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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
a111@sympatico.ca

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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
    Origine : Montréal
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    Jeunesse Sportive de Kabylie

    01/03/2007 05:45

    Jeunesse Sportive de Kabylie


                                    Jeunesse Sportive de Kabylie

    Image

    Adresse:  Stade du 1er Novembre 1954, 15000 Tizi Ouzou, Algérie

    Fondée en:  1946

    Telephone: + 213 (0) 26 21 52 72

    Site web:     http://www.jskabylie.org  

    Budget:      2.500.000 €

    President:  Mohand Chérif Hannachi

     
    Stade du 1er Novembre 1954

    Capacité:  30.000 places

    Terrain:  Pelouse synthétique

     

    Vu du ciel: 

    Image 



    Commentaire de samira & barbara (01/03/2007 18:43) :

    Image hébérgée par hiboox.com

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    Commentaire de fan de la jsk (02/03/2007 03:37) :

    wooow..!!!!!!!!!! la jsk notre club de toujours ....assa azekka jsk thella thella ...anwa wigui d IMAZIGHEN ... Allez les canaris ...vous etes la fièrté de toute la kabylie...vous etes pas loin de leader au championnat ..ne lachez pas et vous aurez la 1er place ...sans oublier la coupe d'algérie et bien sur le plus important la ligue des champions africaine....aqlgh widhwen ...amemchtuh amumqan ...a m urgaz a m themttuth...amu qcic ame lloufan ....IOR ...6 étoiles.


    Commentaire de lbaz idurar (02/03/2007 05:01) :

    http://www.dailymotion.com/video/xqhsv_chanteur-kabyle


    Commentaire de Samira &, Barbara (02/03/2007 17:27) :

    Azul Arezki... je viens te souhaiter...

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    Soirée Kabyle avec Berbanya

    01/03/2007 04:11

    Soirée Kabyle avec Berbanya


    Pour célébrer le quatrième anniversaire de sa création , le groupe BERBANYA organise une

                            soirée musicale Kabyle

                                       Montréal

                           Samedi 24 Mars 2007 à 20h00.

    Lieu : Patro le Prévost ,
    7355 Christophe Colomb ( coin Everett )
    Métro Jean – Talon , Sortie St-Hubert

    Prendront Part à cette à Soirée :


      BERBANYA ;
      SYPHAX ;
      SGHIRA ;
      La Troupe de danse AZETTA .

    Tarif :
      Adultes : 10 $

      Enfants ( 5 à 12 ans ) : 5 $

    Billets sur Place et aux points de vente suivants :

    Restaurant Chez DELBIA
    5181 Amiens , Montréal Nord
    (514) 329-5278

    Disco Maghreb
    255 Jean Talon Est
    (514) 273-2184

    Soyez Nombreux pour fêter la Kabylie sous toutes ses couleurs .

    Pour plus d’informations contactez nous au : (514) 578-3441



    Commentaire de yiwen (02/03/2007 03:17) :

    un tres bon spectacle ....bonne reussite au groupe berbanya ...en passant votre blog est tres riche ...vive la kabylie





    Les rendez-vous de mars à l'ACB...

    28/02/2007 00:01

    Les rendez-vous de mars à l'ACB...


    Dédicaces du livre: " IZRI, Images de Kabylie "
    Préfacé par Camille Lacoste-Dujardin
    Par Catherine Rossi et Karim Takeznount
    DALIMEN Editions - Alger

                   Jeudi 8 mars 2007 à partir de 18 h 30

    " Il y a une peinture du voyage, l'aquarelle : traits enlevés, lumières captées sur le vif, dans l'urgence des sensations.
    Il y a une photographie du voyage également, celle du respect : lumière capturée, traits sublimés dans la patience de l'instant.

    Alors vient le travail en double. Double regard ou un seul ? Travail en duo du photographe et du dessinateur, sans aucun doute indissociable, dans une commune volonté de donner à voir l'Algérie d'aujourd'hui.

    Ces images sont dédiées à l'Algérie, une offrande commune dans l'humilité et le respect. Dans l'intimité de leur parcours, au rythme des photos de Karim Takeznount et des aquarelles de Catherine Rossi, ils montrent la Kabylie au printemps, poésie en contraste, authentique et forte, si dangereusement troublante., terre de Karim.

    Ils nous laissent de leurs errances des livres, " Double Regard sur la Casbah ", et " Izri, Images de Kabylie ". (Camille Lacoste-Dujardin).

     

    Karim Takeznout
    " Karim Takeznount est né en France en 1972 et vit à Paris. Il revient en Kabylie où se trouve la maison de son père à l'automne 2004, puis à Alger en 2005. Il est photographe comme on est peintre, par instinct face à la lumière. Il a un regard, il sait l'attente, il connaît la patience. Qualités qui lui permettent de saisir les instants troublants où s'illluminent Alger et les paysages de Kabylie"


    Catherine Rossi
    "Catherine Rossi est née en février 1957 à Troyes dans l'Aube. Son père, peintre, était né en Algérie. Adolescente, elle s'initie à la langue arabe. En 1981, elle s'installe pour un an au Caire. De retour à Paris, elle voyage souvent, du Maroc à l'Egypte, dessine et écrit. Les carnets de voyage deviennent des aquarelles où se mêlent jardins, paysages et vie quotidienne. Dessin et écriture deviennent indissociables. L'un entraîne l'autre dans le même désir: celui de rendre proche ce qui paraît lointain et familier ce qui semble étranger. Une façon de combattre l'intolérance et de comprendre les différences. Elle expose régulièrement au Maroc, en Egypte, en Algérie et en France. Collaborant à la revue "Etoiles d'Encre", elle a déjà écrit et illustré "Les lettres de Tamanrasset", "Carnets d'Alger", "Double Regard sur la Casbah" et "Izri, Images de Kabylie", alliant désormais le travail de ses dessins à celui des photographies de Karim Takeznount, au fil de leurs voyages.

    L'ACB a le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition :

    " DOUBLE REGARD SUR LA KABYLIE "

    Aquarelles de Catherine Rossi
    Photos de Karim Takeznount

    ----------

    Association de culture berbère (ACB)

    37bis rue des Maronites - 75020 - Paris

    Tel : 01 43 58 23 25

    Fax : 01 43 58 49 75

    Mail : acb@noos.fr

    Site : http://www.acbparis.org/

     



    Commentaire de Samira &, Barbara (28/02/2007 23:59) :

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    Division 1 : PAC 1 - JSK 2 DabOum (re)sort sa gachette

    27/02/2007 03:25

    Division 1 : PAC 1 - JSK 2  DabOum (re)sort sa gachette


    Par : A. A. A  http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/02/24/5549269

    Stade Omar-Hamadi (Alger)
    Affluence : nombreuse
    Arbitres  : Amalou, Tahir, Benayadi
    Averts : Chaâbna (16’), Liadé (72’), Ghanem (79’)(PAC); Herkat (73’)(JSK)
    Buts : Dabo (40’, 75’)(JSK); Hamouda (46’)(PAC)   

    PAC
    Kermiche, Doua, Tedjar (Bouaïcha 46’), Liadé, Benachour, Ghanem, Khenifssi, Chaàbna, Djediat, Hamouda (Ouali 78’), Maïdi (Benmoussa 59’).
    Entraîneur : Bouhellal

    JSK
    Chaouchi, M. Meftah, Bengorine, Demba, Herkat, Abdeslam, Douicher, Wassiou, Yacef (Hemani 64’), Oussalah (Bendebka 64’), Dabo (Athmani 90+1’). 
    Entraîneur : Aït Djoudi

    La ligne offensive de la JSK, plus précisément Cheikh Omar Dabo, s’est bien rachetée de ses ratages à Chlef lundi dernier en offrant la victoire à son équipe hors de ses bases. La rencontre débute sur les chapeaux de roue, les deux équipes n’ont pas eu besoin de s’offrir un round d’observation. Ce sont les Kabyles qui prennent le jeu à leur compte et c’est tout naturellement qu’ils se créent la première occasion dangereuse. A la 17’, Douicher centre pour Dabo qui reprend mais il dévisse trop son tir qui passe au-dessus. Les locaux sortiront de leur coquille pour aller inquiéter les Kabyles à la 32’, Hamouda prend de vitesse la défense avant de tirer, mais la balle est détournée en corner par Rabie Meftah. Ce n’était là qu’un feu de paille puisque les Kabyles reprennent leur domination et après moult tentatives, ils réussiront à trouver la faille à la 40’. Oussalah centre pour Dabo qui surgit au premier poteau pour envoyer la balle de la tête en pleine lucarne. Alors qu’on s’attendait à ce que la JSK défende son acquis, voilà que cette dernière s’est fait surprendre dès son retour des vestiaires. Suite à un centre de Djediat, le gardien de but kabyle rate son dégagement et Hamouda qui était bien placé n’avait qu’à pousser la balle au fond des filets. Le PAC a failli doubler la mise par le biais de Benmoussa qui s’est présenté seul face à Chaouchi mais ce dernier sort vainqueur de ce duel. Les coéquipiers de Yacef tentent de renverser la vapeur et la 67’, sur un centre de Rabie Meftah, un défenseur dévie la balle de la main. Alors que cette faute était apparente, l’arbitre demande la poursuite du jeu, ce qui provoqua la colère des Kabyles. Trois minutes plus tard, suite à une faute sur Bengorine non sifflée par le referee, les joueurs du PAC récupèrent la balle et ils sont quatre Pacistes à se filer vers les buts. Heureusement que Rabie Meftah est revenu pour dégager la balle. Cette alerte fera réagir les Kabyles qui repartiront de plus belle pour aller inquiéter à nouveau leur adversaire. A la 73’, sur un coup franc bien botté par Hemani, Bendebka, embusqué au deuxième poteau, reprend, Kermiche sauve sur sa ligne. Ce n’était que partie remise, deux minutes plus tard, après un joli travail de Wassiou au milieu do terrain, ce dernier sert Hemani qui décale pour Dabo qui bat sans trop de difficulté le gardien de but du PAC. Les Kabyles ont raté de peu le KO dans les dernières minutes, une première fois par Wassiou qui passe en revue plusieurs défenseurs mais Kermiche anticipe et se saisit de la balle dans les pieds du milieu de terrain kabyle. La seconde fois, Bendebka rate de peu de reprendre la balle de la tête. Les Kabyles méritaient amplement leur victoire grâce à la volonté dont ils ont fait preuve. 
    A. A. A

    Et de onze  pour Dabo
    Grâce au doublé inscrit face au PAC, Cheïkh Omar Dabo prend tout seul la tête du classement des buteurs avec à son actif onze réalisations. Il faut dire aussi que l’attaquant kabyle profite également du mutisme de son rival direct, l’Usmiste Hanister.

    «Avant de finir meilleur buteur, je veux être champion»
    «Je pense qu’avec cette victoire, nous nous sommes rachetés des ratages que nous avons commis à Chlef lundi dernier. Il est vrai que ces deux buts me font plaisir car ils permettent à mon équipe de gagner et de remonter encore plus au classement. Désormais, tout redevient possible pour nous. Il est vrai que le titre de meilleur buteur m’intéresse mais ce que je veux le plus est de remporter le titre de champions avec la JSK»
    A. A. A.

    Bouhellal : «Nous avons payé cash nos erreurs»
    «Encore une fois, l’inexpérience de mes joueurs nous a joué un mauvais tour. Après avoir fait le plus difficile en revenant à la marque et en bousculant notre adversaire, voilà que nous sommes retombés dans les mêmes erreurs, à savoir la relance et la construction de nos attaques, ce  dont a profité la JSK pour ajouter ce second but»

    Yacef titulaire… et capitaine
    Après avoir fait l’impasse sur les trois dernières rencontres de son équipe, successivement face au CF Os Balantas, HAMRA et l’ASO, Hamza Yacef est revenu hier à la compétition à l’occasion de la rencontre face au PAC. Pour son retour, Yacef a eu le privilège d’hériter du brassard de capitaine en l’absence de Brahim Zafour suspendu.

    Les Kabyles  prennent d’assaut Bologhine
    A la surprise générale, la rencontre PAC-JSK a été suivie par un large public. En effet, les tribunes du stade Omar-Hamadi ont été bien garnies par les supporters essentiellement par ceux de la JSK.

    Bengorine et Maïdi se sont accrochés
    Le fait qu’ils soient confrontés à maintes reprises a donné lieu à des étincelles entre Bengorine et Maïdi qui se sont accrochés à la 19’ avant que les autres joueurs ne s’en mêlent pour calmer les esprits.

    Revoilà Athmani
    Le feuilleton Athmani est bel et bien fini avec la convocation de cet élément pour le match face au PAC. Mieux, Athmani a rejoué puisqu’il est entré en jeu en fin de match à la place de Dabo.

    Première réunion de travail Hannachi-Aït Djoudi-Benhamlat
    Jeudi dernier, sur le lieu de la mise au vert de son équipe à l’hôtel des Sables d’Or, le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, a improvisé une réunion de travail avec son entraîneur, Azzeddine Aït Djoudi, et le nouveau manager général, Aziz Benhamlat. Les trois hommes ont discuté essentiellement du programme de travail pour la semaine à venir.

    Saïbi : «J’ai besoin d’un peu plus de temps»
    L’attaquant Youssef Saïbi, qui est resté loin des terrains durant près de deux semaines en raison d’une blessure à la cheville, s’est remis de nouveau au travail en fin de semaine dernière. Le joueur s’est, en effet, entraîné le plus normalement du monde avec le reste du groupe. Toujours est-il, Aït Djoudi n’a pas jugé utile de le retenir pour le match d’hier face au PAC, estimant qu’il n’était pas encore prêt pour la compétition. «Je crois que le coach n’a pas tout à fait tort. J’ai besoin d’un peu plus de temps pour retrouver tous mes moyens. Vous savez, je n’ai repris les entraînements qu’avant-hier (propos recueillis vendredi, NDLR), donc je pense qu’il est encore trop tôt pour moi. Je boite encore, et quand je force un peu, je ressens encore des douleurs, je ne veux donc pas précipiter mon retour au risque de rechuter», affirme Saïbi. Celui-ci pourrait normalement être prêt pour le déplacement face au Gabon, mercredi prochain.
    A. A. A.

    Wassiou renaît
    En plus de Dabo, auteur d’un doublé, l’autre Kabyle qui a émergé du lot a été sans aucun doute Wassiou. Après un passage à vide qui aura duré plusieurs semaines, le Béninois a été accrédité d’une excellente prestation.

    Les Kabyles ont suivi le match USMA-NAHD
    Plusieurs joueurs de la JSK se sont installés jeudi passé au niveau du salon de l’hôtel où ils étaient hébergés afin de suivre en direct sur un écran géant le match USMA-NAHD. A noter que le président kabyle était également de la partie.

    Mouassa rend visite à la JSK
    Profitant du fait que lui et son équipe étaient installés à Zéralda dans un hôtel proche de celui où était la JSK, Kamel Mouassa a rendu une visite de courtoisie aux Kabyles. Un geste prévisible de la part ce celui qui a été a deux reprises l’entraîneur de l’équipe première de la JSK.

    Les supporters envahissent l’hôtel
    Ils sont venus nombreux sur le lieu de la mise au vert de la JSK afin de voir de plus près les joueurs kabyles mais surtout prendre des photos souvenirs avec eux. Les agents chargés de la sécurité de l’hôtel des Sables d’Or ont eu du mal à contenir les nombreux supporters, la preuve certains se sont même permis de monter vers les chambres où se trouvaient les joueurs avant d’être évacués.

    Un «PAC» prime  de match-téléviseurs
    Après le match, le président de la JSK est allé au vestiaire pour féliciter ses joueurs et, par la même occasion, leur annoncer qu’ils auront droit à une prime conséquente de 10 millions chacun plus un téléviseur, au grand bonheur des joueurs.

    Bengorine rentre chez lui
    Après la rencontre livrée face au PAC, Sofiane Bengorine a pris la direction de l’aéroport pour prendre l’avion à destination d’Oran et à partir de là rejoindre sa ville natale, Sidi Bel Abbès. Le défenseur kabyle a été autorisé à partir car il ne s’est pas rendu chez lui depuis qu’il a rejoint les rangs de la JSK au mercato, à cause de la succession des rencontres.

    Les Kabyles photographiés
    Jeudi passé, les responsables kabyles ont fait appel à un photographe pour prendre des photos d’identité des joueurs qui se trouvaient en mise au vert à l’hôtel  les Sables d’Or de Zéralda. Ces photos seront adjointes aux dossiers de demande de visa pour le Gabon.

    Dépôt des dossiers de visa pour le Gabon
    En prévision du déplacement que la JSK effectuera au Gabon pour y affronter la formation de Manga Sport en match aller du deuxième tour préliminaire de la Ligue des champions africaine, les dossiers de demande de visa pour ce pays seront déposés demain au niveau de la représentation diplomatique du Gabon à Alger.

    L’escale de Casa confirmée
    Comme pour le précédent déplacement pour la Guinée-Bissau, la JSK a choisi de transiter par Casablanca afin de rallier la capitale du Gabon, Libreville. La ville marocaine offre les avantages d’un prix moins élevé et d’un gain de temps.






    INTERVIEW DE IDIR ACCORDÉ AU JOURNAL L’EXPRESSION

    27/02/2007 03:07

    INTERVIEW DE IDIR ACCORDÉ AU JOURNAL L’EXPRESSION


    photo :  http://www.africajarc.com/2006/html/artistes/idir.htm

    «Je serai en tournée nationale en avril 2007»

    Après 30 ans d’attente, les fans de la vedette auront l’occasion de vivre des moments pleins d’émotion avec une musique bien raffinée.

     

    Profitant de sa visite en compagnie de Zinedine Zidane, la star mondiale du football, Idir, l’auteur de la chanson légendaire Vava Inouva, a bien voulu se confier à L’Expression. Avec un large sourire, il a accepté de répondre à toutes nos questions, concernant la musique, la Kabylie, l’Algérie, et notamment son nouvel album et sa tournée en Algérie, prévue en avril prochain.

    L’Expression: Idir accompagné de Zidane en Algérie. Pouvez-vous nous dire un mot en cette circonstance?
    Idir: Aujourd’hui, je suis en Algérie, suite à l’invitation de Zidane. Donc, je ne suis, en réalité, qu’un invité de l’invité. Il m’a demandé de l’accompagner lors de cette visite et c’est avec un grand plaisir que j’ai accepté. Cela fait longtemps que je ne suis pas venu. Zizou, depuis son enfance, n’est plus retourné dans son pays d’origine. C’est avec un grand plaisir que je me retrouve ici. Ce qui m’a touché le plus, c’est la qualité émotionnelle de l’accueil, même Zidane a été touché. Certes, il s’attendait à ce que l’accueil soit chaleureux, mais pas à ce degré-là.

    Revenons à Idir, quelles sont vos nouvelles dans le domaine de la musique?
    Je suis en train de préparer un nouvel album intitulé La France des couleurs, avec ma maison de disques en France. L’album va sortir en France au mois d’avril prochain. C’est un disque que je ferai avec des jeunes de différentes nationalités et qui vivent en France. Ils sont de jeunes rappeurs et des gens du hip-hop, du scénique et d’autres styles. Chacun s’exprime dans sa langue, moi, bien évidemment, en kabyle, la langue dans laquelle je m’exprime très bien. C’est une opportunité pour moi, qui suis loin de ce métier, d’apprendre d’autres choses avec ces jeunes.

    Votre public en Algérie espère toujours vous voir sur scène...
    Cette question, il faudrait la poser à d’autres gens. Que mon public sache qu’il ne dépend pas de moi. Je ne refuse jamais de chanter en Algérie. Moi aussi, je veux retrouver mon public. Il me manque, bien évidemment. A l’occasion, je lui dis, à travers les colonnes de votre journal, que je serai en tournée nationale au printemps, plus précisément en avril prochain. Berbère TV est en train de préparer cette tournée. Les responsables de cette chaîne ont pris quelques contacts ici, je pense qu’on va faire quelque chose de bien pour mon public dans les grandes villes d’Algérie telles que Constantine, Oran, Tizi Ouzou, Béjaïa, Alger, Annaba et d’autres villes.

    Avez-vous contacté les responsables de la culture en Algérie pour parrainer cette tournée?
    Ce n’est pas de mes habitudes de leur demander cela. Je ne leur ai jamais demandé quelque chose et ce n’est pas aujourd’hui que je le ferai. Puis, ce n’est pas spécialement avec eux qu’on doit organiser la tournée. Mais je signale que s’ils me proposent quelque chose, pourquoi pas. Car c’est l’argent du contribuable. C’est l’argent de tous les Algériens. Nous sommes des Algériens et cet argent nous appartient à tous. Le plus important qu’on ne me demande pas de faire des choses contre ma nature. Moi, je suis toujours mon itinéraire, avec mes idées et comme je veux. Je préfère garder ma liberté. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut insulter ou dire des méchancetés sur les autres.

    La chanson kabyle vit des hauts et des bas. A quoi est due, à votre avis, cette situation?
    La chanson kabyle vit plus de bas que de hauts. Les chanteurs se suivent et les chansons se ressemblent. Il n’y a pas d’innovation ni de création. On manque d’audace et d’aventure. On n’essaye pas d’apporter de nouvelles choses. On ne s’aventure pas et dire peut être que ça va marcher. Les gens font ce qu’on leur demande de faire. Si le non-stop se vend bien, on leur demande de faire que du non-stop. Sans penser à la substance et la profondeur de ce qu’on veut exprimer. Parfois, c’est amusant d’écouter pour cinq minutes ces chansons de fête, mais pas pour longtemps. Car, on ne peut pas avancer de cette manière. Parfois, il y a des reprises qui sont bien faites. Mais, en général, le public préfère l’original que la photocopie. Car, comme je viens de le dire, le public a besoin de la création. Il faut bien savoir choisir la qualité de la mélodie. Il faut penser à la psychologie de la chanson. Moi, si je chante en Allemagne ou en Suède en langue kabyle, je sais que je vais percevoir le public, parce que, peut être j’ai un petit savoir-faire pour pouvoir le leur présenter. Je pourrais créer un univers pour lequel ils viennent. Peut-être que je fais des mélodies simples à écouter. Mais pas à composer. Je vous garantis que je me casse la tête. Il ne faut pas croire que les notes qu’on écoute viennent par hasard, mais je me casse la tête.

    Alors pourquoi on ne transmet pas le savoir-faire de votre génération à cette nouvelle génération?
    Justement c’est la question que je me pose. Franchement, je ne comprends rien du tout. Je n’en sais absolument rien. On peut transmettre beaucoup de choses à cette nouvelle vague, à travers ce qu’on chante et ce qu’on fait. Certes, moi je suis en France et la plupart des chanteurs vivent ici en Algérie, mais on peut toujours travailler ensemble. Ils ne nous sollicitent pas. Je pense qu’ils se sentent bien dans ce qu’ils font, ça marche bien peut-être, ils sont satisfaits et tant mieux pour eux.

    Quels sont les chanteurs que vous sentez capables d’assurer la relève?
    C’est difficile de parler de la relève. Mais dans cette nouvelle vague des chanteurs modernes, j’aime bien quelqu’un qui s’appelle Ali Amrane. Je suis, avec beaucoup d’intérêt, Alillou. Il a une voix avec plusieurs registres, il a démontré qu’il peut chanter ce qu’il veut. Il a les moyens d’apporter quelque chose à la chanson kabyle. Il y a aussi Si Moh qui fait de très bonnes choses, et ce, sur le plan du texte et de la mélodie, c’est très joli ce qu’il fait. Si Moh est un bon exemple à suivre. Dans le traditionnel, j’aime beaucoup Amour Abdenour, Lani Rabah.

    La Kabylie recherche toujours son identité. Ne pensez-vous pas qu’on doit dépasser cette lutte?
    Mammeri dit «Une identité ne se revendique pas, elle se vit». Moi je vis mon identité. Je la proclame et je la chante, je n’ai pas besoin de dire à quelqu’un de me la donner. On doit, seulement, lui donner les moyens de son existence, de la construire à travers la littérature, la musique, la peinture etc. Malheureusement, on est loin de cette vérité.
    Prenons l’exemple de l’écriture. Nous sommes dans une transmission essentiellement orale. Ça va de la bouche à l’oreille dans deux secondes. Actuellement, on n’a pas encore un réflexe de culture de lire et d’écrire. On écrit d’une manière militante et on lit d’une manière militante en kabyle. Par contre, en français et en arabe on a été à l’école et on a été forgé au fil des années à lire et à écrire. Donc, il est impératif d’enseigner Tamazigh pour la planter dans les esprits de tous les Algériens.

    Justement, vous vous êtes engagé pour que l’Algérie multiple assume pleinement sa culture amazighe. Pensez-vous qu’on est déjà arrivé là?
    Il faut d’abord penser algérien. Je suis kabyle d’Alger et de Tamanrasset, je ne cède aucun point du territoire national. Là où je vais en Algérie je dis que je suis Algérien et Kabyle. Comment ne veut-on pas accepter cette langue et sa culture, alors qu’on porte le même passeport? Ce n’est pas normal! Aujourd’hui, un Québécois parle bien le français, mais il n’est pas Français pour autant. En Algérie l’histoire a fait, pour notre plus grand bonheur, qu’il y ait eu plusieurs influences, dont celles des Arabes et de l’islam. C’est là toute la richesse de l’Algérie et de l’Afrique du Nord. Ceci étant, aujourd’hui, c’est la culture berbère qui est opprimée et c’est uniquement pour cela que je la défends.

    La langue amazighe n’est pas reconnue comme langue officielle. Une culture opprimée et une identité «ignorée». Quelles conséquences sur l’Algérie?
    En Algérie, on a fait un génocide culturel. Après l’indépendance, nous avons tout simplement récupéré une intégrité territoriale. Dès qu’il a été question de l’identité algérienne, on a cru bon de la rattacher à un monde arabe aussi abstrait que mythique. Si on avait axé nos efforts sur l’éducation et la culture, l’Algérie ne serait pas dans cette situation. Avec l’éducation on échappe à l’intégrisme et au totalitarisme. C’est le combat contre soi. Il faut poser les problèmes en termes de justice sociale. Le problème de l’Algérie c’est un problème de culture. Ce n’est pas un problème de dictature, d’islamisme ni de démocratie. La démocratie est un faux problème dans la mesure où l’on n’a pas de vrais démocrates en Algérie. On n’accepte pas les principes de la démocratie à l’occidentale.

    Pourquoi la Kabylie s’est retrouvée, aujourd’hui, comme le premier terrain de tous les fléaux sociaux?
    La région s’est singularisée avec une culture à part. Elle a une raison supplémentaire de vivre dans la mesure où elle a une identité forte au point qu’elle n’a pas besoin de se chercher des valeurs dans l’islamisme ou dans l’arabisme ou dans une idéologie ailleurs. Etant une région rebelle, elle paie cher ce qu’elle vit. Il faut avouer, également, que c’est une région qu’on délaisse. Les pouvoirs publics disent toujours que c’est une région qui a beaucoup d’immigrés. Comment voulez-vous qu’on réagisse quand on vit dans la misère et dans le chômage? Soit on se rapproche de Dieu, soit on vole et on fait des exactions. Il y a aussi, le plus important, une certaine politique voulue. Aujourd’hui, si la Kabylie est le premier terrain de suicide en Algérie, ce n’est pas au hasard, si elle est le terrain de l’alcoolisme ce n’est pas au hasard. Ce sont des fléaux qui n’amènent pas vers le bonheur. Depuis quand, on a construit de nouvelles usines en Kabylie? Il faut voir ce qui se fait dans d’autres régions du pays et de faire un parallèle. Rien ne se fait au hasard, voilà.

    Interview réalisée par Tahar FATTANI


    source :
    http://www.lexpressiondz.com

     






    Idir et la défense du berbère

    27/02/2007 03:03



    Le chanteur algérien Idir lutte pour la reconnaissance du berbère dans son pays, aux côtés de l’arabe et du français. Pour être «un Algérien à part entière et non plus entièrement à part».

    «Txilek elli yi n taburt a vava invba / ccencen tizebgatin im a yelli ghriba» («Je t’en prie, père Inouba, ouvre-moi la porte/ O fille Ghriba, fais tinter tes bracelets»). Ce refrain de la chanson kabyle «A Vava Inouva» a fait le tour du monde, au début des années 70. Mais seuls les quelque 12 millions de Berbères dispersés dans l’Afrique septentrionale et saharienne ont pu comprendre le sens de ces paroles. Cette chanson est pourtant devenue un «tube» international. Son auteur, le jeune Algérien Hamid Cheriet, a choisi le pseudonyme Idir («Il vivra» en kabyle). «A l’époque des grandes épidémies, on prénommait ainsi les nouveaux-nés pour conjurer le sort. Je l’ai choisi en pensant à ma culture, que je sentais menacée», dit-il.
    Essentiellement concentrés dans les montagnes du Maroc et de l’Algérie, les Berbères parlent chaoui, chleuh, kabyle, mzab, rifain, shawiya, tshalhit, touareg, targui, tarifit, autant de dialectes du tamazight, leur langue maternelle, qui n’est reconnue comme nationale qu’au Niger et au Mali. Ailleurs, la berbérité est ignorée, voire bannie.
    «On me donne un passeport algérien, mais il me faut une autorisation pour parler ma langue», proteste Idir qui, à l’instar du grand poète martiniquais Aimé Césaire, prête sa voix à «ceux qui n’ont pas de voix». Ecrire en français, la langue du colonisateur, dans laquelle il a fait toutes ses études — du primaire au doctorat en géologie —, ou en arabe, enseigné à l’époque comme seconde langue en Algérie, ne lui est jamais venu à l’esprit. «De toute façon, si je n’étais pas sorti de mon village, je n’aurais pas parlé un mot d’arabe» dit-il, avant d’ajouter: «Le français ou l’arabe me permettraient sans doute de faire passer mon message à un public plus large, mais je ne saurais ni comment m’y prendre, ni quoi dire».
    Sa poésie vient naturellement en kabyle, langue des émotions et des premiers contes. Mais c’est aussi un choix: «Chanter en kabyle est en soi un acte de militantisme, une façon d’exprimer ma révolte, de dire que j’existe. Si j’avais fait un autre métier, j’aurais trouvé d’autres moyens pour exprimer les mêmes revendications».

    Penser en français, pleurer en kabyle
    La chanson est un accident de parcours dans la vie de Hamid Cheriet, né en 1945 à Aït Lahcêne, village reculé de la montagne Djurdjura, en Grande Kabylie. A l’âge de neuf ans, il suit son père à Alger, avec sa mère, sa sœur et ses deux frères. Il y fréquente l’école des missionnaires jésuites. «Etre kabyle passe alors pour une marque de dissidence bouseuse», remarque-t-il. C’est son professeur de sciences naturelles qui lui apprend à «gratouiller la guitare». Le futur géologue se met à composer dès l’âge de 16 ans et sympathise avec des chanteurs kabyles. En 1973, il est appelé à remplacer in extremis la célèbre chanteuse Nouara, empêchée d’interpréter en direct sur la radio kabyle d’Alger la berceuse qu’il a composée pour elle.
    Le succès est immédiat. En 1975, il va à Paris pour signer un contrat avec Pathé-Marconi et il y reste. Depuis, l’enfant d'Aït Lahcêne, ne cesse de défendre la culture berbère, prolongeant ainsi un mouvement lancé à partir des années 40 par de grands écrivains algériens tels que Jean Amrouche, Mouloud Mammeri, Mouloud Feraoun, Kateb Yacine. Pour ces pionniers, la défense de la langue berbère devait passer par le français, s’ils voulaient se faire entendre. Amrouche confiait: «Je pense et j’écris en français, mais je pleure en kabyle». Aujourd’hui, Idir peut aller plus loin.
    Il revendique trois langues pour l’Algérie: l’arabe, le berbère et le français. «Je souhaiterais que l’Algérie tienne compte de ceux qu’elle a vu vivre sur sa terre, de ceux qui l’aiment et qui veulent la construire quelles que soient leurs origines, leur langue ou leur religion. L’islam n’a pas à être une religion d’Etat. La religion, c’est pour les croyants et non pour les gouvernements. L’arabe n’a pas à avoir un statut privilégié, sous prétexte qu’il est la langue sacrée du Coran. A plus forte raison l’arabe classique, langue aseptisée que le peuple ne comprend pas. Aucune langue n’est plus légitime qu’une autre, même si le berbère est chronologiquement la plus ancienne. Le hasard de l’histoire a installé ces trois langues sur cette terre. Elles doivent y rester».

    Option facultative
    Mais pour le moment, l’unique média en berbère sur le territoire algérien reste la radio kabyle mise en ondes en 1948, «la seule qui soit soumise à une commission de censure». Héritage français: «le berbère permet de gagner des points au baccalauréat, comme option facultative». Mais l’apprentissage de cette langue ne figure pas au programme de l’éducation nationale. Depuis son élection en avril 1999, le président Abdelaziz Bouteflika a, à son tour, écarté l’éventualité de reconnaître officiellement le berbère, si ce n’est à l’issue d’un référendum. Les Kabyles sont réticents à cette idée, qu’Idir considère comme «très dangereuse». «Si ce référendum a lieu, le résultat sera sans doute négatif, estime-t-il. Et si le peuple dit non à une partie de lui-même, cela signifierait que nous n’avons rien à faire ensemble. Or, à aucun moment de l’histoire, les Berbères n’ont souhaité l’indépendance, à l’exception de quelques illuminés.» Leur principale revendication est la reconnaissance de leur identité au sein de leur patrie. «En tant que Kabyle, je voudrais être un Algérien à part entière et non entièrement à part, comme c’est le cas aujourd’hui.»
    Minoritaire en Algérie, comme en France, Idir opte pour le partage. Le titre de son dernier album, sorti chez Sony à la fin de 1999 (déjà disque d’or, soit 250 000 exemplaires vendus) n’est pas anodin: Identités, au pluriel. Il y chante avec, entre autres, l’Irlandaise Karen Matheson, l’Ougandais Geoffrey Oryema, les Bretons Gilles Servat et Dan Ar Braz, le Franco-Galicien Manu Chao, les groupes Gnawa diffusion et Zebda, d’origine berbère, arabe et française. Autant de représentants de cultures marginalisées, qui lui ont permis de montrer que sa culture «aussi minoritaire soit-elle, peut s’inscrire dans l’universel».
    Jasmina Sopova, journaliste au Courrier de l’UNESCO.


    Commentaire de abdelhak (02/03/2007 03:18) :

    AREZKI. tout d'abord je te souhaite une bonne continuation pour les informations concernant notre culture de notre chér pays ALGERIE MON AMOUR MALGRÉ TOUT NABRIK





    IDIR : LA BIOGRAPHIE

    27/02/2007 03:02



    Idir est propulsé sur le devant de la scène internationale en 1973 avec le succès de sa chanson "A Vava Inouva". Depuis lors, il est considéré comme un chantre de la chanson kabyle contemporaine.

    Hamid Cheriet, dit Idir ("Il vivra" en kabyle), est né le 25 octobre 1945 dans le village d'Aït Lahcène en Grande Kabylie (Algérie).
    Fils de paysans, il s'initie à la musique en jouant de la flûte et des percussions, en menant les bêtes aux champs. Il part pour Alger à l'âge de neuf ans suivre l'enseignement des missionnaires jésuites. Il commence à composer à 14 ans pour des chanteurs kabyles, qui apprécient son jeu de guitare imitant les rythmes du tambour bendir, tout en utilisant les accords occidentaux.

    En 1973, étudiant en géologie, il remplace au pied levé lors d'un radio crochet à Radio-Alger , une artiste défaillante pour qui il a écrit une berceuse inspirée par un conte kabyle.
    C'est "A Vava Inouva" (Mon petit papa), qui sur fond de guitare sèche, évoque une veillée familiale autour du feu, dans un village enneigé dont la tranquillité est menacée par un ogre, que beaucoup interprèteront comme le pouvoir d'Alger.

    La chanson est gravée sur un 45 tours, qu'Idir, militaire dans la ville de Blida, entend avec surprise quelques mois plus tard sur les ondes de Radio France. Cette berceuse le propulse sur le devant de la scène internationale (la chanson sera traduite en sept langues) et fait de lui un chantre de la chanson kabyle contemporaine.

    Arrivé à Paris en 1975, il enregistre son premier 33 tours "A Vava Inouva" l'année suivante, puis un second, "Nos Enfants" en 1979. Tout en donnant quelques récitals et en composant pour d'autres, Idir, homme discret qui se tient à l'écart du show-business, s'éclipse une dizaine d'années.

    En 1991, ses deux premiers albums sont compilés sur un même CD et Idir gagne un procès contre son ancien producteur, ce qui lui permet de réenregistrer d'anciens titres. Il revient alors sur le devant de la scène, se produisant au New Morning à Paris en février 1992. Il enregistre un nouvel album "Les Chasseurs de lumières" en 1993, introduisant aux côtés des flûtes, de la guitare sèche et des derbouka, des synthétiseurs. Il y chante ses thèmes de prédilection, l'amour, la liberté et l'exil. Le chanteur breton, Alan Stivell le rejoint sur un titre. Dans la foulée de cet album, Idir se produit trois soirs de suite en juin 1993, sur la scène de l'Olympia.

    En juin 1995, Idir qui a toujours appelé à la réconciliation nationale en Algérie et à la lutte contre le fanatisme, est l'initiateur avec Khaled de l'association "L'Algérie la vie". Il se produit avec lui et de nombreux invités sur la scène du Zénith de Paris. Il participe également à l'hommage rendu à Lounes Matoub, chanteur kabyle assassiné en juin 1998.

    Sorti en 1999, "Identités", son quatrième disque, bénéficie de la présence d'artistes d'horizons musicaux différents : Manu Chao, ancien chanteur de la Mano Negra, les bretons Dan Ar Braz et Gilles Servat, le chanteur africain Geoffrey Oryema ou les groupes Zebda, Gnawa Diffusion et L'Orchestre National de Barbès. Maxime le Forestier, y interprète une version de "San Francisco" en kabyle, rebaptisée "Tizi Ouzou".


    source : Hall de la chanson


    Commentaire de samira & barbara (27/02/2007 19:10) :

    Image hébérgée par hiboox.com 

     

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