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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

  • 979 articles publiés
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal
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    Ayna tkerzt tmgert /Tout ce que tu laboures, tu le moissonnes

    04/08/2007 00:40

    Ayna tkerzt tmgert /Tout ce que tu laboures, tu le moissonnes


    Source Proverbes berbères : http://zighcult.canalblog.com/archives/2005/05/25/780314.html

    Photo source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/08/01/9661190






    La troupe Tafsut à la fête du Québec (24 juin 2007)

    03/08/2007 23:47

    La troupe Tafsut à la fête du Québec (24 juin 2007)




    Commentaire de soleil-kabyle (20/08/2007 11:53) :

    c'est tres cool de voir ça wawww continue comme ca!!!!!!!! http://voie-du-vo-sinh.skyblog.com http://soleil-kabyle.skyblog.com

    http://soleil-kabyle.skyblog.com
    ami20074@hotmail.fr

    Commentaire de Arezki de Montreal (20/08/2007 17:48) :

    Azul ami kabyle , C'est tres gentil de ta part ,merci pour ta visite sur mon blog et pour ton commentaire...et tes encouragements ...laches pas et bonne continuation ...un grand bonjour de montreal.

    http://kabylie.vip-blog.com




    Poule 2007/08/03 : JS Kabylie 0-2 ES Sahel (Tunisie) Fiche de Match

    03/08/2007 22:32

    Poule 2007/08/03 : JS Kabylie 0-2 ES Sahel (Tunisie) Fiche de Match


    JS Kabylie 0-2 ES Sahel (Tunisie)

    Tizi Ouzou - Stade du 1er-Novembre
    Pelouse synthétique
    Arbitrage de (Soudan)

    Source : http://www.dzfoot.com/fiche-3191.php

    Les Equipes :
    JS Kabylie
    ES Sahel (Tunisie)
    Chaouchi - M. Meftah (Berramla 46'), Barry, Zafour, Oussalah - Douicher, Abdeslam, Wassiou - Athmani (Saïbi 56'), Traoré (Derrag 77'), Hemani.
    Entraîneurs : Mouassa et Saïb.

    Buts :
    ? (45'), ? (90')


    Commentaire de Arezki de Montréal (03/08/2007 22:35) :

    Dommage ...vraiment dommage pour notre chère équipe de la Kabylie...ya pas d'autres commentaires!

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    H’med Oumeri : Mon nom est liberté.

    03/08/2007 03:45

    H’med Oumeri : Mon nom est liberté.


    Mémoire Kabyle:
    Pour que nul n’oublie...Oumeri. La faim fait sortir le loup du bois, l’injustice fait sortir le héros de sa léthargie. Ahmed Oumeri a de tout temps été louangé par les femmes dans leurs chants et glorifier par les plus illustres poètes et artistes contemporains.
    De Lounis Aït Menguellat à Lounès Matoub en passant par Menad, les groupes Djurdjura et Afous, tous ont mis en exergue la fin tragique qui a été réservée à ce personnage proverbial de courage, de bravoure et de patriotisme. Une fin qui semble fatalement atavique tant notre histoire est parsemée d’exemples. La mémoire collective garde surtout celle que réservera Bocchus au roi-guerrier Yugurten
    Une brève esquisse sur ce que fut Oumeri nous permettra peut-être de saisir les motivations et le « Credo » de cet « hors-la-loi » (1) ?

    Ahmed Belaïd, alias Oumeri, fut un descendant d’une famille qui a perdu sept hommes durant la résistance des At-Buwaddu à la conquête française en Kabylie. Alors que tout le pays s’était rendu à « l’évidence » et avait « accepté » les auspices de la France protectrice vers 1849, cet Aârch, cœur de la redoutable confédération guerrière des Igwejdal, résista sept longues années encore aux assauts répétés et meurtriers des conquérants (1850-1857). Le colonel Robin écrivait dans la Revue africaine qui relatait alors la chronique de la conquête de la Kabylie : « Les Beni-bou-Addou qui, malgré le sac de leurs principaux villages en 1849, étaient restés insoumis, furent encore les derniers à rentrer dans le devoir en 1857. » (2)

    Plus tard, ils s’associèrent aux troupes de Fatma n Soumer puis prirent part au soulèvement d’El Mokrani... Les sept guerriers des Ath Hammou ancêtres de Ahmed, qui périrent alors, ont été exécutés par les soldats du général Lerez du 5e RTA. Depuis, cet adage est né pour traverser les années et les générations dont celle de Ahmed et parvenir jusqu’à nous : « Wi bghan ad yissin xellu, imuqel s-afrag n At-Hemmu » (3).

    Les répercussions psychologiques traumatisantes des rudes épreuves de cette période, particulièrement sanglante de notre histoire, sur les populations, se sont donc transmises ; la tradition orale aidant, de génération en génération.

    Oumeri voit le jour sur ce hameau suspendu au pieds des crêtes du versant nord-ouest de « la montagne de fer » (4). Les Aït Bouaddou, menaient une vie somme toute identique à celle que menaient leurs compatriotes indigènes. Une vie faite d’indigence et d’injustice. Le petit Oumeri grandit au milieu de cette agressivité constante des milieux social et naturel qui forgera par la suite son amour de la justice, de la liberté mais surtout son courage.

    Le mouvement nationaliste commençait à se cristalliser et à prendre racines dans les couches populaires. L’ENA puis la PPA tentaient de se doter d’une base solide pour pouvoir mener leurs actions de sensibilisation aux contrées les plus éloignées et faire vibrer les fibres patriotiques de leurs frères autochtones. Puis, c’était l’éclatement de la Seconde Guerre mondiale et tout désormais, dépendait des tournures que va prendre cette nouvelle tragédie qui venait alors s’ajouter au malheur des Algériens. Pour que la France « protectrice » ne tombe pas entre les griffes du nazisme, les Algériens sont mobilisés puis expédiés au front. Les villages de Kabylie ne portaient plus dans leurs ruelles que vieillards, femmes et enfants. Le jeune Ahmed, quant à lui, se retrouva à Sedan, à la frontière franco-belge...

    Traversant une rivière alors que son unité était à cour d’eaux depuis des jours, Oumeri assista une fois de trop à un acte discriminatoire dont l’effet sera déterminant et immédiat : Craignant que l’eau du cours ne soit empoisonnée par les nazis et afin de juger si celle-ci était propre à la consommation,, l’officier préféra faire boire un soldat algérien au lieu d’un cheval de la cavalerie. Il déserta en 1941. Arrêté puis emprisonné à la caserne de Belfort (actuelle El Harrach) où il fut réincorporé au régiment de « la marche des Levant », où, après des tractations et après avoir eu le soutien de la direction du PPA, il organisa une mutinerie qui échoua. Sa déception fut des plus vives quand, le jour même de la révolte carcérale, Messali Lhadj appela les mutins au calme... et à se rendre ! Il réussit cependant sa tentative d’évasion et opta aussitôt pour le maquis contre le colonialisme à la manière des ancêtres. Il rançonnait, vengeait, enlevait aux uns et donnait aux autres, terrorisait les nantis, particulièrement ceux qui se rapprochaient du pouvoir colonial... l’Arumi et ses « amis » dont les rançons allaient sans prendre le moindre détour aux plus démunis. Le maquis avait ses informateurs dans tous les villages. Quand le groupe rebelle d’Oumeri recueillait des rançons, recevait les prix du sang, dévalisait une maison, sanctionnait des personnes, on savait au centime près les sommes collectées. Le maquis recevait à son tour un pourcentage pour survivre, venir au secours des familles de maquisards, alimenter la caisse du PPA-MTLD. Bien qu’Oumeri refuse toujours « d’exercer » sous la casquette du PPA, le colonel Ouamrane témoignait avoir envoyé des éléments de la bande (ndlr : comprendre le « ses hommes ») en mission et recueillaient un pourcentage des « collectes » du groupe d’Oumeri avec l’œil bienveillant du maquis. « ... Il n’arrêtait les cars que pour faire crier à plusieurs dizaines de voyageurs : ... Vive l’indépendance... . » Un témoin oculaire de ces scènes serait encore en vie.

    Pendant ce temps-là, la propagande colonialiste associée aux différentes pressions de ses ennemis, dans une époque où les seuls canaux d’information « censés » éclairer des populations, en majorité illettrées, étaient propriété de l’administration coloniale, ont fait que les plus illuminés ont cédé et les diffamations les plus invraisemblables et les plus immorales avaient pris les allures de vérités incontestables. M. M. A. Brahimi, dans un travail d’investigation d’envergure, révèle l’existence des contacts entre le groupe rebelle et les responsables du PPA-MTLD. En effet, il s’apprêtait à rejoindre l’OS, convaincu enfin par Krim Belkacem après des années d’effort, quand Oumeri fut assassiné dans un guet-apens tendu par l’administration au village Iâazounen, au domicile de son compagnon d’armes Ouacel Ali, le jour même de la création de l’organisation (OS) (5). En trahissant Oumeri et Hadj Ali Arezki, qui défrayèrent la chronique des années durant, Ouacel n’avait fait que rappeler que depuis la nuit des temps, chaque fois que cette terre donne naissance à un grand homme, il s’ensuit inévitablement une autre D’un grand traître.

    17 février 1947, 17 février 2006. Plus d’un demi-siècle après sa mort, aucune reconnaissance n’est venue exhumer ce héros mythique que fut Oumeri. Le roman historique qui lui a été consacré par feu T. Oussedik (6), constitue une initiative louable dans les limites où elle a eu le mérite de lui avoir conféré une réputation plus large et d’avoir surtout contribué à sauver de l’oubli ce justicier du terroir, dans lequel les fossoyeurs de l’histoire de tout bord ont réussi jusqu’ici à le confiner. Cependant, cette oeuvre unique manque de rigueur scientifique qu’exige le genre historique d’où les lacunes dans la justesse de certains faits ainsi que dans leur chronologie. Mais c’est surtout son caractère superficiel qui doit être signalé bien que les difficultés qui entravaient alors, plus que maintenant, la recherche historique en général et plus particulièrement celle ayant trait aux « hors-la-loi » appelés « bandits d’honneur » justifie ce manque, du reste légitime. Aujourd’hui encore, c’est à peine si une mémoire vivante ose délier la langue non sans réticences.

    T. Oussedik, disait à Alger : « ...Je prends Oumeri pour un héros national... » Ce n’est que justice rendue à cet authentique justicier du petit peuple qui ne cesse de hanter notre paresse depuis sa tombe de fortune perdue sous la plate-forme d’une vieille bâtisse abandonnée... Un symbole, un repère que seul les héros de légendes en sont capables d’être, Oumeri n’est aujourd’hui, qu’un nom dans notre mémoire collective. Les épopées de cette victime de sa propre prise de conscience prématurée dans une société qui claquait du bec, qui était en proie à l’austérité du milieu naturel, au ravages de typhus, à l’exode massive de la gent masculine vers une guerre lointaine et vers des mines dévoreuses d’hommes, à l’injustice et aux atteintes aux droits les plus élémentaires de l’être humain, mais surtout en proie à l’ignorance… sont aujourd’hui inconnues de la postérité post-indépendance...

    « Décoloniser » l’histoire est une entreprise de grande envergure ; c’est une tâche qui incombe à tout le monde, dans les limites des moyens dont dispose chaque chercheur. C’est aussi, tenter d’apporter sa pierre à l’édification d’un avenir certain fait d’équilibre et de bien-être.

    L’association culturelle Amezruy a cassé le caractère tabou qui entourait ce personnage légendaire. Un vibrant hommage lui a été rendu en lui consacrant la première rencontre autour de Ahmed Oumeri qui s’est déroulée à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, du 2 au 5 mars 1996.

    Consacrer un film cinématographique retraçant le combat de ce justicier, lui reconnaître son statut de « héros national » est aujourd’hui plus qu’une exigence de tout un peuple qui aspire à reconquérir son histoire pour réaliser sa propre projection dans l’avenir. Que justice soit rendue au justicier !

    Halim AKLI

    Notes

    1) Credo d’un hors-la-loi est le titre d’un ouvrage de M. A. Brahimi.
    2) Dans Revue africaine.
    3) Littéralement « celui qui veut connaître la signification de l’extermination, qu’il regarde vers les Aït-Hammou ».
    4) Nom romain du Djurdjura : Montus Ferratus
    5) L’O.S. est créée le 17 février 1947. Oumeri est assassiné le même jour.
    6) Oumeri : roman de Tahar Oussedik.

    Source : http://www.kabyle.com/H-med-Oumeri-Mon-nom-est-liberte,12427.html



    Commentaire de truth1962-2013 (10/07/2013 17:12) :

    La révolution algérienne……parlons-en !! Au niveau de ait Bouaddou pas mal de valeureux hommes ont laissé leur vies pour que leurs enfants et leurs petits enfants puissent gouter a l’agréable et savoureux gout de la liberté. Plus d’un demi-siècle plus tard, les idées divergent, y’a ceux qui croient que c’était une utopie de la part de ceux qui se sont sacrifier de voir un jour le vent de la liberté souffler sur l’ensemble du territoire algérien, pour d’autres plus consciencieux, le combat que leurs aïeux ont mener contre l’occupation, l’oppression et tout ce qui dévalorise l’individu de la part des colons mérite respect. Tous ceux qui se sont enrôlés dans la guerre de libération avaient un seul et unique objectif, celui de récupérer ce qui avait été volé à leurs pères et grand pères et le léguer à leur tour à leurs enfants et petits-enfants, ce qui fait que leur combat était noble et le resterait jusqu’à la fin temps. Notre combat à nous (nouvelle génération) est beaucoup plus complexe, on doit lutter sur plusieurs fronts, nous devons impérativement rétablir la vérité sur notre histoire, des noms tel que celui L’hadj Mohamed bouakli (Takilt) de Mouhouche (Sehad) de slimani amar et chabane et tant d’autres ne sont connus qu’au niveau de notre localité alors que des noms de faux martyrs ont une renommée nationale.





    Kabylie mon amour ...Hamlagh tamurtiw

    02/08/2007 21:41

    Kabylie mon amour ...Hamlagh tamurtiw


                                   Kabylie mon amour

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    Kabylie

    02/08/2007 21:38

    Kabylie


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    8ème Carrefour Musical de la Soummam (Bgayet)en hommage, au chanteur-poète « LOUNIS AIT MENGUELLET ».

    30/07/2007 00:15

    8ème Carrefour Musical de la Soummam (Bgayet)en hommage, au chanteur-poète « LOUNIS AIT MENGUELLET ».


    Association « Etoile Culturelle » d’Akbou a le plaisir de vous solliciter à participer à la 8ème édition du carrefour Culturel de la Soummam, qui aura lieu à Bgayet du 07 au 14 août 2007 en hommage, cette fois-ci, au chanteur-poète « LOUNIS AIT MENGUELLET ».

    Source : http://www.kabyle.com/8eme-Carrefour-Musical-de-la,12409.html

    A travers les nombreuses activités, ce carrefour « objective, particulièrement, le brassage de jeunes et des cultures ». Excepté les frais de transport, l’association assurera, la prise en charge totale durant votre séjour parmi nous.

    Vous voudrez bien nous confirmer votre participation par retour de l’imprimé ci-joint et dûment rempli par vos soins, à l’adresse suivante :

    Association « Etoile Culturelle » d’Akbou : BP 30 Akbou -Hôpital 06200

    Fax au numéro : 034 35 86 61

    E-mail : aecakbou@yahoo.fr

     

                     ASSOCIATION « ETOILE CULTURELLE » D’AKBOU

     

            

     

     

    HUITIEME EDITION DU

     

    CARREFOUR CULTUREL DE LA SOUMMAM

     

    EN HOMMAGE A LOUNIS AIT MENGUELLET

     

     

    Akbou, du 07   au 14 AOUT 2007.

     

    FICHE DE PARTICIPATION

     

     

     

     

     

     


     Organisme

     

           Ou           : ……………………………………………………………………………………...

     

     Association 

     

     

    Adresse : ………………………………………………. ……………………………………….        

     

                       …………………………………………………………………………………..

     

     

    Wilaya : ………………………………….

     

     

    Tel :      ………………………………….                           Fax/e-email : ……………………….…

     

     

    Nom du Groupe : ………..……………………………………………………...…………..

     

     

    Date de Création : ………..………………………………………………………………….

     

     

    Nombre d’éléments : ………….                                                                     

     

                   Féminin(s) : ………….                                     Masculin(s) : …..……………..

     

     

    Accompagnateur : Nom : ………………………… Prénom  : …………………………….

     

     

    * Nature de la Participation :          (Cochez sur la case choisie)

     

    Ø     Concours individuel de chanson

     

    Ø     Troupe folklorique

     

    Ø     Exposition

     

     

    N.B :           A renvoyer avant LE 05 Juillet  2007à l’adresse suivante :

     

    ASSOCIATION « ETOILE CULTURELLE » B.P 30 AKBOU-HOPITAL

     

    06200 ( W) Béjaïa  - Algérie - .

     

    TEL-FAX  : 213 (05) 35 - 86 - 61    E.MAIL   AECAKBOU@yahoo.fr

     

     

     

     

     

     

     

     


                      VISA De l’organisme                                                    LE CHEF DE GROUPE

     

     

     

     

     

                     ASSOCIATION « ETOILE CULTURELLE » D’AKBOU

     

            

     

     

    HUITIEME EDITION DU

     

    CARREFOUR CULTUREL DE LA SOUMMAM

     

    EN HOMMAGE A LOUNIS AIT MENGUELLET

     

     

     

    Akbou, du 07 au14 Août  2007.

     

    FICHE DE PARTICIPATION

     

     

     

     

     

     


    ( EXPOSITION )

     

     Organisme

     

           Ou           : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

     Association 

     

     

    Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

                       ……………………………………………………………………………………………    

     

                   

     

    Wilaya : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

    Tel. : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .         Fax /E-email : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

     

    Nom de l’Exposant : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

     

    Nature de l’Exposition : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

     

    Nombre d’objets : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .                                                                      

     

     

    Accompagnateur : Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom  : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

     

     

    v     Prière de joindre liste détaillée des objets à exposer.

     

     

    N.B :           A RENVOYER AVANT LE 05 juillet 2007 A L’ADRESSE SUIVANTE :

     

    ASSOCIATION « ETOILE CULTURELLE » B.P 30 AKBOU-HOPITAL

     

    06200 ( W) Bejaia  - Algérie –

     

     TEL-FAX  : 213 (05) 35 - 86 – 61  E.MAIL   AECAKBOU@yahoo.fr

     

     

     

     

     

     

     


                      VISA DE L’ORGANISME                                                    L’EXPOSANT

     

     

     

     

     



    Commentaire de eric / casanova (02/08/2007 20:48) :

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    azul arezki j'espere que tlm va bien sur tt khelifa je vous suhaite bonne fin de semaine et bonne week-end





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