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La jeunesse d'Albert
20/04/2008 07:33
Bonjour ,
Albert, un Breton du terroir, un fils de paysan, né en 1934 (73 ans), nous raconte sa jeunesse, jusqu'à l'âge de 23 ans où il acheva son service militaire obligatoire en Petite Kabylie. En 1956 et 1957, cet homme bon et sensible participa contre son gré à la guerre dite de « pacification et de maintien de l'ordre », un épisode atroce qui cache bien son nom. Il est revenu dans sa belle province, la Bretagne, traumatisé par l'expérience vécue en Algérie, comme la plupart de ses camarades de régiment. Il témoigne, il nous dit ce qu'il a vécu : la dure vie dans le bled, les marches forcées sur les djebels, les ratissages du terrain, les contrôles des villages : Béni-Ourtilane, El-Maïn, Bouhamza, Freha, Djahnit, Ouled Sidi Idir, les combats, les traquenards et les atrocités perpétrées par l'un et l'autre camp. Mais aussi, cet homme pacifique, soumis aux ordres de ses supérieurs et contraint d'obéir, réprouvait dès le départ une guerre qu'il jugeait perdue d'avance - on ne lutte pas contre un peuple qui combat pour la liberté et aspire se libérer du joug de la colonisation -, et il ne cache pas sa sympathie pour les population kabyles victimes de la guerre. A ces « pauvres parmi les pauvres », les soldats français, qui avaient souvent faim et soif, prenaient encore leurs maigres réserves de nourriture, et augmentaient leur dénuement. Pendant qu'il « crapahutait » dans les djebels, et qu'il assistait, contre son gré, à des scènes pénibles, Albert fit la promesse de témoigner. Quarante huit années après son retour en France, il témoigne, mais, en son âme et conscience, il ressent toujours le poids énorme de la barbarie. Combien de jeunes du contingent, victimes de la guerre d'Algérie, ont osé témoigner ? Presque pas ! Le mal reste tapi au fond de leurs mémoires, plus insidieux qu'un serpent. Certains se sont suicidés, la plupart se sont tus, renfermant à tout jamais leurs terribles souvenirs ; ils en souffriront jusqu'à la mort. A partir du récit d'Albert, j'ai écrit un livre de témoignages Il s'intitule : « La Jeunesse d'Albert ». Ceux qui ont vu le film « Ennemi intime », apprécieront. Ce livre vient d'être édité chez LIV'EDITIONS, au Faouët. (56320) BP 15. Site du livre : http://60gp.ovh.net/~livediti/index.php?b=livre_fiche&id=247&PHPSESSID=7ce816ce120bdae70eb81102f5d7a6a6
Cordialement Marcel Gozzi
http://www.amazon.fr/gp/search/171-9485720-0715458?search-alias=stripbooks&field-author=Gozzi%2C%20Marcel http://www.amazon.fr/Souvenirs-Chien-Chien-Goz-Marzic/dp/2748171640/sr=11-1/qid=1167743870/ref=sr_11_1/402-6458333-9224944
http://www.manuscrit.com/catalogue/textes/fiche_texte.asp?idOuvrage=7579
Commentaire de Soleildevie (10/09/2008 21:58) :
Je te souhaite
des sourires quand la tristesse
t' envahit
du réconfort quand tu crois
ne pas avoir le moral
de la confiance quand tu as
des doutes
beaucoup d'amour
à donner et à recevoir
je te souhaite
une excellente semaine
MARTINE
TRES EMOUVANT A LIRE
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Autonégation ou complexe de colonisé ?
15/04/2008 21:58
Ils ont pour noms, Massinissa, Jugurtha, Juba, Gaïa. La plus part sont nés au Canada de parents berbères. Ils pratiquent le hockey, supportent les Canadiens de Montréal et adoptent, jusqu’au détail près, le comportement des enfants québécois. Ils fréquentent les restaurants de service rapide et aiment les muffins et les bagels. Inutile de leur parler de Matoub, Ait Menguellet ou Ferhat Mehenni, ils n’ont d’oreilles que pour le rock et le blues. Outre leur étonnante familiarité avec la langue française, ils se mettent à l’apprentissage de l’anglais. Leurs héros ? À peine s’ils peuvent nous livrer quelques noms kabyles. Ils connaissent Jean-Talon, Papineau, Maisonneuve, Jeanne Mance et Brébeuf mais non Abane Ramdane, Si Mohand Ou M’hand et Arezki El Bachir.
Tout semble s’être passé ailleurs que dans la terre de leurs ancêtres. Les valeurs traditionnelles qui fondent la société kabyle ? Ils ne comprennent que dalle ! Première synthèse plus au moins objective : la mémoire qu’ils apprennent n’est pas la leur, mais il y a plus grave encore : la méconnaissance de la langue berbère par ces bourgeons nés en Amérique du Nord.
Il m’arrive souvent de rencontrer des couples kabyles à Montréal. La femme autant que l’époux ont vu le jour, vécu et grandi dans les montagnes de Kabylie. Comme moi, ils ont été élevés dans cette langue kabyle qui recèle une grande charge affective. C’est cette langue qui a nourri nos passions, nos sensations et nos rêves et dans laquelle se sont libérés nos étonnements et nos premières tendresses.
J’accuse…
Aujourd’hui encore, j’imagine avec une douce affection le bonheur éprouvé par ma mère quand, nourrisson, j’ai balbutié mes premières syllabes en kabyle. Pour m’endormir, je m’en souviens, elle me racontait le conte de Tseryel, l’ogresse dont j’ignorais la morale et la dimension psychologique.
Deuxième synthèse plus au moins objective : le jeune kabyle né dans l’immigration n’a pas eu cette chance et je le plains autant que je plains ses parents.
Tout le monde sait que notre personnalité collective s’est construite autour de la langue Amazigh. Tout le reste est accroché à cet élément essentiel. L’identité berbère n’a dû son salut qu’à la tradition orale de notre peuple qui a su perpétuer sa langue dans ses splendeurs savantes et ses tournures fantastiques. Jusqu’à présent, on a pu assurer cette survivance grâce à la vigilance laborieuse de nos ancêtres.
Aujourd’hui, cette tradition est en passe d’être enterrée par ceux-là mêmes qui prétendent en être les défenseurs. Toutefois, ce qui me révolte encore davantage c’est le fait de voir un Kabyle militer dans une association pour la « promotion » de l’identité berbère, mais dont le fils ne parle pas la langue qui va avec. Décodé, ce constat se décline à peu près comme suit : « je milite pour que tamazight soit langue nationale et officielle en Algérie, mais c’est le français qui convient le mieux à mes enfants ! ». Cela nous rappelle, à bien des égards, l’attitude des dirigeants algériens : ils arabisent l’Éducation nationale tout en scolarisant leur progéniture dans les plus prestigieuses écoles occidentales !
Nul n’a le droit de détourner la mémoire de quelqu’un fut-elle celle de son fils. Circonstances aggravantes : ces mutilateurs sont justement ceux qui occupent aujourd’hui le devant de la scène.
Pour dissimuler leurs tares, certains m’accuseraient bien sûr de prêcher un « enfermement identitaire ». C’est mal comprendre mes intentions que de vouloir me prendre pour ce que je ne suis pas. D’ailleurs, je suis partisan de l’intégration, de l’ouverture aux autres cultures, du dialogue intercommunautaire, mais l’intégration ne s’accomplit pas aux dépends de sa langue et de son identité. Autrement dit, l’intégration ne se fait pas par la désintégration. Et l’apprentissage ne doit pas dénaturer l’identité dont le premier pilier est la langue.
Troisième synthèse plus au moins objective : s’ouvrir à l’Occident, sa culture, ses technologies, c’est bien, mais se redécouvrir Kabyle c’est fondamental !
Essayons d’aller, autant que faire se peut, aux origines de cette autonégation. Au-delà des contingences temporelles, il y a un refus conscient de la kabylité par… les Kabyles eux-mêmes. Je dirais même que ces pseudo militants de la cause berbère contribuent de façon agissante à la mutilation identitaire dont nous sommes victimes depuis des siècles.
Je m’explique. Au Québec, l’heure est à la réhabilitation de la langue française. J’adhère pleinement à cette démarche étant donné que c’est cette langue qui a permis aux Canadiens-Français de demeurer une communauté spécifique en Amérique du Nord. Les Amérindiens, pour sauver les débris de leur vocabulaire, se sont réfugiés dans des réserves communautaires, les Arabes, qu’ils vivent à Montréal, en Arabie-Saoudite ou en Algérie, éduquent leurs enfants dans la langue d’El Moutanabi. Les Kabyles, quant à eux, apprennent à leur progéniture la langue du pays dans lequel ils évoluent. Ainsi, ils parlent l’arabe quand ils sont nés à Blida et le français quand ils sont nés à Montréal ou Paris. Un jour on entendrait un petit kabyle né au Madagascar parler le malgache, mais pas le kabyle !
Les concernés ignorent-ils que c’est rendre un mauvais service que d’exposer leur enfant aux affres de l’aliénation ? Où se situe donc le problème ? À première vue, les Kabyles du Québec sont suffisamment instruits. Ils ne manquent ni de pédagogie ni d’éducation. Ils ne souffrent ni du complexe d’Œdipe ni du complexe de Cain, mais d’un complexe beaucoup plus dommageable : le complexe du colonisé.
Les Kabyles du Québec semblent dire à leurs enfants : « la langue berbère est un vieil habit dont il faut se départir » ou encore : « étouffez ce baragouin qui ferait le lit de votre ignorance ». Ainsi, le Kabyle, en proie à une frustration dont j’ignore l’origine, se met, de lui-même, à mutiler la langue berbère, à la cacher à ses enfants. Et cet enfant, étant convaincu que ses parents ne lui ont dissimulé qu’une identité infirme, ne se sentira à l’aise que dans la langue de l’Autre. Rien ne lui suggérera l’assurance et la fierté de ses origines. Il n’en attendra pas d’avantages et, par conséquent, il ne sera pas préparé à en assumer les charges. Quatrième et dernière synthèse plus au moins objective : je ne crois pas qu’on puisse construire la Kabylie avec une génération qui n’a rien de kabyle.
Ahmed Benchabane Journaliste, Montréal
Source :http://www.afrique-du-nord.com/article.php3?id_article=1140
Commentaire de Passionneesdelacreas (16/04/2008 13:49) :
Je suis d'accord avec le journaliste..enfin la Kabylie est si
belle,remplis d'histoires et de cultures ahlala je me demande dans
quel monde ont vis.. bisouss
http://passionneesdelacreas.vip-blog.com
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Commentaire de Tafsouth (04/05/2008 17:45) :
Tout d'abord, je vous remercie d'avoir soulever la question de la
transmission à nos enfants de cette langue tamazighth qui a pu non
seulement survivre à l'usure du temps, quand on sait qu'il y a
des centaines de langues qui disparraissent chaque decennie, mais aussi
résister à toutes les langues qui l'ont envahie jusqu'ici y
compris l'arabe qui est la langue dominante du pays.
Toute fois, il faut savoir que quand on vit hors de la kabylie le défi est
de taille. Même les enfants de ceux qui vivent dans d'autres villes
d'Algérie ne parviennent pas toujours à soutenir un intérêt pour la
langue de leurs ancêtres. Il est d'autant plus difficile pour ceux qui
sont nés outre-mer surtout s'ils ne sont pas entourés de grand-prents
avec qui ils n'ont pas le choix que de s'adresser à eux en
kabyle! Un enfant ne peut s'adresser à une même personne dans
différentes langues, il finira par se mêler alors qu'il peut apprendre
jusqu'à cinq langues s'il a la possibilité de parler ces langues
à autants de personnes. Pour s'épanouir pleinement dans une place il
est impératif de parler la langue de la place. C'est pareil pour un
enfant qui va vivre en chine, il finira par parler le madarin et c'est
tout à fait naturel. Quant à la culture, les enfants kabyle nés au Québec
écoutent la musique de leur génération excatement commes les enfants
d'Alger ou de New-York ou de Tizi mais ceci ne les empêchent pas de
connaître l'histoire de leur pays d'origine et d'y avoir un
attachement partculier. Un jour mon fils, à peine six ans, m'avait
demandé: maman si l'Algérie rentrait en guerre avec le canada, qui
dois-je défendre, mon école et mes amis ou mes cousins???
Ceci dit, j'encourage tous les parents kabyles vivant à
l'étranger de faire de leur mieux et de multiplier les efforts pour
transmettre à leurs enfants ne serait-ce que des connaissances de base de
cette belle langue que nos ancêtres ont protégé contre toutes les invasions
barbares que notre grand pays a connu à travers les siècles.
Nora Abdelli
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Commentaire de sophia (15/08/2008 04:02) :
Je ne sais pas si mon père fait un complexe de colonisé mais je sais
qu'il a souffert du rascisme...et c'est pourquoi malheureusement,
il ne nous a pas enseigné le kabyle;Je le regrette fortement car
j'aurais aimé parler cette langue en plus de la langue de molière et
de celle de shakespeare !
Amitiés
Sophia
http://sophia.vip-blog.com
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Commentaire de sheirine-sophia (02/09/2008 15:59) :
bonjour, azul, salam
je viens de lire cet article sur la langue Amazigh, mon point de vue : je
pense que chaque ethnie, tribu, se doit de perpétrer son language
(parler/écrit) ses traditions, ses coutumes, ce sont des repères importants
pour les générations futures, il faut savoir d'où l'on vient et
qui nous sommes pour pouvoir aller dans un avenir constructif, et ceci pour
toutes les origines socio-ethniques du monde entier.
Arezki permettez moi de vous souhaiter un bon mois de Ramadhan.
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Commentaire de ouvre-les-yeux (30/12/2008 13:32) :
Bonjour, je découvre ton blog, merçi pour tes jolis regard, je les trouve
réconfortants, je pense que nous sommes tous plus ou moins issus d'une
population ouvrière(pieds noirs) et il est vraie que cette notion de
double-nationalitées reste délicate, pour nos grand-parents, nos parents et
nous-même.
La chance de vivre en France, oû le mot démocratie dispose de plus de
reliefs, que le même mot algérien Démocratia.
bizarr... mais je me répète et dit: "qu'impossible n'est pas
français"
un grand Big Up de Toulouse.
http://ouvre-les-yeux.vip-blog.com
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A COEUR OUVERT : Ainsi parla Aït Menguellet
12/04/2008 05:52
Avec son naturel et sa simplicité légendaires Lounis, comme préfèrent l’appeler ses fans, révèle aux lecteurs de L’Expression quelques facettes de son long parcours d’artiste jalonné d’épreuves et de nobles combats. Ainsi est l’homme qui a marqué sa génération.
Lui, c’est Lounis Aït Menguellet, de son vrai nom Abed Ennebi. Ce chanteur qui a bercé par ses mélodies des générations entières, était l’invité de la rubrique «A coeur ouvert avec L’Expression». Irrité par ce phénomène qui gangrène la chanson algérienne en général, et la chanson kabyle en particulier, Lounis fait part de son inquiétude: «Le danger qui menace la chanson, c’est le phénomène de la reprise qui prend une ampleur inquiétante, ces dernières années», déplore-t-il, d’un ton désespéré. Loin d’être un partisan du moindre effort, cet artiste talentueux a saisi l’occasion pour lancer un SOS en direction de cette nouvelle génération d’artistes: «Assez! assez! la reprise c’est la facilité», martèle-t-il. Et de renchérir, «c’est un danger qui porte un coup terrible à la créativité». Les appréhensions exprimées par la star de la chanson kabyle sont tout à fait légitimes. Elles traduisent réellement le malaise que vit la chanson kabyle d’aujourd’hui. Notre invité appelle cette nouvelle vague à éviter de tomber dans le piège de la reproduction des chansons ayant déjà existé. Visionnaire, ce philosophe craint que la scène artistique soit prise en otage. C’est pourquoi il se met à l’avant-garde pour alerter les autres artistes. Depuis longtemps, Lounis mène une lutte sans merci contre la reproduction des chansons. «Je l’ai dénoncé haut et fort à travers la radio et la presse», a-t-il affirmé. Assurant, par là même, que la sauvegarde du patrimoine musical est un devoir. «Pourquoi reproduire une chanson qui a été déjà interprétée?» s’interroge-t-il. A quoi est dû le phénomène de la reprise? Est-ce au manque de paroliers et de compositeurs? Pour notre invité, c’est loin d’être le cas. «Il y a des paroliers et des compositeurs qui n’ont pas trouvé à qui confier leurs oeuvres», témoigne Lounis avec certitude. Hélas! Les chanteurs tombent dans le jeu des éditeurs lesquels font de la chanson un véritable fonds de commerce. «Nous menons un combat acharné contre les éditeurs», atteste ce vieux routier de la scène musicale. Cartésien dans son analyse, Lounis ne s’est pas concentré sur une seule facette de la pièce, puisqu’il ouvre une brèche en évoquant le public, pour dire ce qu’il en pense. La responsabilité n’incombe pas uniquement au chanteur, mais aussi au public. «Je ne suis pas aussi pessimiste, c’est l’écoute qui fait défaut», constate-t-il. Expert en la matière, l’invité de L’Expression reconnaît qu’il y a des chanteurs talentueux parmi la nouvelle génération qui portent le flambeau. «Je prétends et j’affirme qu’il y a de belles voix et des talents, mais les éditeurs ne sont pas là», regrette-t-il. Il citera au passage quelques artistes, à savoir Alilou, Zimou, Si Moh. Malheureusement, ils sont méconnus sur la scène artistique. Ainsi, l’écoute qui fait défaut, conjuguée à la paresse de chanteurs, et l’appât du gain facile des éditeurs ont contribué à ternir davantage la qualité du produit musical en Algérie. Voulant protéger la corporation dont il fait partie, Lounis promet d’aller jusqu’au bout pour rendre à la chanson ses lettres de noblesse. Logique dans son raisonnement, le chanteur n’est pas contre la chanson dite «spécial fête». «Cela fait partie de la vie. On ne peut pas priver le public de se défouler», explique-t-il. Cependant, il suggère de ne pas trop se focaliser sur ce créneau, car il considère que le rôle d’un chanteur est beaucoup plus éducatif. Lounis refuse que la musique soit un art vidé de son sens. La parole, la mélodie, c’est tout un ensemble indissociable qu’il faut mettre en valeur. Ainsi parle Lounis.
Nadia BENAKLI
Commentaire de Passionneesdelacreas (17/04/2008 12:03) :
Bonne journée
Sous le soleil !
Bisouss
Gros bisouss à toi Arezki ils annoncent une journée superbe
aujourd'hui j'espère que tu en profiteras..
http://passionneesdelacreas.vip-blog.com
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Taqvaylit di Tafsut
10/04/2008 05:49
Merveilleuse......fille kabyle.... Sublime,quelle intensité et quelle pureté dans ce regard..... Belle photo!!!!!!
Commentaire de Passionneesdelacreas (12/04/2008 21:07) :
Bon Samedi
Gros bisouss
Azul Arezki j'espère que tu va bien?
Superbe la photo..très jolie passe un bon samedi amitié
http://passionneesdelacreas.vip-blog.com
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Commentaire de Sheirine-Sophia (26/06/2008 15:40) :
Je suis subjuguée par son regard en effet pureté et tendresse mêlées.
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Yellis Imazighen
10/04/2008 05:45
Commentaire de Sheirine-Sophia (26/06/2008 15:42) :
C'est une découverte pour moi, ce sont des tatouages définitifs ? est
ce un maquillage avec une signification tribale ? c'est magnifiquement
et fiérement porté !
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Commentaire de le kabyle (25/07/2008 12:11) :
azul aweLtma
oui ca c le charmes de la femme kabyle SER TMURT.....
ces tatoiges sont des vrai???... meme ci c pa ca ces charmment bravo pour
cette photo......
TANMERT
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CL : Cotonsport - JSK au prochain tour
08/04/2008 02:51
La JS Kabylie, seul représentant algérien en 1/8e de finale de la Ligue des champions Africaine, affrontera les Camerounais du Cotonsport Garoua.
Pour se qualifier en phase de poules, les Kabyles devront se défaire des Camerounais du Cotonsport, que la JSK a dejà affrontés la saison passée au même stade de la compétition. Les algériens s'étaient qualifié difficilement grâce à leur victoire (2-0) au match retour à Tizi Ouzou sur un but de Hamlaoui dans les dernières minutes de la rencontre alors qu'ils avaient perdu le match aller au Cameroun (0-1). La JSK a également été éliminé par cette même équipe en 1/4 de finale de la coupe de la CAF en 2003. Cotonsport s'est qualifié en 1/8e de finale après sa large victoire devant les Nigérians de Gomba United (7-2 sur l'ensemble des deux matchs) alors qu'ils ont eu un peu plus de difficultés au premier tour face à Vital’O du Burundi (2-0).
Les Camerounais acceuilleront la JSK lors du match aller qui aura lieu entre le 25 et le 27 avril tandis que le match retour se jouera à Tizi Ouzou le 9 mai 2008.
Abdel,DZfoot.com
Photo du haut source :http://www.jeunessesportivedekabylie.com/
Commentaire de Maberouk / casanova (09/04/2008 16:38) :
cher ami(e)s je passe vous
souhaiter une bonne fin de soirée et vous dire que je vais pas être
disponible tous les jours impossible avec mon travaille j’ai finis mon
congé le lundi alors puisque mon travaille et un peut trop dur je viens
juste mon jour de repos amicalement
http://casanova.mon-vip.com
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Commentaire de Ferrah Yanis - la nouvelle republique- (15/04/2008 02:56) :
Hannachi veut jouer en nocturne contre le coton sport....
Le premier responsable de la formation de Djurdjura, Mohand Chérif Hannachi
a déclaré à la radio nationale, chaîne II, avoir pris attache avec la DJS
pour leur demander d’accélérer les travaux de réfection de l’éclairage du
stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, toujours pas finis afin que les
lampadaires soient opérationnels avant la fin de ce mois et permettre à son
équipe de recevoir en nocturne les camerounais de coton sport, pour le
compte du match retour des huitièmes de finale qui aura lieu au début du
mois de mai prochain.
Les autorités de Tizi Ouzou ont entamé dès lors une course contre la montre
afin de rendre opérationnels les fameux projecteurs ronds du stade de Tizi
http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=62825&idc=12&date_insert=20080414
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