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Champion’s league africaine (1er tour) : JSK 3 - FC Balantes 1 Un énorme gâchis !
27/01/2007 01:54
Par : Mohamed Haouchine /F.H.
Pour son entrée en lice dans cette nouvelle édition de Champion’s League africaine, la JSK aura fait l’essentiel, mais force est d’admettre qu’elle aurait pu se payer une victoire beaucoup plus confortable en prévision du match retour prévu dans deux semaines à Bissau.
Et pour cause, la formation kabyle aura dominé copieusement les débats pour se créer finalement toute une cascade d’occasions de but lamentablement gâchées par manque de sang-froid où excès de précipitation dans la surface de vérité. En concoctant un ensemble à vocation offensive, le coach Aït Djoudi avait misé sur une attaque à outrance face à une équipe guinéenne quelque peu naïve, dans l’entre-jeu et surtout en défense. D’ailleurs, dès le coup d’envoi, Hemani annonçait la couleur en écrasant un ballon rageur sur la transversale (1’).
Après deux nouvelles tentatives de Ouslati (6’) et Abdesslam (8’) qui butèrent sur le gardien Camara, la JSK finira par percer la muraille adversaire par le biais du revenant Ouslati dont le centre tendu fut dévié par le même Camara dans sa propre cage (9’).
C’était déjà bien parti pour les Canaris qui auraient pu saler aisément l’addition, notamment par Yacef, auteur d’un tir foudroyant de Yacef encore sur la transversale (18’), de Hemani sur deux essais repoussés définitivement par le gardien Camara (19’ et 28’) ou encore le jeune Saïbi qui de la tête ratait de peu la cage (27’).
Très combatif et bien campé sur ses jambes, le même Saïbi finira par être récompensé de toute sa débauche d’énergie et surtout son audace offensive sur un beau centre de Hemani pour placer une tête victorieuse (40’).
À 2-0, c’était bien enclenché pour la JSK qui aurait pu forcer le K.-O. peu avant la pause lorsque Bendebka prit bien du plaisir à caresser le ballon à la limite de la surface de réparation pour rater de très près le cadre (43’).
Après la pause, la JSK connut la première alerte dangereuse lorsque le buteur Fords fut taclé in extremis par Abdesslam dans les six yards (47’), mais ce diable de Saïbi allait se mettre encore en évidence en exploitant judicieusement un autre centre de Bendebka pour placer une autre tête victorieuse dans une cage guinéenne étrangement vide (50’).
À 3-0, on pensait que la JSK se dirigeait vers une victoire beaucoup plus large surtout que Yacef, encore lui, tirait violemment sur le poteau droit de Camara archi-battu (53’), mais les Canaris baissèrent dangereusement la garde et Martins allait profiter de ce manque de vigilance pour réduire le score d’un tir à ras de terre (70’).
Ce but de l’espoir allait galvaniser les Guinéens qui se lancèrent résolument à l’assaut du camp algérien, mais ce fut bien la JSK qui ratait l’estocade par Marek (81’) et surtout Dabo qui bénéficiait d’une balle en or de Derrag pour dévisser au dernier moment et mettre le cuir dans les décors (90’ + 3’).
À 3-1, la JSK devrait serrer les coudes dans quinze jours à Bissou, alors qu’elle avait toute latitude de se payer un bon “certificat de garantie” pour ce match retour.
Mohamed Haouchine
************IOR******************JSK*****************
Hannachi : “L’équipe a été méconnaissable” Le président de la JS Kabylie, à l’issue de la rencontre qui a opposé son équipe à son homologue de la Guinée-Bissau, n’a pas mâché ses mots en déclarant à la fin des débats que son entraîneur doit “assumer ses responsabilités”.
Trouvant méconnaissable son équipe qui a encaissé un but de la part d’un modeste adversaire, le président kabyle n’en est pas resté là.
“Il (Aït-Djoudi) n’a pas pris le match au sérieux”, ajoutera Hannachi abasourdi par la prestation de son équipe, arguant qu’“il fallait faire jouer d’autres joueurs qui auraient apporté plus”, allusion faite à Herkat, Hamlaoui.
Le chairman de la JSK a mal pris le but encaissé par son équipe qui, à ses yeux, était bête.
“La preuve, nos adversaires sont parvenus à nous inscrire un but”, dira encore Hannachi.
Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=71265
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Le joueur a été jugé diminué physiquement , Koblenz préfère prendre Yacef au mois de juin .
26/01/2007 03:22
- Hamza Yacef ne portera pas les couleurs du TuS Koblenz cet hiver. Après concertation entre l’entraîneur Milan Sasic et le manager Luzzi Sefirano, il a été convenu que la meilleure option serait de le prendre en juin prochain afin de profiter au maximum du potentiel du joueur.
Les émissaires du club allemand, présents lundi dernier au stade du 5-Juillet afin de superviser l’attaquant de la JSK contre le MCA, ont été surpris par le rythme relativement faible du match qu’on leur a pourtant présenté comme l’un des grands chocs du championnat algérien. En fait, ils ont trouvé que le niveau physique des joueurs algériens, dont Hamza Yacef, est en retrait par rapport aux exigences du rugueux championnat allemand de deuxième division. Ce dernier a repris depuis quelques jours et Milan Sasic a besoin d’un attaquant physiquement au point qui puisse être utilisé dès la semaine prochaine. Or, les Allemands ont découvert en Yacef un très bon technicien —«le prototype même de l’attaquant algérien, vif et insaisissable», insistera Sasic—, mais diminué sur le plan physique. Ils regrettent que la JSK n’ait pas accepté de laisser le joueur participer au stage hivernal de l’équipe en Turquie au début de l’année, un stage qui aurait permis de préparer Yacef au plan physique, afin de lui permettre d’être opérationnel à la reprise du championnat. Pour se mettre au niveau des joueurs de Koblenz, il lui faudrait une préparation spécifique minimale de trois semaines. En plus clair, il ne serait pas prêt avant la fin février, ce qui fait qu’il ne participerait —dans le cas où il serait convoqué pour tous les matches— qu’à 11 rencontres. Payer les frais de transfert d’un joueur pour 11 matches au maximum a été jugé non raisonnable par la direction du TuS Koblenz.
Sasic reviendra pour le superviser L’option décidée est de continuer à suivre Hamza Yacef cette saison. A cet effet, l’entraîneur a décidé de revenir le superviser deux autres fois, cette fois-ci à l’improviste, afin de voir son évolution. Le manager compte le faire signer pour la saison prochaine. Cette option présente deux avantages : le joueur sera alors libre de tout engagement, ce qui reviendra à le ramener gratuitement, et il fera la préparation avec l’équipe, ce qui le mettra au même niveau que ses coéquipiers. La balle est à présent dans la camp de Yacef, appelé à se surpasser lors du reste de la saison afin de prouver ses capacités physiques à l’occasion des deux matches auxquels l’entraîneur de Koblenz assistera pour suivre son évolution. F. A-S.
Il jouera demain «Il est fort possible que je reste»
- Où en êtes-vous avec votre éventuel transfert à l’étranger ?
À l’heure où je vous parle, il n’y a toujours rien d’officiel dans la mesure où je n’ai conclu avec aucun des clubs avec lesquels la direction du club était en contact.
- Parmi tous ces contacts, la piste allemande est la plus sérieuse puisque l’entraîneur et le manager général du TuS Koblenz s’étaient déplacés à Alger pour vous superviser à l’occasion du match face au MCA, mais apparemment cette piste est tombée à l’eau…
C’est ce que j’ai cru comprendre à travers la discussion que j’ai eue hier avec le président (Ndlr : entretien réalisé mercredi). Ce dernier m’a fait savoir qu’il n’a pas eu l’occasion de rencontrer les deux émissaires de ce club. Mais bon, ce n’est pas une piste qui est totalement écartée, dans la mesure où les Allemands sont toujours intéressés par mes services, mais pour la saison prochaine.
- Celle-ci mise à part, y a-t-il du nouveau concernant les autres pistes ?
Comme vous le savez, je n’ai pas un rôle direct dans cette histoire de transfert, mais comme je suis sous contrat avec la JSK, je fais confiance à mon président pour qu’il mène à bien ces pourparlers. Je m’en tiens donc au discours qu’il m’a tenu hier, à savoir que je n’irai pas en Allemagne et qu’il attendait une réponse demain de la part du FC Nantes. Et pour ce qui est des Emiratis d’Al Aïn, on sera fixé sur le sujet au plus tard demain aussi.
- Mais du côté du FC Nantes, par la voix de son attaché de presse, on nous a fait savoir que le mercato était clos pour le club…
Comme je vous l’ai dit, je ne suis pas directement relié à ces contacts, même le président ne l’est pas en ce qui concerne la piste du FC Nantes puisque c’est un agent qui tient le rôle d’intermédiaire.
- Depuis toujours votre souhait a été de jouer en Europe, mais vu le cours des évènements, il semblerait qu’il ne vous restera que la piste d’Al Aïn, cette dernière vous intéresse-t-elle autant ?
Il est vrai que financièrement, jouer aux Emirats Arabes Unis et de surcroît au sein du meilleur club de ce pays représente une belle opportunité, mais sur le plan sportif ce n’est pas aussi intéressant. Pour passer à un autre cap dans sa carrière, il faut aller en Europe, cela reste toujours mon rêve.
- On comprend par là qu’il y a une possibilité pour que vous restiez à la JSK…
Oui, il est fort possible que je reste à la JSK.
- Cela ne sera pas en quelque sorte un échec ?
Non, si des contacts n’aboutissent pas, cela n’est pas un échec. En plus de cela, rester à la JSK ne serait pas une mauvaise chose, je me sens bien dans ce club depuis que j’y ai mis les pieds, et où je suis respecté par tout le monde. En plus de cela, nous sommes engagés en Ligue des champions africaine, ce qui est une motivation supplémentaire. Se qualifier encore une fois pour la phase des poules serait une bonne chose pour le club et cela sur tous les plans.
- En parlant de la Ligue des champions, les supporters de la JSK ne cessent de se demander si vous jouerez ce vendredi ?
Oui, je serais présent ce vendredi pour le match face à cette équipe du CF ‘Os Balantas’. N’oubliez pas, je suis sous contrat avec la JSK, je dois donc l’honorer jusqu’au bout ce contrat qui me lie au club.
- C’est votre absence à l’entraînement mardi passé qui a suscité cette interrogation ?
Si je ne me suis pas présenté à l’entraînement mardi passé, c’est parce que j’étais un petit peu perturbé par cette histoire de transfert, cette journée de repos autorisé m’a permis de faire le vide dans ma tête pour revenir en forme pour l’entraînement d’aujourd’hui. Propos recueillis par Ali Hamouche
Zerzour : «J’avais supplié Hannachi de le laisser participer au stage de Turquie» L’agent qui s’est occupé des contacts avec le TuS Koblenz pour le compte de Hamza Yacef, Chaabane Zerzour, regrette que l’option du club allemand n’ait pas été prise avec plus de sérieux par la direction de la JSK. «Moh Cherif Hannachi connaît très bien le football, je le lui reconnais, mais sur ce coup, il a commis une erreur. Je l’avais supplié de laisser Yacef rejoindre Koblenz en Turquie au début du mois de janvier afin de participer au stage d’hiver, mais il avait refusé au motif que c’est la piste nantaise qui était la plus sérieuse. Finalement, les Nantais ne l’ont même pas supervisé», nous a-t-il déclaré, avant d’ajouter : «C’est dommage pour le joueur qui tenait à partir en Europe cet hiver. Ce n’est que partie remise puisque les Allemands sont toujours intéressés pas Yacef. Au mois de juin, il n’y aura pas de problème.» Est-ce vraiment partie remise ou un refus diplomatique ? «Les Allemands ne connaissent pas de refus diplomatique. S’ils ne sont pas intéressés, ils l’auraient dit clairement. Puisque l’entraîneur dit que c’est un simple problème physique, c’est qu’il le pense. Et puisqu’il dit qu’il le suivra lors des prochains mois et qu’il reviendra le superviser, c’est qu’il le fera.» F. A-S.
Source : http://www.lebuteur.com/
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Da Slimane Azem
24/01/2007 03:44
Poète et chanteur kabyle né le 19 septembre 1918 à Agni Ggeghran et mort à Moissac (Tarn et Garonne) le 28 janvier 1983. Slimane Azem arrive en France dès 1937 et entame une immersion précoce dans les tourments de l'exil. Sa première chanson : a Mûh a Mûh consacrée à l'émigration paraît dès le début des années 1940, elle servira de prélude à un répertoire riche et varié qui s'étend sur près d'un demi-siècle.
Du point de vue de son contenu, ce répertoire présente des ressemblances frappantes avec celui de Si Mohand, grand poète kabyle du XIXe siècle. Dans un contexte socio-historique différent, Slimane Azem a, en effet, représenté pour le XXe siècle ce que Si Mohand fut pour le siècle dernier : le témoin privilégié d'un monde qui vole en éclats, d'une société dont les assises ont été ébranlées en profondeur et dont les valeurs vacillent - même si quelquefois elles se raidissent - face à celles, implacables, du système capitaliste.
Le répertoire de Slimane Azem est donc - à l'image de la société qu'il traduit - traversé en profondeur par ces bouleversements; sa thématique est, à cet égard, tout à fait significative. Sur les soixante-dix chansons recensées en 1979 (cf. Slimane Azem : Izlan édité par Numidie Music) et qui composent ce répertoire, plus de la moitié sont consacrées à ce renversement de valeurs avec des titres très évocateurs :
Ilah ghaleb, Kulci yeqleb : Ô Dieu, tout est inversé Zzman tura yexxerwed : les temps sont, à présent, troublés Terwi tebberwi : tout est sens dessus-dessous.
Dans ces chansons du chaos, zik (autrefois) est fondamentalement opposé à tura (aujourd'hui). Dans cet ouragan qui déferle, rien n'échappe au tourbillon : c'est le règne du «ventre» (aàbûd) c'est-à-dire des intérêts bassement matériels, de l'argent (idrimen), de l'égoïsme, etc. au détriment de l'honneur (nnif), de la solidarité agnatique (tagmat). Cet éclatement charrie tout son cortège de maux, de misères dont : la paupérisation, l'alcool (a hafid a settâr, berka yi tissit n ccrab), etc. face à l'alcool, Slimane Azem oscille toujours, au même titre que Si Mohand, entre la transgression et le repentir.
Enfin devant la force de l'avalanche cèdent aussi les rapports entre les sexes, rempart ultime de l'édifice social, et Slimane Azem de décrire, tantôt avec humour, tantôt avec une ironie caustique, ces hommes sur lesquels les femmes arrivent à avoir de l'ascendant (lalla mergaza d win terna tmettût : dame omelette qui est dominé(e) par sa femme). Car ce sont bien les valeurs de la société traditionnelle que Slimane Azem défend, au besoin en évoquant Dieu à grand renfort; la dimension religieuse - sans être dominante - est incontestablement présente dans son répertoire.
Cependant, cette description d'un monde quasi apocalyptique - bien que récurrente - n’a pas l'exclusivité dans l'oeuvre de Slimane Azem; il était et il reste pour toute une génération de Kabyles - par dessus tout - le poète de l'exil : son évocation de la Kabylie, toute empreinte de pudeur, rappelle la douleur d'une plaie demeurée à vif, en témoignent des chansons comme :
d’aghrib d aberrani : exilé et étranger ay afrux ifilelles : ô hirondelle, oiseau messager a tamurt-iw aàzizen : ô mon pays bien-aimé
Propulsé dans le tourbillon du monde moderne, Slimane Azem ne s'est pas contenté de se réfugier dans le giron incertain des valeurs traditionnelles, son regard s'est ouvert grand sur le monde et nous lui devons de véritables poèmes de… politique internationale dans lesquels le ton volontiers satirique n'altère en rien l'acuité du regard : amek ara nili sustâ ? Comment pourrions-nous nous trouver bien ? Par ailleurs terwi tebberwi : tout est sans dessus dessous est dans la même veine. Il faut préciser que Slimane Azem, puisant dans le vieux patrimoine berbère, a «fait parler» les animaux, arme subtile mais à peine voilée d'une critique politique acerbe :
baba ghayu : le perroquet tlata yeqjan : les trois chiens
En cela il marque une fidélité indéfectible au caractère traditionnellement contestataire de la poésie kabyle, l'une de ses dernières chansons salue avec éclat et avec un titre très évocateur : (ghef teqbaylit yuli was : sur le Kabyle (ou la Kabylité) se lève le jour), l'émergence de la revendication culturelle berbère lors du printemps 1980.
Enfin dans ce répertoire vaste, riche et plein de nuances, se remarque une absence quasi totale de la poésie lyrique, lorsque cet aspect est effleuré, il ne l'est que par touches extrêmement discrètes; il est certain que ce silence résulte d'un choix, peut-être est-ce le tribut que le poète a consenti à payer afin de briser le tabou lié à la chanson, car on rapporte que Slimane Azem avait le souci d'interpeller les siens au moyen de chansons qui pouvaient être écoutées «en famille», c'est-à-dire en tous points conformes aux règles de la bienséance.
BIBLIOGRAPHIE
AZEM S., Izlan (textes berbères et français), Numidie Music, Paris, 1979.
Article de D. ABROUS dans l'Encyclopédie berbère, tome VIII
Source : http://www.algerie-monde.com/musique-algerienne/chanteur-kabyle-slimane-azem.html
Commentaire de Nina (29/01/2007 05:35) :
Mila - Abendu
http://www3.youtube.com/watch?v=-uPoynp4AYA
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Blagues algériennes
24/01/2007 03:22
Gallek khatra maasskri, wahrani et l'algérois darou casse ta3 bijouterie, ayya la police qui jet ils ont trouvé juste el maasskri, mais ils ont constaté qu'il aurait pas pu faire le casse tout seul, ayya seksawah, galelhoum: avant le casse, tfahamna, el wahrani yeddi liquide, l'algérois les bijoux et anaya neddi elocal.
Wahed maascri yewssel lel khedma retard, ayya patron ygoullah 3lah jit retard??, ayya lakhour ygoullah: emma kanet tedroub fi khouya sghir sbah lillah, patron répond: mouk kanet tedroub fi khouk sghir et nta 3lah jit retard?? ayya l'employé répond: kanet tedroub fih bssebbati, bghitni nji bellahfa?
2 ma3sscri 3atawha l'Paris... , a3jebhoum wahed el hotel...fih bab ydor..Ayya fih hèd el bab dakhlet mra agée et kharjat wahda sghira.... kada gal sahbah: rak tchouf ?wah kada rani nchouf dakhlat chibaniya kharjat sghira..... Memba3d dkhal un vieux ...comme par hasard khraj un jeune.... Kada: cheft...hada lbab tedkhoul kbir twelli sghir , ghadi nssiye zahri....le moment li dkhoul , khraj caniche fi hadek l moment....Sahbah nkhlae3 wa gueddem hada l'caniche wgallah : hakada chta dak , cha ngoul lemok derwak !!!!!!!!!
Galek ha n'har wouahad maaskri mcha fi un quartier taa Wahrane. Ki trel, chef gaa les jeunes b' casquetta. M'cha y chri wouahda. Le lendemain, chef'houm gaa b'la casquette à l'envers, alors bra y dir kifhoum. M'cha 3and sa mere ou galel'ha " Ya ma, t'nejem t'neheli la visiere ou t'khiyet'hali ma rroul ?? "
Ha n'har, el dar taa3 Kada el Maaskri n'harguet ( elle a brulée ). Le lendemain, sahbeh Zino saksah ( lui a demandé ) : " Aalache ma 3ayitch les pompiers, rahoum ghir h'na ? ", ou Kada gaalah " Ayit n'biper fihoum bessah ma jawoch "!!!!
C'est un m'aaskri qui va chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux. Une fois la coiffure terminée, le coiffeur lui demande :"je te mets du gel ou ce n'est pas la peine", et le m'aaskri lui répond :"mets moi snépalapeine".
Un m'aaskri et un oranais se sont recontrer dans un café alors, l'oranais commande " garçon ! ... un Orangina STP", et le m'aaskri intrigué fait " garçon... pour moi, un mascaragina !!".
C'est un m'aaskri qui va visiter Oran pour la première fois de sa vie. Une fois à Oran, il traverse un passage pour piétons alors que le feu (pour les piétons) était au rouge. Arrivé au milieu du passage, le policier de circulation l'apperçoit, et d'un hauchement de tête, lui dit : "retourne d'ou t'es venu", et le maâskri retourne chez lui…à m’aascar.
Un maaskri s'est rendu à Oran pour la première fois, et pendant son séjour il voit tout le monde avec des portables. Dés son retour à Maascar, il va voir ses amis et leurs dit "Ya djedkoum, Wahran gaa rahi m'serklia" ( ie : "la situation est grave à Oran, des flics en civil... il y'en a partout").
Un Maascri va au cinéma, il achète son billet à la caisse et pénètre à l'intérieur. Une minute plus tard il revient et en achète un autre. Puis quelque minutes plus tard il revient encore et demande un autre billet. Je ne comprend pas, dit le caissier, je vous en ai déjà vendu deux. Je sais répond le gars, mais chaque fois que j'entre dans la salle il y a un gars qui me le déchire.
Deux Maascris rentrent à leur hôtel après avoir fait quelques courses. L'un d'eux, chargé de paquets, demande à son ami : " Peux-tu appeler l'ascenseur, s'il te plait ?" et l'autre crie : "ASCENCEUR !!!" "Mais non, idiot!" lui dit le premier, "avec le doigt !" Alors son amis se met le doigt dans la bouche (mimer l'action) et crie, tant bien que mal : "ASCHENCHEUR !"
Zouj men maascar rahou la première fois à Oran juste en rentrant à la place d'ames ouine kayene sbouaa, el maassacri guele el sahbou hiya rana fi lyon.
Un mascarien drabe 8 ans fel gharadje, il décide de rentré définitivement en Algérie, djabe avec lui un peroquet fi katfou dja dakhal à Alger à la douane, le douanier étais surpris de voir maasacri fi katfou péroquet, le douanier lui demande est ce que had elhaycha rahi maake el peroquet gualou rah maaya.
2 mascariens rahou london hakmou el bus superposer wahade ken el tahte ou sahbou tlaa el fouk yamala el foukana ahbate yadjri celui qui etais en bas etais surpris de voir son ami decendre vite il lui ad dis wache bike gualou el foukana ya rabak makache chauffeur el fouk
Yamala el wali du maascar zaafe devant tous les mascarien gualalhoum bahdeltouna atkdmou chwia tous le monde rah yatmasghar bikoum atkadmou chwia deux minute apres tous le monde avance avec sa chaise devant le wali hahahahahah mliha
Wahade maasacri kane maa martou fi karoussa fi maascar juste devant le feu rouge guatlou wlache tu arettes gualelha rane nastana lakhdar yamala martou habtate ou talaate malour.
El wali de M3ascar dans une confrence de presse, a dit en direct sur la chaine national : '' Mascara va devenir la capital de l'Algerie ''. quelque minutes apres .. un M3asscari a dit : '' Ayaaaah bonne nouvelle!! , on va devenir des Algerois!! .
Cette histoire s'est passe a tiaret lors du dernier recenssement. L'agent de service dit a un citoyen nous somme issaiyattes. Le citoyen repond quoi rensasment ya hadj. Ce dernier rétorque pourquoi depuis tout a l'heure tu ne dis pas rassasmant. 1ère question de l'agent. Combien de personne a la maison? le vieux repond 11 personnes. 2ème question combien de personne travaille. el hadj dit 2 qui travaillent. 3ème question qui sont ces deux personnes qui travaillent. Le vieux répond compteur du GAZ et compteur de l'éléctricité...
Un chauffeur et un convoyeur mascareens arrivent avec leur gros camion devant une plaque qui limite la hauteur à 5m 50 parceque un peu plus loin il y a un tunnel. Le chauffeur demande au convoyeur de descendre et de voir s'il n'y a pas de Gendarmes aux alentours. Le convoyeur fait le tour du camion, regarde dans tous les sens et remonte dans le camion en disant au chauffeur: Tu peux avancer, il n'y a personne.
Une fois un maasscri a fait un tour a oran avec sa voiture mercedes dernier cri. Un oranais l'accoste en lui disant si tu veux echanger ta voiture contre la mienne (une renault 4 des annees 60). El maascri a repondu tu es fou, l'oranais lui a rétorque, montes a la voiture et tu verras. Une fois dans la renault4 le wahrani a fait un geste de la main et soudain un djinn apparait et demande aux 2 hommes ce qu'ils veulent et leur voeux seront exaucer immediatement. Ensuite l'oranais lui a dit svp 2 tasses de thé bien chaude en une fraction de seconde les 2 tasses sont servis. A cette instant le wahrani adit au maasscri que si tu demandes n'importe quoi a ce djinn il te le ramenera illico. l'mascri accepte l'echange de sa mercedes contre la R4. Une fois de retour dans son village son ami se demande pourquoi a t-il échanger sa voiture contre cette vieille carcasse, il lui repond montes dans la voiture tu vas voir??? puis d'un geste de la main le djinn se presenta devant lui. Il lui demande de lui ramener immediatement un kilo d'or. Le djinn lui repond sahbi ana khademti n'serbi ghir la thaye.
Source : http://www.algerie-monde.com/humour-algerien/blagues-algeriennes-maascris.html
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Moussa Saïb “On m’a proposé de revenir à la JSK”
23/01/2007 03:50
Les contacts entre Hannachi et Moussa Saïb n’ont pas été directs mais “autorisés” par la direction du club, selon ce dernier. L’ancien capitaine de
la JSK
s’en référera à la qualité des hommes - sans les nommer - que le président a délégué pour faire la proposition.
La dépêche de Kabylie : Quelles sont les nouvelles de Moussa ?
ll Moussa Saïb : Je me sens très bien, Dieu merci, je ne me plains pas, pas de soucis, tranquille quoi !
Vous vous êtes un peu éclipsé ces derniers temps de la scène publique. C’est un recul voulu ?
ll Non, je ne pense pas que je me suis fais rare. Je suis quelque peu libre, sans engagement professionnel. Cela m’a permis de trouver du temps pour ma famille, voir les amis… Enfin je gère ma vie et mes affaires tranquillement, le plus normalement du monde.
Etes-vous restés branché sur l’actualité sportive ?
ll Pas à 100% quand même. Disons que je me suis retiré du monde du football si c’est à cela que vous faites allusion.
Est-ce que vous avez toujours cette ardeur ressentie alors que vous repartez pour une nouvelle aventure avec
la JSK
?
ll Vous savez, la ferveur qu’a un sportif pour sa discipline, c’est dans le sang, même si elle peut passer par des hauts et des bas. Disons que pour moi ça a été le premier cas quand j’ai repris avec
la JSK
en début de saison et en retrouvant le terrain du 1er-Novembre. Mais malheureusement ça a été de courte durée.
Avec le recul quel commentaire faites-vous sur cette expérience avortée si on peut l’appeler de la sorte ?
ll Disons que je ne suis pas quelqu’un de rancunier. Je considère que je suis parti malgré tout sur une note positive puisque cela s’est fait sur une victoire après que l’équipe eut vécu un début difficile. J’espère que les gens n’ont pas oublié que j’ai contribué au déclic, et personnellement j’éprouve moins de regrets d’être parti sur une victoire. Ensuite, l’équipe a fait son chemin et moi le mien de mon côté. Je m’en tiens à cela car je n’ai pas envie de revenir en arrière, surtout pas sur certaines déclarations qui m’ont touché. Je me dis qu’il ne vaut mieux laisser tout ça derrière soi et regarder devant soi.
C’est donc une page tournée, et vous restez malgré tout attaché à cette équipe de
la JSK
…
ll J’ai toujours dit que
la JSK
est mon club, et je n’ai pas un autre de rechange quelles que soient les circonstances. Je me considère toujours comme le premier supporter de cette équipe, et ce n’est pas parce que je n’y suis plus que je vais changer à son égard.
Quelle appréciation faites-vous du parcours de l’équipe jusque-là ?
ll Je ne sais pas si je peux me permettre un constat mais le supporter que je suis dira que le parcours est globalement positif par rapport aux débuts. Personnellement je n’ai jamais douté d’une telle issue malgré la position d’alors.
On était certes derniers mais l’équipe comptait trois matches de retard. A partir de là il y avait une marge de progression au classement qu’il fallait bien gérer. Je pense que même pour les derniers du moment tout peut changer.
Entre le quatrième, le cinquième et le dernier il n’y a pas vraiment un grand écart. Une équipe peut gagner deux matches et se retrouver en haut, une autre peut en perdre deux et se retrouver en bas. Pour
la JSK
, je dirais que le club doit continuer sur sa lancée et continuer à avoir plus d’ambition.
Quels sont vos pronostics sur l’issue du championnat ?
ll Je pense que la course au titre sera relancée dans les semaines à venir. Sétif avait au départ une bonne marge d’avance et maintenant elle n’est plus qu’à quatre longueurs. C’est ça le foot, un sport où tout reste possible comme on dit.
Vous êtes de ceux qui misent sur le retour de l’USMA ?
ll Non, j’ai plutôt un penchant pour Sétif malgré tout. Je dirais juste qu’ils ont eu des défaillances dans la gestion de leurs matches en retard, et se sont fatigués en compétition internationale. Je pense que leur prochain match sera décisif puisque si je ne me trompe pas, tous leurs poursuivants jouent à l’extérieur.
A suivre votre analyse, vous donnez l’impression de suivre de près les événement
ll Je suis un footballeur avant tout, j’ai passé vingt ans sur les terrains quand même.
Vous évoquez le terrain. Y’aurait-il une possibilité de vous y revoir un jour ?
ll Joker !
C’est un joker qui n’est pas pour infirmer les nouveaux contacts qu’on vous prête avec votre club de toujours,
la JSK
…
ll Disons que j’en ait entendu parler comme tout le monde mais je n’ai pas eu de contact officiel avec le président. Disons qu’on est au stade des touches préliminaires.
Et vous en pensez quoi ?
ll Je me dis déjà que s’ils pensent à moi, tant mieux.
C’est une confirmation à demi-mot...
ll Je crois que ce n’est pas encore le moment d’en parler. Il faut laisser faire les choses doucement. C’est ce que j’ai répondu aux nombreux amis et supporters qui m’appellent pour m’en parler. Apparemment la nouvelle a déjà suffisamment circulé.
C’est vrai que la nouvelle de votre retour comme manager général du club se fait de plus en plus persistante dans l’entourage du club…
ll Pour le moment je me contenterai de dire pourquoi pas ! C’est une option à ne pas écarter.
Mais on vous sent cacher certaines choses ?
ll C’est en fait vrai, il y a des personnes, des intermédiaires comme on les appelle ou si vous voulez des gens qui sont proches du président, des confidents à lui qui m’ont contacté pour réintégrer le club.
Vous voulez dire des contacts autorisés de la direction du club ?
ll Très bien, voilà c’est le terme. On m’a proposé de revenir pour m’occuper de tout le volet football au sein de
la JSK. C
’est à dire que j’aurai les prérogatives pour la gestion de la section football. Ce ne sera pas le poste de président de section, ni de manager. Disons que c’est entre les deux. Voilà, et je leur ai demandé un temps de réflexion.
Sinon vous êtes emballé pour entamer cette nouvelle expérience ?
ll A priori oui, pourquoi pas. Mais j’ai besoin d’un temps pour mûrir les choses.
Ce temps, vous lui fixez une limite dans votre tête ?
ll On en discutera par la suite. Pour le moment l’essentiel est que je n’ai jamais fermé la porte, je rappellerai que ce n’est pas moi qui ai décidé de partir comme ça sur un coup de tête. Maintenant qu’on me demande de revenir, ça m’honore et je me dis que si l’équipe a besoin de ce plus qu’on me reconnaît en me faisant appel, je ne peux pas me permettre d’en priver le club. Aussi je me dis que je suis toujours resté dans le cœur de ces gens là, et pour ma part je n’ai jamais nourri une quelconque animosité envers personne. Donc je dirais que ces contacts sont de bon augure.
Mais vous n’avez toujours pas répondu à la question. L’équipe reprendra ce week-end son parcours pour la ligue des champions, votre expérience ne sera certainement pas de trop dans cette compétition…
ll Comme je vous le disais je serais toujours le premier supporter de cette équipe mais pour le reste, tout doit passer par des étapes. Je le dis encore, jusque-là, il n’y a rien d’officiel. On verra après. Dans l’urgence j’ai un voyage à faire à Londres . J’ai des trucs personnels à régler mais je ne tarderais pas. On verra certainement plus clair à mon retour dans une semaine.
Entretien réalisé par Djaffar Chilab
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=33969&ed=MTQwOQ==
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Le chant perdu des Canaris ...
23/01/2007 03:46
JSKabylie 2007
par Rachid Ikhenoussene
Rebelle comme la région dont elle est l’un des porte-étendards,
la JSK est rentrée dans les rangs. Matée, domestiquée, elle est réduite à assumer le statut peu glorieux d’équipe comme les autres, d’équipe quelconque. Mais qu’a donc pu se produire, pour qu’un tel fleuron perde autant de son lustre ? Pourquoi un tel exemple de conquête nous laisse-t-il, aujourd’hui, au travers de la gorge, quelque chose de difficile à avaler, un sentiment indicible d’inachevé ? A-t-elle perdu son âme ? Peut-être ! une chose est, toutefois, sûre : elle a perdu sa culture.
A qui la faute ? Certainement à nous tous. A nous qui l’aimons jusqu’à la démence et qui n’avons pas su la protéger. Ceux, surtout qui ont hérité de son destin et qui n’ont pu la maintenir sur la trajectoire qui n’aurait jamais dû cesser d’être la sienne, à savoir celle de l’honneur identitaire et du triomphe sportif. Car quand on offre un symbole aussi fort qu’un burnous à un homme tel que Belkhadem, un ennemi acharné de l’amazighité, c’est que quelque part il y a un reniement scandaleux des valeurs.
Quand on s’acharne à aligner des joueurs sans talent juste pour ne pas avoir une équipe entièrement kabyle et juste pour faire plaisir à des parrains politiques, c’est qu’une âme ne vaut plus rien et une conscience encore moins.
Ce sont ces comportements parmi une infinité d’autres qui ont dévitalisé
la JSK et l’ont vidée de sa substance.
Il est temps pour tous ceux qui la chérissent, pour ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être de sortir de leur passivité et de faire en sorte que les Canaris se remettent à entonner le chant de la liberté et et de la victoire qui leur sied si bien.
R. I.
Source : http://www.depechedekabylie.com/point.php?id=MTQwOQ==
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