|
[ Sports/Kabylie ] [ Photos ] [ Famille ] [ Sports/Algérie ] [ Liens/clips/videos ] [ Histoire/Autres ] [ Poésie/Social ] [ Divers ] [ Musique ] [ Culture ] [ Evenements ]
|
|
|
|
Zidane et Idir : Pourquoi cette pluie!
04/03/2007 15:46
'
Si vous avez aimé les chansons/clips proposés, soutenez la création en achetant l'album dans le commerce.
Arezki
| |
|
|
|
|
|
|
|
'Débat à l'assemblée nationale : Algériens au Québec'
04/03/2007 15:45
Commentaire de henridekabylie (29/05/2007 09:55) :
Azul,
Merci pour cette video, tres interessante,par contre c'est toujours
pareil,les deux representants de la table du maghreb,reduise la communauter
maghrebine a l'identité "Arabe" sans jamais parler des berberes
.......
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Clip kabyle
04/03/2007 15:38
Si vous avez aimé les chansons/clips proposés, soutenez la création en achetant l'album dans le commerce.
Arezki
| |
|
|
|
|
|
|
|
Toc toc Etat, il y a quelqu’un ? Où va l’Algérie …du sport ?
04/03/2007 02:22
|
J’ai appris jeune que quand mon droit était bafoué, je devais m’adresser à l'Etat, du moins à ses représentants, seuls garants de sa défense. Au-delà de mes droits, c'est aussi mon honneur d’algérien qui est en péril. Etat algérien je t’écris donc.
Je fais partie des 76% de ta population qui ont moins de 35 ans. Je ne sais pas si c’est une proportion assez suffisante pour être écouté.
Rappel des faits : Mercredi dernier, le football algérien était de sortie. Les espoirs et les A. En pareille occasion, mon droit le plus absolu est de voir mon pays me représenter dignement.
Parlons d’abord des espoirs. Une bande de jeunes présentés comme la très belle relève du football algérien. Tellement belle qu’elle n’a pas besoin de renforts d’algériens opérant à l’étranger. Pas besoin non plus d’un entraîneur en chef. Puisqu'on vous dit qu'ils sont doués ! Et puis de toute façon, l'enjeu était bien modeste : l'équipe d'Ethiopie ... Modeste ! quelle insolence ! Voilà bien l'Algérie de 2007, nostalgique, somnolante et naïve. Résultat des courses : une correction 3-1 sur notre beau nouveau tartan acheté à coups de milliards, une belle correction infligée par de valeureux éthiopiens. Respect ! La belle après-midi est lancée.
Où va l’Algérie... du sport ?
Rentrée des grands. Le casting est logiquement sans risque : les meilleurs joueurs algériens, un adversaire prenable et le temple du football algérien, le complexe olympique du 5 Juillet, la vitrine de notre football. Résultat des courses : des invités et nos joueurs professionnels qu’on ramène des greens anglais, allemands et français pour les faire jouer (un grand mot) sur un véritable champ de patates, un terrain indigne d’un état dont le PIB est le 2ème d’Afrique !
Où va l’Algérie du ... sport ?
Que devrais-je faire ? Me résigner, me taire et croire en cette fatalité d’impuissance algérienne toute nouvelle ? Ou me révolter, interpeler les pouvoirs publics et réclamer que mon droit soit restitué ? Je ne demande ni travail ni logement … football, opium des peuples ! Droguez-nous car, conscients, une gifle fait mal, alors que dire de toutes celles que nous nous sommes prises ?
Ce n'est pas parce que mon après-midi a été gâchée que je lance cet appel (presque de détresse). Je parle en mon nom et au nom de tous ceux qui se désolent de voir les affres dans lesquelles s'enfonce chaque jour davantage le sport que nous aimons tant. C'est un appel à tous ceux qui ont un quelconque pouvoir de décision sur le sport en Algérie, un appel à réagir. VITE !
Il n'y a aucun caprice dans le fait de déplorer en vrac : - la désillusion d’un football qui, absent de facto de la coupe du monde depuis déjà trop longtemps pour émouvoir, s’est permis le luxe de "sécher" le rendez-vous de la dernière coupe d’Afrique sans faire sourciller quiconque au sein de l'Etat - l'attitude d’un ministre des sports et d’un président de fédération qui se chamaillent sans pudeur, sans respect, à coups de sorties médiatiques prenant en otage une discipline et une jeunesse en état comateux dépassé.
Il n’y a aucune urgence, prenez votre temps messieurs ! Il y a juste un technicien étranger en rade, un plan de redressement en stand-by, des nations africaines qui sont à des années-lumières de nous. La récente Ethiopie ou la pas très lointaine Mauritanie viennent nous rappeler qu’on est sur la bonne voie de la déchéance irréversible. Mais messieurs surtout n’arrêtez pas votre bras de fer, on est trop curieux de savoir qui finira par battre l’autre.
Où va l’Algérie du ...SPORT ?
Que dire de notre Hand-ball, notre fierté autrefois, égoïste de récompenses continentales ? Aujourd'hui on fait dans la galanterie, on laisse passer quatre nations devant pour participer à la grande messe mondiale. Que serait-on allés y faire de toute manière ? Ne bouge pas Etat !
Des jeux olympiques dont on revient avec zéro breloque et un piètre «l’essentiel est de participer » ? Ne bouge surtout pas Etat !
Tes enfants se battent sans armes dans des combats déséquilibrés. Que devrais-je penser quand d'autres pays moins riches dotent leurs jeunesses respectives de centres de formation, de terrains, de salles, de techniciens qualifiés, d’argent et que toi tu ne sollicites que mon courage et ma bravoure ? Donnez-nous les armes pour nous battre ! Si l’algérien était mauvais combattant ça se saurait.
Mais au fait, j’ai oublié de demander avant de commencer, alors que personne en haut ne semble s'offusquer de ces désillusions. Est-ce qu’il y a quelqu’un qui écoute ?
Toc toc Etat, il y a quelqu’un ?
Karim D.
13/02/2007
|
|
|
Copyright - © -dzfoot.com
|
|
|
|
|
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
LHacene Ziani: L'Enigme: Bientot le dernier livre aux editions VoixLibres.
03/03/2007 11:49
| |
|
|
|
|
|
|
|
Célébration de Tafsut Imazighen au Centre Amazigh de Montréal (CAM)
03/03/2007 01:38

Chers membres et amis, (es), Azul fellakent, Azul fellawen,
A l’occasion de la célébration de Tafsut Imazighen, le Centre Amazigh de Montréal (CAM), vous invite à venir partager cet événement en famille, dans une ambiance de fête… " Venez nombreux nous rejoindre pour fêter le printemps berbère, il y aura de la danse, de la musique et encore de la musique…. " Amenez votre famille, vos amis (es), vos collègues de travail.
Date : |
Samedi 21 avril 2007 |
Heure : |
19 h 00 |
Endroit : |
Collège Jean de Brébeuf, 3200, Côte Ste-Catherine, face à l’hôpital Ste-Justine. |
Prix : |
Adulte : 10.00 $ - Enfants (moins de 12 ans) : entrée libre |
Programme de la soirée :
19 h 20 : Mot de bienvenue, par Adida 19 h 50 : Dîner (couscous traditionnel, suivi d’un thé ou café et des gâteaux) 20 h 20 : Troupe de danse"Itran n'gerger" les Étoiles du Djurdjura 21 h 00 : Danses sur musiques variées avec votre DJ préféré *LS* REMIX
Activités pour enfants : Peinture et contes amazigh. Parking assuré.
Bienvenue à toutes et à tous.
Source : http://www.amazigh-quebec.org/index.asp
Le conseil d’administration.
Comment s'y rendre :
Commentaire de yahia (03/03/2007 03:27) :
Simplement Bravo!!!
|
Commentaire de un fan de Lounès (16/03/2007 01:35) :
«Mais la paix renaîtra un jour et mes chants parmi vous célébreront à
nouveau le printemps si cher à nos cœurs..». L'auteur de ses lignes
s'appellait Lounès Matoub, star de la chanson kabyle et héros dans sa
région natale, la Kabylie.
|
Commentaire de massi de montreal (19/03/2007 03:55) :
j'aime bien ton blog , tres riche , continue merci pour les nouvelles
et les spectacles a montreal ....on sera a la soirée du cam pour tafsut
imazighen comme d'habitude .
Voici un lien a voir avec une belle chanson kabyle...
http://www.youtube.com/watch?v=EZ5MA2LtLxs
|
Commentaire de Nawal (21/03/2007 02:47) :
C'est aujourd'hui le premier jour du printemps "Tafsut" ,je
souhaite à tous une tres belle saison de printemps avec beaucoup de
soleil.
Sans oublier la soirée du cam "Tafsut Imazighen" qu'il faut pas
oublier et la célébrer chauqe année en hommage à la jeunesse kabyle du 20
avril 1980 .
Bonne célébration et bonne fête !
Amenzu n tafsut anefegh adnawi izedjiguen...
|
Commentaire de Kabyle (21/03/2007 04:36) :
Le Printemps noir est le nom donné à la révolte de la Kabylie, aux
violentes émeutes qui y ont éclaté et leurs répressions par l'armée
algérienne entre avril 2001 et avril 2002.
Le 18 avril 2001, un jeune lycéen berbère (Massinissa Guermah) est exécuté
d'une rafale d'arme automatique par les gendarmes dans les locaux
de la gendarmerie de Beni Douala (Grande Kabylie). Cet événement — qui
s'inscrit dans une série de manifestations hostiles à la jeunesse de
la part des forces de l'ordre — sera, de par son extrême gravité,
l'élément déclencheur de l'insurrection kabyle.
Le 22 avril, le ministre de l'intérieur, reprenant les fausses
informations du communiqué rendu public par le commandement de la
gendarmerie nationale sur l'assassinat de Ghermah, déclare que ce
dernier était « un délinquant de 26 ans ». À la suite de cette déclaration,
la presse publie le bulletin de naissance de Massinissa prouvant qu'il
s'agissait au contraire d'« un lycéen de 16 ans ».
Des marches pacifiques sont alors organisées pour dénoncer les injustices
et les abus d'autorité. Ces manifestations sont durement réprimées :
les forces de l'ordre tirent à balles réelles sur les manifestants qui
sont, pour la plupart, des collégiens ou des lycéens. On décompte plus
d'une quarantaine de morts et des centaines de blessés, rien que pour
les journées du 25 au 28 avril 2001.
Durant le mois de mai, la répression est de plus en plus violente :
tortures, pillages de domicile et de magasins, représailles. Les gendarmes
font 15 nouvelles victimes et des dizaines de blessés. Le mouvement
s'organise et crée la « Coordination des âarchs, daïras et communes »
(CADC).
Le 14 juin, une imposante marche pacifique converge vers Alger pour
remettre au président Abdelaziz Bouteflika un texte de revendication : la «
Plate-forme d'El Kseur ». Les manifestants ne sont pas reçus et sont
stoppés par les forces de l'ordre. La répression fait 8 victimes, et
130 personnes sont portées disparues — elles seront soit retrouvées mortes,
soit hospitalisées dans les alentours, soit mises en garde-à-vue. De
nombreux affrontements vont succéder à cette manifestation, entraînant des
dizaines de morts, des centaines de blessés et de multiples arrestations.
Le premier ministre Ali Benflis tente d'ouvrir le dialogue avec les
âarchs, mais sans succès.
Aussi les forces de l'ordre vont-elles mener de féroces représailles
en détruisant des magasins, des hôpitaux, pillant des maisons ou en
organisant des raids nocturnes dans les villages, munis de machettes ou de
poignards.
Au cours du mois de mars 2002, les répressions sont sanglantes. Les
manifestants attaquent les symboles du pouvoir — les mairies, les daïras,
les centres des impôts, les tribunaux, etc. Des assassinats sauvages sont
perpétrés par les forces de l'ordre. Le 12 mars, le président de la
république annonce de nouvelles mesures allant dans le sens de
l'apaisement — dont le statut de « langue nationale », accordé au
tamazight. Mais les affrontements ne cessent pas entre les forces de
l'ordre et les manifestants. Des villes (Azazga par exemple) sont
assiégées par les gendarmes pour y mener des expéditions punitives. De
simples passants sont tabassés. Des opposants politiques et des
journalistes sont maltraités. Des dizaines de responsables de comités de
villages (délégués des âarchs) sont arrêtés. Face à cet impossible
dialogue, la situation semble bloquée.
L'arrivée de Ahmed Ouyahia au poste de premier ministre permet
pourtant la reprise du dialogue : en octobre 2003, le chef du gouvernement
réouvre les discussions avec les âarchs. Une grande partie des
revendications de la « Plate-forme d'El Kseur » est accordée.
La révolte du Printemps noir a fait 132 morts et plus de 5 000 blessés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Printemps_noir
|
| |
|
|
|
|