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Kabylie
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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
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    Histoire du couscous

    04/02/2007 14:59

    Histoire du couscous


     

    Couscous est un terme qui a un double sens. En effet, il désigne aussi bien la graine que le plat national de certains pays d'Afrique du Nord.
    Le plat national est composé de semoule cuite à la vapeur qui sert d'accompagnement à un bouillon contenant divers légumes cultivés dans le bassin méditerranéen, des épices et de la viande, essentiellement de l'agneau ou du mouton.
    Quant au second sens du terme couscous, la graine, il s'agit d'un mélange de semoule de blé et de farine aspergée d'eau froide salée, puis pressé et roulé.
    Aujourd'hui, le couscous sous toutes ses formes est connu et diffusé partout dans le monde. Il est cuisiné à toutes les sauces, d'autant de façons différentes qu'il existe de pays et de régions.
    Néanmoins, la base du couscous reste cette graine obtenue à partir de la semoule. C'est pourquoi, l'histoire du couscous est indissociable de l'histoire de la céréale la plus cultivée au monde : le blé.

    Culture du blé en Afrique du Nord

    Les céréales telles que l'engrain, l'amidonnier ou l'orge sont cultivées depuis environ 10 000 ans dans la région du Moyen Orient. Progressivement, de nouvelles variétés de céréales plus facile à travailler et plus productive apparaissent, améliorant la qualité du blé. Toutefois, c'est à la période gréco-romaine que l'on note la substitution de ces anciennes variétés, (l'amidonnier par exemple) par des blés tendres et froments, améliorées par l'invention gauloise de la levure de bière, donnant ainsi à ces céréales plus de légèreté.

    Sous l'Empire Romain, le blé est essentiellement cultivé dans les colonies d'Afrique du Nord, du Proche Orient et en Sicile. Ces régions font office de greniers nourriciers. En effet, elles exportent leur production de blé dans tout l'Empire par de longs circuits commerciaux.
    Le blé dur réussit bien dans les zones chaudes et sèches. De plus, la culture du blé contrairement à celle du riz, ne demande pas d'aménagement spécial du champ ni un trop lourd travail d'entretien.
    Malgré les péripéties de la chute de l'Empire et des invasions qui ont suivies, la majorité de ces pays ont constamment gardé une vocation céréalière.

    Le blé dur est la variété produite durant des siècles dans le bassin méditerranéen. Il est appelé " blé d'hiver" car il est semé en automne pour profiter au maximum de l'humidité hivernale. Il s'agit d'un blé dont le taux de protéine est plus élevé que le blé tendre, riche en gluten, il est destiné à la fabrication de pâtes alimentaires alors que le blé tendre est celui qu'on transforme en pain.
    Ainsi, à partir de l'Antiquité Gréco-romaine, le blé devient la base de l'alimentation des populations vivant autour de la Méditerranéen.

    Du blé à la semoule

    Lorsque il est écrasé, le blé dur devient semoule. En latin, "similia" (semoule) signifie fleur de farine.
    Le concassage des grains de blé est réalisée de différentes manières selon les régions d'Afrique. Dans le nord, ils utilisent encore jusqu'à nos jours, une pierre ronde sur une auge ou une surface ronde. En Afrique noire, le grain est pilé avec un lourd bâton dans un grand récipient très profond.
    Les grains sont ensuite torréfiés sur des pierres brûlantes permettant la disparition de toutes les parties indigestes.
    Avant de connaître les ustensiles de cuisson, la semoule était mangée soit telle quelle, soit écrasé dans de l'eau.

    Naissance du couscous

    La semoule, bien connue dans les pays du Maghreb avant la conquête arabe, ne l'est pas par les conquérants du Moyen Orient. Lors de l'islamisation de l'Afrique du Nord, ils découvrent et adoptent la semoule, (semid, en arabe). Ensuite, ils mettent au point une sorte de bouillon de légumes dont la semoule sert d'accompagnement. Ils appellent la semoule : " keskes ", terme issu de l'arabe koskossou, signifiant poudre. Ainsi est né le couscous au VIIème siècle, qui par glissement possède un double sens et désigne aussi bien la semoule que le plat complet.

    En fait, c'est après cuisson à la vapeur que la semoule prend le terme de couscous. Cependant, on arrive pas encore à déterminer la date concernant la cuisson à la vapeur de la semoule pour les pays du Maghreb, dont cette forme de cuisson est spécifique à cette région. Il semble que ce soit deux ou trois siècles après la conquête de l'islam. A l'origine, les populations utilisaient comme second récipient pour cuire la graine à la vapeur, soit une passoire de terre cuite perforée, soit un panier de vannerie nommé " l'alfa ".
    Aujourd'hui, il est impensable pour une famille du Maghreb de ne pas posséder une couscoussière chez soi. Par ailleurs, en Occident, le couscous est fabriqué de façon industrielle pourtant pour certains pays d'Afrique, manger cette graine non artisanale est un sacrilège. La plupart des femmes du Maghreb, et parfois même celles qui ont émigrées en Occident, préparent encore le couscous à l'ancienne selon un dosage bien précis de semoule fine et de semoule épaisse ainsi que de l'eau et de la farine.

     

    Diffusion du couscous et ses variantes

    Progressivement, le couscous a été diffusé dans toute l'Afrique puis dans monde entier. Dans chaque région, on utilise un grain adapté à la terre et au climat. En Afrique noire, on cuisine le couscous avec du mil ou du millet, sur les hauts plateaux du Sahara avec de l'orge et au Moyen Orient avec le boulgour.
    La semoule utilisée pour faire le couscous sert également à la fabrication du pain, de gâteaux et de pâtes alimentaire. Le couscous peut être mangé de façon classique avec le bouillon de légumes mais aussi froid, au petit déjeuner. En dessert, on rajoute du sucre, des dattes ou des raisins secs, il peut également être accompagné de lait. Enfin, il peut se déguster sous forme de salade, il devient alors le taboulé.
    Ces différentes formes de plats de couscous ne sont pas exhaustives, il faudrait plus d'un écran pour citer les variantes existantes. En tout cas bon appétit et bon couscous !!!

     

    Bibliographie :

    Couscous, Maguelonne-Toussaint-Samat, Casterman 1994
    Le livre du couscous, Hal Fatéma, Stock 2000
    Encyclopaedia Universalis, Le blé, 1997

     

    Source : http://www.sesamelivremoi.com/histoire.htm

    Femme berbère préparant la graine
    Musée des arts décoratifs, Paris

    Kabyle cuisant son couscous, Gravure 19eme siècle,
    Musée des arts décoratifs, Paris



    Commentaire de Samira &, Barbara (04/02/2007 23:41) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    … "L'évidence aveugle quand elle ne crève pas les yeux."… G. Flaubert…"Dieu est l'invisible évidence"… V. Hugo…Nous te souhaitons une bonne journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie.
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié BIEVENUE SUR MON BLOG

    aimer_ la_ vie


    Commentaire de claire (02/03/2007 05:47) :

    Image hébérgée
par hiboox.com

    http://gina.vip-blog.com




    QUELQUES MOTS

    04/02/2007 03:31



    "Qu'est-ce qui vous surprend le plus dans l'humanité?"


     Réponse:


     "Les hommes et les femmes qui perdent la santé pour gagner de
    l'argent et qui après, dépensent cet argent pour récupérer la santé.

    A penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent,
    à tel point qu'ils finissent par ne vivre ni au présent, ni au futur .

    Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir et meurent comme s'ils
     n'avaient jamais vécu"


    Il faut aimer les gens et utiliser les choses... au lieu d'aimer les choses et
     utiliser les gens...






    Une fois par mois et dans une ambiance détendue et nostalgique, Imekthed-Wel rend un hommage sans pareil aux plus grands artistes de la chanson berbère.

    04/02/2007 01:58

    Une fois par mois et dans une ambiance détendue et nostalgique, Imekthed-Wel rend un hommage sans pareil aux plus grands artistes de la chanson berbère.


    IMEKTHAD-WEL par Mouloud Ait-Amer sur BRTV

    Une fois par mois et dans une ambiance inattendue et nostalgique, Mouloud Ait Amer et ses invités rendent un hommage sans pareil aux plus grands artistes de la chanson berbère.
    Ils retracent leurs vies, leurs parcours et leurs carrières.





    Couscous kabyle

    04/02/2007 00:50



    Kesksou'l-qbayel


    Préparation : 1h
    Cuisson : 1h


    Ingrédients(pour 8-10 personnes) :

    - 1 kg de couscous roulé
    - 1 kg de mouton
    - 1 poignée de pois chiches
    - 2 oignons secs
    - 3-4 tomates fraîches ou 1 cuil.
    à soupe de concentré de tomate
    - 3-4 pommes de terre
    - 3-4 navets
    - 3-4 carottes
    - 3-4 courgettes
    - 1 tranche de courge
    - 4 cuillères à soupe d'huile
    - 1/2 cuillère à café de cannelle
    - 1 pincée de poivre noir
    - 1/2 cuillère à soupe de piment rouge doux ou de paprika
    - 1/2 cuillère à soupe de ras-el-hanout (mélange d'épices moulues)
    - 1 piment rouge sec
    - 100 g de beurre ou 3 cuillères à soupe d'huile
    - sel


    Préparation :

    La veille, mettez les pois chiches dans un bol d'eau.

    Le jour même, roulez le couscous .
    Si vous utilisez du couscous roulé et séché, rincez-le à l'eau froide, égouttez-le et laissez-le gonfler pendant 30 mn.

    Coupez la viande en morceaux.
    Pelez les oignons et coupez-en 1 en morceaux.

    Lavez et passez les tomates à la moulinette.
    Mettez la viande dans une marmite et ajoutez les morceaux d'oignon, les tomates ou le concentré de tomate dilué dans 1 verre d'eau, l'huile, le poivre, le piment, la cannelle et du sel.

    Faites revenir à petit feu pendant quelques minutes.
    Mouillez avec 3 litres d'eau, portez à ébullition et jetez les pois chiches dans la sauce.

    Mettez le couscous dans le haut du couscoussier et placer ce dernier sur la marmite contenant le bouillon en ébullition.
    Après échappement de la vapeur à travers les grains, laissez cuire 15 à 20 mn.
    Retirez le haut du couscoussier (laissez la marmite sur le feu) versez le couscous dans une cuvette.

    Séparez les grains avec une cuillère, puis arrosez-les d'1/3 de litre d'eau froide en les aérant en même temps.
    Laissez les s'imbiber.

    Pendant ce temps, épluchez les pommes de terre les navets et les carottes.
    Lavez-les et coupez-les en quartiers.
    Jetez-les avec le piment dans la marmite.
    Coupez le deuxième oignon en morceaux et pilez-le avec le ras-el-hanout.
    Inclinez le mortier pour recueillir tout le jus.

    Remettez le couscous dans le haut du couscoussier et replacez ce dernier sur la marmite.
    Après échappement de la vapeur, laissez cuire 15 mn, puis retirez du feu et répétez les opérations du n° 6 en arrosant cette fois-ci de 1/3 de litre d'eau salée et d'un peu du jus du ras-el-hanout (versez le reste dans la marmite).
    Aérez bien le couscous et laissez-le s'imbiber.

    Entre-temps, pelez les courgettes et la courge.
    Lavez-les et coupez-les en morceaux.
    Ajoutez-les dans la marmite (si la quantité de bouillon vous semble insuffisante, ajoutez de l'eau chaude et portez à ébullition).

    Remettez le couscous à cuire pendant encore 15 mn après échappement de la vapeur.
    Puis retirez- le, mettez-le dans la cuvette, ajoutez le beurre, arrosez de 2 louches de sauce et mélangez.
    Lorsque la viande et les légumes sont cuits, retirez la marmite du feu.

    Dressez le couscous en dôme dans un plat, disposez la viande et les légumes par-dessus, arrosez de sauce jusqu'à ce que le couscous ne puisse plus en absorber.
    Versez le reste du bouillon dans une saucière et servez.

    Vous pouvez remplacer le mouton par du poulet.
     
    Recette proposée par JP Mutin, jpmutin@club-internet.fr.

    Source : http://www.marmiton.org/recettes/recette.cfm?num_recette=10785



    Commentaire de claire (19/02/2007 06:23) :

    Image hébérgée
par hiboox.comhummmmmmmmm

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    Commentaire de TASTAS (18/08/2008 11:11) :

    Je trouve dommage que vous rapportez une histoire du couscous appproximative et tandancieuse...et que vous repremez à votre compte la propagande arobo-islamique produite par cette femme marocaine qui igniore tout de son histoire mais qui invente avec l'aide de ses nègres français une histoire de la gastronomie nord africaine pour le seul besoin de produire des livres pour faire du fric... Non les arabes n'ont rein à voir avec le couscous... IL EXISTAIT BIEN AVANT QUE LES BEDOINS D'ARABIE QUI N'ONT JAMAIS SU COMMENT CUIRE UN OEUF, n'envahissent l'afrique. Quant au nom de ce plat, il est bèrbère et rein que bèrbère, tout le reste n'est que pseudo-litérature mais réelle falsification de l'histoire, exercice préféré des harkis de l'arabisme fachiste et l'islamisme criminel...Il est dommage que des "défenseurs" de notre belle culture se transforment aussi en propagandiste, par igniorance ou par interet... Avant de reproduire bêtément n'importe quoi, posez-vous la question de la finalité !





    Couscous kabyle Amakfoul

    04/02/2007 00:33



     

    Pour 4 personnes

    Préparation : 40 min Cuisson : 1h

    500g de couscous

    10 cl d'huile d'olive environ (à la place du beurre)

    1/2 cuil. à café de sel

    250g de petits pois surgelés écossés

    3 courgettes moyennes coupées en tronçons de 3cm et non pelées

    250g de fèves surgelées écossées et pelées

    Sel, poivre.

    Préparation : 40 min Cuisson : 1h 4 pers.

    Préparer la graine et la cuire selon la recette

    Vingt minutes avant la fin de la cuisson, faire cuire les petits pois à la vapeur dans un autre faitout. Cinq minutes après, ajouter les courgettes et les fèves et laisser cuire encore 12 minutes. Mettre les légumes dans un grand saladier, saler, poivrer et mélanger. Quand la graine est cuite, l'ajouter aux légumes et mélanger délicatement.
    Dresser en dôme sur un plat de service et arroser généreusement d'huile d'olive. Servir sans attendre et déguster.

    Ce couscous sec s'accompagne de viandes grillées (cailles, merguez, kebab, côtes d'agneau, etc.) ou d'oeufs durs et de lait battu, fermenté ou caillé.

    Par Farah

    Source : http://www.orientale.fr/article_10452_new.htm






    Pastilla aux fruits de mer

    04/02/2007 00:21

    Pastilla aux fruits de mer



    Pour 4 personnes
    500 g de filet de colin
    300 g de crevettes décortiquées
    100 g de calamars
    1/2 bouquet de persil haché
    4 gousses d'ail hachées
    100 g de vermicelle de riz chinoise
    10 feuilles de brik
    1 oeuf, un peu de purée de piment (selon goût)
    1 verre à thé d'huile d'arachide
    Sel, poivre
    1 c. à s. de paprika, 1 c. à c. de cumin



    Plonger la vermicelle dans de l'eau bouillante et laisser tremper 4 minutes hors feu.
    Egoutter et couper grossièrement au ciseau dans un grand saladier.
    Faire frire le poisson. Le mettre en miettes avec la vermicelle.
    Ajouter les crevettes et les calamars mi-cuits. Mettre le persil, le piment, l'ail et les épices.
    Verser 1/2 verre d'huile, l'oeuf et bien mélanger l'ensemble.

    Montage
    Huiler une plaque allant au four, y mettre une première feuille et disposer 4 autres en les faisant chevaucher et en laissant déborder de la moitié par rapport à la première feuille. Bien huiler les feuilles.
    Etaler la préparation au milieu. Rabattre par dessus les feuilles qui dépassent et couvrir à nouveau de feuilles se chevauchant et débordant à l'extérieur.
    Glisser les feuilles en dessous et huiler une deuxième fois pour que çà soit croustillant. Enfourner 25 minutes environ.
    Glisser délicatement la pastilla sur le plat de service et décorer avec quelques crevettes et le persil.

    Source : http://cuisinemarocaine.free.fr/plats/pastilla_fruits_mer.htm

     






    JSK 3 - USMB 0 Les canaris siffleront trois fois

    03/02/2007 17:12

    JSK 3 - USMB 0  Les canaris siffleront trois fois


    Stade du 1er-Novembre - Tizi Ouzou -
    Affluence : moyenne
    Arbitres : Mansouri, Benabbou, Aïssani
    Averts : M. Meftah (65’) JSK, Rebih (38’), Maroussi (56’), Diss (83’), Samadi (90’) (USMB)
    Buts : Oussalah (12’ et 68’), Dabo (90’ sp) (JSK)
    JSK
    Chaouchi, R. Meftah (M. Meftah) (45’), Bengorine, Zafour, Herkat (Demba) (47’), Hamlaoui, Abdeslam, Wassiou, Yacef, Oussalah (Douicher) (76’), Dabo
    Entraîneur : Ait Djoudi
    USMB
    Samadi, Benayada, Chebira, Tall, Diss, Maroussi, Rebih (Zouani) (77’), Herbache, Belaoued, Harkas (Chahloul) (61’), Bensaïd
    Entraîneur : Mouassa

    Par : Achour Aït Ali  

     Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/02/02/7142700

    Avec les faux pas de l’USMA face à l’ESS et de la JSMB face au MCA sur leurs terrains, cette dix-neuvième journée a été profitable pour la JSK qui n’a pas raté l’occasion de la venue de l’USMB à Tizi Ouzou pour empocher les trois points de la victoire. Une victoire qui lui permet ainsi de réduire l’écart la séparant du leader à quatre points. Il est vrai que le spectacle n’a pas été présent tout au long de la partie, mais le public, peu nombreux à l’occasion, a eu droit à une partie plus au moins plaisante, avec notamment une équipe kabyle qui a affiché ses intentions d’entrée de jeu. Puisque douze minutes ont suffi au virevoltant Oussalah pour trouver la faille d’une tête piquée, suite à un corner de Yacef. C’était peut-être la seule occasion notable de cette première mi-temps qui a vu un jeu concentré durant la plupart du temps au milieu du terrain où l’abattage et l’engagement n’étaient pas en reste. Il est vrai qu’il y avait des moments où on a ressenti une envie des Blidéens de revenir dans le match, mais Bensaïd était trop esseulé en pointe pour pouvoir inquiéter l’arrière-garde kabyle qui veillait au grain. C’est d’ailleurs sur ce score d’un but à zéro que les deux équipe se sépareront à la mi-temps. En deuxième période, le scénario est resté inchangé avec une équipe kabyle à la recherche du break et une équipe blidéenne prise entre deux feux, puisqu’elle devait défendre et attaquer en même temps. C’est donc tout logiquement que Oussalah, encore lui, double la mise à la 68’ profitant d’un mauvais dégagement du gardien adverse, suite à un corner bien botté par Yacef, tiens tiens ! C’était quasiment le remake du premier but, à l’exception que cette fois, c’est Rabie Meftah qui était là pour remettre de la tête la balle dans le sens du but lorsque Oussalah surgit au milieu des défenseurs pour catapulter la balle au fond des filets. À deux zéro, le match était pratiquement plié, mais il restait encore un bon quart d’heure à jouer au cours duquel le onze kabyle avait joint l’utile à l’agréable, en se faisant plaisir grâce notamment à une circulation de balle fluide, en réussissant même à ajouter un troisième but par l’entremise de Dabo. Le Malien a transformé victorieusement un penalty suite au fauchage de Yacef dans la surface de réparation dans les arrêts de jeu. Blida s’est créé une ultime occasion, très dangereuse faut-il le signaler, par Bensaïd qui a repris d’un pointu un corner de Belaoued que Chaouchi détournera au prix d’une claquette qui ricoche sur la barre transversale avant de revenir dans l’aire de jeu. Il faut dire que la rencontre s’est jouée sur trois balles arrêtées qui ont été fatales aux Blidéens. Ce qui nous amène à dire que des insuffisances subsistent dans la stratégie offensive de la JSK. Un détail sur lequel devra se pencher Aït Djoudi, en prévision des prochaines échéances. Mais comme dirait l’autre, l’essentiel, ce sont les trois points...
    Achour Aït Ali

    Aït Djoudi :
    «bon pour le moral avant de partir en Guinée-Bissau»
    «Nous avons eu deux mi-temps. Durant la première, nous n’avons pas vu grand-chose, mis à part le but. Mais en deuxième mi-temps, mon équipe s’est libérée notamment après la seconde réalisation. Avec une avance de deux buts, mes joueurs ont joué à l’aise. C’est ce qui leur a permis de dominer les débats et de montrer de belles facettes de jeu. Je le redis, les résultas des autres clubs m’importent peu. Tout ce qui m’intéresse, c’est mon équipe. Avec cette victoire, nous nous déplacerons en Guinée-Bissau avec un bon moral.»
    Ali H.

    Tour de jonglerie pour lui
    Azzeddine Aït Djoudi, qui avait fait toutes ses classes à la JSK, n’a rien perdu de sa technique. Sur une sortie en touche, la balle s’en est allée dans les pieds de l’entraîneur kabyle qui n’a pas pu s’empêcher de soulever le ballon du pied et de se mettre à jongler avant de le remettre aux Blidéens.

    Wassiou met dans le vent Marocci
    Sur une action menée par Wassiou, le défenseur blidéen Marocci n’a pas résisté à la feinte du corps de l’attaquant kabyle. Le geste technique de ce dernier a mis dans le vent le joueur blidéen.

    La solidarité de Mazari
    Il est connu qu’il existe une grande solidarité entre les gardiens de but, Nabil Mazari en a donné l’exemple. Ce dernier est resté pour suivre la fin de ce match face à l’USMB à partir de l’entrée du tunnel menant aux vestiaires et sur l’intervention décisive de Chaouchi, Mazari a appelé son coéquipier pour le féliciter et l’encourager.

    Mouassa couci-couça
    Les supporters de la JSK se sont montrés partagés sur l’attitude à prendre vis-à-vis de l’ex-entraîneur de la JSK, Kamel Mouassa, actuellement coach de l’USMB. Moussa est entré sur le terrain sous les huées d’une partie du public et sous les applaudissements de l’autre.

    Point de Zahaf à Tizi
    Le président de l’USMB Mohamed Zahaf a brillé par son absence jeudi au stade du 1er-Novembre où son équipe devait affronter la JSK. Renseignement pris, il s‘est avéré que le boss blidéen n’a pas fait le déplacement à Tizi pour assister au match.

    Harkas a ses défenseurs
    «Ce n’est pas normal qu’un nain vous marque de la tête»
    Sur le premier but de la JSK, Nassim Oussalah a réussi à déjouer la vigilance des solides défenseurs blidéens pour ouvrir la marque de la tête. Un but qui a qui a fait réagir vivement le revenant, Billel Harkas, à l’encontre de ses coéquipiers défenseurs : «Mais ce n’est pas possible ! Ce n’est pas normal qu’un nain marque de la tête alors que vous êtes tous grands de taille.»

    Oussalah, petit par la taille, grand par le talent
    Nassim Oussalah a été incontestablement l’homme de ce JSK-USMB. Le lutin kabyle n’a pas raté l’occasion de sa titularisation pour justifier la confiance de son coach en marquant deux buts. En dépit de son petit gabarit, (1 65 m à peine), Oussalah a su tirer son épingle du jeu devant deux grands gaillards qui sont Diss et Mamadou Tall. Mieux, il a marqué ses deux buts de la tête, ce qui est pourtant loin d’être son point fort. Buteur à trois reprises en deux matches (un but en Ligue des champions et deux en championnat), le Bougiote a confirmé, encore une fois, qu’on pouvait compter sur ses services, lui qui a longtemps chauffé le banc de touche. Une situation qui l’a poussé à demander à être prêté durant le mercato, avant de renoncer, sous la pression des ses dirigeants, à cette décision. C’est tant mieux pour la JSK et Oussalah, dirions-nous.
    A. A. A.

    Réconciliation avec Diss
    La rencontre JSK-USMB a permis aux joueurs Diss et Ousalah de se réconcilier après leur altercation la saison dernière sur ce même terrain. Ils se sont serrés la main et les deux joueurs ont décidé de tourner la page définitivement sur ce qui s‘était passé entre eux l’année dernière.

    Remerciements pour Yacef
    Juste après son premier but, l‘attaquant Nacim Ousalah n’a pas omis de remercier son coéquipier Hamza Yacef qui fut l’exécuteur du corner lui ayant permis de marquer de la tête. Il est vrai que la remise de balle de Yacef a été un véritable caviar pour son coéquipier en attaque.

    Abdeslam fait la morale a Chebira
    Alors qu'un joueur adverse était à terre, le jeune Chebira, qui était en possession du ballon n’a pas jugé utile de mettre la balle en touche pour permettre à l’arbitre d’arrêter le jeu. Il a préféré continuer son action faisant semblant d'ignorer le joueur adverse. Il a fallu que la balle arrive dans les pieds de Hamlaoui pour être mise en touche. N’ayant pas apprécié cela, le milieu de terrain Abdeslam a profité d’un moment pour faire la morale à Chebira.

    Endzanga applaudi
    Un seul joueur blidéen était le bienvenu au stade du 1er-Novembre, Wilfrid Endzanga en l’occurrence. Il faut dire que ce dernier a tout simplement eu droit à un accueil triomphal, dès son apparition sur le terrain. L’attaquant de l’USMB a été chaudement applaudi pas les supporters kabyles qui savent se montrer reconnaissants envers tous les éléments qui ont porté par le passé les couleurs de la JSK. C’est donc sans surprise qu’ils n’ont pas oublié Endzanga qui a contribué à la 12e consécration des Canaris grâce à ses buts décisifs qu’il avait inscrits en 2004.
     
    «J’en ai eu la chair de poule»
    «Franchement, je ne m’attendais pas à un tel accueil. Rentrer sous les applaudissements des supporters, alors que je joue pour une autre équipe, m’a donné la chair de poule. J’étais vraiment très ému. Il faut dire qu’entre les Kabyles et moi, il y a eu une certaine affinité qui s’était installée lorsque je jouais à la JSK. Cette reconnaissance me fait plaisir.»
    Ali H.

    Rahim Meftah et Herkat blessés
    L’entraîneur de la JSK a procédé au changement de deux de ses défenseurs, Rahim Meftah et Sofiane Herkat, un choix qu’Aït Djoudi a été dans l’obligation de faire. En effet, Meftah a quitté ses coéquipiers quelques minutes avant la mi-temps car il souffrait d’une blessure au genou suite à un tacle par derrière de Bensaïd. Quant à Herkat, il lui était impossible de poursuivre le match à cause de douleurs au niveau des adducteurs. D’ailleurs, ce dernier devra passer une échographie.

    Dabo-Chaouchi, saga JSK
    Juste après avoir transformé le penalty, Cheikh Omar Dabo a traversé tout le terrain pour aller partager sa joie d’une drôle de manière avec Fouzi Chaouchi. En effet, les deux hommes ont effectué quelques pas de danse africaine, au grand bonheur des supporters kabyles.

    Dabo : «Il m’a dit que je marquerai, moi je lui ai promis de danser avec lui»
    «Le fait de retrouver le chemin des filets, même si c’est sur un penalty, m’a redonné confiance, car je commençais vraiment à me pose des questions. Maintenant pourquoi je suis allé vers Chaouchi pour danser avec lui, c’est parce qu’avant le match, il m’avait dit qu’aujourd’hui, j’allais à nouveau marquer. Je lui ai alors dit que si cela se réalisait, je danserais avec lui. J’ai donc tenu ma promesse.»
    Ali H.

    Rabie Meftah voulait tirer le penalty…
    Dès que l’arbitre a désigné le point de penalty suite à la faute sur Hamza Yacef à l’intérieur de la surface de réparation, Rabie Meftah s’est saisi du ballon, signe que c’est lui qui allait tirer le penalty. Dabo s’est approché de lui pour lui demander de lui laisser le soin d’exécuter la sentence, d’une part pour mettre fin à son inefficacité et, d’autre part, pour améliorer son capital but. Il faut dire que le Malien a vraiment insisté pour que son coéquipier lui remette la balle.

    ... et les supporters ont réclamé Chaouchi
    Alors que Dabo et Rabie Meftah se disputaient l’exécution du penalty, les supporters de la JSK ont donné leur préférence à... Fouzi Chaouchi en scandant son nom. Mais le gardien de but kabyle a fait signe de la main au public que ce sera pour la prochaine fois.

    Wassiou retrouve sa place
    Remplaçant face au FC Os’ Balantas, en Ligue des champions, suspendu face à l’USMS, en Coupe d’Algérie, le Béninois, Wassiou Oladikpipou a retrouvé sa place dans le onze kabyle à l’occasion du match face à l’USMB. Wassiou a disputé l’intégralité de la rencontre et ne s’est dans l’ensemble pas mal débrouillé.

    Et de neuf pour Dabo !
    En transformant un penalty dans les arrêts de jeu, l’attaquant malien de la JSK, Cheikh Amar Dabo, a porté son capital but à neuf réalisations. Il arrive, de ce fait, à hauteur de l’Usmiste Hanitseur.

    Mazari convoqué
    Face à l’USMB, c’est Nabil Mazari qui a été retenu par l’entraîneur Aït Djoudi sur la feuille du match. En concurrence avec Berrefane pour le poste de deuxième gardien, le coach kabyle préfère visiblement procéder au turn-over pour garder les deux keepers motivés.

    Hannachi reçu par le wali
    Dans la matinée de jeudi, le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, était au siège de la wilaya de Tizi Ouzou où il a rencontré le premier magistrat de la wilaya. Cette entrevue a été l’occasion pour les deux hommes d’évoquer plusieurs sujets, entre la pose du nouveau tartan, les travaux du nouveau stade et surtout la subvention que devra allouer la wilaya à la JSK.

    Pose du nouveau tartan dans un mois et demi
    Interrogé au sujet du nouveau tartan au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, le premier responsable du club kabyle fera savoir que cette opération interviendra dans un mois et demi.

    Coût de l’opération : 7 milliards
    D’une source sûre proche de la DJS de Tizi Ouzou, nous venons d’apprendre que les travaux pour la pose d’un nouveau tartan au stade du 1er-Novembre débuteront bientôt. En effet, la direction de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tizi Ouzou vient de bénéficier d’une enveloppe de 7 milliards de centimes. Selon toute vraisemblance, les travaux débuteront dans une semaine.

    Début des terrassements du nouveau stade
    L’autre point évoqué par le président de la JSK a trait aux travaux du nouveau stade de Tizi Ouzou. Hannachi dira que la première étape des travaux, à savoir le terrassement du terrain sur lequel on bâtira la future enceinte, va commencer incessamment.

    Les Kabyles n’ont pas encore entamé les formalités de visas
    En prévision du match retour face au CF Os Balantas, la JSK se déplacera ce mercredi à destination de Dakar pour ensuite rallier Bissau. Pour cela, les Kabyles devront se rapprocher des représentations diplomatiques du Sénégal et la Guinée-Bissau en Algérie afin de remplir les formalités d’entrée pour ces deux pays.

    Derrag se fait vacciner
    En prévision du déplacement que devra effectuer la JSK en Guinée-Bissau pour y disputer le match retour face au CF Os Balantas le 11 de ce mois à Bissau, le jeune Mohamed Derrag est allé à l’Institut Pasteur pour s’y faire vacciner contre la fièvre jaune. Une mesure recommandée pour toute personne désirant se rendre dans un pays de l’Afrique subsaharienne.






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