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Tafsut honnoré par les élus de la ville
31/08/2007 01:05
Lors du festival "Week-end du monde", TAFSUT, Chants et danses de Kabylie a été honorée par les élus de la ville de montréal. Une reception a été organisee en son honneur le dimanche 26 aout 2007 à 11h30 au Salon des Partenaires du Parc Jean-Drapeau.

Par cette reconnaissance, c’est toute la communauté Kabyle qui a été honorée à travers l’association TAFSUT.
Lors des messages de remerciement, les élus ont félicité Tafsut pour son implication dans la sphère culturelle québécoise sous toutes ses formes et son dévouement à sauvegarder et à faire connaître sa culture d’origine.
Source : http://metallos.rezo.net/portail.php3?id_syndic=40&debut_site=0
Article publié sur KABYLE.COM le média portail de tous les berbères
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LE FESTIVAL DES FILMS DU MONDE
29/08/2007 05:19
LE FESTIVAL DES FILMS DU MONDE Vous offre le monde ! 23 août - 3 septembre 2007
Source : http://www.ffm-montreal.org/fr_info_fest.html
Le but du Festival des Films du Monde de Montréal (Festival International du Film de Montréal) est d'encourager la diversité culturelle et la compréhension entre les peuples, de propager l'art cinématographique de tous les continents en stimulant le développement du cinéma de qualité, de faire connaître le cinéma d'auteur et d'innovation, de découvrir et encourager les nouveaux talents, de favoriser les rencontres entre professionnels du cinéma du monde entier.
Le Festival des Films du Monde - Montréal 2007 comprendra les sections suivantes :
Compétition mondiale Compétition mondiale des premières œuvres Hors concours Regards sur les cinémas du monde (Amériques, Europe, Asie, Afrique, Océanie) Documentaires du monde Hommages Cinéma à la belle étoile Festival du film étudiant canadien
La COMPÉTITION MONDIALE, fer de lance du Festival, sera composée de premières mondiales et internationales. Un jury officiel, constitué de personnalités internationales, attribuera les divers prix aux longs métrages de cette section compétitive, dont le Grand Prix des Amériques, le Grand Prix Spécial du Jury, le Prix de la mise en scène, le Prix d'interprétation féminine, le Prix d'interprétation masculine, le Prix du meilleur scénario, le Prix de la meilleure contribution artistique, le Prix de l'innovation. Ce jury attribuera 2 prix aux courts métrages de la Compétition.
La COMPÉTITION MONDIALE DES PREMIÈRES ŒUVRES donnera l'occasion aux auteurs des premiers longs métrages de fiction sélectionnés de se faire reconnaître. Un jury différent du jury de la Compétition mondiale attribuera les Zénith d'or, Zénith d'argent et Zénith de bronze aux gagnants de cette section.
Comme dans le passé, le Festival présentera une section « HORS CONCOURS ».
La section REGARDS SUR LES CINÉMAS DU MONDE (Amériques, Europe, Asie, Afrique, Océanie) reflète l'esprit du Festival dont la caractéristique essentielle est l'ouverture sur le monde.
La section « DOCUMENTAIRES DU MONDE » présentera des films reflétant les préoccupations des réalisateurs du monde entier.
Par ailleurs, le programme de 2007 comprendra : des HOMMAGES à des personnalités du cinéma le 38e FESTIVAL DU FILM ÉTUDIANT CANADIEN le CINÉMA À LA BELLE ÉTOILE.
Chaque année, les films de plus de 70 pays, réalisés aussi bien par des réalisateurs chevronnés que par des débutants, sont sélectionnés. Montréal ne compte plus le nombre de ses « découvertes ». C'est un événement à la fois ouvert aux professionnels du cinéma et au public général.
Le public général sera invité à voter pour les films qu'il a préférés dans plusieurs catégories :
- Prix du film le plus populaire
- Prix du film canadien le plus populaire
- Prix Glauber Rocha pour le meilleur film de l'Amérique latine
- Prix du meilleur film documentaire
- Prix du meilleur court métrage canadien.
FESTIVAL DES FILMS DU MONDE 1432, de Bleury Montréal (Québec) Canada H3A 2J1 Tél : (514) 848-3883 Fax: (514) 848-3886 Courriel: info@ffm-montreal.org
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Hannachi : «On attend la sanction de l’arbitre»
29/08/2007 04:43
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Date : |
28-08-2007/8h52 |
Réalisé par : |
N. Boumali |
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Le président Moh-Chérif Hannachi ne décolère toujours pas à propos de l’arbitre du derby USMA - JSK. Après avoir dénoncé le mauvais arbitrage de M. Belkacem, il a transmis un rapport détaillé à la ligue concernant toutes les erreurs commises par ce referee.
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Le premier responsable des Jaune et Vert ne compte pas se taire si cet arbitre ne sera pas sanctionné par les instances concernées. Même si sa sanction ne changera en rien au résultat de la rencontre, le chairman kabyle veut que la sanction de Belkacem serve d’exemple pour les autres arbitres d’autant que plusieurs clubs ont été victimes de l’arbitrage durant cette première journée du championnat, nous citons comme exemple le match CABBA-USMAn qui a fait couler d’encre et de salive. « On attend avec impatience le verdict de la ligue concernant le rapport, sur cet arbitre, dont la ligue fut destinataire. Il nous a privés de deux penalties et il a fermé les yeux sur plusieurs erreurs commises par les Usmistes notamment Hamdoud. On a en notre possession la cassette de la rencontre avec laquelle on peut facilement prouver nos accusations. Il y avait penalty sur Hemani et également sur Oussalah. Il est hors de question que je passe sous silence ce qui s’est produit jeudi dernier à Bologhine. Même si la sanction de ce referee ne changera en rien au résultat, je veux que cela serve d’exemple aux autres. On veut juste qu’on soit rétablis dans nos droits et qu’on nous écoute», a-t-il dit avant de poursuivre : « La FAF doit assumer ses responsabilités et elle ne doit plus se montrer passive quant aux graves erreurs des arbitres».
«On a loué une caméra pour enregistrer les matches non télévisés» Craignant de faire les frais de mauvais arbitrage surtout que l’objectif du club est le titre cette saison, Hannachi a pris d’ores et déjà ses dispositions pour combattre le mauvais arbitrage même lorsque les matches ne seront pas télévisés. Il a loué, en effet, une caméra pour enregistrer les rencontres qui ne seront pas retransmises en direct. « Je ne veux pas faire les frais du mauvais arbitrage. J’ai une bonne équipe et même si je perds par 5 à 0 et l’arbitre est correct, j’assumerai tout seul la responsabilité, mais je n’accepterai jamais de perdre à cause de l’arbitre. On a loué une caméra et on enregistrera les matches non télévisés et cela pour prouver notre bonne foi», a-t-il averti.
«On doit faire comme les Tunisiens» Au moment où tous les clubs dénoncent avec véhémence le mauvais arbitrage, les instances concernées sont restées passives. Hannachi nous a révélé qu’en zappant sur la chaîne Tunis 7 dimanche dernier, il est tombé sur une émission où l’invité n’était autre que Daâmi. Ce dernier a été invité spécialement pour donner un aperçu sur l’arbitrage des différentes rencontres de la première journée du championnat tunisien. Il ne comprends pas pourquoi on ne fait pas ça chez nous surtout qu’à chaque journée l’arbitrage est mis à l’index. Voulant assainir le football algérien, le chairman kabyle ne compte pas baisser les bras pour combattre le mauvais arbitrage. Il faut dire que la corruption gangrène de plus en plus notre football et cela sans que nos dirigeants ne lèvent le petit doigt. Plusieurs équipes jouent le titre et il est plus qu’indispensable que les arbitres soient honnêtes pour que le meilleur soit sacré à la fin de la saison.
Source : http://www.competition.dz/article.php?art=1450
Commentaire de gina (30/08/2007 19:19) :
GINA ET SAM bonne fin de semaine a toi
demain c.est fériée au canada bye gina
http://gina.vip-blog.com
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KABYLIE : Entre hier et aujourd’hui
28/08/2007 03:28
Seul le développement bien pensé de la région peut sauver la jeunesse et lui redonner de l’espoir.
La Kabylie a fait, ces derniers temps, les unes de la presse à son corps défendant. Pour le lecteur non averti, les opérations militaires, les ratissages, les accrochages et autres termes de violence qui sont rapportés par la presse et qui s’y déroulent indiquent que la région est à feu et à sang. Commençons par préciser que dans notre esprit «Kabyle» veut dire habitant de cette province d’Algérie nommée la Kabylie sans aucune autre connotation. Présentée par certains comme une exception dans le large cadre qu’est la nation, la Kabylie n’aspire qu’à un mieux être dans une ère de paix.
Une région et une histoire La Kabylie s’est toujours signalée dans le cheminement de l’histoire du pays par des prises de position considérées comme avancées. Ainsi a-telle fourni des contingents importants tant en militants qu’en cadres au mouvement national. Pour ne citer que quelques-uns d’entre eux, on peut nommer Amar Imache, Si Djilani et tant de militants ayant accompagné l’Etoile nord-africaine, ensuite le PPA - Mtld et enfin le FLN avec Ali Laïmèche et tant d’autres, souvent de jeunes lycéens ayant choisi le combat de l’honneur contre la «paix des étables». La raison à cela est simple et complexe à la fois. Pour résumer on peut dire que la Kabylie faite de pitons aux terres ingrates et schisteuses a vu partir ses enfants vers des terres d’immigration pour assurer la survie de la famille restée au pays. Durant cet exil, jamais voulu mais plutôt subi, les jeunes Kabyles ont eu à côtoyer des hommes et des femmes à la culture et aux moeurs différentes. C’est dans ces terres d’exil qu’est née l’idée nationale moderne au contact des idées d’ailleurs. Les jeunes «exilés», notamment ceux frottés d’un peu de culture, s’ouvrirent aux idées nouvelles et le sentiment national se fortifia. C’est d’ailleurs dans les rangs de l’émigration surtout que se forgèrent les armes de combat comme les partis politiques. Après l’ENA, la glorieuse ENA et le PPA - Mtld, ce furent le Crua d’abord et le FLN ensuite, suivi quelques mois plus tard du MNA. Ce dernier étant plus dirigé vers la lutte contre le FLN que pour l’indépendance, le vieillard assigné à Niort, Messali Hadj, était alors en «dehors du coup». En fait, l’histoire récente de la Kabylie se confond avec celle du mouvement national. A la veille de Novembre et selon feu le colonel Ouamrane qui l’affirmait devant les sunlights de la télévision, les rangs révolutionnaires comprenaient au moins deux tiers de militants issus de Kabylie alors que l’encadrement l’était à plus de 75%. Les Abane, Krim, Didouche, Ouamrane, Amirouche et autres Ali Mellah pour ne citer que les plus connus sont là pour témoigner de l’engagement de la région. Sans oublier ceux-là-mêmes qui aujourd’hui encore sont sous le joug de la lutte pour un autre devenir. La seule daïra de Draâ El Mizan, en Kabylie, a fourni à la révolution cinq colonels: Krim, Ouamrane, Ali Mellah, Zamoum et Dehilès. Des cinq, seul Dehilès est encore en vie. Larbaâ Nath lrathen a fourni outre des bataillons de militants, notamment l’un des plus grands comme Radjef Belkacem, des combattants dont certains ont eu à contrer les généraux Faure et Olié durant l’épopée libératrice sans oublier le géant Abane Ramdane, le fils d’Azzouza. Comment citer tous ceux-là qui firent que Novembre fût possible et ceux-là aussi qui hissèrent haut le drapeau de l’éveil national. En ces jours d’août, on ne peut que nous incliner devant leur mémoire avec respect et reconnaissance.
Que de paradoxes Une fois ce glorieux passé brossé quoique rapidement, il semble bon de revenir sur le présent pour essayer d’expliquer le temps présent. La région, sortie de la guerre d’indépendance exsangue, laminée, déchirée, meurtrie, a dû s’enfoncer durant les premières années dans une violence inouïe. Les maquis du FFS de 1963 ont laissé dans le vécu des populations des traces indicibles. Ensuite, ce fut une longue nuit avec le parti unique et la pensée unique. La kasma du coin ayant pratiquement droit de vie et de mort sur de pauvres hères. L’entreprise d’effacement de la mémoire mise en branle fit réagir des jeunes, d’abord dans l’émigration puis au pays, avant que n’éclatent les événements du printemps amazigh d’avril 1980. Avril 1980 a décillé bien des yeux et le combat pour la liberté et la démocratie rejoint celui des aînés. Avec le temps et grâce à Avril 1980, le peuple se réveille et décide de prendre en charge sa destinée par une révolution se voulant pacifique. Mais l’islamisme apparaît et change la donne. Certes, en Kabylie, les idées islamistes souvent rétrogrades n’arrivent pas à accrocher ou si peu, la région ayant versé dans la mouvance démocratique dès les débuts. Mais le développement de la situation a fini par rattraper la Kabylie et, dès 1992, on a assisté à la naissance des maquis terroristes. A l’époque, Benhadj, devant rallier la région, est du pays, se désolait dans un discours d’avoir à traverser «bilad el kouffar», allusion à la Kabylie. Plus tard et dans un autre registre, feu Nahnah s’illustra en s’en prenant à la dépouille de Matoub Lounès. Attirés par le relief et aussi par le couvert végétal de la région, les terroristes islamistes s’installent dans les massifs de la région. Sidi Ali Bounab et Boumahni ainsi que certaines régions du Djurdjura ont ainsi été infestées d’abord par les énergumènes du GIA, ensuite par ceux du Gspc. Les villages qui ont eu recours d’instinct aux «précautions» d’antan ont vu aussi certains des leurs prendre les fusils de l’honneur. Certes, il s’est trouvé notamment des jeunes qui ont été «aveuglés» par le pouvoir du dinar roi et, pour quelques subsides, ont versé dans l’islamisme radical, mais le gros de la population ne partage guère les idées et les objectifs de ces desperados de l’Islam radical. Aussi les forêts et massifs de Kabylie qui sont souvent ratissés ne sont-ils «peuplés» que par d’individus venus d’ailleurs. La Kabylie assiste malgré elle à cette présence et voit dans les ratissages l’un des moyens idoines de nettoyer ces lieux. Les gens de loin peuvent s’imaginer que ces terroristes jouissent de logistique et de l’aide des populations, ce qui est évidemment loin d’être la réalité. Des jeunes, comme il est suggéré en supra, peuvent être très bien tentés par l’argent mais le gros des «troupes» de l’islamisme radical provient d’ailleurs. Dans quelques villages, ce sont des jeunes dont les parents sont originaires de la région et ayant vécu ailleurs qui ont ramené dans leurs bagages des idées étranges et souvent meurtrières. Le seul moyen de lutter contre cet épiphénomène est le développement. Cependant voilà: alors que le président a promis un plan quinquennal et une enveloppe des plus conséquentes pour la région, il faut croire que l’argent n’est pas encore là ou alors - et c’est la crainte de tous - les projets sont en «dormance». On frémit rien qu’à cette idée et les sorties du wali devant l’exécutif semblent corroborer cela. Ce dernier n’arrête pas de souligner les retards dans les réalisations et déplore que le travail, soit se fait mal, soit, pis, ne se fait pas du tout. Un espoir existe car ce chef de l’exécutif a montré une volonté certaine de tout faire pour relancer le développement de la wilaya. Seul le développement bien pensé de la région peut sauver la jeunesse et lui redonner espoir. Aujourd’hui, le seul mot à la bouche chez ces jeunes est l’émigration ou l’exil. Il est temps de redonner à cette population juvénile des repères: Novembre en est un.
A.SAÏD
Source : http://www.lexpressiondz.com/article/8/2007-08-28/45396.html
Commentaire de samir (31/03/2008 21:30) :
saha arezki franchement ton blog est magnifique en trouve une multitudes
d'informations interessantes sur la kabylie.. ce que j'ai aimé
aissi c'est la facon dont tu as retracer l'historique de notre
chere JSK.
franchement bravo et bonne continuation...
a+
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Hommage à Lounis Ait-Menguellet.
27/08/2007 03:29
Interprète, poète et compositeur, Lounis Aït Menguellet naquit à Ighil Bouammas, en Haute Kabylie, le 17 janvier 1950.
Il passe son enfance dans son village natal avant de déménager à Alger chez ses frères Smail et Ahmed.
Il fréquente l’école primaire puis le collège du 1er mai où il reçoit une formation d’ébéniste.
Il n’ aime pas les études puisque dit-il on trouver tout dans les livres.
Il commence à chanter en 1967 mais il se décourage vite et si ce n’est des amitiés solides, il n’aurait jamais pu continuer.
Dans l’émission de la chaîne II, Les Chanteurs de Demain de Chérif Kheddam, il chante sa première chanson : « Ma trud ula d nek Kter » (Si tu pleures, moi je pleure encore plus).
Kamel Hamadi, parent et ami du chanteur se chargera du contact avec les éditeurs qui formulent leurs propres exigences et lui conseillent de reprendre « Ih a Muhand a Madam Servi Latay » de Awid Youcef.
Mais le jeune poète est obsédé par autre chose de plus profond.
A partir des années 1970, il devient le symbole de la revendication identitaire qui s’exprime de façon éclatante une décennie plus tard.

Ait Menguellat reste malgré les aléas de la conjoncture et de l’ingratitude humaine, le plus populaire des chanteurs kabyles.
Et surtout le plus dense et le plus profond.
Parce qu’il a su garder sans doute un parfait équilibre entre l’inspiration et la technique et qu’il constitue un moment fort de la chanson kabyle moderne et de la chanson algérienne contemporaine.
Source :http://www.oasisfle.com/culture_oasisfle/ait_menguellet_le_poete.htm
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Beauté fine par Lounis Ait-Menguellet.
27/08/2007 03:18
- Beauté fine
- Ton visage brille
- Comme un flambeau
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- Gloire à l'oeuvre du Créateur
- quiconque le voit est inspiré
- Fine beauté tu me hantes
- Ton visage brille comme un flambeau
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- Quand elle va à la fontaine
- Les oiseaux chantent
- Elle éblouit ceux qu'elle rencontre
- Et rend muets les garçons
- Mon coeur ne désire que toi
- Ton visage de lumière
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- Quand elle paraît à sa fenêtre au matin
- Les oiseaux la chantent
- Beauté d'une rose tendre
- Gloire à qui a créé ton charme
- Après ton départ mon coeur languit
- Tu es tissée à sa vie
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- Ta beauté me hante
- Je pense à toi chaque jour
- Le sommeil m'a fui
- Me laissant éveillé jusqu'à l'aube
- Je suis hanté par ton image
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Tassaft Ouguemoune & ses environs
27/08/2007 00:05
Vue (du Zaouia At -Chikh) du Village de Tassaft et de Ait Erbah (photo de Gana Ouahioune ).
Tannemirt a GANA pour ces photos sublimes de notre région.
Source : http://tassaft.afrikblog.com/
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