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VIP-Blog de kabylie
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  • 58 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
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    "Tidak N’na Fa", Entrevue avec M. Arab Sekhi

    10/02/2007 03:33



    ENTREVUE

    T. Ould-Hamouda : Azul a Mas Sekhi et Bienvenue à Kabyle.com.

    Arab Sekhi :Azul et merci de me donner cette occasion de parler de la pièce et de ce que nous faisons. J’aimerai aussi remercier Kabyle.com pour l’aide qu’il nous donne pour faire connaître nos activités.

    T. Ould-Hamouda : Vous êtes co-réalisateur de la pièce théâtrale en Kabyle "Tidak N’na Fa" qui a eu beaucoup de succès au Canada, pouvez-vous nous raconter comment l’idée vous est venue quant à cette création ?

    Arab Sekhi : Comme vous le savez, je suis membre de l’Acaoh et souvent je suis appelé à animer nos fêtes ou soirées. Au début, j’ai voulu créer un petit sketch de quelques minutes avec l’histoire de N’na Fa, je ne réalisais pas que je m’engageais dans quelque chose de très important et quand j’ai commencé à écrire le sketch, Ce fut comme un déluge, tout ce que j’avais emmagasiné durant mes conversations avec ma grand-mère et avec d’autres vieilles Kabyles a refait surface. Je n’ai pas pu m’arrêter avant de terminer ce qui est devenu une pièce de 2 heures. Quand j’ai fini d’écrire la pièce, j’ai proposé à mon ami Hocine Toulait s’il était intéressé à jouer le rôle du Dr. Il a tout de suite embarqué. Nous avons peaufiné la mise en scène ensemble au fur et à mesure des répétitions. Nous, qui n’avions jamais fait de théâtre de notre vie, ma fille Djouher (l’infirmière) non plus ! Nous avons plongé sans vraiment mesurer dans quoi nous nous embarquions. Quand nous avions pris conscience de toute l’aventure, il était trop tard pour reculer.

    T. Ould-Hamouda : Vous avez interprété le rôle de "N’na fa" avec brio, se mettre dans la peau d’une vieille n’est pas si simple, pouvez-vous nous en parler ?

    Arab Sekhi : J’ai toujours aimé parler avec des vieilles femmes, ma grand’mère en premier. Je n’ai jamais eu le moindre doute sur leur sagesse et leur courage. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour elles. Pendant mes longues heures de conversation, j’ai très probablement absorbé à mon insu, en plus de leur vocabulaire, toute leur gestuelle. Pendant toutes ces années, c’était en moi et quand je leur ai donné l’occasion, toutes ces vieilles se sont manifestées en la personne de Nna FA. Un acteur ne vaut que par ses partenaires. La complicité de mon ami Hocine qui est un médecin plus que nature et de ma fille Djouher, m’a beaucoup aidé. Honnêtement, je n’ai pas eu à me mettre dans la peau d’une vieille, j’ai juste laissé libre cours à mes souvenirs et à mon désir de rendre hommage à celles qui nous ont appris à faire nos premiers pas. Ce que nous oublions souvent.

    T. Ould-Hamouda : Le succès remporté par cette pièce vous encourage-t-il à entreprendre d’autres créations ou adaptations ?

    Arab Sekhi : J’avoue que j’ai été très surpris par l’accueil que la pièce a reçu. cCest un encouragement formidable pour continuer à écrire d’autres pièces. Le public a répondu au-delà de tous mes espoirs. Je peux dire que c’est lui qui, en suivant les acteurs dans les différents registres émotionnels a porté la pièce à bout de bras. Oui certainement on ne peut pas rêver de meilleur début. Je suis déjà en train de travailler sur une autre pièce que nous présenterons l’année prochaine.

    T. Ould-Hamouda :Les anectodes de N’na Fa sont lyriques, comment faites-vous pour garder votre sérieux et ne pas tomber sous le charme du personnage ?

    Arab Sekhi : En fait c’est parce que je suis le personnage et Hocine est aussi complètement dans le sien. C’est vrai que parfois c’est difficile de se retenir, mais les répétitions servent à nous apprendre à nous contrôler.

    T. Ould-Hamouda : Depuis quand avez-vous commencé à faire du théâtre ?

    Arab Sekhi : Je n’ai jamais fait de théâtre de toute ma vie, Hocine et Djouher non plus. La pièce "Tidak n N’na Fa" est la première que nous ayons jamais jouée. Elle a été un véritable déclenchement. Quelque part aussi, j’ai pensé que c’etait le meilleur moyen de rendre hommage à nos grands-mères et j’avais l’impression que je n’avais pas le droit de les décevoir si elles me voyaient. Cela était une grande motivation.

    T. Ould-Hamouda : Quelle a été la difficulté majeure dans l’élaboration de cette pièce et de son interprétation ?

    Arab Sekhi : La difficulté majeure a été de ne pas céder à la facilité en créant un personnage burlesque exagéré dans le seul but de faire rire aux dépens de nos grands-mères. J’ai voulu que le personnage soit authentique, du moins aussi fidèle que possible à toutes ces vieilles femmes qui continuent à habiter mes souvenirs. Mon voeu le plus cher était que toutes ces vieilles que j’ai connues pensent que j’ai été fidèle à ce qu’elles voulaient exprimer depuis longtemps. Étirer les personnages jusqu’à la caricature est une façon de faire rire à peu de frais. Une façon facile mais pas très saine. Mon souci était que le personnage de Nna Fa soit authentique, que les gens reconnaissent leurs grand-mères, leurs mères. En un mot que personne n’ait honte de dire Nna Fa, c’est ma grand-mère.

    T. Ould-Hamouda : "Tidak N’na Fa" est déjà passée 2 fois à Montréal, comment trouvez-vous le public montréalais ?

    Arab Sekhi : Que ce soit à Montréal ou à Ottawa, le contact a été magnifique avec le public. Il a vibré à toutes les nuances de la pièce. Les spectateurs ont immédiatement adopté les personnages, ils nous ont fait le plus beau cadeau dont on puisse rêver en acclamant la pièce. Le public a réagi au quart de tour. Rien ne lui a échappé. C’était incroyable.

    T. Ould-Hamouda : Lors de la dernière présentation à Montréal, une annonce a été faite au public pour la mise en vente prochaine d’un DVD de cette pièce, qu’en est-il ?

    Arab Sekhi : Le DVD est toujours au stade du montage. Nous avons eu une petite difficulté que le producteur, Mohand Benmellat est en passe de régler. Nous espérons qu’il sera disponible très prochainement. Ce que je peux promettre c’est que nous ne lésinerons pas sur les moyens pour faire un produit de grande qualité. C’est notre façon de témoigner de notre respect pour le public.

    T. Ould-Hamouda : En dehors de Montréal, projetez-vous de présenter cette pièce dans d’autres grandes villes (ex. Paris, Alger...) ?

    Arab Sekhi : On n’a pas de projet précis pour l’instant, mais nous avons pensé à notre communauté des États-Unis et nous serons certainement très heureux de la présenter en France ou en Algérie, si l’occasion se présentait.

    T. Ould-Hamouda : Avez-vous des projets de coopération avec des médias pour la promotion et la diffusion de "Tidat N’na Fa" ?

    Arab Sekhi : Certainement si nous devons présenter cette pièce ailleurs, nous serons très heureux de collaborer avec n’importe quel média. Jusqu’à présent tous les médias en ligne que nous avons sollicités nous ont aidés. Ils l’ont fait avec plaisir pour aider notre association, l’ACAOH, qui parraine la pièce. Qu’ils en soient remerciés. J’avoue que voir avec quel empressement ces médias ont répondu à notre appel est une source de satisfaction.

    T. Ould-Hamouda : Le théâtre d’expression amazigh en général et Kabyle, en particulier, est très peu représenté sur la scène culturelle, comment d’après-vous, peut-on remédier à cette situation ?

    Arab Sekhi : Que ce soit pour le théâtre ou pour toute création culturelle, l’ère où les gens lisaient en Kabyle ou regardaient les pièces en Kabyle par pur militantisme, ou parce que c’était en kabyle, est révolue. Notre génération pensait que le premier mérite de toute œuvre en kabyle était d’exister et que toute création culturelle en kabyle devait être encouragée parce que c’était toujours ça de pris sur l’adversité. Chaque création culturelle, parce que tout simplement elle était là, était une petite victoire pour notre culture. Maintenant, c’est différent, pour la jeune génération un livre, une pièce ou même un film en kabyle est une chose normale. Pour les attirer il faut faire de la qualité. Il faut aussi s’adresser à eux certes dans leur langue, mais aussi leur parler de choses qui les touchent. Il est évident qu’une adaptation en kabyle de Roméo et Juliette aura plus de chance de toucher plus de jeunes que celle de La guerre de Troie !

    T. Ould-Hamouda : "La guerre de 2000 ans " de Kateb Yacine est une fresque historique, pensez-vous en faire une adaptation en Kabyle ?

    Arab Sekhi : Ça sera certainement un projet magnifique. Pour le moment, ce n’est pas dans nos projets, mais effectivement, ça pourrait être une très belle expérience.

    T. Ould-Hamouda : Est-il vrai que "N’na Fa" repassera bientôt à Montréal ?

    Arab Sekhi : Beaucoup de monde nous ont fait part de leur désir de la voir ou de la revoir et c’est avec un immense plaisir que nous allons la présenter le 24 février 2007 au Patro-Le-Prévost. Nous sommes impatients d’aller partager ce moment avec notre communauté de Montréal

    T. Ould-Hamouda : En plus du théâtre, vous êtes membre très actif de l’Acaoh, Poète et réalisateur de l’émission "Abruy" à Brtv, comment arrivez-vous à gérer votre temps ?

    Arab Sekhi : Le défi est surtout de gérer ma passion pour la langue Kabyle. Pour le temps, il y a des petites astuces, comme par exemple : prendre l’autobus et non la voiture pour aller au travail et écrire durant le trajet, ou encore se lever à 5 h00 du matin ! Aussi, il y a le fait que la poésie, l’émission "Abruy" ou le théâtre soient les facettes d’une seule passion : l’amour du verbe kabyle. C’est peut être aussi une façon à moi de recréer ma Kabylie dans ma tête. Il faudra aussi ajouter que les encouragements qui me sont témoignés que ce soit par ma famille, mon entourage ou encore les téléspectateurs par courriel, sont un incroyable soutien.

    T. Ould-Hamouda : Comment résumeriez-vous cette première expérience ?

    Arab Sekhi : Cela a été une expérience merveilleuse, d’abord parce que la pièce a été un succès, mais aussi j’ai le sentiment d’avoir rendu un peu de ce que j’ai reçu de toutes les vieilles femmes que j’ai côtoyées dans la vie. Je crois que mon admiration pour nos grands-mères est partagée par tous ceux qui sont venus nous encourager. Je n’ai aucun doute la dessus à voir la façon dont le personnage "Nna fa" a été adopté par tous ceux qui ont vu la pièce. J’ai eu le bonheur d’entendre parfois des personnes émailler leurs discours d’expressions de Nna Fa .

    La pièce "N’na Fa" m’a ouvert un monde merveilleux et pour cela je lui serais éternellement redevable.

    Un autre bonheur que "N’na Fa" m’a apporté, c’est de jouer avec ma fille Djouher qui est pleine de talent et pleine de passion pour sa culture. Ma famille a été le premier public de "N’na Fa", sans elle, je ne sais pas si j’aurai mené mon projet à terme.

    T. Ould-Hamouda : Votre mot de la fin M. Sekhi ?

    Arab Sekhi : Je voudrai remercier tous mes amis de l’Acaoh qui ont fait "leur", le projet "N’na Fa". Un grand merci aussi aux médias et à tous ceux qui nous ont aidé à promouvoir la pièce. Merci au public qui a fait une place à "N’na Fa" dans la communauté. J’espère que nous aurons le bonheur de le voir nombreux ce 24 février à Montréal.

    T. Ould-Hamouda : Tanemirt a Mas Sekhi.

     Entrevue réalisée le 02 février 2007 à Montréal

     Source : http://www.kabyle.com/Tidak-N-na-Fa-Entrevue-avec-M-Arab,11841.html



    Commentaire de claire (23/02/2007 04:34) :

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    Commentaire de Arezki (24/03/2007 02:40) :

    http://www.dailymotion.com/video/x1a9ya_tidak-n-nna-fatv





    Draâ El Mizan : Tamazight langue nationale : une plaisanterie

    30/01/2007 01:33

    Draâ El Mizan : Tamazight langue nationale : une plaisanterie


    En principe après un long combat et des dizaines de victimes, tamazight a été institutionnalisée langue nationale. Cependant, même si elle n’est pas promue à l’échelle nationale, ce qui étonne le plus c’est qu’elle n’arrive même pas à être généralisée sur son propre territoire géographique. Ainsi, quatorze ans après son introduction dans le système éducatif, elle n’est pas encore généralisée dans aucune wilaya : ni à Tizi Ouzou, ni à Béjaïa, ni encore moins à Bouira.

    “Ce ne sont pourtant pas les textes qui manquent”, nous a dit un enseignant de la première heure, qui n’a pas voulu s’étaler sur toutes les autres entraves. Dans la daïra de Draâ El Mizan, elle n’est enseignée que dans trois collèges sur quatorze. “Chaque année, on nous dit qu’il y a de nouveaux postes. Ceci n’existe que sur les cartes scolaires, sinon pour le recrutement, rien. Si on devait attendre les quelques étudiants qui préparent leurs licences, tamazight ne sera jamais généralisée, même dans un seul palier”. “Quant à son introduction en quatrième primaire et dans les lycées, elle ne relève que du domaine démagogique”, a ajouté un deuxième interlocuteur lequel ironise : “Tamazight sera généralisée quand les agneaux auront des cornes comme des béliers”. Pour reprendre la réplique du chacal à l’escargot avec lequel il faisait la course.

    Si nous abordons ce sujet, c’est pour dire aussi, comme le souligne un vieux militant de la cause, que tamazight se trouvait beaucoup mieux dans la clandestinité qu’aujourd’hui. Il y a lieu d’évoquer aussi que tamazight perd de plus en plus le statut qui lui a été donnée dans la Constitution du pays, notamment son article 3 bis. Des plaques annonçant les territoires des communes de la daïra de Draâ El Mizan et de Tizi Ghenif ne sont transcrites qu’en langues arabe et française. “Où est tamazight ?”, S’étonnent les usagers des RN 25 (commune d’Aït Yahia Moussa - commune de Draâ El Mizan), RN 30 (commune de Ain Zaouia - Commune de Boghni) - RN 68 (Commune de Tizi Ghenif-Commune de M’kira)… “Qui a donné ces directives ?”, telle est la question qui revient sur toutes les lèvres. Aussi, si les propriétaires des magasins n’ont pas perdu ce réflexe d’utiliser le tifinagh sur les devantures de leurs boutiques, ils n’en est pas de même pour les services des travaux publics. Il y a lieu de saluer tout de même ce geste des responsables du secteur éducatif de la daïra de Draâ El Mizan lesquels ont placé tamazight aux côtés de l’arabe et du français en installant le fronton devant les services d’inspection de la daïra de Draâ El Mizan.  

    par Aomar Ouramdane

    La Dépêche de Kabylie 30/01/2007



    Commentaire de Samira &, Barbara (30/01/2007 23:05) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    …Juger…c'est de toute évidence ne pas comprendre puisque…si l'on comprenait…on ne pourrait pas juger…André Malraux …Nous vous souhaitons une journée remplie de paix d'amour de bonheurs et de la joie…
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié BIEVENUE SUR MON BLOG

    aimer_ la_ vie





    Yazid BEKKA et Yalla SEDDIKI "Kabylie, belle et rebelle"(Edition Non Lieu)

    11/01/2007 02:07

    Yazid BEKKA et Yalla SEDDIKI


    Depuis plus de 20 ans, Yazid Bekka répond à un devoir de mémoire en photographiant le pays de son enfance : les paysages, les villes, les objets, et surtout les hommes, les femmes, les enfants, saisis dans leurs activités quotidiennes, dans les moments de fête ou dans l'intimité familiale. Il nous fait pénétrer ici dans l'âme de la Kabylie, une âme que depuis toujours les poètes ont cherché à saisir. Leurs plus belles pages sont dès lors conviées à dialoguer avec les photographies. Et ainsi textes et images collaborent pour brosser le portrait d'une Kabylie belle et rebelle.

    Textes en édition bilingue (français-kabyle) de Si Mohand ou Mhand, Cheik Mohand, Jean Amrouche, Tahar Djaout, Slimane Azem, Lounès Matoub, . traduits et présentés par Yalla Seddiki.


    Beau livre relié de photos de Yazid Bekka et de textes en édition bilingue (français-kabyle), traduits par Yalla Sediki.

                                         
    Livre disponible à l'Acb *au prix de 40 ?


    "Kabylie, belle et rebelle"
    2006, 160 p., Edition Non lieu

    *********************

    *Association de culture berbère (ACB)

    37bis rue des Maronites - 75020 - Paris

    Tel : 01 43 58 23 25

    Fax : 01 43 58 49 75

    Mail : acb@noos.fr

    Site : http://www.acbparis.org/



    Commentaire de aimer_la_vie (17/01/2007 23:25) :

    Azul...merci pour ta visite...ton blog est très riche et beau... j'ai encore pas tout vu... bon continuation...Bon jeudi… La vie ne doit pas être une lutte, ni un combat, elle est ce qu’elle est, soit un cheminement Naturel universel…. Nous te souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie….bisous… Barbara…


    Commentaire de aimer_la_vie (18/01/2007 23:53) :

    Bonsoir…Bon vendredi …Si les rêves n’existait pas… beaucoup des choses n’aurait alors jamais été découvertes… … Nous te souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie…Samira & Barbara amies pour la vie…bisous…avec tout notre amitie


    Commentaire de claire (21/01/2007 16:04) :

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par hiboox.combon dimanche atoi merci de ta visite bye gina

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    Commentaire de claire (29/01/2007 05:39) :

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par hiboox.combonne semaine a toi bye gina

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    L’agenda Berbère

    07/01/2007 07:29

    L’agenda Berbère


    L’agenda berbère de Mohand Akli Haddadou sera disponible le 1er Yannayer ;

     
     
     
     


    Commentaire de Chanou (08/01/2007 14:48) :

     

    Bon début de semaine!!

    Gros bisousss!!

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    Commentaire de claire (09/01/2007 04:39) :

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    Commentaire de claire (10/01/2007 05:02) :

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    Commentaire de claire (11/01/2007 05:25) :

    bon jeudi a toi bisous gina

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    Commentaire de claire (12/01/2007 05:27) :

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    Commentaire de claire (15/01/2007 06:01) :

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    Commentaire de claire (17/01/2007 05:45) :

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    07/01/2007 04:21



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    Entrevue avec T. Ould-Hamouda, Responsable de Tafsut - Canada

    30/12/2006 17:25

    Entrevue avec T. Ould-Hamouda, Responsable de Tafsut - Canada


    Notre seul objectif est de faire connaître et de préserver notre culture

    Entrevue avec T. Ould-Hamouda, Responsable de Tafsut - Canada

    TAFSUT est un groupe de Chants et de danses de Kabylie. Crée en 2001, pour la promotion et la sauvegarde de notre culture, TAFSUT n’arrête pas de nous étonner que ce soit par son sérieux que par ses participations à divers spectacles québécois et canadiens.

    Nous vous livrons ici, une entrevue réalisée avec sa Fondatrice-Coordonatrice

    Lamia Salhi Debbih :
    Quand et dans quelles circonstances TAFSUT a été créée ?

    Tassadit Ould-Hamouda :
    Tafsut a été créee et enregistrée officiellement en 2001. Le vide culturel, le manque de représentativité kabyle de l’époque, nous a interpellé à créer cette association.

    Votre association participe à diverses représentations culturelles montréalaises et canadiennes. Quel est votre parcours et comment avez-vous réussi à être une structure très connue au Québec ?

    Ce qui nous a fait connaître à travers le Québec, c’est simplement notre sérieux et notre persévérance à continuer malgré les différentes embûches rencontrées sur notre chemin.

    Pour les danses, nous travaillons très fort. Nous faisons des pratiques au moins 2 fois par semaine. Nous accordons une importance primordiale aux chorégraphies que nous créeons nous-mêmes pour qu’il n y ait pas une redondance dans le style de danse.

    Nous délaissons un peu le côté folklorique, nous nous attachons surtout à faire revivre nos us et coutumes ancestraux avec des mises en scène bien étudiées, voir par exemple : les danses "Thala", "S Sendu", "Tiwizi", "la noce Kabyle", "La valse Kabyle", etc... et bien sûr, il nous arrive aussi d’apporter quelques touches inspirées d’autres pays à nos chorégraphies.

    En ce qui concerne la chorale, nous travaillons par étapes : Il nous arrive de préparer tout un répertoire de chansons genre "Urar lxalat". Lors d’un hommage à un artiste, nous reprenons quelques chansons de son répertoire (ex. Chérif Kheddam).

    En outre, nous improvisons avec l’ensemble de la troupe des chansons soit en solo, soit des choeurs pour accompagner certains artistes (Ex. "Bella Ciao de Ferhat).

    Enfin, pour la musique, nous apportons toute l’aide que nous pouvons pour lancer les artistes Kabyles nouvellement installés au Canada. Et à chaque fois que quelqu’un nous contacte, c’est avec joie que nous l’accueillons et lui offrons toute la visibilité nécessaire afin qu’il puisse se faire une place.

    Par curiosité, quel est le profil faut-il avoir pour faire partie de votre structure ?

    TAFSUT est ouverte à tous et toutes (ados et adultes). Actuellement nous comptons plusieurs filles du secondaire et du CEGEP. Nous avons aussi plusieurs femmes parmi nous.

    Concernant les jeunes enfants, nous avons pris un temps d’arrêt pour des raisons de disponibilité, mais nous reprendrons incessamment.

    Plusieurs parents nous ont contacté pour inscrire leurs enfants, nous leur demandons de patienter, le temps de bien nous préparer.

    Quels sont vos objectifs à venir, avez-vous des rêves que vous voulez réaliser ?

    Nous n’avons pas d’ambitions démesurées, notre seul objectif est de faire connaître et de préserver notre culture ancestrale et si possible de la transmettre à nos enfants afin qu’ils n’oublient jamais nos origines dont on est fiers.

    Il y a de celà quelques mois, vous avez reçu un trophée de la diaspora Kabyle de Montréal, de quoi s’agit-il et sans doute, en avez tiré une grande fierté ?

    C’est tout à l’honneur de l’Association des At-yiraten du Canada d’avoir ouvert ce créneau, qui jusqu’ici était inexistant dans notre communauté du Canada. Je ne peux que les remercier encore pour cette distinction qui m’a beaucoup émue.


    Quels sont les spectacles canadiens auxquels TAFSUT a participé ?

    TAFSUT a participé à de grands spectacles, tels que : "Montréal en Lumière", "Noces du Monde", "Festival Montréalais de la danse", Festival Tumbuktu, "Vues d’Afrique", "La gigue en Fête" de la Beauce, etc... Je ne peux tous les citer...

    TAFSUT, célèbre à chaque année, tous les évènements reliés à notre culture. Elle est organisatrice, depuis 6 ans consécutifs, de la Fête Nationale du Québec.

    Les costumes que les membres de votre groupe portent sur scène ont été fortement remarqués lors du dernier spectacle. D’où vous proviennent-ils ?

    Pour les danses traditionnelles, nous utilisons les costumes kabyles de la région des Ouadhias que nous trouvons très beaux et représentatifs de la Kabylie.
    Pour les danses avec chorégraphies modernes, nous utilisons des tenues propres à TAFSUT que je confectionne moi-même.

    Il y a certainement des gens qui aimeraient se joindre à votre groupe ou inscrire leurs enfants, le cas échéant, comment peuvent-il vous contacter ?

    Ils peuvent tout simplement nous écrire à l’adresse courriel suivante : tafsut_montreal@yahoo.ca ou se présenter au Centre Afrika (Lieu de nos pratiques) qui est situé au 1644, rue St-Hubert, Métro Berri-Uqam.

    Tafsut fêtera bientôt Yennayer... ?

    Tassadit Ould-Hamouda :
    Oui, TAFSUT célèbre Yennayer Dimanche 07 janvier à partir de 14h30. J’aimerai souhaiter une "Bonne et Heureuse année" et "Yennayer Ameggaz" à tous.

    J’en profite de cette occasion pour remercier toutes les personnes qui nous aident et nous apportent à chaque fois leur soutien.

    Une pensée particulière à Rosa, membre de Tafsut, actuellement en Kabylie à Bgayet et qui vient de convoler en justes noces - Beaucoup de bonheur et de joie.

    Mes remerciements aux membres de Tafsut ( Lydia, Sonia, Melissa, Fella, Ludmilla, Lynda, Lamia, Elvire, Oumlkhir, Nora, Imane et Mira ainsi qu’à leurs parents) qui s’investissent énormément. Remerciements à ma famille qui m’a aidé à prendre conscience, très jeune, de l’importance de ma culture.

    Merci beaucoup Tassadit.

    Entrevue réalisée par Lamia Salhi Debbah de Radio-Centre-Ville le 25 décembre 2006



     

    Source : http://www.kabyle.com/Notre-seul-objectif-est-de-faire,11589.html#forum






    Le Centre Amazigh de Montréal à la Fête des Enfants de Montréal

    15/12/2006 21:20

    Le Centre Amazigh de Montréal à la Fête des Enfants de Montréal


     Voir l'Album photos  : http://www.berberes.com/album_photo/album_cam06/index.html





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