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Les chiffres ont été révélés par le magazine Marianne : Deux millions de berbérophones en France
07/03/2007 03:27
photo : http://fr.wikipedia.org/wiki/ParisLa population berbérophone de France est estimée à 35 % de l’ensemble de la population originaire de l’Afrique du Nord établie en France (quel que soit son statut juridique).
A la veille des élections présidentielles françaises, les informations sur le nombre de Berbères vivant en France, rendues publiques par la revue Marianne, renseignent sur le poids que pourraient peser les voix de cette population. Un poids qu’aucun candidat à la magistrature suprême ne pourrait ne pas prendre en considération.
Les Kabyles sont en tête de liste, suivis juste après par les Marocains. Le nombre des premiers est passé de 13 000 en 1914 à 500 000 actuellement. Les chiffres ont été livrés dans un dossier spécial publié dans le magazine Marianne de la semaine dernière. Marianne reprend ces informations à partir des résultats d’un colloque tenu récemment à l’Institut national des langues et civilisations orientales, Inalco.
La population berbérophone de France est estimée à 35 % de l’ensemble de la population originaire de l’Afrique du Nord établie en France (quel que soit son statut juridique). Sur les cinq millions de personnes d’origine maghrébine, il existe deux millions de berbérophones en France. Le magazine précise que dans leur très grande majorité, ils sont d’origine kabyle (500 000) suivis par les Marocains. Il existe aussi des berbérophones issus d’autres pays comme la Tunisie, la Libye et les pays du Sahel. Mais leur nombre reste peu significatif : de quelques centaines à quelques milliers de personnes.
Le magazine considère que la communauté berbère de France, bien qu’elle soit la plus ancienne, est plutôt mal connue : Le mouvement a commencé dès 1871 : après l’écrasement de l’insurrection kabyle par l’armée française, quelques centaines de Berbères d’Algérie avaient été importés en France. Mais il est bien loin le temps où, comme en 1906, le patronat français, très friand de cette main-d’œuvre soumise et laborieuse, faisait venir des Kabyles pour briser les grèves des ouvriers italiens dans les huileries et savonneries de Marseille. Colonisation, guerres mondiales, guerre d’Algérie, décolonisation du Maghreb, Printemps berbère, assassinats terroristes, au gré des crises économiques et des conflits, ballotés par l’histoire quand ils ne la faisaient pas, poussés par la nécessité de survivre ou transportés par leurs rêves de réussite, d’Algérie surtout, mais aussi, du Maroc, par vagues successives, les Berbères sont venus vivre en France . Les Berbères de France ont commencé par se regrouper tantôt en fonction de leurs choix professionnels, tantôt en fonction de leurs origines géographiques.
On les trouve surtout à Paris et dans le Bassin parisien, dans le Pas de Calais, à Marseille, à Lyon, car ils exerçaient souvent dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie. Mais, peu à peu, ils ont fait en sorte d’habiter dans les mêmes quartiers. Par exemple les gens de Tizi Ouzou vont se retrouver dans le XVe, XVIIIe et XXe arrondissements alors que les gens de la vallée de la Soummam vivront dans le Ve et le XIe.
par : Aomar Mohellebi
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=36316&ed=MTQ0NA==
Commentaire de samira & barbara (07/03/2007 18:48) :
Bonne soirée…et…

Nous te
souhaitons…une journée remplie…de paix,d'amourde bonheur,et de la
joie….
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Évocation : Mouloud Mammeri , Un grand écrivain
07/03/2007 03:09
D’abord l’œuvre en question qui renferme ces deux joyaux de la littérature algérienne d’expression française que sont entre autres La colline oubliée et L’Opium et le bâton se serait augmentée de quelques autres best-sellers, à la grande joie et reconnaissance de ses lecteurs.
Mais c’est surtout son regard d’écrivain sur le chemin accompli par l’Algérie dans le sens du progrès et de la démocratie : une presse indépendante et l’éclosion de jeunes talents, à l’image de Yasmina Khadra sous la poussée démocratique de la mondialisation et les libertés qui en résultent dont bénéficie admirablement la langue amazighe portée par un courant qui inscrit son long et difficile combat au cœur de la citoyenneté qui nous intéresse. Et il est évident que c’est son journal qui se serait enrichi de tous ces événements impérissables de nouvelles pages. A un moindre degré, on pourrait, poursuivant cette supposition, se demander légitimement ce que Mammeri, passant devant la salle Errich où une formidable exposition lui a été consacrée ainsi qu’à son parcours d’écrivain, aurait pensé de cet hommage rendu par la wilaya de Bouira. Se serait-il reconnu dans le portrait dressé de lui par les nombreuses citations tirées de sa propre œuvre (une sorte de Mammeri par lui-même) ou de témoins comme Pierre Bourdieu lui-même.
En tout cas, c’est ce portrait haut en couleurs que nous tâcherons de reproduire ici avec ces citations relevées à la hâte, avec plus ou moins de pertinence car les noter toutes en exige plus de temps et certainement plus d’espace. D’ailleurs, comme pour pallier le défaut d’exhaustivité qui devait leur paraître latent, les initiateurs de ce vibrant hommage, dédié à la mémoire de cet immense plume que fut et reste Mouloud Mammeri, avaient programmé une conférence sur sa biographie et un concours de poésie où les 5 meilleurs poèmes seront retenus et primés. Nous ne le répétons jamais assez : l’œuvre de Mouloud Mammeri né en 1917 et éteint en 1989 est dense et pèse d’un grand poids dans le patrimoine culturel de l’humanité, puisque La colline oubliée et L’Opium et le bâton – pour ne parler que de ces deux grands romans – furent traduits en 11 langues. Autour de la pièce maîtresse de l’œuvre constituée par ces deux maîtres romans, on trouve une pléiade de nouvelles et de contes, publiés chez Plon, Europe, Maspéro ou Bordas, comme La table ronde, La meute, Machaho ; on trouve aussi un précis de grammaire publié à Alger en 1967 et d’autres publications comme Escale, La cité du soleil à la même édition.
Cédant au chant des sirènes de l’ethnographie, Mammeri consacre à la littérature orale et kabyle sept ouvrages entre l’essai et la poésie sur une période comprise entre 1969 et 1989, année de sa disparition tragique (Mammeri rentrait du Maroc à bord de son véhicule lorsqu’il percutait un arbre. Une fin à rapprocher de celle de Camus). Tant de fécondité créatrice et tant de productions ne pourraient laisser indifférent un monde désireux d’honorer partout où il se trouve le génie. En 1986, soit trois ans avant sa mort, l’auteur de L’Opium et le bâton reçoit à l’université de Nanterre (Paris X) le titre de docteur honoris causa en présence de quelques amis, dont J. Yacine et Pierre Bourdieu. A Paris, il fonde la maison des services de l’homme, le fameux centre d’étude et de recherche d’anthropologie de Méditerranée (Ceram) qui publie la revue Awal.
Un portrait haut en couleurs
A côté des nombreuses photos et textes qui illustrent cette expo, ce petit paragraphe attire l’attention : il est de la main de Mammeri même : « Lorsque j’étais enfant, mon père m’emmenait systématiquement au marché parce que le marché est un lieu de rencontres. Le marché de mon père durait une demi-heure ; le reste du temps, il le consacrait à rencontrer les gens et à rester avec eux. Eux en faisaient autant. Il y avait une entreprise de formation dans le tas à la fois consciente et diffuse ». Nous voilà fixés sur le départ dans la vie du jeune Mammeri dont Pierre Bourdieu, dont il fut l’ami, dira plus tard : « En défendant cette sagesse profonde qui s’est logiquement maintenue envers et contre toutes les dominations et en particulier contre la censure du discours religieux, Mouloud Mammeri était loin de sacrifier à une quelconque nostalgie puissante et régressive.
Il avait la conviction de travailler à l’avènement en Algérie d’une démocratie pluraliste soutenue à la différence et capable de faire triompher la parole de l’éclairage national contre le silence buté ou la parole nationale des fermetures politiques et religieuses. » Le même Bourdieu dira à propos de l’écrivain engagé dans sa lutte pour les valeurs universelles : « Mouloud Mammeri s’est trouvé investi en plusieurs occasions critiques de la confiance de tout un peuple qui se connaissait et se reconnaissait en lui. Le poète, disait Mammeri, est celui qui mobilise le peuple et qui l’éclaire. » A quoi souscrit pleinement Mouloud Mammeri : « Mes points de référence ne sont pas politiques. En tant que romancier, ce qui m’intéresse, c’est le destin de l’homme, sa liberté, sa pleine expression ».
D’abord cet intérêt se manifeste devant les atrocités commises à l’époque coloniale : « A chaque page de mon journal (...), la tragédie éclorait d’elle-même. » « Cette grande tragédie » est imputable à « la faute d’un seul grand coupable : le colonialisme » ainsi que le souligne avec vigueur Mammeri dans sa lettre à un Français. Ensuite cet intérêt prend la forme d’une révolte, lorsqu’il est fait fit de la dignité humaine : « Le jour où on est venu nous signifier que nous étions une organisation de masse, j’ai quitté l’union. Comment peut-on conformer comme des moutons dans un parc des hommes, des femmes qui ont un visage, un nom, un cœur ? » Cette révolte prend une envolée lyrique à propos de la langue amazighe qu’il s’agit de défendre bec et ongles : « Il n’était pas possible d’accepter de gaieté de cœur que la langue qui avait servi aux guerriers de Jughurta cessa de chanter sur les lieux mêmes de leur combat par la faute de quelques préjugés rétrogrades. » Ignorance, préjugés, inculture, voilà une thématique à la mesure d’une grande plume.
El Watan 07/03/2007
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par Ali D. |
Commentaire de Vaddi (08/03/2007 00:34) :
Message de Vaddi - Sujet : « Remerciements et admiration ! »
Azul a ya Rezki, Je n'ai pas un vocabulaire assez riche pour te dire
combien j'ai aimé ce que tu as présenté dans ce blog, surtout la
manière et l'organisation de toutes les rubriques. Je te remercie du
fond du coeur pour m'avoir permis de voyager et revoir ma terre natale
et le Djurdjura. les sujets sont variés et attrayants ! Je te dis encore
bravo !! Je te souhaite beaucoup de réussites ! Ton ami et frère Vaddi
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Mohand T : Ughaled ughaled
06/03/2007 03:09
http://www.youtube.com/watch?v=rOXng04sLaU
Si vous avez aimé les chansons/clips proposés, soutenez la création en achetant l'album dans le commerce.
Arezki
Commentaire de Samira &, Barbara (06/03/2007 20:51) :
Bonne soirée Arezki…et...

Nous te
souhaitons une journée remplie de paix d'amour de bonheurs et de la
joie…
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Commentaire de massi (02/11/2007 23:19) :
bravo bouhou ! tres belle chanson ! je te souhaite une tres grande reussite
ds ta vie artistique
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TAFSUT, Chants et danses de Kabylie célèbre le Printemps Berbère
05/03/2007 05:03
TAFSUT, Chants et danses de Kabylie célèbre le Printemps Berbère, le Samedi 21 avril 2007 au Château, sis au 6956, rue Saint-Denis - Coin Bélanger à partir de 19h30.
Source : http://www.kabyle.com/TAFSUT-IMAZIGHEN-PRINTEMPS-BERBERE,11906.html
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Affiche ajoutée le dimanche 25 mars 2007 à 22 : 27
Grand spectacle avec Mourad Guerbas à Montréal
Avec la participation de Groupe vision , Massinissa et Fouad Yalaoui.

Source : http://www.kabyle.com/Grand-spectacle-avec-Mourad.html
Commentaire de Tafsut (22/03/2007 01:42) :
Comment se fait-il que la célébration de Tafsut soit classée dans "Divers"
alors qu'il existe un lien "Évènements" ?
Ulac aghilif.
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Commentaire de Arezki (22/03/2007 03:53) :
Voila! Pour répondre à votre question sur le placement de l'affiche de
Tafsut dans divers et non dans événements juste pour qu'elle
apparaisse sur la première page de mon blog, parce qu’il y a deux soirées
le 21 Avril 2007 comme ça, les deux soirées ne passent pas inaperçues.
Bonne célébration de Tafsut Imazighen.
Kabylement le votre.
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Commentaire de Arezki (22/03/2007 04:10) :
Voila ! vous m'avez poser une bonne question...alors je vais
transmettre toutes les afiches de soirées de "divers" à "évenements"
...comme ça tout le monde sera content.
A r tufat
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Commentaire de Tassadit (24/03/2007 18:03) :
Merci Arezki pour le rectificatif.
Bonne fête
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Commentaire de boudjema (11/04/2007 15:51) :
Production MISS TMOURT™ Présente Mourad Guerbas " Je pense à toi " ...
http://www.youtube.com/watch?v=VQrYSABPeAQ
Un grand bonjour de ka bylie à tous les kabyles de Montréal
....portes toi bien Arezki et merci pour ce blog...À bientôt...boudj
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Commentaire de Arezki (04/05/2007 03:13) :
Quand Mourad guerbas fait danser la foule !
Le théâtre Châteaux de Saint Denis a abrité hier le 21 avril 2007 une
soirée musicale, organisée par l’association Tafsut, célébrant le double
anniversaire du printemps berbère et le printemps noir. Au menu, l’icône de
la chanson d’ambiance en l’occurrence Mourad guerbas, un jeune chanteur qui
a deux albums à son actif et dont le nom est bien connu en Kabylie.
Le chanteur a su utiliser son capital d’expérience sur scène pour faire
danser tout le monde, d’une voix envoûtante et sous la cadence des chansons
vives et rythmées.
La salle parait exigue où tous les sièges étaient occupés avant d’être
désertés dés l’entrée sur scène du jeune chanteur puisque tout le monde
s’est mis à danser, et la piste de danse était pleine à craquer où le
moindre espace était occupé. La soirée était bien mouvementée où tout le
monde s’est senti, dans un laps de temps court, dans les décors des fêtes
Kabyles même à des milliers de kilomètres d’ici.
Rencontré avant son entrée sur scène, Mourad nous a fait part de son
attachement à la Kabylie qu’il ne pourra quitter, lui qui est propulsé par
le public en Kabylie ; un public qui lui a fait un nom en lequel Mourad y
demeure toujours fidèle.
Questionné sur la chanson kabyle actuelle, Mourad dit : «la chanson kabyle
ne régresse pas comme certains le pensent » avant d’ajouter : « avec le
nouveau style qu’adoptent les nouveaux chanteurs, le Rai est devenu peu
vendable en Kabylie après une période où il a envahi toute la région…. »
L’auteur de la chanson « fidèle à toi », féru d’El Hessnaoui comme il a
aimé le dire, a réussi son premier passage à Montréal, un passage qui sera
gravé dans sa mémoire et la mémoire de ceux et celles qui ont suivi sa
prestation. Mourad Guerbas est donc un nom à retenir, un chanteur qui
promet beaucoup….
Par M.Z.
source : http://www.algeronet.com/article.php?id=223
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La JS Kabylie vient de s'incliner sur le score de 3 buts à 1 face au MangaSport pour le compte des 16e de finales de la Champion's League.
04/03/2007 19:43
Fiche de Match 1/16 Finale. Mangasport (Gabon) 3-1 JS Kabylie
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Mangasport (Gabon) 3-1 JS Kabylie
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Stade de Madonda http://www.dzfoot.com/fiches/fiche.php?fiche_id=2994
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Les Equipes :
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Mangasport (Gabon)
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JS Kabylie
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Chaouchi - M. Meftah (Hamlaoui 46'), R. Meftah, Harkat, Zafour, Bengorine - Abdeslam, Barry, Wassiou - Yacef (Oussalah 88'), Dabo (Hemani). Entraîneur : Aït Djoudi.
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Buts :
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Kiyembe (10’), Lolo (41’), ? (62’)
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Dabo (57’)
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Avertissements :
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M. Meftah, Wassiou
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En s’inclinant par trois buts à un, hier après-midi, face au Mangasport pour le compte du match-aller du second tour de la Ligue des champions, la JSK a raté complètement sa sortie. La qualification se jouera dans deux semaines à Alger où les Kabyles doivent gagner par deux buts d’écart.
Les Canaris ont débuté la rencontre avec prudence en alignant une équipe à vocation défensive. Malgré ce schéma tactique, les locaux ont réussi à prendre le match en main dès les premières minutes. En Effet, on jouait à peine la dixième minute que les camarades de Patrick ont réussi à secouer les filets de Chaouchi. Cette réalisation galvanise dès lors davantage les joueurs gabonais qui ont continué à harceler l’arrière-garde Kabyle. Cette dernière, malgré le nombre de défenseurs alignés, a vécu des moments difficiles. Mangasport, qui a montré un visage séduisant pour sa première participation dans cette prestigieuse compétition, a raté deux bonnes occasions de corser l’addition, notamment aux 26’ et 35’ suite à des erreurs défensives. Mais ce n’était que partie remise, puisque à la 38’, les équipiers de Etawa Edzengo sont parvenus à ajouter un deuxième. Une réalisation tout à fait logique face à une équipe kabyle étrangement crispée. En effet, l’attaquant Omar Dabo, qui a tenté quelques incursions, se trouvait à chaque fois esseulé devant une défense gabonaise qui veillait au grain. C’est sur cet avantage de deux buts à zéro en faveur des locaux que le Congolais Kakondé a mis fin à cette première période.
En seconde période, la JSK entame la partie avec un esprit conquérant. L’incorporation de Hemlaoui a donné plus de tonus au milieu de terrain, complètement absent durant la première période. Les attaquants de la JSK, Yacef et Dabo, ont porté le danger dans le camp adverse et les tentatives répétées des Canaris ont porté leur fruit à la 57’ sur un but de Dabo. Ce but a fait douter les locaux qui, contrairement à la première période, ont reculé d’un cran laissant le champ libre aux camarades de Zafour qui, malheureusement, par manque de concentration, ont raté plusieurs opportunités de rétablir la marque. Mais le passage à vide des Gabonais n’a pas beaucoup duré puisque ils ont réussi à inscrire un troisième but qui s’avérera très préjudiciable pour les Kabyles qui devront ainsi marquer plus de deux buts lors du match-retour prévu le 16 mars prochain à Alger.
La Dépêche de Kabylie
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Commentaire de Amsebrid (09/03/2007 02:51) :
http://www.youtube.com/watch?v=Viw-n2Xu0eI
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Commentaire de Amsebrid (09/03/2007 03:06) :
Zizou the best...
http://www.youtube.com/watch?v=_l_mBAfZkdU
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