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VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

  • 289 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
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    Un poème sur la JSK !

    26/02/2008 01:57

    Un poème sur la JSK !



    Un  poème  de ZEGUAOUI Djillali  natif du village Ait Zellal dans la localité de Mekla dans lequel il exprime son indéfectible attachement à son club detoujours : La JSK.

    On vous laisse le soin d’apprécier son écrit  :

              Source : http://www.jeunessesportivedekabylie.com/?_file=article&id_actualite=94







    JSK nevgha atsali
    Fellas n’han yadaltawene
    Saib ara dit-ouessi
    Les bois dh’chaouchi ithni aousen
    Ouanague la défenseeni
    Elane revaa g izmaouane
    Af Demba dh Harkat n iguenni
    Am ledhyour its ferfirene
    Arnoud wanague meftah dh bally
    Ouamague dhi tactic ensene
    Abdeslam berramla dehouche
    Degh th’lemmasth sefrahene
    Ma dh’lataq ouola y d’nini
    Derrag hemani qefzen
    Bensaid dh athmani
    Athnidh ellane guarassen
    Oussalah oula y d’nini gu’ eddavakh
    Ulac win ara s’tyeksenne
    An aazar alama dh svah
    Iwzekka mara leaven
    Koul amazigh adh yefrah
    Championnat ats revhen
    An aadi elzair anechdhah
    Aken adh heleken yaâdhawen
    Hannachi adh izoukh dhessah
    Dh netsa I dh’amaalem-nsen.








    Commentaire de amghid (28/02/2008 02:19) :

    Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit Merci Arezki pour ce blog ...tres interessant ,pleins de nouvelles et des photos sublimes ...vive la kabylie et vive JSK.Ton ami d'enfance





    JSK - Rabie Meftah en pèlerinage chez Matoub Lounès«C'est lui la Kabylie»

    20/02/2008 03:05

    JSK - Rabie Meftah en pèlerinage chez Matoub Lounès«C'est lui la Kabylie»


    «Saïb est un vrai pro»
    «Hannachi est un père pour moi»
    «Anwa wigui imazighen me donne des ailes»

    Reportage réalisé par Abdellah Haddad

    La saison 2004-2005 sera toujours marquée d’une pierre noire dans l’histoire du club kabyle. Ce fut l’une des rares saisons au cours de laquelle les joueurs de la JSK sont partis en vacances les mains vides. Jugez-en : élimination en Ligue des champions africaine dès le premier tour face au modeste Fello Stars, élimination précoce en Coupe d’Algérie et perte du titre de champion durant les dernières journées après un nul à domicile face à Annaba. Face à ces échecs à répétition, Hannachi voulait frapper fort avant même la  fin de saison en mettant le paquet pour recruter les meilleurs joueurs disponibles sur le marché : Yacef, Herkat, Oussalah , Ouslati et Hemani viendront tour à tour renforcer les rangs de l’équipe kabyle. René Taelman, le technicien belge sera engagé quelques semaines plus tard et ramènera avec lui deux excellents milieux de terrain, le Libyen Omar Daoud et le Béninois Wassiou pour faire de l’effectif kabyle le plus riche de la D1. Le nouvel entraîneur pensait avoir les choses claires avec d’une part les titulaires à part entière et les remplaçants qui devront saisir la moindre chance et d’autre part les jeunes promus qui se contenteront de s’entraîner et de suivre les matchs de la JSK depuis les tribunes ou en face de leur téléviseur. Pourtant, Taelman et après quelques séances d’entraînement en forêt changera vite d’avis à propos de l’un de ces jeunes loups débarqués de la catégorie junior : Mohamed Rabie Meftah a montré des aptitudes physiques hors du commun qui lui ont permis de surclasser tous ses coéquipiers et de trouver grâce aux yeux de l’entraîneur belge qui, tout au long de son passage à la JSK, l’a toujours convoqué dans les 18. Egalement impressionné par la condition physique et la hargne du cadet des Meftah, Jean-Yves Chay qui avait remplacé au pied levé Taelman, continuera à lui faire confiance en le convoquant sans lui accorder la moindre minute. La blessure de Raho constituera le tournant de la carrière de Meftah. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, Meftah saisit sa chance et multiplie les prestations efficaces que même le rétablissement de Raho n’effacera pas. Une première convocation en équipe nationale changera complètement la donne et le grand Raho s’est retrouvé sur le banc comme doublure de Meftah. Ce fut l’année de tous les succès avec notamment le titre de champion d’Algérie au bout. Dès lors et en dépit de la parenthèse Aït Djoudi qui lui faisait moins confiance malgré son statut d’international, Meftah gagnera en maturité pour devenir avec Moussa Saïb la force tranquille d’une équipe kabyle étonnante de régularité. Il en est même devenu un symbole de par son statut d’enfant du club et de pur produit de l’école de la JSK. Comme sur le terrain, Meftah se fait discret avec les médias. Une timidité qui ne l’a pas empêché de passer avec nous la journée pour faire connaître aux supporters de la JSK les autres facettes de sa personnalité sous forme d’un reportage que voici :

    «Pour moi, la Kabylie,  c’est Matoub»
    A l’issue de la dernière victoire face au MCO, Saïb a accordé à ses joueurs deux jours de repos. Une belle aubaine de rencontrer Meftah. Rendez-vous a donc été pris samedi matin à 9h 30 au quartier Mondial en plein centre ville de Tizi Ouzou. L’heure H, point de Meftah au lieu convenu. 10’ plus tard, notre portable sonne et affiche le numéro du joueur kabyle qui s’est fendu en excuses : " Mille excuses, je suis un peu en retard, je serai à vous dans quelques minutes. " Après les salutations d’usage, le premier geste de Meftah a été de faire un tour au kiosque du coin pour feuilleter Le Buteur dont la Une revenait sur le match du week end face au Mouloudia d’Oran. Premier constat : dans le quartier qui l’a vu grandir, Meftah est très apprécié puisque pendant les quelques minutes que nous avons passées sur place, il a été sollicité une dizaine fois pour des photos. Parmi ses fans, il y avait même une jeune demoiselle. Dès que nous avons pris place à l’intérieur de l’Audi A3 du joueur, ce dernier nous a proposé : "ça ne vous dérange pas trop si on fait une virée à Béni Douala ? Hier j’ai vu un long film sur Matoub et j’ai eu envie de faire un tour dans son patelin." Nous n’avons naturellement pas trouvé d’inconvénient d’aller faire ce petit pèlerinage au village du chantre de la musique kabyle. Quelques minutes avant d’arriver à Béni Douala, Meftah appelle son coéquipier Berrefane qui habite la région pour nous  servir de guide le guide. On a trouvé le gardien de but kabyle à l’entrée du village à bord de sa Bora. Durant tout le chemin, on a été bercés par la voix de Matoub Lounès, véritable idole de Rabie. Même la sonnerie de son portable est une chanson. Pourtant et à la mort de Matoub, Meftah n’avait que 13 ans : "Cela ne m’a pas empêché de participer aux émeutes car j’ai grandi avec Matoub qui est plus qu’une idole pour moi à tel point que je ne peux pas écouter autre chose que Matoub, c’est lui la Kabylie." La discussion tournait presque exclusivement autour du Rebelle entrecoupée par quelques analyses de la rencontre du jeudi précédent. " On savait dès le départ que le match allait être difficile, en tant que leader nous sommes devenus l’équipe à battre, le MCO qui joue le maintien voulait coûte que coûte prendre un point. Heureusement que nous avons débloqué la situation en deuxième mi-temps, vous savez dans ce genre de matchs, le plus important ce sont les trois points."

    «Saïb est un vrai pro»
    Petit à petit, la discussion bifurquait vers le football et la JSK. Sur le chemin de Béni Douala, toutes les personnes qui reconnaissaient Meftah lui réclamaient le titre de champion d’Algérie. Ce dernier répondait par des sourires avant de lâcher : " Il y a quelques mois au lendemain de notre élimination en Ligue des champions africaine, personne n’aurait parié un sou sur nous, certains craignaient même le pire pour l’équipe. Aujourd’hui et à 9 journées de la fin, on est premiers avec sept longueurs d’avance, cela fait plaisir de voir tous ces gens parler du 14e titre, j’espère qu’on y arrivera avec l’aide de tout le monde. " Comment explique-t-il alors l’excellent parcours de la JSK après les inquiétudes du début de saison ? " Je dirais sans hésiter : le savoir-faire de l’entraîneur. Sincèrement Saïb a réussi de libérer les joueurs,  c’est un vrai professionnel qui réussit souvent à mettre à profit sa riche expérience, personnellement j’ai appris beaucoup avec lui, c’est une fierté d’avoir une telle personnalité à la JSK. " On parlait des chances de la JSK de gagner le championnat lorsque Meftah s’est brusquement arrêté en faisant un geste à Berrefane pour lui demander de faire de même. "C’est là que Matoub a été assassiné !" Son visage triste s’est illuminé lorsqu’il a aperçu Lamara Douicher qui passait par hasard par là. "Quelle coïncidence !" a lâché Meftah avant de proposer à Lamara de nous accompagner à notre lieu de pèlerinage. Chose que le milieu de terrain kabyle a acceptée volontiers.

    «Hannachi est un  père pour moi»
    On reprend la route et la discussion sur le football de plus belle. Le sujet cette fois-ci était un peu embarrassant pour le joueur puisqu’il s’agissait de ses contacts avec l’USMAn à l’intersaison. Meftah a dès le départ voulu que les choses soient claires : "Quitter la JSK pour une autre équipe algérienne ne m’a jamais traversé l’esprit, mais je ne pouvais quand même pas raccrocher au nez d’un président qui me sollicite. " Il nous racontera par la suite les détails des contacts avec Menadi : " Il y a eu plusieurs contacts en fait, mais jamais des négociations, M. Menadi voulait m’arracher l’accord de principe pour faire son offre, mais je lui avais dit à chaque fois que je n’étais pas intéressé. Cela ne l’a pas empêché d’insister et j’ai dû mettre mon haut parleur pour faire écouter à un ami les paroles de Menadi qui n’arrêtait pas de me supplier pour lui dire oui. J’ai donc un témoin pour confirmer mes dires." Il enchaîne tout de suite après pour expliquer cette fidélité indéfectible pour la JSK : "Je suis un enfant du club, j’ai été supporter de la JSK avant d’en devenir le joueur et je considère M. Hannachi comme mon propre père qui n’a jamais caché son estime envers moi. Je me rappelle que lorsque j’étais minime, il n’arrêtait pas de me parler et de me conseiller car j’étais stoppeur comme lui. Non, je ne peux pas trahir Hannachi même si Menadi me donnerait tout l’or du monde." C’est à ce moment-là qu’on est arrivés à Béni Aïssi au local commercial des Berrefane. Le frère aîné de Mourad nous rejoint et on continue vers Béni Douala. Au centre du village, Meftah s’arrête pour aller saluer et échanger quelques mots avec le père de Douicher. Ce dernier ne rate pas l’occasion de nous rappeler le but refusé à son fils à Saïda qui aurait pu changer le cours de la rencontre. On décide de rejoindre Taourirt Moussa et la tombe de Matoub à pied, ce qui nous a coûté plusieurs haltes pour les habituelles photos souvenirs avec les nombreux fans rencontrés en cours de chemin.

    «Nous sommes chez  Matoub Lounès»
    A mesure que nous nous approchions de Taourirt Moussa, la discussion sur Matoub reprenait petit à petit. Meftah s’est même surpris à nous raconter en détails le film qu’il avait vu la veille. Il était 11h 30 lorsque nous sommes arrivés chez Matoub. Dans le garage, la Mercedes que le défunt conduisait au moment de son assassinat. Des photos, des coupures de journaux étaient collés aux murs dont une Une du Buteur : "Gagnez pour Matoub !"  lisait-on sur Le Buteur la veille d’une finale de Coupe de la CAF. Meftah qui était plongé dans ses pensées a lâché avec tristesse : "78 balles, vous vous imaginez ?" en faisant allusion au nombre de balles qui ont transpercé le corps du symbole de la Kabylie rebelle. Il s’approche ensuite d’un tableau de Matoub pour y poser à côté. Recueillement devant la tombe du défunt et visite guidée de la fondation Matoub Lounès grâce à deux jeunes filles rencontrées sur place. C’est à ce moment-là que la cloche de l’école primaire mitoyenne a sonné pour libérer les chérubins qui ont vite reconnus leurs trois idoles. Petit match improvisé au cours duquel Douicher s’en donne à cœur joie. Retour à la fondation où Meftah admirait religieusement les cadres de son idole avant de demander à Lamara : "On n’a rien raté ?" "Normalement, non", répondit Lamara. Dans le bureau de la fondation, les joueurs posent avec un trophée, un fanion de la JSK et un autre de l’Algérie. Cela a donné des idées à Berrefane qui a glissé : "C’est le 14e titre." Ainsi soit-il Mourad. Fin de la visite et passage au registre des condoléances. A leur sortie de la fondation, les trois joueurs seront littéralement  assaillis par les écoliers qui leur réclamaient des autographes. Apparemment, l’information de la présence de Meftah, Douicher et Berrefane a circulé comme une traînée de poudre. Il était 13h lorsqu’on a quitté les lieux. Douicher et Berrefane prennent congés pour rentrer chez eux alors que nous avons pris le chemin de Tizi Ouzou.

    «12 ans et déjà  responsable»
    Meftah est plutôt connu par le prénom Rabie, mais administrativement il s’appelle Mohamed. D’où lui vient le prénom Rabie ? "A ma naissance, mon père a décidé de me donner le prénom de Rabie, mais une vieille voisine lui avait conseillé de m’appeler Mohamed, pour elle c’est le prénom qui me convenait,  par respect à elle, mon père a choisi Mohamed, c’est aussi simple que cela. Une semaine après ma naissance, cette bonne vieille dame est décédé", raconte Rabie qui a grandi dans le bonheur simple et l’insouciance avec comme principal passe-temps les matchs de foot au quartier. "Je passais tout mon temps à organiser des matchs, j’étais la terreur des vieux du quartier qui m’appelaient ‘le voyou’. C’est sur les terrains vagues que j’ai attrapé le virus du football qui ne me quitte plus, cela n’a pas échappé à mon oncle qui m’a inscrit à la JSK alors que je n’avais que 10 ans. J’ai débuté en benjamin après la victoire en Coupe des Coupes de 1995, ce jour-là j’étais au stade avec mon oncle et c’est là que j’ai décidé de faire du football mon métier", dira encore Rabie Meftah. Grâce à sa grande taille, il a été désigné défenseur central dès le départ. "Je jouais parfois arrière droit, mais c’est au centre de la défense que M. Mounaïm Kherroubi qui m’a beaucoup aidé, me faisait jouer, cet éducateur m’a d’ailleurs marqué ", se rappelle Meftah qui a eu la première déchirure de sa vie à l’âge de 12 ans. "Mon père est parti en France pour travailler et malgré la présence de mon grand-père et de mes oncles, j’ai senti une grande responsabilité en tant qu’aîné, cela m’a forgé ". Appelé à choisir entre l’école et le foot, Meftah avait préféré continuer sa passion pour le ballon rond en quittant les bancs de l’école en 8e année fondamentale. Il n’avait pas eu tort.

    «2005 sera gravée  dans ma mémoire»
    Avant Rabie, d’autres Meftah sont passés par la JSK : Mahieddine et Rahim avec lequel il a joué deux saisons. Cela l’a-t-il aidé ? "Au contraire, c’était une pression supplémentaire, car on ne peut pas faire oublier un monstre comme Mahieddine, Rahim a pour sa part tout fait pour faciliter mon adaptation dès mes premiers pas en seniors, il y a eu aussi Khaled décédé dans un accident de la circulation Allah yerrahmou et qui aurait pu être un excellent joueur. " Cela n’a pas empêché Rabie de se faire un… prénom après avoir commencé à s’entraîner avec les seniors qu’étaient les Dob , Saïb , Belkaïd , Raho , Benhamlat. "Mais c’est l’année 2005 qui restera gravée dans ma mémoire car elle m’a permis de devenir titulaire à la JSK, de gagner un titre de champion et d’être convoqué en équipe nationale, tout s’est enchaîné trop vite pour moi à tel point que je ne voyais plus le temps passer." Se souvient-il de son premier match officiel en senior ? "Et comment ! Même si Raho s’était blessé, je ne pensais pas que j’allais remplacer car dans ma tête j’étais arrière central, pas arrière droit. Lorsque M. Chay est venu me demander si je pouvais jouer à droite, j’ai dit ‘oui’ sans réfléchir car je pensais sincèrement que je ne faisais que remplacer Raho le temps qu’il se rétablisse. La suite tout le monde la connaît." Pourtant, tout n’était pas rose pour Meftah qui pénétrait et quittait le terrain sous les sifflets des supporters malgré ses bonnes prestations : "Je comprends la réaction des supporters pour qui Raho était le titulaire indiscutable et moi la doublure, moi-même je m’en suis fait à cette idée, mais au lieu de me décourager, ces sifflets ont, au contraire, constitué une motivation supplémentaire pour moi, j’étais obligé de me remettre en cause tous les jours pour être à la hauteur. Vous savez, beaucoup de jeunes joueurs ont été applaudis au début de leur carrière pour être ensuite descendus en flammes au bout de quelques matchs pour ne plus relever la tête, moi j’ai été en quelque sorte habitué à la difficulté à tel point que j’ai appris à faire abstraction de tout ce qui se fait en dehors du terrain. "Il est 13h 40 et notre interlocuteur comme nous d’ailleurs commençait à avoir faim. On était déjà à Tizi Ouzou et l’endroit indiqué pour calmer notre estomac c’était le Mac Ben, l’endroit préféré des joueurs de la JSK. En cours de route, Meftah est revenu sur la parenthèse Aït Djoudi qui ne le faisait pas jouer malgré son statut d’international pour dire son incompréhension."Même si je n’avais rien compris à sa décision, je ne lui ai jamais demandé quoi que ce soit, ce n’est pas dans ma nature", s’est-il contenté de dire.

    «27 ans est le meilleur  âge pour se marier»
    Passant à un autre sujet, nous sommes revenus sur les contacts que Rabie avait eus l’été dernier avec des clubs étrangers. Le concerné confirme : "C’est vrai, au départ c’était le club turc de Galatasaray qui s’est renseigné sur moi, le président était au courant , il y a eu par la suite un club hollandais, un manager voulait également me placer à Strasbourg , mais tous ces contacts n’avaient pas abouti à quelque chose de concret. Il y a eu aussi une offre du Raja, mais entre le Maroc et la JSK, je préfère la JSK. Personnellement, je n’en fais pas une obsession car je suis encore jeune et je fais entièrement confiance au président qui saura défendre mes intérêts et ceux de la JSK, et puis je suis quand même dans un grand club. De toutes les façons, on verra bien d’ici la fin de saison." Tout au long de notre reportage nos questions tournaient autour de la JSK et de la Kabylie alors que sur un plan intime on connaissait peu de choses de Meftah : "Je suis tellement pris par ma profession que je ne donne pas beaucoup d’importance aux choses de la vie ". Même pas le mariage ? "Oui bien sûr, mais pas pour le moment, pour moi l’âge idéal pour se marier c’est 27 ans et les critères sont, la réputation et la mentalité, le physique c’est secondaire." N’y a-t-il que le football dans la vie de Meftah ? " Pas du tout, j’aime par exemple jouer à la play station avec mon ami Moh Hendel, je regarde beaucoup la télé et les rares vacances que j’ai eues depuis que je joue en seniors, je les passe à Béjaïa, mes plages préférées sont Saket et Boulimat, tout le reste de mon temps c’est le foot qui se l’accapare. "

    «Anwa wigui imazighen  me donne des ailes»
    Dans tous les clubs du monde le public est l’atout majeur. A la JSK, les supporters sont connus pour être fidèles, mais aussi très exigeants. Malgré des rapports difficiles avec le public kabyle, Rabie Meftah voue à ce dernier un grand respect car pour lui "il est le seul à pouvoir demander des comptes de par son attachement au club et son soutien indéfectible. Personnellement et en tant que kabyle lorsque j’entends les supporters scander le fameux ‘anwa wigui imazighen’, j’ai la chair de poule, je me sens pousser des ailes et je suis prêt à mourir pour les couleurs de la JSK ". Le vœu du défenseur kabyle c’est de conquérir de nouveau l’Afrique «juste pour faire plaisir à nos supporters car je sais qu’ils aiment beaucoup la Coupe d’Afrique, je me rappelle encore la joie que m’a procuré la victoire de 1995 alors que je n’avais que 10 ans ". Il est déjà 15h 30 et Meftah devait aller se reposer un peu. Avant de prendre congé, il sollicite Zafour et Redouane le propriétaire du restaurant pour une photo pour ensuite faire un crochet chez le photographe du coin pour développer sur place les photos pris durant la journée. " Surtout celles prises chez Matoub", précise Rabie.
    A. H.

    En bref
    Véhicule préféré : Audi A3
    Plat préféré : El Methouam
    Habillement : jeans et survêtement
    La musique : Matoub
    Le meilleur pays visité : Cap-Vert et Belgique
    Le pays qu’il souhaite visiter : USA
    L’adversaire qui l’a marqué : Mounir Zeghdoud
    Le joueur qu’il aurait aimé avoir comme partenaire : Moussa Saïb en Algérie et Zinédine Zidane à l’étranger
    Equipe préférée en Europe : FC Barcelone
    Son complice en dehors du terrain : Brahim Zafour
    Parfum préféré : Hugo Boss
    Stade où il aime jouer : 5-Juillet
    Meilleur souvenir : le titre de champion en 2006
    Plus mauvais souvenir : l’année passée.
    L’attaquant qu’il n’aime pas marquer : Issaâd Bourahli
    Le onze du championnat :
    Chaouchi, Meftah, Chebira, Demba, Zeghdoud,  Dehouche, Belaoued,  Bouazza, Hamidi, Younès,  Ammour
    Ent : Saïb

    Par : Abdellah Haddad  http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/02/19/9389096






    J.S.K... Vamos pour le titre !

    15/02/2008 04:38

    J.S.K... Vamos pour le titre !







    La JSK se dote d’un site internet officiel : Il est en service depuis une semaine.

    05/02/2008 22:42

    La JSK se dote d’un site internet officiel : Il est en service depuis une semaine.


    A l’instar de tous les grands clubs du monde, la JSK vient de se doter d’un site internet.
    Ce site http://www.jeunessesportivedekabylie.com  conçu par le club a été mis en service à l’occasion du dernier match face à la JSMB.
    Ainsi, tous les supporters et surtout les journalistes pourront consulter ce site afin de s’informer de l’actualité du club-phare du Djurdjura.
    Une équipe dynamique composée de  Mokrane Amellal (développeur), Sofiane Nekrouf (mise à jour et conception), Mohamed Belahcène (chef de rédaction), Jugurtha Moumeni et Yacine Amellal (rédacteurs) s’attelle quotidiennement à la mise en service de cet espace d’information au grand bonheur des fans internautes qui sont très nombreux à vouloir s’informer de tout ce qui touche à la vie de leur club dans un cadre interactif. 
    par : A.C.
    la rubrique "Sports"
    Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=51393&ed=MTcyNw==
     Le lien vers le site web: http://www.jeunessesportivedekabylie.com/


    Commentaire de BELLISIMA (16/02/2008 02:06) :

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    D1 : La JSK et Hemani en pleine forme

    01/02/2008 02:21

    D1 : La JSK et Hemani en pleine forme


    La JS Kabylie a gagné deux points, ce jeudi, dans sa course avec l’Entente de Sétif. Dans le derby kabyle, la JSK accueillait la JSM Bejaia au stade du 1er Novembre.
    Les Canaris se sont imposés sur le score de 4-2, comme c’était déjà le cas au match aller.
    Pourtant les Bejaouis ont bousculé leurs hôtes, allant même jusqu’à mener au score logiquement grâce à Braham Chaouch.
    Comme la semaine passée à Saïda, la JSK rate totalement son entame de match, et comme la semaine dernière, il aura fallu que Nabil Hemani tire son équipe vers le haut.
    Le joueur aux...31/01/2008





    Hannachi dénonce «Ces voleurs qui crient au vol»

    28/01/2008 02:25

    Hannachi dénonce «Ces voleurs qui crient au vol»


    Depuis quelques jours, la scène footballistique est en ébullition. A la source de cette situation, l’arbitrage. Ce dernier a même provoqué des frictions et des querelles, par presse interposée, entre certains présidents de club, entre autre celui de l’ESS, Abdelhakim Serrar, de l’USMAn, Aïssa Menadi et celui de la JSK, Moh Chérif Hannachi. Au début de cette polémique, ce dernier s’était retenu de réagir aux déclarations des deux autres présidents qui l’avaient descendu en flammes après la victoire de la JSK face à l’USMAn. Ce n’est qu’après le match de jeudi à Saïda que le premier responsable kabyle réagira en appelant tout simplement les instances régissant le football à demander des comptes à Menadi et Serrar. Contacté par nos soins, le président kabyle s’est contenté de nous dire à ce sujet brûlant : «On a accusé Hannachi d’être un voleur, moi je me demande qui est le voleur dans cette histoire. Je me demande qui a volé le NAHD ? Qui a volé aussi le MCO à Oran ? Qui a volé l’OMR ? Et enfin qui a volé le MCA vendredi dernier ? Revoyez les images de ces matches et vous comprendrez ce que je veux dire et je me contenterai de ces propos. C’est le monde à l’envers, le voleur qui crie au vol, on aura tout vu.» 

    «Pourquoi «El Marma» n’a pas montré notre but refusé à Saïda ?»
    Jeudi, à Saïda, après avoir été menée au score (2-0), la JSK a réussi à revenir à la marque grâce à un doublé de Nabil Hamani. La formation kabyle parviendra même à prendre l’avantage, mais à la grande surprise de tout le monde, le but inscrit par Lamara Douicher a été refusé pour une position de hors jeu imaginaire. Le premier responsable kabyle n’a pas réagi sur le coup. «Je suis sûr qu’il n’y avait pas de position de hors jeu, mais attendons de voir les images de la télévision pour s’en assurer», s’est-il contenté de dire après le match. Le lendemain, beaucoup ont attendu avec impatience le résumé de cette rencontre sur l’émission "El Marma", diffusée chaque vendredi soir. Finalement, cette émission n’a fait qu’attiser la colère du président de la JSK et des supporters. «Au moment de cette émission et plus précisément lorsqu’on est revenu sur le match MCS-JSK, j’étais hors de moi pour la simple raison qu’on n’a pas montré le troisième but qu’on avait inscrit et qui nous a été refusé. Je pose une question : pourquoi on n’a pas montré ce but alors qu’il aurait été plus judicieux de le faire afin de savoir s’il était valide ou non ? Cette émission aurait dû faire la lumière sur cette action litigieuse, c’est son rôle de montrer la vérité. Le fait que les responsables de cette émission ne l’ont pas fait suscite des interrogations et me conforte dans ma thèse qui veut que même à la télévision il y a des gens qui n’aiment pas la JSK à commencer par celui qui a présenté vendredi cette émission. J’exige que les images de ce but soient montrées au courant de cette semaine», dira Hannachi.

    «C’est une dérive vers le régionalisme»
    Par ailleurs, le président kabyle est revenu sur les évènements survenus ces derniers jours. «C’est navrant ce que nous sommes en train de vivre ces derniers temps, c’est malheureux pour les instigateurs de ces déclarations incendiaires et c’est surtout malheureux pour notre football. En ce qui me concerne, ce qui est en train d’arriver est tout simplement une dérive vers le régionalisme. Comment expliquer autrement qu’un président d’un club  appelle au soutien d’un autre club contre un autre club pour la simple raison qu’ils appartiennent à la même région et que le tiers club appartient à une autre région du pays, un pays constitutionnellement indivisible. Au risque de me répéter, ce qui arrive est très grave.»

    «Le but de Hadj Aïssa a tout mis à nu»
    Jeudi, à Saïda, le plus surprenant a été le fait que les Kabyles n’ont pas rouspété après que l’arbitre assistant ait signalé une position de hors jeu imaginaire de Douicher.  «J’ai moi-même insisté pour que les joueurs ne le fassent pas, moi-même je me suis retenu de le faire afin de ne pas être accusé d’être un mauvais perdant et il fallait attendre de revoir les images de la télévision pour confirmer que nous avions raison. Il est vrai que ces images n’ont pas été montrées mais un autre signe est venu tout mettre à nu. C’est ce qui s’est passé lors du match MCA-ESS et ce but inscrit pas les Sétifiens. Alors que le veille, on avait refusé un but pour une position de hors jeu imaginaire, voilà que le lendemain on accorde un but alors que son auteur était hors jeu, non pas de quelques centimètres mais de quelques mètres. Comme quoi, il y a une justice divine qui a voulu montrer que des choses pas normales se passent dans notre championnat.»
    Ali Hamouche

    Une lettre a été adressée  au DG de l’ENTV...
    Le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi ne s’est pas contenté de fustiger l’émission "El Marma" ; il a joint le geste à la parole en demandant à son administration de rédiger une lettre au directeur général de l’ENTV. Dans cette lettre, il sera question de critiquer la façon avec laquelle a été traité le match MCS-JSK et qui a vu l’oubli des concepteurs de cette émission de montrer le troisième but de la formation kabyle.

    ...et une autre au ministère  de l’Intérieur 
    Le DG de l’ENTV ne sera pas le seul destinataire d’une lettre de la part de la JSK. Le président kabyle a demandé à ce qu’un autre courrier soit adressé au ministère de l’Intérieur dans lequel il sera évoqué les appels de certaines parties au régionalisme.  

    La FAF et la DTNA interpellées 
    Le président kabyle a décidé de solliciter toutes les parties au sujet des derniers événements qui ont secoué notre championnat. C’est dans cette perspective que samedi, il s’est déplacé au siège de la Fédération algérienne de football afin d’y rencontrer le président, Abdelahamid Hadadj. Il lui a demandé entre autres, de revoir les images des rencontres MCS-JSK et MCA-ESS afin de se faire une idée sur les erreurs commises par les arbitres assistants. Par ailleurs, Hannachi en a profité pour se rendre au siège de la DTNA pour rencontrer Medjiba en sa qualité de premier responsable de l’arbitrage.

    Une rencontre avec le MJS
    Samedi, le président kabyle a multiplié les rendez-vous afin de défendre les intérêt de son club. Ainsi, après avoir rencontré le président de la FAF et celui de la DTNA, Hannachi s’est rendu à la place du 1er-Mai, plus précisément du côté du ministère de la Jeunesse et des Sports pour une entrevue avec le ministre. 

    Par : Ali Hamouche  

    Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/01/26/3412868






    JSK 1 - USMAn 0 : Une victoire difficile, mais tellement Bône !

    19/01/2008 05:29

    JSK 1 - USMAn 0 : Une victoire difficile, mais tellement Bône !


    Stade du 1er-Novembre (Tizi Ouzou)
    Affluence : nombreuse
    Arbitres  : Abdallah, Hassouna, Hedia    
    Avertissements : Oussalah (45’), Derrag (53’), Herkat (73’); Mezaïr (14’), Fadiga (41’), Hamadou (45’, 55’), Messaoud (70’)(USMAn)
    Expulsion : Hamadou (55’), Zidane (90’+8)(USMAn)
    But : Hemani (90’+ 2, SP) (JSK)

    JSK
    Chaouchi, Douicher (Derrag 46’), Meftah, Oussalah, Demba, Herkat, Abdeslam, Dehouche, Berramla, Athmani (Hemani 65’), Bensaïd (Saïbi 82’)
    Entraîneur : Saïb

    USMAn
    Mezaïr, Zazou, Bouacida, Dellalou, Fadiga (Ouamrani 68’), Messaoud, Hamadou, Bouguerra (Fenier 78’), Swanga (Zidane 88’), Ouasti, Sbihi
    Entraîneur : Amrani

    Comme il fallait s’y attendre, face à une équipe bien regroupée dans sa moitié du terrain, la JSK a eu du mal à manœuvrer et il lui aura fallu un penalty dans le temps additionnel pour qu’elle remporte une précieuse victoire qui lui permet de consolider sa place de leader. En début de match, la formation kabyle s’est même fait des frayeurs à la 9’ suite à une mésentente entre Chaouchi et Demba, celui-ci a failli marquer contre son camp. Ce n’est qu’à la 20’ que les Kabyles porteront le danger dans le camp adverse sur un coup franc de Berramla, Mezaïr rate sa sortie avant de se rattraper en détournant la balle des bouts des doigts. Deux minutes plus tard, Oussalah tente sa chance de loin, Mezaïr se couche pour repousser la balle avant qu’un défenseur ne dégage le cuir à l’emporte-pièce. Les Annabis répliqueront immédiatement et Messaoud profite du fait que Herkat joue mal le hors-jeu pour se présenter seul devant Chaouchi. Tout comme il y quatre jours face à Boussefiane, le gardien de but kabyle sauve son équipe d’un but tout fait. En seconde mi-temps, la domination des Kabyles s’est accentuée, mais la chance n’était pas au rendez-vous. A la 52’, sur un centre de Meftah, Bensaïd reprend la balle d’une tête plongeante, Mezaïr bien placé se saisit du cuir. Quelques minutes plus tard, Hemani tente une frappe de loin qui passe à quelques centimètres des buts alors que Mezaïr était battu. A la 62’, Demba décale Derrag qui frappe mais sa balle ricoche sur le montant gauche. Dix minutes plus tard, cette fois-ci, c’est une tête de Bensaïd qui trouve le montant droit de Mezaïr. A quelques minutes de la fin de la rencontre, Oussalah, à son tour, décoche une frappe puissante de loin. Au moment où la balle prenait le chemin des filets, un défenseur met le pied pour dévier la balle en corner. Le temps s’écoulait et les Kabyles commençaient à perdre espoir surtout lorsque le 4e arbitre leva le panneau pour indiquer quatre minutes de temps additionnel. La défense annabie, jusque-là irréprochable, vient de commettre l’irréparable. Bouacida repousse la balle de la main dans sa surface de réparation. Sans hésiter une seconde, l’arbitre désigne le point de tir de réparation. Après un bon moment d’arrêt suite aux contestations des Annabis, Hemani s’élance et tire, le ballon ricoche sur le montant et secoue les filets, scellant la victoire de la JSK..  
     A. A. A.

    L’USMAn se présente 2 heures avant le coup d’envoi
    Les Annabis se sont rendus au stade du 1er-Novembre deux heures avant le coup d’envoi de la rencontre, soit à 13h. Les Kabyles, eux, ont fait leur apparition une heure plus tard.

    Mezaïr et Zazou hués
    Deux joueurs de l’USMAn ont été pris à partie par le public kabyle. Il s’agit du gardien Mezaïr et du défenseur Zazou qui ont entendu des vertes et des pas mûres durant toute la partie.

    Hannachi s’accroche avec un officier de police
    La nouvelle recrue de la JSK, Brahim Ziane, a été empêchée d’accéder à la main courante par les forces de l’ordre. Informé, Hannachi a délégué l’avocat du club, Berkaïne, pour régler le problème. Même en présentant sa carte de dirigeant et la licence du joueur, l’un des officiers de la police a opposé un niet catégorique. Le premier responsable du club kabyle est intervenu en personne pour faire rentrer son joueur, non sans s’accrocher violemment avec l’homme en uniforme.

    Le geste de Abdeslam
    Un jeune supporter a enjambé le grillage pour voir de près ses favoris. Mais avant d’arriver à ses fins, il a été intercepté par les forces de l’ordre. Voyant la scène, Cherif Abdeslam a traversé tout le terrain pour «le libérer» et lui permettre de remonter tranquillement à la tribune. Un geste qui lui a valu les applaudissements du public.

    Khedis et Seridi présents
    Mohamed Khedis s’est déplacé hier au stade du 1er- Novembre pour assister à la rencontre JSK-USMA, mais surtout pour voir éventuellement son rejeton. Malheureusement pour lui, Sid-Ahmed est resté sur le banc de touche. Mohamed Khedis a été accompagné par l’ex- international de l’ES Guelma, Mustapha Seridi.
     
    Saïb donne l’accolade à Zazou
    La rencontre JSK-USMAn était l’occasion pour le latéral annabi Zazou de revoir son ancien entraîneur à la JSK, Moussa Saïb. Les deux hommes se sont donné l’accolade avant l’entame du match.

    Khedis parmi les 18
    Le défenseur central, Sid-Ahmed Khedis a été retenu parmi les 18 joueurs qui ont affronté hier l’USM Annaba. Il n’a pas été toutefois aligné. L’ex-Nahdiste n’a pas été convoqué pour le match face à l’USM Alger.

    Les supporters  du MCA présents !
    Une poignée de supporters du MCA ont fait le déplacement au stade du 1er-Novembre pour assister à la rencontre JSK-USMAn, au moment où les Mouloudéens donnaient la réplique à l’ASO à Chlef. Pour ce groupe qui a fait le déplacement d’Alger, la JSK est leur seconde équipe surtout que le MCA est mal en point.

    Les Kabyles changent de banc
    Les Kabyles ont été obligés de changer de banc de touche hier. Occupés par les visiteurs, les remplaçants de la JSK ont dû céder leur banc habituel et ont pris place sur celui qui est généralement réservé pour les équipes visiteuses. Pour rappel, les Usmistes ont fait de même lundi passé, mais ces derniers ont été priés de changer le banc.

    Ziane s’est entraîné  avec les convoqués
    Les joueurs retenus pour le match d’hier se sont entraînés jeudi matin. Brahim Ziane, non concerné par le match, a participé à ladite séance.
     
    Djabelkheïr et Frioua boudent
    Afin de combler une éventuelle défection le jour du match, Amrani a décidé de retenir deux autres joueurs, Djabelkheïr et Frioua. Ne voulant pas tenir le rôle de «roue de secours», ils ont carrément refusé de faire le déplacement. Un geste qui n’a pas plu à leur entraîneur qui a transmis son rapport à l’administration pour prendre les mesures nécessaires.

    Hamouda sacrifié
    Nabil Hamouda n’a pas été retenu pour cette rencontre face à l’USMAn, alors qu’il était sur le banc lundi passé lors du match JSK-USMA. Il a cédé sa place à Sid-Ahmed Khedis.

    Mazari, deuxième gardien
    Contrairement à la première rencontre de la phase retour, c’est Nabil Mazari qui a été choisi pour seconder Fouzi Chaouchi.

    Hamadou bien accueilli
    Yacine Hamadou semble connaître tout le monde à la JSK. En effet, avant le début de la rencontre, l’ex-Mouloudéen a embrassé tous les joueurs de la JSK ainsi que le staff technique.

    L’attaque rénovée
    L’entraîneur de la JSK a opté pour un nouveau trio d’attaque pour ce match face à l’USMAn. Hemani, Amaouche et Derrag, alignés d’entrée lundi passé face à l’USMA, ont cédé leur place à Athmani, Bensaïd et Oussalah. Ce dernier a seulement changé de poste puisqu’il a joué en tant qu’arrière gauche contre les Rouge et Noir.

    Mezaïr et Zidane  agressent l’arbitre
    Déçus par l’issue du match, mais surtout par la décision de l’arbitre d’accorder un penalty aux Kabyles aux ultimes moments, les deux joueurs de la l’USMAn, Mezaïr et Zidane, n’ont trouvé mieux que d’agresser M. Abdallah, le directeur de jeu. D’ailleurs, cela a  valu a  Zidane son expulsion..

    Les annabis saccagent le vestiaire
    Dans un mouvement de colère, les annabis n’ont pas trouvé mieux a faire que de s’en prendre au vestiaire en cassant les miroirs qui s’y trouvent. 

    Bouacida l’exemple
    S’il y a bien un jouer a saluer côté annabi, c’est bien Kamel Bouacida. En plus de faire de faire-play sur le terrain, ce dernier n’a pas cessé d’exhorter ses coéquipiers au calme après le match. Il fera mieux en allant voir des responsables du stade pour s’excuser des dégâts occasionnés par ses coéquipiers à l’intérieur du vestiaire.

    Par : LE BUTEUR  






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