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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal
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    Retour sur le succès de "Tidak N na Fa", un théâtre kabyle au Canada

    25/10/2008 15:46

    Retour sur le succès de


    Tidak N na Fa recevra très prochainement le "Prix de la meilleure réalisation amazighe" de la dernière décennie. Présentée pour la 4ème fois à Montréal, la pièce fait toujours salle pleine.
    Pleine d'humour et de sagesse, elle nous transporte durant un laps de temps, vers nos villages où l'on retrouve nos grands-mères et nos mères si loin de nous.

    Kabyle.com Montréal : Azul a Mas Sekhi , Bravo pour le succès remporté par votre pièce de théâtre « Tidak n Nna Fa »...

    Mas Sekhi : Azul. Merci à vous d’informer le public de ce qui se passe sur la scène culturelle au Canada et de faire connaître notre travail. Vous êtes le lien entre le public et l’artiste et sans le public aucune œuvre, aussi exceptionnelle soit elle, n’existerait. Ici au Canada, et de façon générale dans tous les autres pays d’accueil, notre public est forcément restreint. Une bonne information est encore plus indispensable. Merci de contribuer à la diffusion de l’information sur la création artistique.
     
    Votre pièce, présentée pourtant pour la 4ème fois à Montréal, vient de remporter un succès fou à voir le nombre de personnes venues et surtout les DVD qui se sont envolés en l’espace d’un laps de temps, comment prenez-vous ce succès ?
     
    Je le prends comme un encouragement à continuer et à mieux faire. Quand le public répond, cela veut dire qu’on est sur la bonne voie. Ce n’est pas rien quand on sait que l’art, surtout lorsqu’il s’agit de théâtre, passe par des chemins très escarpés et sans les encouragements du public, il n’est pas facile de continuer à penser que le chemin puisse un jour déboucher quelque part.
     
    Vous avez évoqué l’accueil que le public a fait à la pièce « Tidak n Nna Fa », je voudrais mentionner que durant les quatre représentations, les acteurs et le public étaient en communion. Il a été complice sur tous les registres de l’émotion, il a embarqué dans les moindres nuances. Durant la dernière représentation, le public nous a réservé une surprise de taille! Durant le deuxième acte, lorsque Nna Fa évoquait à sa façon l’admirable courage de nos grand-mères, il y a eu spontanément une salve de taghratin (youyous) dans la salle. C’est un moment qui compte dans la vie d’un artiste.
     
    Les différentes représentations m’ont aussi confirmé qu’il ne faut jamais sous- estimer la capacité du public à saisir les nuances. Il n’a pas besoin qu’on lui tienne la main. Ou sinon, c’est que quelque chose ne va pas dans l’œuvre elle-même.
               
    Nul ne peut vous remplacer dans l’interprétation du rôle de la vieille, pouvez-vous nous expliquez, sachant que vous n’avez jamais fait l’école de théâtre, d’où vous vient « ce don naturel» ?
     
    Aucun des acteurs de « Tidak n Nna Fa », n’a jamais fait de formation. En fait, je vais vous faire un aveu : ni Hocine Toulait ni Djouher Sekhi ni moi-même n’avons jamais fait de théâtre de notre vie avant « Tidak n Nna Fa »! Quand j’y pense je me dis que c’était plutôt téméraire. Mais ne dis-t-on pas que la foi soulève des montagnes? Pour ma part je crois que notre cerveau fonctionne comme une éponge et qu’il enregistre bien des choses à notre insu : des expressions, des mimiques, des attitudes et des intonations…
    C’est ce qui s’est passé pour moi. J’étais très proche de ma grand-mère et par ricochet, proche des vieilles personnes en général. Une fois que le lien de confiance est établi, c’est incroyable les trésors que l’on peut découvrir pour peu que l’on enlève ses lunettes de lettré et que l’on épouse leur perspective et leur interprétation de la vie. On interprète les choses et la vie en général selon les outils dont on dispose. C’est ça la différence. Et une interprétation en vaut une autre. Puisque vous évoquez la façon dont a été interprété le personnage de Nna FA, je voudrai ajouter que toute la pièce est un hommage à nos grand-mères et je pensais que l’ultime façon pour moi de rendre hommage à la mienne était de jouer moi-même le rôle de Nna Fa. Je suis heureux que le public ait senti cet élan et qu’il m’ait approuvé en quelque sorte.
     
    Votre performance incroyable dans l’utilisation du verbe kabyle que ce soit en poésie, en proverbes ou carrément dans les jeux de mots a impressionné plus d’un, comment arrivez-vous à manier avec une telle facilité  notre langue?
     
    Je dirais que c’est parce que j’ai toujours senti que les vielles personnes ont à dire beaucoup plus que nous leur prêtons. Si on est conscient de cela (ceci est encore plus vrai dans le cas de notre langue) et pour peu que l’on ait un peu l’amour des mots, cela vient tout seul. Oui je pense que le secret c’est de voir la magie des mots et d’aimer sa langue sans complexe. Avec ses carences et ses miracles, comme toutes les langues en somme. Il y a aussi une question d’attitude : considérer les langues comme complémentaires et non exclusives surtout lorsqu’on est bilingue par la force des choses comme c’est notre cas.    
     
    Avez-vous présenté  "N na Fa" ailleurs qu’au Canada ?
     
    Non pas encore. Nous sommes en contact que ce soit pour l’Algérie, la France ou les États-unis, mais nous demeurons ouverts à toute proposition. Le souhait de toute l’équipe et de faire voir la pièce à un maximum de gens. Nous espérons que Nna Fa ait une longue vie et qu’elle soit adoptée comme grand-mère par beaucoup de monde.
     
    A votre avis, comment se porte le théâtre kabyle?
     
    J’espère que dans l’avenir nous parlerons de théâtres Kabyles. Je veux dire qu’il va se diversifier comme l’a fait la chanson et la poésie. Pour ma part, je ne me sens pas capable de parler du théâtre kabyle, mais mon désir et de pouvoir contribuer aussi modestement que cela puisse être. En ce qui me concerne, je pense que lorsqu’on écrit, du théâtre ou autre chose, on doit suivre son instinct, sans se préoccuper de genre ni de forme. C’est au public de faire le tri.
     
    Quelle est votre prochaine pièce de théâtre?
     
    Elle est prête. Nous allons commencer les répétitions bientôt. Bien que l’humour soit toujours omniprésent, elle va évoquer certains des problèmes qui nous affectent que cela soit au niveau individuel ou au niveau social : le manque de communication, la place de la femme, le conflit des générations, le traditionnel et le moderne, la place de la langue…Mais toujours dans l’humour, ce merveilleux véhicule qui permet parfois des raccourcis de cœur à cœur .
     
    Serait-elle bientôt disponible sur scène ?
     
    C’est une pièce avec 5 personnages, ce qui rend la mise en scène et la préparation un peu plus complexe que pour « Tidak n Nna Fa ». Peut être ce printemps, peut être un peu plus tard. 
     
    D’autres projets en vue ?
     
    Oui, certainement. J’ai un livre, en kabyle, chez un éditeur. C’est un livre qui en partie reprend quelques textes qui ont servi de base à l’émission « Abruy » diffusée sure la télévision berbère, ainsi que beaucoup de textes inédits. Le livre s’appelle d’ailleurs « Abruy…tirect ». J’espère qu’il sera bientôt disponible. J’ai aussi quelques autres projets pour le théâtre.
     
    Votre mot de la fin M. Sekhi ?
    Merci à tous ceux qui ont aidé a promouvoir la pièce « Tidak n Nna Fa » et qui n’ont pas ménagé leurs efforts. Je parle aussi bien des individus que des sites web ou des radios. En ce sens, l’aventure « Tidak n Nna Fa » est un superbe exemple d’entraide. Bien entendu, tout cela ne serait qu’un rêve sans le public.
     
    Tanmirt a  mas Sekhi.
    Entrevue réalisée le 18 octobre 2008 - Par T. Ould-Hamouda
    (Après la présentation de « Tidak n Nna Fa »)
     


    Commentaire de gina (27/10/2008 16:45) :

    Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuitBonne semaine a toi .Pluie au quebec et j.ai perdu la tete aie aie pas gentil lui au secours booooo croquebec .

    http://gina vip bog




    Les Oliviers et le Djurdjura...en Kabylie...

    13/10/2008 16:16

    Les Oliviers et le Djurdjura...en Kabylie...


    Source : http://quebec.kabylie.dzblog.com/photo-965-090205-37-oliviersetdjurdjura_jpg.html






    JSK 3 - Al Merreikh 1 : A 1 point de la finale !

    06/10/2008 05:22

    JSK 3 - Al Merreikh 1 : A 1 point de la finale !


    Stade du 1er Novembre (Tizi Ouzou)
    Affluence : Nombreuse
    Arbitres : Atsoo Kokou, Djoukere Biaigui, Ayena N. Mathias (Togo)
    Buts : Demba ( 60’), Ouznadji (62’), Nasr Eldin Omar (C.S.C 74’) (JSK) ; Al Zahra (89’)
    (Al Merreikh)
    Avertissements : Ouznadji (62’)(JSK) ; Balaa (68’)(Al Merreikh)

    JSK
    Chaouchi, Boukria, Meftah, Demba, Coulibaly, Abdeslam, Maroci (Dehouche 78’), Berramla, Bensaïd (Ouznadji 58’), Amaouche (Oussalah 82’), Oussalah.
    Ent : Ifticen

    Al Merreikh
    El Hadi, Balaa, Musa, El Kheder, Attia, Eldoud, Nasr Eldin Omar, Mogahid, El Zahra, Agab (Tambal 57’), Idahor.
    Ent : Krugger

    Vainqueur hier des Soudanais d’Al Merreikh, la JS Kabylie prend la tête du groupe B et n’a plus besoin que d’un seul point pour disputer la finale de la Coupe de la CAF. La première mi-temps est, comme attendue, très serrée. Al Merreikh quadrille très bien le terrain et empêche les Kabyles de développer leur jeu. Intraitable sur les balles aériennes, la défense soudanaise oblige les Kabyles à user de transversales et de jeu direct. C’est d’ailleurs sur un centre-tir que Berramla a failli surprendre le gardien de but adverse à la 4’. Les Soudanais ne se contentent pas de défendre. Procédant par des contres enclenchés par Ala Ezzahra, ils se montrent dangereux, notamment à la 22’ lorsqu’un centre à ras de terre venu de la gauche vers le deuxième poteau voit un attaquant d’Al Merreikh, seul face à Chaouchi, rater lamentablement. Les Kabyles ne parviennent pas à déjouer le système tactique adverse, basé sur le physique et le pressing. Presque toutes les actions de la JSK sont à base de tirs lointains : une frappe lourde de Coulibaly que le gardien de but d’Al Merreikh repousse difficilement (32’), un tir en force vers le point de penalty sur lequel Bensaïd, surpris, rate sa reprise (38’), une reprise de volée admirable de Oussalah qui passe au-dessus (45’+2). La seconde période commence comme la première, avec une propension au jeu long. Pourtant, c’est sur une balle arrêtée que viendra le premier but : un corner de Demba est imparablement repris de la tête par Demba au point de penalty. C’est la délivrance, car après le nul de la veille entre Asante Kotoko et l’ES Sahel, la victoire suffit même par la plus petite des marges. Cependant, les Kabyles ne se contentent pas de cet acquis. Ils aggravent le score deux minutes plus tard par Ouznadji qui, échappant au piège du hors-jeu, suite à une passe de Maroci, se présente seul face à Akram Al Hadi et, après l’avoir désarçonné d’une feinte, met le ballon hors de sa portée (72’).  C’est le délire dans les gradins. Les joueurs d’Al Merreikh s’énervent et font preuve d’agressivité, mais l’arbitre se montre complaisant. A la 72’, Meftah amorce une contre-attaque et remet à Oussalah dont la frappe est détournée par le gardien de but en corner. Le coup de coin est tiré après un arrêt de jeu et Coulibaly, dans la même position que Demba sur le premier but, reprend de la tête et le ballon s’écrase sur la transversale avant de revenir en jeu percuter un défenseur soudanais et rentrer dans les filets (74’). La note est salée et la JSK baisse la vigilance et tombe dans le piège de la facilité, ce qui permet à Al Merreikh de réduire la marque à la 84’ par Ala Ezzahra d’une tête plongeante, alors qu’il est complètement démarqué. Les Soudanais auraient pu ajouter un autre but à la 88’, après une bourde monumentale de Chaouchi. Ouznadji a failli corser l’addition à la 90’, mais sa reprise acrobatique passe largement au-dessus de la transversale. Les Kabyles décrochent une victoire amplement méritée, même si elle a été longue à se dessiner. Ils devront désormais bien négocier leur dernier match à Sousse face à l’ES Sahel, Al Merreikh et Asante Kotoko étant hors course dans tous les cas de figure.
    A. A. A

    Ifticen : «Nous irons à Sousse pour ne pas perdre»
    «C’était très dur pour nous en première mi-temps, car l’équipe d’Al Merreikh évoluait avec trois rideaux défensifs difficiles à franchir. Nous avons changé notre schéma de jeu en deuxième période, ce qui a fait sauter le verrou adverse. Le but de Demba nous a fait énormément de bien et nous a permis de jouer plus à l’aise, surtout que les Soudanais se sont découverts derrière. A présent, il faudra ne pas perdre à Sousse.»

    Al Adjab : «La JSK était meilleure que nous»
    «Je pense qu’il n’y a rien à dire : la JSK était meilleure que nous ce soir. Elle nous a dominés, surtout en deuxième mi-temps, et a su concrétiser son ascendant. Abstraction faite de toute la pression ayant entouré le match, elle méritait la victoire. Je le reconnais sportivement.»

    Coulibaly : «C’était l’Aïd  pour nous !»
    «Franchement, nous ressentons une joie indescriptible. Nous n’avons pas pu fêter l’Aïd avec nos familles mercredi dernier, car nous préparions le match. Mais ce soir, c’est l’Aïd pour nous ! En première mi-temps, nous étions crispés, mais nous sommes revenus avec de meilleures intentions en deuxième période. Nous avons su faire la décision quand il le fallait.»

    Balaa a failli faire dégénérer la partie
    La rencontre a été caractérisée par un grand engagement physique tout en restant à la limite de la correction. Mais il s’est trouvé un joueur qui a failli mettre le feu aux poudres. Balaa, puisque c’est de lui qu’il s’agit, après avoir touché au visage Ouznadji, n’a pas trouvé mieux à faire que de bousculer un autre joueur kabyle. Ce qui a poussé les autres joueurs à réagir donnant ainsi lieu à une grande bousculade. Il a fallu l’intervention de Hannachi pour calmer ses joueurs.  

    Dehouche sacrifié
    Afin de jouer la carte de l’offensive, l’entraîneur de la JSK a décidé d’aligner un attaquant supplémentaire. C’est ainsi que Younès Ifticen a dû sacrifier un milieu de terrain, en la personne de Nassim Dehouche.

    Demba était là
    Incertain à cause d’une blessure au niveau de l’épaule contracté lors de la séance d’entraînement de vendredi, Barry Demba a finalement répondu présent pour cette rencontre.

    Derrag non retenu
    Mohamed Derrag a également fait les frais des choix de l’entraîneur kabyle. En effet, l’attaquant kabyle n’a pas été retenu parmi la liste des 18.

    Un des projecteurs à lâché
    A quelques minutes de la fin de la première mi-temps, les projecteurs du pylône qui se trouvent du côté du virage dit de l’hôpital se sont éteints. Mais cela n’a pas empêché le match de se poursuivre, car la visibilité n’était pas nulle. Au début de la deuxième mi-temps, tout est rentré dans l’ordre.

    Les Kabyles de tout cœur avec les Mozabites
    Lorsqu’il s’agit de Coupe d’Afrique, la JSK ne représente pas seulement le club ou la région de la Kabylie, mais c’est tout un pays dont elle devient le porte étendard. C’est dans cette optique que le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, a décidé d’une louable initiative, profiter de cette rencontre pour avoir une pensée aux  victimes des récentes inondations qui ont touché la ville de Ghardaïa, en demandant à ce qu’une minute de silence soit observée avant le match. Dans le stade, on pouvait aussi voir une banderole sur laquelle il y avait l’inscription suivante  : «La JSKabylie solidaire avec Ghardaïa». L’on se souvient qu’en 2001, après le sacre de son équipe en finale de la Coupe de la CAF face à l’ES Sahel, le trophée a été dédié à la mémoire des victimes des inondations de Bab El Oued.

    La recette du match pour les victimes des inondations
    Le président de la JSK ne s’est pas contenté de demander à ce qu’une minute de silence soit observée à la mémoire des victimes des récentes inondations qui ont touchés la ville de Ghardaïa. En effet, il a décidé aussi que la recette du match JSK-Al Merreikh soit remise aux instances de la wilaya de Tizi Ouzou pour que celles-ci la transfère vers la wilaya de Ghardaïa pour être versée aux familles des victimes des inondations.    

    «Hadj Lakhder» et Kamel Bouakaz en vedettes
    Parmi les présents au stade du 1er-Novembre, il y en avait deux qui sortaient de l’ordinaire, puisqu’ils ne font pas partie de la famille sportive, mais qui sont des habitués du petit écran, notamment durant le mois de Ramadhan. Il s’agit de Lakhder Boukhers, alias «Hadj Lakhder» et Kamel Bouakaz, deux personnages clés de la série comique "Imarat Hadj Lakhder".

    Les Soudanais auraient tenté d’arranger le match
    Gravissime serait le geste de la part du chauffeur de la délégation soudanaise qui se serait approché de la direction de la JSK, afin de lui proposer un deal dans le but d’arranger le match en contrepartie de la somme de 40 000 dollars. Ce bonhomme aurait avancé comme argument le fait que la JSK n’avait aucune chance de gagner à Sousse, alors qu’Al Merreikh a toutes les siennes de passer en finale de la cette compétition, puisqu’il joue à domicile lors de la dernière journée. Une proposition qui aurait été bien évidemment refusée de façon catégorique de la part de la direction kabyle.

    Hannachi  : «Même si on m’offrait le Darfour, je ne vendrais jamais l’honneur de l’Algérie»
    Après le match, on s’est approché du premier responsable kabyle pour lui demander son avis sur cette affaire. «Moi, je ne suis au courant de rien. Mais je sais une chose. Si on  m’offrait tout le Darfour et tout l’or du monde, je ne vendrais jamais l’honneur de l’Algérie. La JSK a toujours joué pour le drapeau de ce pays et ce n’est pas aujourd’hui que nous allons déroger à cette règle», nous dira Hannachi.
    A.H 

    Ouznadji suspendu  face à l’ES Sahel
    Auteur du deuxième but, Nouri Ouznadji a fêté son but en enlevant son maillot, à l’image de ce que font la plupart des joueurs. Ce geste lui a valu bien évidemment un avertissement qui lui coûtera cher, puisqu’il sera suspendu pour le prochain match face à l’ES Sahel dans deux semaines.

    Les Soudanais ont réclamé l’arrêt de la partie
    Juste avant le début de la deuxième mi-temps, les dirigeants d’Al Merreikh sont restés un bon moment à palabrer avec les officiels de la rencontre au sujet des projecteurs qui se sont éteints, juste avant la fin de la 1ère mi- temps, demandant à ce que la partie soit arrêtée.

    Par : LE BUTEUR

    Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/10/06/3581121



    Commentaire de Arezki (19/10/2008 02:19) :

    Coupe de la confédération.... La JS Kabylie éliminée.......................... La JS Kabylie, ne jouera pas la finale de la coupe de la Confédération. Les Kabyles auxquels un nul suffisait pour accéder au dernier tour , n'ont pas réussi a réaliser cet exploit samedi à Sousse en s'inclinant par 2/0 devant le club tunisien de l'ES Sahel, les buts ont été inscrits par Jemal (12') et Nefkha (90'). L'équipe algérienne a vu l'expulsion deux de ses joueurs Maroci à la 52' et Meftah à la 90'.

    http://www.jskonline.com

    Commentaire de Soleildevie (26/10/2008 17:23) :

    COUCOU ME revoilà Hum... Tu trouves ça difficile de sauter en bas de ton lit le lundi matin ? Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit Avant, j'étais comme toi... Avant que... ...avant que je rencontre une personne amputée de ses deux jambes ! Maintenant... le lundi pour moi, c'est le commencement d'une merveilleuse aventure qui va durer 7 jours. Allez ! Hop ! Embarque dans tes culottes ! Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuit Bonne semaine ! GROS BISOUS MARTINE





    JSKabylie...2008/2009

    29/09/2008 03:17

    JSKabylie...2008/2009


    JSK TUKLAL

    AFUD N YAL

    AQVAILI “

    Arezki

    Le Nouvel an berbère (Yennayer Imazighen) 



    Commentaire de Thamazight (29/09/2008 16:33) :

    proverbe kabyle: **Vivre le jour le jour sans penser au lendemain **Vise toujours la lune, même si tu rates, tu atterriras parmi les étoiles. **Si tu as de nombreuses richesses, donnes de ton bien ; si tu possèdes peu, donne de ton cœur **Si la chance veut venir à toi, tu la conduiras avec un cheveu ; mais si la chance veut partir, elle rompra même une chaîne **Sauf mon père et ma mère, tout le monde ment **Les dents ont beau rire, le coeur sait la blessure qu'il porte **Les voiles des coeurs sont déchirés quand les coeurs se regardent en face ** Celui qui t'enseigne vaut mieux que celui qui te donne **Celui qui possède un métier est comme celui qui possède un château-fort **Celui qui passe la nuit dans la mare se réveille cousin des grenouilles ** Celui que le serpent a piqué prend peur d'une simple corde **Celui qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles





    Hommage a Lwennas by buzitwar :Lwennas MATOUB Ma sughegh version rare

    29/09/2008 02:33





    Lwennas MATOUB Ma sughegh version rare
    http://www.dailymotion.com/video/x5r568_lwennas-matoub-ma-sue-version-rare_news

     






    Tamedit n-was : C'est notre berceau que chante Lounis...

    20/09/2008 13:15

    Tamedit n-was : C'est notre berceau que chante Lounis...


    Ils sont nombreux les artistes : chanteurs , peintres qui ont rendu hommage à cette région magnifique qui est notre berceau ,, mais aucun hommage je peux le comparer à ce poeme qui est le texte de la chanson de Ait-Menguellet ,( tamurt-iw : ma région , mon pays , ou ma terre )

    C'est notre berceau que chante Lounis...


    Tamedit n-was

    d-dduh’-nneγ (γe)f i ncennu,
    atan di tegnaw yulli,
    d-mmi-s andda yebγa yeddu,
    di t’iq at i dd-yemekti,

    mi ns’ebb(e)h’ γef idurar-im,
    a tamurt-iw,
    ad aγ tiz’id’ tmuγli,
    (a)ruh’ yeččudd s-akal-im,
    a tamurt-iw,
    siwa yes i(gg) yettili,

    mi nebεed fell-am,
    d-lxiq i dd-yerzen degg wulawen,
    wa yettmekt-i-dd acewiq,
    wa yettxayel-dd isafen,

    mi ns’ebbeh’ (γe)f idurar-im,
    a tamurt-iw,
    ttakken-aγ-dd tazmart nsen
    (a)ruh’ yeččud s-akal-im,
    a tamurt-iw,
    akal-nni iγ dd-yesekkren…


    akk awiγ sangga nh’as akk d-dehb mlalen,
    akk awiγ sangga tirugza d lεib ttlalen,
    akk awiγ sangga ur yekkat lmizan s-allen,
    wezn akken ik yehwa, ur tettafed’ lğğiha ay malen,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan,


    ma yella tebγid’ γuresn i wakken a dd-gemd’ lqiq,
    ma yella tebγid’ γuresn i wakken at uzured’ rqiq,
    ma yella tebγid’ at εeddid’ s-tehri di t’iq,
    akk nγen degg id’, sebh’ akk i dd-awin d-acewiq,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan,


    at walid’ nnif, winnakken (γe)f id ak h’kkan,
    at walid’ lh’if yettruz’un irggazen ur knan,
    at walid’ asif anddakken ur uzlen waman,
    at walid’ asif anddakken yettazal laman,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan,


    at zerd’ udmawen amek i ten qazen wusan,
    at walid’ allen ad ak i dd-yeh’kkun kra yed’ran,
    at zerd’ ifasen andda leh’un idamen yerγan,
    at zerd’ id’aren, wid i kerfen segg wakken lh’an,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan,


    akk awiγ sangga arih’a n-lwerdd d-amkkan-is,
    akk awiγ sangga arih’a n-lbarud’ d-arfiq-is,
    akk awiγ sangga arih’a las’el d-axxam-is,
    akk awiγ sangga arih’a n-tegmatt d-akal-is,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan,


    at zerd’ lγaba tinnakken ur nqebb(e)l-ara ad’ar,
    at zerd’ tejra, terγa, tejreh’, tugwi at q’ar,
    at zerd’ tejra, γas tekkfa, yettidir uz’ar,
    γers akkw i dd-nerra, nh’efed’ sekra id aγ tesγar,

    kkul taddart, tcuba azrar γef drar,
    yecudden mebbγir amrar s-icerfan,
    tamurt-iw d-izurar (γe)f idurar,
    yecudden mebbla imurar s-igenwan…
     
    Lounis Ait-Menguellet
     
    Traduction :

    C'est notre berceau que nous chantons,
    voyez, il atteint même les cieux !
    Son fils, où qu'il aille,
    dans le besoin, il se le rappellera.

    Se réveiller et voir tes montagnes,
    mon pays,
    la vision est agréable.
    L'âme est attachées à tes terres,
    mon pays,
    elles le font vivre.

    Lorsque nous sommes loin de toi,
    nos cœurs se sentent oppressés,
    les uns se rappellent des chants,
    d'autres se souviennent des champs.

    Se réveiller et voir tes montagnes,
    mon pays,
    elles nous transmettent leur force.
    L'âme est attachée à tes terres,
    mon pays,
    les terres qui l'ont fait naître et grandir.



    Je t'emmènerais là où le cuivre et l'or se rencontrent,
    je t'emmènerais là où l'honneur et le déshonneur naissent,
    je t'emmènerais là où tout est équilibre aux yeux,
    mesure comme il te plaira, tu ne trouveras aucun côté instable.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Si tu veux, chez eux, agrandir les choses,
    si tu veux, chez eux, amplifier les choses,
    si tu veux prendre tes aises,
    ils te tueront la nuit venue, et le matin chanteront tes louanges.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Tu verras l'honneur que l'on t'as tant raconté,
    tu verras la misère qui brise les hommes sans qu'ils rompent,
    tu verras la rivière dont le lit ignore le goût de l'eau,
    tu verras la rivière dans laquelle coule la confiance.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Tu verras comment le temps creuse les visages,
    tu liras dans les regards tout ce qui s'est passé,
    tu verras des mains dans lesquelles coule du sang brûlant,
    tu verras des pieds déformés par les distances parcourues.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Je t'emmènerais là où la senteur de la rose a sa place,
    Je t'emmènerais là où l'odeur des balles est sa compagne,
    Je t'emmènerais là où réside l'honneur,
    Je t'emmènerais en terre de fraternité.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Tu verras la forêt qui ne laisse pas l'homme fouler sa terre,
    tu verras l'arbre, brûlé, blessé mais refusant de mourir,
    tu verras l'arbre, même asséché, dont la racine vit encore,
    c'est vers cette racine que nous revenons, apprendre et retenir ce qu'elle nous enseigne.

    Chaque village est tel un collier qui pare la colline
    attachée, sans corde, aux escarpements.
    Mon pays est tel des colliers sur les collines,
    attachée, sans cordes, aux cieux.

    Voir la version complète : kabylie: tamurt-iw

    Source : http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-52960.html



    Commentaire de gina (26/09/2008 19:46) :

    Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et
gratuitbonne fin de semaine a toi et merci de m.avoir soutenu dans cette dur épreuve boop.ps super beau bébé

    http://gina vip bog

    Commentaire de Arezki (27/09/2008 00:34) :

    De rien Gina ...le bebe c est ma fille Ania a l age 2 ans 1/2 ...bonne continuation...Bon week-end a toutes et a tous...


    Commentaire de sheirine (07/01/2009 08:43) :

    azul, bonjour, sabah al nour, je ne pouvais rester insensible face à la lecture de ce poème "C'est notre berceau qui chante" (merci d'avoir traduit Arezki) et quelle profondeur dans les mots ! cela va au fin fond des âmes, des tripes de ce peuple, et la description, les images précieuses et de parrures y sont d'une finesse exquise, je suis sincère c'est ma sensibilité féminine qui s'exprime. Compliments à l'auteur de ce texte éloquent et criant d'identité et d'amour de sa terre et de ses traditions, de sa culture, des ses valeurs, qui ne sont autres et je pense que tu validera...que l'assurance de nos souvenirs, de notre passé, par lequels nous cheminont avec fierté sur le chemin du présent en regardant avec assurance le futur à l'horizon des vies de tous les peuples de la terre, des pays.....bien bel enfant sur cette photo, que Dieu préserve. Bonne journée, bien amicalement.

    http://sheirine-sophia.mon-vip.com




    Kabylie mon amour

    20/09/2008 12:38

    Kabylie mon amour


     Source : http://www.humour.com



    Commentaire de ouahioune (11/11/2008 04:09) :

    Tassaft

    tassaft.france@free.fr




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