|
[ Sports/Kabylie ] [ Photos ] [ Famille ] [ Sports/Algérie ] [ Liens/clips/videos ] [ Histoire/Autres ] [ Poésie/Social ] [ Divers ] [ Musique ] [ Culture ] [ Evenements ]
|
|
|
|
JSK: le grand retour ...
31/10/2014 15:55
La JS Kabylie a gagné 4-2 à Bologhine contre le Mouloudia d'Alger avec 30-Doukha – 33-Ziti, 5-Rial, 21-Raiah, 24-Benamara – 16-Ferrahi, 4-Delhoum, 18-Yesli, 8-Kerrar – 15-Ferguene, 11-Moulay...le jeudi 30 octobre 2014.Simplement Bravo!
| |
|
|
|
|
|
|
|
L'Algérie à la 15eme place du classement FIFA...
23/10/2014 15:01
L’équipe d’Algérie réalise un nouveau record et atteint pour la première fois de son histoire le Top 15 du classement mondial FIFA.
Les deux victoires lors de la double confrontation face au Malawi ont permis à la sélection d’engranger 63.57 points supplémentaires et de gagner 5 places, passant ainsi de la 20e à la 15e place.
Les Verts ont ainsi doublé plusieurs mondialistes tels que le Costa Rica, le Mexique, les USA ou encore plus flatteur, l’Angleterre. Au niveau africain, l’Algérie reste logiquement toujours en tête devant la Côte d’Ivoire et accentue encore un peu plus son avance.
Le prochain classement sera publié le 27 novembre, d’ici là les hommes de Chrisitan Gourcuff auront affronté l’Éthiopie et le Mali avec à la clé pourquoi pas deux victoires et un nouveau record.

DZFoot.com
| |
|
|
|
|
|
|
|
Paysages d'automne...
29/09/2014 22:57
| |
|
|
|
|
|
|
|
Meghni : «Jouer la CAN 2015 ? Ce sera difficile»
22/06/2014 19:35
Invité de l’émission «C’est son show» sur Canal Algérie, l’artiste adoré par tous les Algériens s’est livré à cœur ouvert.
Mourad Meghni est revenu sur son parcours avec les Verts. «Algérie-Uruguay fut ma 1re sélection. Je me rappelle du le 5-Juillet. Ça fait toujours plaisir, beaucoup d’émotion et de fierté…», se souvient-il. Devant les images du match Algérie-Egypte, Meghni, ému, dira : «Je garde de bons souvenirs, quel enjeu ! Notre rage de vaincre était sans égale.» Pour le match barrage au Soudan, il dira : «Algérie-Egypte à Oumdurman… c’est le plus beau match de ma carrière. Enfin, c’est celui qui m’a laissé plus d’émotions. C’était quelque chose d’exceptionnel. C’était un match dur», avant d’ajouter : «Je m’énerve et je ne le montre pas. Je sais comment me retenir. Quand j’étais plus jeune, j’étais plus nerveux. Je me suis vite assagi. Je me suis calmé, surtout après être devenu papa».
«Mes amis sont au Brésil, moi je n’y suis pas»
Mais en ce qui concerne celui de cette année au Brésil, il reste zen et explique : « Le groupe qui est au Brésil, je n’en ai pas fait partie. Seulement, je ne cache pas que je suis toujours déçu de ne pas avoir fait partie de la Coupe du monde de l’Afrique du Sud. C’était difficile à digérer… mais je m’y étais préparé, parce qu’après la CAN, j’avais mal au genou, et donc, je le savais déjà.» Une question s’est imposée. Est-il vrai que si vous n’avez pas fait la CAN, vous seriez parti en Afrique du Sud ? disait la journaliste. Meghni répond en déclarant : « Oui, j’aurais eu plus de temps, mais on ne sait jamais, j’avais cœur de participer à la CAN, la 1re compétition avec l’EN, malgré tout, je garde de meilleurs souvenirs.» Meghni assure que si c’est à refaire, il ne changerait rien et déclare : « Au final, je n’aurais rien changé, les 45 jours passés à la CAN et le parcours réussi, je les referais volontiers.»
«Je prouverai à ceux qui m’ont condamné que je ne suis pas fini»
Pour ce qui est de son avenir, Mourad dira avec des yeux brillants. « Je n’ai que 30 ans, mon souci, c’est que j’ai arrêté longtemps à cause des blessures, j’ai eu beaucoup de problèmes… Mais je sais que je vais me remettre pour rejouer au foot. Je remercie tous les gens qui sont restés derrière moi pour me soutenir». En ce qui concerne la CAN 2015, il dira : «Il faut que je me remette, il faut que je trouve un club. Après avoir joué et qu’une place se libère chez les Verts. C’est difficile». Libre de tout engagement, la piste algérienne est-elle l’une des options qu’il a ? Dans ce sens, il dira : « Non, il n’y a rien d’officiel. Je n’ai pas eu de contacts, pour le moment, il n’y a rien, mais je ne compte pas lâcher. Tout le monde me motive, donc je ne vais pas lâcher le foot. Moi, je ne suis pas fini. J’espère que je vais montrer aux gens qui m’ont condamné que je ne suis pas fini.»
-
Z.
-
Source...http://www.competition.dz/article/40005/meghni-jouer-la-can-2015--ce-sera-difficile.html
| |
|
|
|
|
|
|
|
EN Algérienne au Mondial 2014...
21/06/2014 23:41
Le peuple algérien veut voir du foot, du spectacle, une EN portée vers l’avant pas une équipe qui subit le jeu, qui joue timidement et qui se fait battre parce qu’elle n’a pas su croire en elle...le rêve demeure toutefois permis.
Avec l’unique condition de jouer avec un esprit de vrai Algérien.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Tassaft Ouguemoune...Taddartiw...
20/05/2014 19:45
Taddart (pluriel tuddar), le village kabyle, est généralement placé sur une crête (tawrirt) ou un plateau élevé (agwni), emplacement dont souvent son nom rend compte.
Les maisons sont étroitement regroupées de façon à ce que l'ensemble vu de l'extérieur forme un bloc unique.
Cette répartition est sensiblement identique à celle des casbahs.
En élévation, les maisons paraîtront se chevaucher, chaque pignon dépassant le pignon voisin en montant vers le sommet.
Pressées les unes à la suite des autres au long des lignes du relief, elles forment de véritables agglomérations descendant rarement en dessous de cinq cents habitants.
Ce type de village répondait aussi à des préoccupations défensives, avant l'apparition de l'artillerie.
| |
|
|
|
|
|
|
|
LA CRISE BERBÈRE DE 1949...Quelle identité pour l'Algérie?
13/05/2014 04:02
A lire absolument :
LA CRISE BERBERE DE 1949
Portrait de deux militants : Ouali Bennai et Amar Ould-Hamouda.
Quelle identité pour l'Algérie ?
Abdennour Ali Yahia.
Dans cet ouvrage, Me Ali Yahia a voulu rendre justice à quelques grandes figures du Mouvement national exécutées par leurs frères d’armes, sur ordre du CCE, simplement pour avoir contesté le socle identitaire imposé par les instances de la Révolution en escamotant un pan entier de notre identité : sa composante amazighe. L’auteur va particulièrement s’attarder sur une séquence quasiment taboue dans l’historiographie officielle connue sous le nom de «crise berbériste de 1949». Me Ali Yahia préfère plutôt parler de «crise anti-berbériste» qui «a privé les Algériens de leur algérianité». Un anthropologue de la Kabylie ancestrale… Avant d’aborder le cœur de l’affaire, Me Ali Yahia consacre un bon tiers de son ouvrage à la «Kabylie des années 1930», en somme, celle de son enfance, lui qui a vu le jour en 1921 dans le village de Taka (Aïn El Hammam).... Ce préambule ethnographique dit toute la profondeur et l’ancrage de la culture amazighe en suggérant, en creux, la violence de sa négation. Le mémorandum qui divise. Cette négation va se manifester par un document messaliste qui sera à l’origine de la crise. Il s’agit d’un mémorandum d’une cinquantaine de pages, explique Me Ali Yahia, élaboré par le bureau politique du PPA-MTLD en 1948, à la demande de Messali Hadj qui devait se rendre à l’ONU. «Ce mémorandum refuse de donner à l’existence de l’Algérie une origine plus lointaine que l’occupation arabe qui remonte au VIIe siècle de l’ère chrétienne», relève le président d’honneur de la LADDH. Alors que Messali proclamait «l’Algérie sera éternellement algérienne» au stade de Belcourt, en 1936, il soutient dix ans plus tard que «l’Algérie est arabe» en l’arrimant au Moyen-Orient. Me Ali Yahia rapporte aussi comment, en juillet 1949, cinq étudiants PPA-MTLD, en l’occurrence, son frère Saïd Ali Yahia, Mebrouk Belhocine, Yahia Henine, Sadek Hadjerès et Saïd Oubouzar, se fendent d’un contre-mémorandum intitulé : L’Algérie libre vivra, et signé d’un pseudonyme : Idir El Watani. De son côté, le conseil fédéral du MTLD en France fait voter une motion, par 28 voix contre 32, s’exprimant clairement pour une «Algérie algérienne» par opposition à l’orientation panarabiste de la direction du parti. Purges et liquidations physiques sur ordre du CCE. La réaction de l’état-major du FLN-ALN sera des plus sévères. Les militants berbéristes subiront une véritable purge, peu après le début de la guerre de Libération nationale. Ils seront rangés dans le même sac que les Messalistes «qui ont pris les armes contre la Révolution», s’indigne Ali Yahia Abdennour. Il précise, dans la foulée, que Bennaï Ouali et Amar Ould Hamouda avaient pourtant appelé au déclenchement de la lutte armée dès la fin des années 1940, bien avant le 1er Novembre 1954. C’est connu : les révolutions mangent leurs propres enfants…
L’auteur du livre jette un regard décomplexé sur cette partie importante de l’histoire de l’Algérie combattante qui n’a pas manqué d’avoir une incidence certaine sur le mouvement national et les choix idéologiques qui s’y sont opérés depuis. C’est un livre qui réhabilite deux figures historiques du Mouvement nationaliste algérien au destin tragique. Bennaï Ouali et Amar Ould Hamouda, assassinés en pleine guerre de Libération nationale par leurs «camarades», comme le rappellera l'auteur :
- A la mémoire de Ouali Bennaï et de Amar Ould-Hamouda, personnages hors du commun, monuments historiques sacrés d’une grande valeur militante, que l’on peut considérer comme les leaders les plus grands du mouvement national, des guides éclairés assassinés à la fleur de l’âge par leurs pairs, pour avoir porté haut et fort le flambeau de l’Amazighité forgée de larmes et de sang, pétrie de dignité, d’honneur, de fierté et d’éthique. Mourir pour la berbérie –Tamazgha, la patrie, noble et juste cause, présente dans leur vision, leur stratégie, leur esprit et leur cœur, dans leur démarche et dans leur action–, était leur destin. Leur sacrifice final pour cette terre d’Algérie qu’ils ont tant aimée, n’aura pas été vain, leur souvenir sera vivant et le devoir que chacune et chacun doit rendre à leur mémoire, est de poursuivre jusqu’à son terme l’œuvre à laquelle ils ont consacré leur vie jusqu’à ce que la mort les sépare. Ils attendent de nous de vivre pour eux, pour continuer leur combat et le réaliser. Vers leur mémoire montera la gratitude de la nation, qui les honorera et les fera entrer dans l’histoire, le jour où la démocratie aura droit de cité dans ce pays." A. A.Y.
C’est aussi et surtout un manifeste qui redonne à la dimension amazighe sa place naturelle dans une Algérie véritablement «algérienne», tant le combat de ces deux héros se confond avec celui de l’identité amazighe de l’Algérie. Un combat qui a mis au grand jour les contradictions des nationalistes algériens, se transformant en une crise anti-berbériste qui éclata au sein du parti indépendantiste (PPA- MLTD) en 1949. L’auteur du livre, Ali Yahia Abdennour, une autre grande figure du Mouvement de libération et du combat démocratique postindépendance, revisite cette histoire – qui a eu des conséquences dramatiques sur le cours des événements et des valeureux hommes – pour rendre justice aux militants berbéristes qui se sont opposés aux orientations idéologiques arabo-islamiques de Messali Hadj et du bureau politique du PPA-MTLD.
Editions Barzakh, Alger, 2013. 295 pages. Prix éditeur : 850 dinars.
| |
|
|
|
|