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Itran n’Gerger « les Etoiles du Djurdjura » et le CAM à la Fête des Enfants de Montréal.
08/08/2007 04:41
Photo :Arezki Ait-Ouahioune
Chers membres et amis,
Le Centre Amazigh de Montréal (CAM), vous invite à assister à
la performance de sa troupe de théâtre, de chant et de danse Itran n’Gerger
« les Étoiles du Djurdjura » qui se produira dans le cadre la Fête des Enfants de Montréal.
La troupe du CAM interprétera quelques danses kabyles d’Algérie et proposera une mise en scène de quelques traditions et rites kabyles (berbères).
Cet événement ouvert au public aura lieu :
Date : Samedi 18 aout 2007.
Heure : Entre 10 h 00 et 11 h 30 La première prestation ayant lieu à 10 h 15 sur le site : Scène des P’tits Clins d’œil Et la seconde à 11 h 15 sur le site : Entrez dans la Danse !
Endroit : au parc Jean-Drapeau
Le site est agréable et il y aura pleines d'activités qui feront le bonheur de vos enfants et une journée de détente pour vous.
Pour le Centre Amazigh de Montréal (CAM)
Arezki Ait-Ouahioune
Membre du Conseil d’Administration
***********************
Pour plus d'informations sur la Fête des Enfants :
http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=167,523446&_dad=portal&_schema=PORTAL
Pour la participation du Centre amazigh de Montréal:
http://www.amazigh-quebec.org
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Comment se rendre à La Fête des enfants de Montréal?
08/08/2007 03:51
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Comment se rendre à La Fête des enfants de Montréal?
La Fête des enfants de Montréal déménage cette année sur l'île Sainte-Hélène, au parc Jean-Drapeau, tout près de la sortie de la station de métro Jean-Drapeau.
Accès
Le moyen le plus simple pour se rendre sur le site de La Fête…
Transport en commun Station de métro Jean-Drapeau
Vélo et patin De Montréal Depuis la piste cyclable du canal Lachine près du Vieux-Port de Montréal, suivre les indications vers le parc Jean-Drapeau De la Rive-Sud Emprunter le lien cyclable du pont Victoria vers l'île Notre-Dame De Montréal et de la Rive-Sud, par la voie cyclable sur le pont Jacques-Cartier.
Navette fluviale Départ du Vieux-Port de Montréal (quai Jacques-Cartier) vers l'île Sainte-Hélène
Automobile Pont Jacques-Cartier pour l'île Sainte-Hélène Pont de la Concorde via l'autoroute Bonaventure pour l'île Notre-Dame
Kiosques d'accueil Info-Fête Bell

Trois kiosques Info-Fête Bell seront répartis sur le site du parc Jean-Drapeau afin d'accueillir et de renseigner la population sur La Fête des enfants de Montréal. Le premier est situé à la sortie de la station de métro Jean-Drapeau, le deuxième près du parterre de l'Île Sainte-Hélène et le troisième à proximité de la plaine des jeux. En plus d'informer les visiteurs sur la multitude d'activités et sur les différents services offerts, des plans de site seront disponibles dans ces kiosques d'accueil. Une ligne téléphonique est également disponible pour les visiteurs à chacun des kiosques Info-Fête Bell. Aussi, les participants peuvent y obtenir un fauteuil roulant, rapporter ou chercher des objets perdus et compléter un coupon de participation pour le concours.
La sécurité des enfants, la priorité!

La sécurité des enfants est essentielle. Le Service de sécurité incendie de Montréal, le Service de police de la Ville de Montréal et plusieurs autres organismes spécialisés seront là pour veiller à la sécurité de tous. Au total, plus de 300 personnes dédiées à la sécurité des enfants et de leur famille seront présentes sur le site les 18 et 19 août.
Bien se vêtir est une question de confort
Les familles sont invitées à venir bouger et s’amuser grâce à une multitude d’activités dans le décor enchanteur du parc Jean-Drapeau. Mais qui dit bouger dit nécessairement chaussures confortables et vêtements appropriés. Si Dame Nature prévoit une chaleur accablante, n'oubliez pas d'apporter des bouteilles d'eau et de bien vous protéger avec crème solaire et chapeaux! Par contre, s'il a plu le jour précédant La Fête, le sol risque d’être humide par endroits, c’est pourquoi nous vous conseillons d’éviter le port de sandales. Amusez-vous bien!
GARDEZ LE SOURIRE, LA FÊTE A LIEU MÊME EN CAS DE PLUIE!

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Source:http://ville.montreal.qc.ca/portal/page_pageid=167,232497&_dad=portal&_schema=PORTAL
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Les vacances de Nadia : Le cœur partagé
06/08/2007 06:29
Un été, deux destinations de vacances. Chaque été, le Var et la Kabylie. Et des fois, le contraire. Cela fait 3 ans que ça dure, depuis que les parents de Nadia ont décidé de se séparer. « J’ai tout en double, dit-elle. Deux anniversaires, deux domiciles, deux "vacances". Tout est multiplié par deux. Enfin, peut-être pas l’essentiel. Cette année, rebelote pour les vacances. »
Je pars en Algérie. Comme chaque année, depuis 3 ans, j’y passerai tout le mois d’août. Juillet est réservé pour Toulon, dans un petit village perdu dans l’arrière-pays. Les deux rives de la Méditerranée. J’aimerais bien faire autre chose, aller ailleurs mais mon père insiste pour m’emmener en Kabylie. C’est important pour moi, me répète-t-il. Pour mes racines, mon avenir et tout ça. Je ne parle même pas le kabyle ! Je m’ennuie à mourir chez les parents de mon père. Ma grand-mère ne comprend rien à ce que je dis, elle ne fait que m’enlacer et me baver dessus. Puis, j’en ai marre, tout est interdit ! Et quand je demande pourquoi, tout le monde me répond : c’est comme ça, en me lançant un regard surchargé de pitié. Ou alors, quand on fait l’effort d’être poli, on me dit : nous, c’est comme ça qu’on fait. Et quand je demande, c’est qui nous ? Malheur ! On me toise de haut. Nous, les Algériens, bien sûr ! Facile de m’exclure pour eux. Ils me renvoient toujours à la France. Vous autres, disent-ils, sans jamais définir ce « vous » culpabilisant. Enfin, censé le faire. La Kabylie de mon père a un grand défaut. Elle n’a pas de mer. Les montagnes du Djurdjura sont peut-être belles, mais qu’est-ce qu’il y fait chaud ! De 10 h à 16 h, c’est opération ombre. Les habitants se réfugient chez eux. Les plus aisés mettent leur climatisation à fond. La colline brûlée. Le soleil est implacable, il n’a aucune pitié pour les humains. Il est comme suspendu à une dizaine de mètres au dessus de nos têtes et s’amuse à assommer ceux qui osent le défier en sortant de l’ombre. Une adolescente parisienne dans un village kabyle, ça peut donner lieu à un bon film plein de rebondissements. Tout d’abord, question dépaysement, faut repasser. Y a plus d’émigrés, comme ils disent ici, et d’Algérois que de locaux. Le village passe de 70 habitants en hiver à plus de 300 en été. Ça parle français partout, sauf chez ma grand-mère toujours scotchée devant BRTV. Je n’aime pas trop le comportement de mes amis. Ils prennent les gens de haut. Mon père dit que c’est à cause de l’euro. Que c’est un problème de lutte des classes. Que les immigrés deviennent subitement très riches en débarquant en Algérie grâce au change parallèle. Un pour cent. Mon oncle est méprisant quand il parle de dinar. Dans sa bouche, le dinar ressemble à une insulte. Pour une fille, passer ses vacances dans un village kabyle n’est pas très réjouissant. Il y a peu d’activités, plein de tabous, un ennui profond, une forme de léthargie physique et cérébrale. Y a pas que ça évidemment. Les mariages, c’est tous les jeudis et vendredis. Difficile de s’y retrouver. Je ne savais pas que j’avais autant de cousins et de cousines. Quand j’ai un coup de blues ou que ma mère me manque, mon père s’empresse de me proposer d’aller à la mer. Et ça devient très vite une expédition. De Michelet (je n’arrive pas à prononcer Ain El Hammam), au Petit Paradis, le voyage est épique. Je ne me retrouve jamais seule avec mon père. A la plage, il y a au moins la moitié du village. Un cortège de nombreuses voitures. A mourir de rire. C’est, d’ailleurs, ce qui nous arrive toujours. Heureusement qu’on meurt pour de faux. On revient de la plage tout rouges comme des crevettes. Tous, sans exception. Des montagnards à la mer, ironise mon oncle. Cette année, mon père arrive deux semaines après moi. Je redoute mon séjour sans lui. Tout comme je redoute la fin des vacances. Mon père a raison. J’ai fini par aimer ce pays, mon autre pays.
Rémi Yacine
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=73876
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Ce n’est pas le coq qui fait lever le soleil
05/08/2007 00:33
La JSK, toute populaire, déterminée et sérieuse qu'elle est, a multiplié les erreurs.
Certaines apparaissent prosaïques, mais n'en ont pas moins pesé lourd. L’organisation, son staff, son état-major, manquant d'expérience, d'homogénéité et de poids, a sans cesse péché par amateurisme.
Les relations de son président avec le public n'ont cessé d'être exécrables, ce qui était aussi nuisible que paradoxal.
En humiliant délibérément les "Canaris" -de la sorte, il signe son intention de soumettre le club aux sempiternelles situations que seuls les incapables subissent.
Et comme la JSK, de par son histoire, sa symbolique et surtout l’étendue de ses tentacules au sein de la population ne doit s’accommoder de cet état de fait, urgence est de situer le mal pour mieux l’endiguer.
N’étant pas des docteurs es-football, mais juste des plumitifs que la logique inspire, nous n’avons sans cesse dit et redit que la démission du président est l’unique solution pour que le club cher aux Kabyles sorte de sa léthargie.
Non pas qu’il fasse de l’ombre à ses joueurs ou qu’il les inhibe, mais la stratégie de celui-ci est justement de curer la JSK de tout ce qu’elle a amassé comme représentativité depuis sa création, il y a de cela 61 ans.
Nous sommes tentés de croire que cet indus occupant est porteur d’une mission qui va à contre-courant des aspirations populaires.
Et comme dans pareil cas, il est extrêmement recommandé de ménager le chou et la chèvre, des choses positives ont émaillé le parcours du club.
Ceci est indéniable.
Ses attitudes vis-à-vis du mouvement citoyen, ses rapports avec la famille du club et ses apparitions aussi bizarres qu’inattendues lors des visites présidentielles conforte le moins chauvin du club dans son appréciation que ce sieur a choisi son camp qui n’est pas forcément celui qui applaudit lorsque les Canaris gazouillent.
N’ayons pas peur des mots.
ça fomente en haut lieu pour faire du club un simple onze chargé de taper dans un ballon de cuir, à l’instar de tous ces clubs que seul l’applaudimètre intéresse.
Un club auquel il urge de lui ôter l’audience qu’il peut avoir au sein de la population connue pour être réfractaire, rebelle jusqu’à l’insolence et frisant le masochisme quand il s’agit de s’opposer aux chants des sirènes. Ils ont essayé, et cela s’est répercuté sur les résultats du club qui se retrouve aujourd’hui à jouer les seconds couteaux dans un championnat tout juste budgétivore et de faire valoir dans une compétition africaine qui lui délimite des garde –fous.
Tant pis, ce sera peut être pour une prochaine fois. Mais entre-temps, le trône devra changer d’occupant.
Ce n’est pas le méchoui qui change ; ce sont les gens qu’il y a autour.
Par Yanis Zafane
Source : http://www.depechedekabylie.com/point.php?id=MTU3NA==
Commentaire de gina (06/08/2007 03:21) :
Je reviens de vacance en pleine forme
besitos ma cop poupoupidou boop
http://gina.vip-blog.com
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Une défaite de trop pour la JSK : Les supporters exigent le départ de Hannachi
05/08/2007 00:29
La défaite concédée vendredi après-midi, la seconde en moins de deux semaines, face aux Tunisiens de l’ESS dans le match comptant pour la quatrième journée de la phase des poules de la Ligue des champions, a été celle de la discorde .
En effet, ce nouvel échec a mis tout simplement à nu les nombreuses carences de l’effectif kabyle, qui s’est montré incapable de répondre aux attentes des amoureux des couleurs Jaune et Vert, dont l’ambition a été toujours de voir leur équipe-fétiche au sommet de la pyramide.
Vendredi dernier, les Canaris qui jouaient un match important pour la suite du parcours en Ligue des champions et qui espéraient glaner les trois points, sont passés à côté de leur sujet, en laissant filer l’occasion de le faire devant les Tunisiens qui se sont montrés supérieurs.
Par cette défaite qui a soulevé le courroux des supporters, les Kabyles auront ainsi compromis sensiblement leur chance de qualification au dernier carré.
Les fans du club imputent cette défaite au président de la JSK qu’ils disnet responsable de la débâcle de leur équipe.
Pour ces derniers, Hannachi a failli sur tous les plans.
Le mauvais recrutement, l’instabilité du staff technique, le départ de certains joueurs qu’il n’aurait pas dû laisser partir et l’indiscipline de certains éléments qui se considèrent comme des intouchables sont, entre autres, autant de griefs reprochés au boss du club kabyle désavoué aujourd’hui par l’écrasante majorité des supporters de la JSK, qui ne veulent plus de lui à la tête de leur club.
Jusqu'à hier, partout en Kabylie, y compris dans ses coins les plus reculés, la colère ne semble pas s’estomper, puisque toutes les discussions ne tournaient qu’autour de cette nouvelle humiliation subie par leur équipe.
Pour la majorité d’entre eux, le temps est venu de changer les choses à commencer par faire partir le président Hannachi lequel reste plus que jamais dans leur collimateur.
Par : S.K
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=43636&ed=MTU3NA==
Commentaire de Arezki de Montréal (06/08/2007 06:33) :
Malgré l’hostilité générale
Hannachi s’accroche ...
Plus que jamais, le président Hannachi est aujourd’hui un homme seul qui
essaye tant bien que mal, de se maintenir à la tête du club malgré
l’hostilité que lui manifeste désormais le large public de la JSK et non
une “ partie infrme” des supporters. Il n’est plus en effet question d’une
petite frange de “pseudo-supporters” qui réclame son départ mais de
quasiment tous les amoureux du club. Et forcément ça a déplu à l’homme,
abandonné à son triste sort même par ses plus fidèles lieutenants, y
compris son coach Kamel Mouassa pour lequel il a dû déployer des efforts
afin de convaincre son entourage d’accepter ce retour pourtant décrété par
les supporters. Mais au vu de la situation telle qu’elle se présente au vu
des développements qui se profilent à l’horizon, il va sans dire que l’on
se dirige droit vers un remake du précédent scénario qui a abouti sur le
dernier départ de Mouassa. A ce moment là, Saïb n’était pas dans le staff
mais il est venu le suppléer après son retrait cette fois, Saïb y est déjà.
Donc un souci de moins si cette éventualité venait à se reproduire. Selon
des informations ébruitées, il se dit que ce n’est pas vraiment loin.
C’est dit-on, le coach Guelmi qui a déjà suggéré à Hannachi de le laisser
“repartir comme je suis venu, sans rancune” ce sont là les propos que
Mouassa aurait tenus à son employeur au lendemain de la défaite contre
l’ESS à Tizi Ouzou. Hannachi qui, sur le coup, a tenu à réaffirmer son
soutien à son coach semble avec le temps accorder une pensée plus sérieuse
à cette option, la seule, dit-on qui pourrait lui permettre de sauver sa
tête au moment où l’étau est en train de se resserrer sur lui. La protesta
qui s’élargit de plus en plus pousse le président kabyle à sérieusement
partir, quitte à consentir des sacrifices. Comment contenir cette terrible
pression et parvenir à dépasser la vague de protestation, sans payer
personnellement les frais de cette déroute qu’il doit logiquement assumer
en premier avant tout le monde.
Visiblement, Hannachi, à croire les dires de certains de ses proches, a du
mal à s’imaginer un jour éjecté de la sorte de la JSK. “Même si je dois
partir, je laisserai ma place propre”. En plus clair, Hannachi qui aspire à
s’accrocher encore à son fauteuil n’est pas du tout disposé à quitter la
JSK par la petite porte. “Je ne vais pas céder”, aurait-il déclaré à des
amis en aparté, tout en promettant de s’en remettre à la décision de la
prochaine AG du club. Et comme celle-ci n’est pas du tout dans les
prévisions immédiates, du président, ce dernier est certainement en train
de penser au successeur de Mouassa. Et ça repartira… pense-t-il. Mais le
mal n’est pas dans le coach, et Hannachi l’a lui même affirmé. Alors ! par
Laceb T.
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=43727&ed=MTU3NQ==
http://kabylie.vip-blog.com a111@sympatico.ca |
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Ligue des Champions : JS Kabylie 0-2 ES Sahel (Ni l'envie, ni le niveau...) 03/08/2007
04/08/2007 00:58
Nous attendions une réaction d’orgueil après l’humiliation du match en Tunisie il y a deux semaines, finalement nous avons eu le remake du match aller.
Les supporters ont eu droit à une nouvelle prestation honteuse de la part de la JS Kabylie qui a été sèchement battue à domicile face à l’Etoile du Sahel (2-0).
Les deux buts ont été inscrits en fin de chaque mi-temps.
Jamais la JSK n’ait paru impliquée par ce qui se passait sur le terrain : aucune occasion durant le match !
Pire encore, le club algérien n’a pas réussi à aligner 3 passes de suite.
Que de déchets, de passes ratées ou encore des gestes agressifs pour masquer une infériorité technique face à des Tunisiens une nouvelle fois appliqués et sérieux.
Une équipe kabyle sans conviction, sans intelligence de jeu.
Le club de Hannachi a pourtant un effectif très étoffé, mais ce sont toujours les mêmes joueurs qui sont sur le terrain.
Des joueurs pour certains qui ne s’entraînent que par intermittence cet été ou qui s’absentent plusieurs jours pour des raisons personnelles.
Le public ne s’y est pas trompé. Les gradins du stade du 1er Novembre étaient loin d’affichés complets malgré des prix en baisse pour l’occasion.
Tizi-Ouzou en a clairement assez de cette situation qui perdure au club, et les supporters présents se sont même révoltés en fin de rencontre en créant des incidents, provoquant l’arrêt du match pendant plusieurs minutes.
Sur le terrain, le match se termine par une nouvelle mascarade.
Les Canaris obtiennent un penalty dans les arrêts de jeu, et c’est… le gardien Chaouchi qui se présente pour le tirer.
A côté... Le score en reste là, une défaite à domicile, pourtant chose rare dans l’histoire du club au stade du 1er Novembre.
Rien ne va plus pour la JS Kabylie, quasiment éliminée de la Ligue des Champions.
Du moins déjà éliminée dans l’esprit.
Source : http://www.dzfoot.com/article-1125.php
Commentaire de kabylie (04/08/2007 03:22) :
Humiliation !
De cette rencontre hautement décisive pour la suite du parcours africain ,
il y a lieu de retenir l’insoutenable légèreté adoptée par les hommes de
Mouassa pour en découdre avec les Tunisiens de l’ES Sahel. Pourtant, on
espérait un sursaut d’orgueil pour la qualification, mais il n’en fut rien.
En, revanche, les poulains de Marchand, visiblement mieux préparés et
sensiblement plus entreprenants, avaient l’audace et davantage de
possibilités de secouer les filets, n’était la maestria du gardien
Chaouchi. Par ailleurs, faut-il le signaler, les joueurs de la JSK qui
avaient de la peine à construire leur jeu, s’emmêlaient les pinceaux à
l’approche de la surface de réparation, résultat, évidemment de l’absence
manifeste de tactique de jeu.
De l’anti-jeu, le public en fut servi. Quand Meftah Mohamed, pourtant
international , se permettait d’user de brutalité, ou quand un Wassiou ne
se gênait pas pour se transformer en gladiateur, c’est que quelque part-
les jeux devaient être déjà faits- Ce pourquoi cahin- caha, les Tunisiens
ont réussi de la manière la plus logique à inscrire le premier but dans les
minutes additionnelles de la première mi-temps.
De retour de la pause-citron, et au moment où le public s’attendait à ce
que les Canaris se transcendent, la même nonchalance était observée chez
les Kabyles. Des passes à l’adversaire, des ratages monumentaux quand ils
arrivaient, on ne sait comment, dans la surface de réparation tunisienne et
bien sur les nerfs à fleur de peau, à telle enseigne que la rencontre a dû
être arrêtée pour jets de projectiles et comportement antisportif du public
qui ne comprenait pas l’attitude des joueurs qui donnaient l’impression de
tout faire sauf vouloir gagner.
La partie a donc été arrêtée durant une vingtaine de minutes causant ainsi
une anarchie indescriptible sur la main courante. Il aura fallu
l’intervention des officiels algériens pour faire reprendre la partie sans
toutefois faire taire le public qui, comprenant enfin l’origine du mal,
s’en était pris au président Hannachi, responsable- nous ne cesserons
jamais de le dire- de cette humiliation que la JSK subit, en réalité,
depuis déjà belle lurette.
Cette reprise faite dans ces conditions ne pouvait donner des résultats.
Bien au contraire, la peur au ventre, les joueurs multipliaient bêtises sur
bêtises devant un public qui s’en donnait à cœur joie à lancer des
quolibets à l’adresse de Hannachi, du staff technique et de l’ensemble des
responsables de la JSK.
D’ailleurs, lors du penalty accordé généreusement par l’arbitre à l’équipe
locale, nos reporters nous ont affirmé que le public, comme un seul homme,
a demandé instamment à Chaouchi de le tirer. Mais avec un mental au ras des
paquerette comme celui d’hier, le gardien qui peut se targuer de jouir
d’une grande crédibilité auprès d’un public désabusé, rate son tir et
plonge, entérinant une défaite des plus humiliantes, tant au plan sportif,
vu la qualité médiocre du jeu fourni, qu’au plan moral, par la faute le
comportement antisportif qui a prévalu lors de cette rencontre.
La JSK a connu à l’issue de ce match l’un des moments les plus noirs de son
histoire .Yannis Zafane
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=43620&ed=MTU3Mw==
http://kabylie.vip-blog.com a111@sympatico.ca |
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