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JS Kabylie: APRES LA DEFAITE EN COUPE, La JSK se console ...
23/04/2010 18:31
Les poulains de l’entraîneur Geiger ont vu leur rêve de passer en finale et d’embrasser Dame coupe s’envoler, lundi, après s’être fait éliminer par la formation du CAB.
Les Canaris n’ont pu décrocher le billet de la qualification pour la finale de Dame coupe face aux Batnéens du CAB. Les Kabyles étaient complètement abattus à la fin de la rencontre. Il faut dire qu’il y a vraiment de quoi, d’autant qu’ils se sont battus tout au long du temps réglementaire, mais aussi durant les prolongations. Mais en vain, ils ne sont pas parvenus à faire la différence, et ce, en dépit de plusieurs tentatives de marquer. Chacun de Yahia Chérif, de Meftah ou encore de Tedjar ont tenté d’ouvrir la marque, mais le cuir passa à chaque fois à côté. Les gars de Hannachi n’ont, malheureusement, pas pu concrétiser leurs tentatives.
Karouf : «On méritait la qualif’ plus que le CAB» Joints par téléphone, les joueurs de la JSK, et jusqu’à hier, n’avaient pas encore digéré leur élimination de la Coupe d’Algérie. Ces derniers avaient grand espoir de reconquérir ce trophée qu’ils n’ont plus décroché depuis la saison 94. Interrogé sur le match, Karouf, l’adjoint de l’entraîneur des Canaris, ne nous cacha pas non plus sa déception, il nous dira : «On est vraiment déçus de cette élimination.» Puis il poursuivra : «J’estime qu’on méritait d’aller en finale plus que le CAB. Cette dernière était toute juste moyenne sur le plan du jeu. Les Batnéens n’étaient pas aussi forts que nous sur les plans technique et tactique. Par contre, leur agressivité dans le jeu n’est pas passé inaperçue. De notre côté et contrairement au CAB, qui s’est contenté de rester en arrière, on a fait l’essentiel dans l’animation du jeu. On s’est bien défendus. On a réussi ainsi à empêcher l’adversaire d’atteindre nos filets. Cependant, nous avons failli au niveau de l’attaque qui a trouvé tout le mal du monde à concrétiser ses tentatives de marquer.» Interrogé sur les raisons de l’élimination, les joueurs de la JSK se sont tous accordés pour dire que le mauvais état du terrain les a énormément handicapés. «Le terrain sur lequel nous avons évolué lors de la demi-finale était dans un très mauvais état», nous dira Tedjar avant de poursuivre : «Il était impossible pour nous d’évoluer sur un terrain pareil, contrairement au CAB qui connaît bien son terrain sur lequel elle est habituée à jouer.»
La tête déjà à la Coupe d’Afrique La Coupe d’Algérie était l’un des objectifs de la JSK depuis le début de la saison. Les poulains de Geiger, qui ont perdu toute chance de décrocher le titre de champions d’Algérie, voulaient se racheter avec le trophée de la Coupe d’Algérie. La direction de l’équipe, le staff technique et les joueurs n’ont rien caché de leur déception, mais ils ne veulent en aucun cas s’y focaliser. Ces derniers ont déjà la tête vers la Coupe d’Afrique, comme nous l’expliqua Karouf. «Nous n’avons aucune raison de rougir. Nous nous sommes fait éliminer de Dame coupe, mais nous avons réussi là ou beaucoup d’autres ont échoué, arriver en demi-finale de la Coupe d’Algérie. On a perdu le titre, mais nous n’avons pas perdu nos chances de décrocher une place parmi les trois premiers du classement. Nous avons encore 8 matches à disputer. Cela suffit largement pour atteindre cet objectif et avoir la chance de participer à une compétition internationale», nous dira l’adjoint de l’entraîneur de la JSK qui a déjà décidé d’oublier ce revers pour se concentrer sur le prochain match face à la formation de l’Angola, qu’elle devra affronter dimanche prochain au stade du 1er-Novembre dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique. Le coach de la JSK, de son côté, devra jouer le rôle du psychologue et trouver les mots adéquats afin de convaincre ses joueurs de tirer un trait définitif sur cette élimination qui fait déjà partie du passé et se concentrer sur la suite du parcours. F. T.
Reprise aujourd’hui La formation de la JSK est rentrée juste après le match face au CAB. Le déplacement s’est fait par bus. Les joueurs sont arrivés à Tizi Ouzou à 4h du matin, chaque joueur a rejoint son domicile. Après une journée de repos accordée par le staff technique, Aoudia et ses coéquipiers reprendront le chemin des entraînements aujourd’hui au stade du 1er-Novembre. Ces derniers devront s’entraîner jusqu’à la veille du match de dimanche. F. T.
COULIBALY : «Les dieux du stade n’étaient pas avec nous»
Très déçu par l’élimination en coupe, Coulibaly ne devrait pas l’être, vu sa prestation de premier ordre. Cette coupe, il y tenait beaucoup, comme il nous l’avoue, car il vit ses derniers jours avec la JSK.
Le moral en a pris un coup, mais Coulibaly reste réaliste et pense qu’il est plus judicieux et professionnel d’aller de l’avant, et d’oublier vite cette amère élimination. Le défenseur sait que la Coupe d’Afrique pointe son nez, et dès ce dimanche, la JSK sera à l’heure africaine et à la revanche, pour les supporters très déçus. «Je suis très déçu, on avait tant misé sur cette coupe, et je ne vous cache pas qu’elle me tenait beaucoup à cœur. Mais c’est la loi du foot, et les dieux du stade n’étaient pas avec nous à Batna. Ce qui nous a laissé des regrets, c’est la physionomie de la partie, et franchement, on méritait mieux. La décision de l’arbitre sur le pénalty arrêté par Hadjaoui était très discutable, Cependant, il ne faut pas trop s’attarder sur cette élimination, car nous avons un challenge très important dimanche prochain. Le moral des troupes est affecté, certainement, mais la réalité du foot nous oblige à vite réagir et à rebondir pour éviter une hémorragie», dira Coulibaly.
«On jouera toutes nos cartes en Coupe d’Afrique» Coulibaly pense que la JSK peut encore sauver sa saison, et ce, en marge de la Ligue des champions d’Afrique. Face à Petro Athletico dimanche prochain, Coulibaly promet aux supporters de les représenter dignement et de tout faire pour aller jusqu’au bout. «C’est notre dernière chance de sauver notre saison, et on va tout faire pour réconforter nos supporters auxquels je demande de venir nous soutenir en force et rester derrière leur équipe. L’élimination en coupe ne doit pas remettre en question notre potentiel à aller loin dans cette compétition africaine, et je souhaite que d’ici là, le groupe aura retrouvé sa motivation et sera prêt pour la confrontation», dira encore Coulibaly. M. M.
YAHIA CHERIF : «La chance était du côté de Batna»
L’ex-attaquant du RCK, en l’occurrence Yahia Chérif, se dit déçu de l’élimination de son équipe face au CAB. Cependant, il ne faudra pas se focaliser sur cela et tenter de se concentrer sur la suite du parcours.
- Quel est votre sentiment après cette élimination de Dame coupe ? - Franchement, je regrette énormément cette élimination, pour laquelle nous avons beaucoup donné, depuis le début de la saison. C’était l’un de nos principaux objectifs, après avoir perdu nos chances de décrocher le titre de champion d’Algérie. - Comment expliquez-vous ce revers ? - Je crois que nous avons fourni une belle prestation face au CAB. Nous avons fait de notre mieux en ouvrant le jeu, contrairement au CAB qui s’est contenté de se regrouper en arrière et de jouer par de longues passes. On a été aux tirs au but où nos chances de gagner étaient égales. Mais je crois que la chance a plus souri aux Batnéens. - Vous avez raté un penalty qui aurait pu faire la différence ? - Mon tir est passé à côté, je n’ai pas arrêté de penser à cela, car j’ai quelque peu culpabilisé, mais bon, cela peut arriver aux meilleurs joueurs. Je crois qu’il faut oublier et se concentrer sur l’avenir, car on ne pourra rien changer à ce qui s’est passé. - Un commentaire sur la décision de l’arbitre de faire rejouer le penalty de Boukhlouf, pourtant sauvé par Hadjaoui ? - Cette décision de l’arbitre nous a également pénalisés. Car on n’a remarqué aucune faute de Hadjaoui, Les données auraient pu être tout autres si le tir n’avait pas été rejoué. Au risque de me répéter, nous avons vraiment manqué de chance. - Certains estiment que la JSK a carrément raté sa saison en passant à côté de Dame coupe ? - Certes, nous venons de perdre le rêve de jouer la finale, mais nous sommes quand même parvenus en demi-finale. On ne peut plus espérer non plus le titre, mais il nous reste quand même l’échéance de la Coupe d’Afrique et puis nos chances de décrocher une place parmi les trois premiers du classement pour une compétition internationale sont encore intactes. Nous sommes motivés et prêts à relever ces défis. - Sur le plan personnel, vous pouvez vous estimer heureux, puisque vous faites partie de l’équipe nationale A’ en plus de vos participations internationales avec votre équipe ? - Dieu merci, je suis content de mon parcours effectué jusqu’ici à la JSK, Je suis en train d’acquérir beaucoup d’expérience, d’autant plus que je me retrouve dans une équipe qui regroupe des gens de bonne famille. Nous avons tous les moyens nécessaires pour bien évoluer. Tout va bien donc, pourvu que ça dure. F. T.
Source : http://www.competition.dz/article.php?art=8657
| Réalisé par : |
Fouzia T., et Mustapha M. |
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Une victoire pour fêter le Printemps berbère
20/04/2010 14:45
Cet après-midi, la JSK se présentera au stade de Batna avec une seule idée en tête, celle de glaner le ticket pour la finale. Intervenant le jour de la célébration du Printemps berbère, cette confrontation ajoutera certainement à la détermination des Kabyles. Une place en finale de la coupe d’Algérie sera d’une grande consolation pour le vainqueur, surtout que la JSK a hypothéqué, vendredi passé, sa dernière chance de se mêler à la course au titre. Ainsi, l’enjeu sera grand pour les Canaris qui n’ont pas remporté de coupe depuis 16 saisons, et cette finale passera par Batna, face aux Cabistes qui aspirent, eux aussi, à la seconde finale de leur histoire. Les Canaris ne sont plus qu’à 90 minutes d’une finale qu’ils n’ont plus jouée depuis 1994, date de leur dernière coupe remportée face à… Aïn Mlila. Comme un symbole, c’est, d’ailleurs, dans cette bourgade qu’ils ont bénéficié d’une petite mise au vert, sous l’œil bienveillant de leur ex-portier Boughara avant de prendre la route ce matin pour Batna pour le match tant attendu. Pour cela, les Canaris ont été mis dans les meilleures conditions possibles pour préparer cette demi-finale, ils ont même récupéré en coure de route leurs quatre joueurs internationaux A’ que sont Meftah, Belkalem, Yahia Chérif et Tedjar, qui ont pu effectuer l’ultime séance tactique. Et c’est un renfort de qualité pour le coach Geiger qui aura beaucoup plus de solutions pour composer son équipe. Alors que l’avant-veille de la rencontre, l’entraîneur a préféré opter pour une légère séance, ponctuée d’une petite rencontre entre les joueurs, le retour des internationaux lui a permis de disposer de toutes ses cartes pour mettre en place son plan de bataille avant la finale. Pour cette dernière séance, le mentor a beaucoup insisté sur le placement et le replacement de ses joueurs, notamment dans l’entrejeu, car il s’attend à une rude bataille au milieu du terrain. Selon l’entraîneur, tout se jouera dans ce compartiment sensible et celui qui gagnera la bataille du milieu aura l’emprise sur le jeu, puis il enchaînera sur des exercices d’application devant les bois avant de terminer, bien entendu, comme le veut la tradition à la veille de match de coupe, par une série de tirs au but. M. T.
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Si jeunesse savait ,si vieillesse pouvait !
17/04/2010 00:06
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Tassaft Ouguemoune...Kabylie...
26/03/2010 04:39
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ALLEZ LES VERTS!
07/03/2010 07:07
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Après son concert de samedi dernier à la salle Atlas de Bab El-Oued ... Lounis Aït Menguellet : “Cela fait chaud au cœur”
22/02/2010 00:32
Heureuses retrouvailles, samedi après-midi, entre le chanteur Lounis Aït Menguellet et ses admirateurs, anciens et nouveaux. Son concert a drainé un public nombreux.
Ses fans se sont déplacés en masse pour voir le barde sur scène, écouter et apprécier ses œuvres, dans une ambiance parfois survoltée mais conviviale, marquée par des youyous et des applaudissements nourris. La salle Atlas était pleine à craquer. Beaucoup de spectateurs sont retournés bredouilles. Ils n’ont pas pu assister au concert faute de places. Les plus chanceux, ceux qui ont réussi à dénicher une place, ont été comblés. Voulu ou pas, le choix des chansons interprétées, entamé avec Tajra ilili, a permis de retracer à grands traits l’itinéraire de l’artiste depuis ses premiers pas dans la chanson kabyle, au milieu des années 1960. Kamel Hamadi, son compositeur au début de sa carrière artistique, et le poète Ben Mohamed, tous deux vivant en France, étaient présents au concert, à l’invitation du chanteur. Lounis Aït Menguellet a réuni, pendant deux heures et demie, trois générations d’admirateurs, du grand-père ou de la grand-mère aux petits-enfants. Une belle image ! “C’est véritablement un régal de retrouver le public habituel et une nouvelle génération de spectateurs”, dira le chanteur à la fin du concert. Les jeunes nés en 1991, année de ses spectacles mouvements dans cette même salle Atlas, ont aujourd’hui 19 ans. Il a été ravi de voir des jeunes de cette tranche d’âge dans la salle. “Vraiment, cela fait très chaud au cœur. Cela m’a aidé à avoir plus d’énergie et m’encourage à faire plus et mieux. Pour moi, c’est la véritable récompense. Même la fatigue disparaît. J’ai l’impression qu’ils me communiquent leur jeunesse. C’est fantastique ! C’est véritablement une fontaine de Jouvence”, nous a-t-il confié. Il estime qu’il y a une transmission de l’amour, de l’affection que portent les parents à leurs enfants. Les parents ont su transmettre, communiquer à leur progéniture ce qu’ils ressentent, ce qu’ils ont ressenti eux-mêmes en écoutant les chansons de Lounis Aït Menguellat.
Admirateurs de père en fils Le chanteur ne pense pas que ce soit les chansons elles-mêmes qui se sont imposées aux jeunes, comme ça, par hasard. Les parents ont joué un grand rôle en mettant l’accent sur l’importance du texte, en incitant, directement ou indirectement, leur progéniture à écouter attentivement les œuvres de leur idole. Et les enfants découvrent, par la suite, qu’il y a des paroles à écouter, à comprendre et aussi à méditer. “Ce qui prouve qu’il y a une communication extraordinaire entre les générations”, note Aït Menguellat. Un groupe de jeunes adolescents, justement, ont brandi dans la salle, à quelques mètres du chanteur, une banderole sur laquelle on pouvait apercevoir les photos, côté à côte, de Lounis Aït Menguellet et de Matoub Lounès. Un beau symbole. Un bel hommage pour les deux artistes qui ont marqué, chacun à sa manière, la chanson kabyle. Le prochain album ? “Il sortira dans le meilleur des cas, si tout se passe bien, d’ici le début de l’été. Je ferai tout mon possible pour qu’il sorte au maximum au mois de juin”, confesse le chanteur. Le contenu ? Motus et bouche cousue. L’une des chansons de l’album renferme une “anecdote savoureuse et significative”, tirée d’une blague que Ben Mohamed lui avait envoyée via internet. “Une blague qui avait déclenché en moi quelque chose qui a épaté Ben. Et pour épater Ben, ce n’est pas facile”, dira-t-il en souriant. Les spectateurs présents au concert ont exprimé le souhait de voir la salle Atlas renouer avec les spectacles d’antan. “Une belle salle comme celle-ci, agréablement retapée, offrant toutes les commodités, ne doit pas rester fermée. Bien au contraire, elle doit offrir régulièrement des spectacles. Surtout qu’elle est située dans un quartier populaire, le quartier le plus animé d’Alger”, relèvent-ils.
Par : Mohamed Arezki Himeur
LIBERTE
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