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L’AVANT-PREMIÈRE AURA LIEU LE 25 JUIN PROCHAIN : Un film sur Matoub Lounès
23/06/2007 01:52
Un travail cinématographique impressionnant vient d’être finalisé en l’honneur de l’auteur de la célèbre chanson Aghuru.
Pour immortaliser le parcours et l’oeuvre du chantre kabyle, Matoub Lounès, des initiatives émergent par-ci, par-là, afin de ressusciter l’artiste.
En effet, un travail cinématographique impressionnant vient d’être finalisé en l’honneur de l’auteur de la célèbre chanson Aghuru.
Il s’agit d’un film intitulé Le Rebelle et l’ironie du sort réalisé par le jeune scénariste Mokrane Hammar qui a mis en relief la vie et l’itinéraire de Matoub.
«Le feu a failli ravager tout le village, l’artisan n’était autre qu’un enfant de cinq ans.
Le feu fût éteint, c’est le cessez-le-feu mais la guerre froide congèle les frontières algéro-marocaines où se trouvait le rebelle qui refusait toute soumission.
Il laissait libre cours à sa voix, son unique arme, ses propos n’ont épargné personne, encore moins les gens de la nomenklatura.
Il disait tout haut ce que les autres pensaient tout bas.
L’Algérie à feu et à sang.
L’étincelle a atteint tout le monde et le peuple souffrait en silence.
La voix du rebelle fut éteinte pendant quinze jours car il a été kidnappé et ses ravisseurs laissaient entendre qu’ils allaient l’exécuter avant de le libérer, enfin. Des frères allument le feu.
Une grosse fumée s’y dégage.
Le monde entier observe ces frères qui se brûlent sans souffler mot.
Le pays est assis sur un brasier. La maison Algérie brûle.
Le rebelle prend sa revanche sur la situation et appelle au secours.
Il accuse, il pleure l’Algérie, il crie...le rebelle fut assassiné», peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité. », peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité.
», peut-on lire dans le synopsis qui résume le contenu de ce long métrage de 65 minutes qui a été tourné en Kabylie, à Alger et en France sous l’égide de l’association Amezgoun N’djerdjer et avec une contribution financière du Haut commissariat à l’amazighité.
«La rigueur et l’exactitude font de ce film une oeuvre beaucoup plus proche du document historique que de la fiction».
L’autobiographie de Lounès Matoub, tient dans cette oeuvre, le rôle de la référence majeure.
«Une autre référence et non des moindres est la présence récurrente, tout au long du film, de Na Aldjia, la mère de Matoub, qui intervient souvent pour, parfois authentifier, parfois apporter l’éclairage nécessaire à la bonne compréhension de la complexe personnalité de son fils», nous explique le réalisateur qui précise, en outre, que le film commence par «l’enfance tumultueuse durant la guerre d’Algérie et les précoces démêlés de Lounès avec la justice puis se déroule la suite des événements: le Service national avec déjà le refus d’obéir à l’ordre de combattre nos frères marocains, la prison en France, les blessures physiques et morales qui sont restées ancrées en lui jusqu’à sa mort.»
En somme, ajoute le réalisateur, «le film montre, à travers, la vie de Lounès, la complexité de la société kabyle, ses tiraillements et pourtant il y a la possibilité d’union».
Par ailleurs, Mokrane Hammar estime que «le film gagne beaucoup artistiquement» du fait qu’il s’agit de l’adaptation d’une pièce théâtrale maintes fois présentée, et qui rend les dialogues plus fluides.
Enfin, notons que l’avant-première de ce long métrage sera projetée à la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, le 25 juin, date du 9e anniversaire de l’assassinat de Matoub Lounès.
Hafid AZZOUZI
Source : http://www.lexpressiondz.com/T20070619/ZA5-13.htm
Commentaire de Arezki de Montréal (25/08/2007 01:05) :
« Tisedhsa n zman »
Avant-première de « Le rebelle et l’ironie du sort » à Tizi Ouzou
25 juin 2007
Comme annoncé dans nos précédentes éditions, la projection, en
avant-première, du film censé porté sur les écrans la vie de Lounès MATOUB
a bien eu lieu à Tizi Ouzou, dans le cadre du programme de commémoration
mis sur pied par la Fondation Lounès MATOUB au niveau de la Maison de la
Culture Mouloud MAMMERI de Tizi Ouzou, lors de la journée du lundi 25 juin
2007.
Bien des choses ont été dites sur les forums de Kabyle.com, à propos de ce
film, depuis la publication de deux articles le concernant (Voir : « Le
rebelle et l’ironie du sort », première fiction sur la vie de Lounès MATOUB
et L’interview du réalisateur : Hammar Mokrane), afin de clore
définitivement le sujet, nous avons jugé utile d’apporter notre
appréciation de l’œuvre tout en mettant à la disposition de nos lecteurs un
extrait avec, bien sûr, l’autorisation du réalisateur.
De retour du recueillement à Taourirt Moussa (At Mahmoud, At Douala), nous
nous dirigeâmes directement à la Maison de la Culture Mouloud MAMMERI de
Tizi Ouzou où un public assez nombreux est venu visiter l’exposition dédiée
à la mémoire du grand absent de la journée, Lounès MATOUB en l’occurrence,
et s’enquérir, par la même occasion du moyen d’obtenir une invitation - pas
nécessaire selon la rumeur - afin d’assister à l’avant-première du film qui
lui est consacré programmé à 14 heures.
La rumeur s’avéra fausse, l’entrée de la grande salle de la Maison de la
Culture est filtrée par les agents qui demandaient systématiquement la
présentation d’une invitation afin d’y accéder. Ayant eu notre invitation
en main, nous avons quand même pu franchir ce point de contrôle sans aucune
autre forme de procès. Arrivés à l’intérieur, il a fallu patienter une
bonne demi-heure afin que la projection débute, un autre film du même
réalisateur, « Ddigh d yir arfiq », est projeté afin de faire patienter
l’assistance assez nombreuse.
Aux premières images du film, l’on commence déjà à douter qu’il s’agisse
d’une fiction, pourquoi ? L’image montre le réalisateur travaillant sur un
ordinateur et feuilletant le livre écrit par Lounès MATOUB : « Le Rebelle
». Quelques instants plus tard, le même personnage est montré arrivant au
domicile du chanteur, frappant sur sa porte d’entrée et reçu par sa mère
avec laquelle il aura une discussion.
Les premiers mots de Nna Aldjia se rapportent au fait divers raconté par
Lounès lui-même au début de son livre, il s’agit, bien sûr, du jour où il a
été à l’origine du départ d’un feu qui a embrasé une partie des vergers de
son village lors de la guerre de Libération (54-62). Toute de suite après,
place à une reconstitution à la limite du caricatural : La mère de Lounès
(Dans le film) est montrée en train de travailler dans son verger,
s’apercevant du départ du feu, elle dit tout de suite que c’est son fils
qui en est à l’origine. Elle part à sa recherche et la retrouve chez sa
tante. Convoqués à l’assemblée du village, où les attendaient les membres
de celle-ci en discutant de leur cas, ceux-ci se dispersent sans prendre le
soin de parler à leurs vis-à-vis en parfaite contradiction par rapport à ce
que dit Lounès dans son livre.
Nous citons, en page 15 du même livre : « … Ils sont donc venus chez nous
et ont demandé à ma mère de leur livrer le « coupable », dont ils avaient
appris le nom, afin de le juger. Ma mère est allée me chercher. Je n’étais
pas bien grand et m’a installé sur son dos, comme les femmes le font chez
nous. La voyant revenir apparemment seule, les maquisards, un peu énervés,
lui ont demandé où était l’auteur du délit. « Là » leur a simplement dit ma
mère – et elle m’a désigné du doigt. Ils s’attendaient à voir un adulte,
ils ont découvert un petit bonhomme de rien du tout. Pris d’un fou rire,
ils ont eu cette réflexion : Des gosses comme ça voudraient-ils incendier
des villages ? Ils sont l’innocence même. »
Cette scène sera la seule où le concerné sera montré (A travers un
personnage bien sûr), tout au long de la suite du film, il ne sera question
que de dialogues autour de lui, œuvre de différents personnages qui
l’auraient côtoyaient en prison, d’autres qui auraient manifesté pour
demander son transfert à l’étranger lorsqu’il fut blessé en 1988, certains
qui polémiquaient autour de son enlèvement en 1994 et de simples inconnus
qui se chamaillaient au sujet de leurs diverses appréciations du
personnage.
C’est ainsi que les différentes épreuves qu’a eu à vivre Lounès MATOUB,
certaines l’ayant marqué dans sa chaire, se trouvent « survolées » et «
discutaient » dans une sorte de flash-back incessants mixant entre images
réelles, de Lounès et de sa mère, et images reconstituées par des
personnages dont même les éloges laissaient à désirer, ceci, pour ne pas
parler des différentes « critiques » souvent gratuites, dont personne ne
nie l’existence d’ailleurs, mais qui auraient gagné à être balayées au lieu
de leur offrir une seconde vie.
La projection du film prendra fin 68 minutes plus tard, l’assistance, qui
est restée assez sceptique et partagée sur ce qu’elle venait de voir, se
fonda d’applaudissements nourris et « Tighratin » (Youyous) de fuser, une
façon de rendre hommage à Lounès MATOUB et de dire « peut mieux faire » aux
auteurs du film ainsi qu’aux autres qui voudraient se lancer dans la
réalisation d’œuvres sur le même sujet, dommage que le débat qui suit
traditionnellement toute avant-première n’ait pas eu lieu, le réalisateur
aurait gagné en critiques constructives, car, en Kabyle nous disons : «
Hemmalgh ad wtagh gma, karhagh win ara atyewten » (J’aime frappé mon frère,
mais je déteste celui qui le frappe), à méditer !
En définitive, il convient de signaler que le titre du film en Kabyle est :
« Tisedhsa n zman », contrairement à ce qu’ont pensé plusieurs personnes,
le réalisateur a bel et bien pensé à ça. Après visionnage, nous pouvons
considérer qu’il ne s’agit pas d’une fiction à proprement dite, nous
préférons parler d’une sorte de documentaire doublé d’une reconstitution de
faits plus ou moins avérés. Les auteurs du film, qui ont le mérite d’avoir
osé entreprendre pareille aventure, gagneraient à considérer positivement
les « critiques » qui leur ont été apportées par tout un chacun afin de
s’améliorer.
En page 100 du Rebelle, Lounès MATOUB écrivait : « … Je n’ai jamais cherché
à dissimuler les moments difficiles pour donner de moi une image magnifiée,
comme le font certains artistes. Je me présente devant mon public tel que
je suis, et tel que j’ai vécu : c’est le minimum de loyauté que je dois aux
gens qui m’écoutent. », alors, soyons loyaux envers lui à notre tour.
Extrait du film « Tisedhsa n zman » (« Le rebelle et l’ironie du sort »)
Pour Kabyle.com : Djamel BEGGAZ
http://www.kabyle.com/Avant-premiere-de-Le-rebelle-et-l,12376.html
http://kabylie.vip-blog.com
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Médias écrits: Nouveau journal communautaire à Montréal "Le Nord-Africain"
22/06/2007 00:55
Le Nord Africain Journal communautaire libre 10146,rue Berri, Montréal, Qc, H3L 2G7 Tel.: 514-465-4071 - lenordafricain@gmail.com
Directeur de la publication |
Ahmed Benchabane |
Directrice de la publicité |
Naime Hasbellaoui |
Maquette et infographie |
Salah Amrane |
Collaborateurs
El Hadj Larbi Zouaimia Abdellatif Azzouzi Arezki Slifi Azzeddine Harkat Daniel Lamontagne
Les titres du Volume 1-No 1-Juin 2007
L'édito:
A vous la parole!
- Québécoiseries: Les paranos
- Classe politique Algerienne: Le temps des remises en cause
- Air-Algerie Alger-Montreal sans escale
- Mohamed Gahche: Portrait d'un nouveau député
- UMA: L'unique salut face a la mondialisation
- Maroc-Info
- Tunisie-Info
- Algerie-Info
- Mauritanie-Info
- Vie communautaire: De Saint-Augustin d'Algérie à Saint-Augustin-de-Desmaures
- et plus...
Source :http://www.algeroweb.com/divers/le_nord_africain.htm
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Commentaire de aimer_la_vie..hoder..chamane (22/06/2007 01:14) :

Bonjour…Arezki... Bon vendredi et bon weekend …Nous te souhaitons
un week-end remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie…
Avec toute notre amitié
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Commentaire de Stanza (08/04/2008 12:26) :
I love you much
You deserve all love,
I wanna to share with you happiness, pains for ever
I will never forget you Merzouk,
Inspite of our separation, i fell and i have alwayes felt the same thing,
love
believe me your love is in my blood, and i can never love someone else ,
I love you Merzouk and I will love you for ever
http://www.yahoo.fr malikadz@yahoo.fr |
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Ligue des Champions CAF : Ittihad Tripoli-JS Kabylie (Demain à 20 h) Les Canaris dans une nouvelle aventure
22/06/2007 00:37
Les Kabyles renoueront officiellement demain avec la compétition qu’ils affectionnent le plus, à savoir la Ligue des champions africaine.
Et ce, pour le compte de la première journée des poules. Ils auront fort à faire devant une coriace équipe libyenne de l’Ittihad de Tripoli, une formation aux 20 titres nationaux (121 fois champions, 5 coupes nationales et 3 supercoupes), alors qu’au plan continental, elle en est à ses premières touches avec la hiérarchie africaine pour avoir atteint les quarts de finale de la coupe des coupes, un troisième tour en coupe de la CAF et un premier tour en Champions league. Alors que cette année, les Libyens atteignent pour la première fois de leur histoire la phase des poules, ce qui est en soi une grande performance. Les Kabyles que nous avons pu joindre au téléphone n’ont pas manqué de nous faire part de leur satisfaction quant à l’accueil qui leur a été réservé. Aussi, pour mieux connaître l’ambiance qui prévaut au sein de l’équipe, nous avons sollicité Azzeddine Aït Djoudi pour nous donner ses impressions sur le séjour de son équipe et les préparatifs à la veille de cette première manche et première sortie de l’équipe algérienne face à cette formation de l’Ittihad qu’ils connaissent bien pour avoir eu à la croiser la saison dernière, lors du premier tour. Pour rappel, les Kabyles sont revenus avec le point du nul (1-1) après avoir longuement mené, avant de s’imposer à Alger assez nettement par 4 à 0 avec un insaisissable Hamza Yacef qui n’est plus dans le groupe. Un groupe qui est aussi décimé par les blessures de Athmani et Abdeslam mais aussi par la suspension de Wassiou alors que les nouvelles recrues que sont Kheddis, Berramla et Hamadou ne sont pas encore rentrées dans le vif du sujet avec leurs nouveaux équipiers. « Peu importe, mais nous allons tout faire pour nous adapter très vite à cette nouvelle compétition », nous dira Sid Ahmed Kheddis, l’ex-Sang et Or. Il reste que Aït Djoudi se retrouve, comme en demi-finale face à l’USMA, avec un milieu de terrain handicapé, lui qui comptait sur la présence de Marek qui, à la dernière minute, avait préféré rester à la maison et étudier toutes les offres qui se présenteront à lui pour une nouvelle aventure. Avec les blessures de Abdeslam, la suspension de Wassiou, la petite forme de Bendebka et les départs de Hamlaoui et Marek, Aït Djoudi aura beaucoup de soucis pour composer son entre-jeu. Il demeure que Aït Djoudi reste tout de même très optimiste même s’il se montre quelque peu réservé quant à cette rencontre, surtout que cette équipe de l’Ittihad en quête de revanche a fait beaucoup de progrès.
Mohamed Rachid
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=70913
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Commémoration de Lounès Matoub au C.A.M.
19/06/2007 22:37
Commentaire de un kabyle de montreal (20/06/2007 03:23) :
bon travail sur votre blog...tres agreable a parcourir les differents
articles...bonne initiative...pour le centre amazigh de montreal ....je
serais le 23 juin 2007...pour commemore...notre rebelle Lounes.bravo...
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Commentaire de ---- (25/06/2007 14:27) :
J'ai été à la bas ....ça été une tres bonne soirée ,organisation
parfaite presence de deux troupes de danses Kabyles ,Tilleli de
l'ACAOH et Itran n'Gerger ,tout le monde était content ...un
grand hommage à été rendu à Lounès par des petits scénarios ,poemes ,diapos
et on a eu droit aux chansons de Lounés presque toute la soirée...qui dit
mieux ...bravo à tout le monde ... les organisateurs pensent déja au 25
juin 2008 ....Rendez-vous donc au 10eme hommage...au Rebelle.
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JSK fin de saison :Une humiliation de plus...
19/06/2007 17:12
La JSK clôture cette saison comme elle l’a commencée en réalisant l’une des performances les plus médiocres de son histoire puisque les kabyles ont lourdement chuté (4-1) en demi-finale de la coupe d’Algérie, au stade Tchaker de Blida, face à l’USM Alger qui disputera ainsi sa troisième finale consécutive.
Honteuse !!! Telle a été la JSK qui s’est inclinée (4-1), cet après-midi, face à l’USM Alger, en demi-finale de la coupe d’Algérie. Le cauchemar des Kabyles débutera en milieu de première mi-temps quand le Malien Sédounoudé Abouta profite d’une erreur monumentale de Hamza Yacef qui s’est étrangement retrouvé en position de défenseur axial pour servir l’avant-centre usmiste gracieusement invité à mettre sa tête pour ouvrir le score en faveur de son équipe. Maladroits, dépourvus d’idées et de percussion, les joueurs de la JSK ne sont pas arrivés à montrer la moindre réaction suite à cette bévue qui aura abattu des Kabyles qui manquaient déjà cruellement de motivation dès l’entame du match. Mal répartis sur le terrain, les hommes de Azzedine Aït Djoudi arrivent enfin à inquiéter la défense usmiste suite à un coup franc bien botté par Sofiane Bengorine qui dépose le ballon sur le pied mou d’un Hamza Yacef des plus mauvais jours qui n’arrivera pas à reprendre correctement cette balle. Profitant de cette léthargie des joueurs kabyles, les Usmistes imposent leur loi au milieu du terrain pour mieux asseoir leur jeu et construire des attaques rapides bien menées par le virevoltant Ammar Ammour qui aura donné du fil à retordre à son ange gardien du jour, Chérif Abdeslam très souvent battu par la vivacité du meneur de jeu algérois. Juste avant la mi-temps, l’USM Alger obtient un penalty suite à une faute sure Ammar Ammour dans la surface de réparation. L’ancien annabi, Boucherit se charge de transformer la sentence permettant ainsi aux Algérois de regagner les vestiaires avec une avance sécurisante de deux buts. A la reprise, le coach Kabyle tente d’insuffler du sang neuf dans son équipe en introduisant Nabil Hemani et Nassim Oussalah à la place, respectivement, de Boubaker Athmani et Hamza Yacef mais les changements tardent à donner les résultats escomptés vu que les Kabyles n’arriveront pas à déjouer la stratégie mise en place par Belhout, continuant ainsi à développer un jeu brouillon digne d’une équipe sans âme et sans organisation. Procédant par contre, l’USM Alger réussit à prendre le large dans cette rencontre grâce à un doublé du Malien Abouta qui a bénéficié d’un centre parfait du bourreau de la JSK, Ammar Ammour. N’ayant plus rien à perdre, Azzedine Aït Djoudi joue sa dernière carte en faisant entrer Fahem Ouslati à la place de Ali Bendebka. En quelques minutes, le jeune milieu de terrain de la JSK réussira à faire ce que n’a pas su faire son aîné durant 75 minutes. En effet, sur l’une de ses premières balles, Fahem Ouslati adresse une balle millimétrée en direction de Nabil Himani qui ne trouve aucune peine à tromper la vigilance du portier usmiste. A un quart d’heure de la fin, un éventuel retour des Kabyles était encore possible mais l’autre Malien, Mintou Doucouré annihilera rapidement tous les espoirs kabyles en allant battre Faouzi Chaouchi pour la quatrième fois dans cette demi-finale qui verra donc l’USM Alger se qualifier en finale de la coupe d’Algérie confirmant ainsi son statut de bête noire de la JSK dans cette compétition.
Source ; http://www.jskabylie.org/index.php?option=com_content&task=view&id=259&Itemid=33
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Centre Amazigh de Montréal commémore Lounès Matoub
18/06/2007 04:41
Un plus de dernière minute dans la programation de la soirée :
"Annonce de la participation de la Troupe TILELLI de l'ACAOH "
Il y aura :
1- Poème de Mass Arab Sekhi : Tassa n yemma-s.
2- Poème de Farida Ldjamaa :
C'est une adaptation de la chanson bien connue Degeneration du groupe Quebecois Mes ailleux.
3- Poème de Farida Ldjamaa : A yemma.
Tilelli, liberté en Tamazight, est une troupe de chants et de danses composée de 11 femmes.
Le but premier de Tilelli est la promotion de nos tradidtions culturelles.
Cette troupe a vu le jour en 2001 et depuis, elle ne cesse d’évoluer et de créer pour enrichir ses spectacles.
Tilelli puise dans les traditions ancestrales, poèmes et rituels pour assurer le maintien de la culture Amazighe malgré l’exil.
http://www.amazigh-quebec.orgcontact@amazigh-quebec.org
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