'apelle la souris! »

      Le soufflet du forgeron: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche de la souris. Lorsqu'il la trouve, il lui dit:

    • « Souris, il faut que tu viennes grignoter le soufflet du forgeron, il refuse de faire fondre le conteau. Le couteau refuse de tuer la vache. La vache de boire la fontaine. La fontaine ne veut pas éteindre le feu. Le feu refuse de brûler le bâton. Le bâton ne veut pas frapper le loup. Le loup ne veut pas manger le chacal. La chacal ne veut pas manger ma brebis. Ma brebis ne veut pas rentrer à la maison et moi Vrirouche j'ai froid! »

      La souris lui répond:

    • « Je ne peux pas grignoter le soufflet du forgeron! Il ne m'a rien fait!

      Vrirouche la menace:

    • « Viens grignoter le soufflet du forgeron ou j'apelle le chat! »

      La souris: « Qu'est ce qui te retient, tu connais la route, va l'appeler! »

    Alors Vrirouche part à la recherche du chat. Lorsqu'il le trouve, il lui dit:

    • « Chat, il faut que tu viennes manger la souris,elle refuse de ...

      A peine a-t-il le temps de lui raconter, le chat en entendant souris se mit a crier:

    • « Tu as dit souris, souris, elle est ou la souris, depuis el temps que je la cherche, ou est elle...

      Alors Vrirouche l'emmène avec lui voir la souris.

    Mais la souris aperçoit de loin le chat et dit:

    • « Vrirouche, où est le soufflet du forgeron? »

      Alors Vrirouche fait fuir le chat et emmène la souris auprès du soufflet! Le soufflet voyant arriver la souris demande à Vrirouche : « Où est le couteau je vais le faire fondre ? » Vrirouche fait fuir la souris et accompagne le soufflet. Le couteau voyant arriver le soufflet s'écrti: « Vrirouche, viens je vais tuer la vache! ». Vrirouche accompagne le couteau auprès de la vache. La vache voyant arriver le couteau s'ecrit à son tour: « Vrirouche viens je vais boire la fontaine! ». Vrirouche accompagne la vache auprès de la fontaine qui voyant la vache arriver s'écrit: « Vrirouche, viens, je vais éteindre le feu! ». Vrirouche accompagne la fontaine auprès du feu qui voyant arriver la fontaine s'écrit: « Vrirouche, viens, je vais brûler le bâton! ». Vrirouche accompagne le feu auprès du bâton. Le bâton voyons arriver le feu s 'écrti: « Brirouche viens, je vais frapper le loup! ». Vrirouche accompagne le bâton auprès du loup. Le loup voyant arriver le bâton s'écrti: « Vrirouche viens, je vais manger le chacal! » Vrirouche accompagne le loup auprès du chacal. Le chacal voyant arriver le loup s'écrit: « Vrirouche viens, je vais manger ta brebis » Alors Vrirouche va voir sa brebis accompagné du chacal.


    A peine la brebis vit-elle le chacal se rapprocher peu à peu d'elle, elle se met à crier:

    - « Oh Vrirouche, viens, j'ai fini de manger depuis un long moment. Et depuis je te cherche partout! Allez rentrons à la maison ! »

     Histoire traduite du site Imyura.net dans la section Timucuha ( Tamacahutt n Briruc s'ghur W.)

    Source : http://www.tiwizinet.com/Default.aspx?tabid=117



    Commentaire de hoder & aimer_la_vie (27/05/2007 16:43) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    Bonjour… Arezki... juste un petit coucou...et j'espère a bientôt in chaa allah...Nous te souhaitons une semaine remplie de paix,d'amour,de bonheur,et de la joie…
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié


    Commentaire de claire (01/06/2007 03:21) :

    Image hébérgée
par hiboox.combonne fin de semaine bisous boop

    http://gina.vip-blog.com




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