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Hannachi dénonce «Ces voleurs qui crient au vol»
28/01/2008 02:25
Depuis quelques jours, la scène footballistique est en ébullition. A la source de cette situation, l’arbitrage. Ce dernier a même provoqué des frictions et des querelles, par presse interposée, entre certains présidents de club, entre autre celui de l’ESS, Abdelhakim Serrar, de l’USMAn, Aïssa Menadi et celui de la JSK, Moh Chérif Hannachi. Au début de cette polémique, ce dernier s’était retenu de réagir aux déclarations des deux autres présidents qui l’avaient descendu en flammes après la victoire de la JSK face à l’USMAn. Ce n’est qu’après le match de jeudi à Saïda que le premier responsable kabyle réagira en appelant tout simplement les instances régissant le football à demander des comptes à Menadi et Serrar. Contacté par nos soins, le président kabyle s’est contenté de nous dire à ce sujet brûlant : «On a accusé Hannachi d’être un voleur, moi je me demande qui est le voleur dans cette histoire. Je me demande qui a volé le NAHD ? Qui a volé aussi le MCO à Oran ? Qui a volé l’OMR ? Et enfin qui a volé le MCA vendredi dernier ? Revoyez les images de ces matches et vous comprendrez ce que je veux dire et je me contenterai de ces propos. C’est le monde à l’envers, le voleur qui crie au vol, on aura tout vu.»
«Pourquoi «El Marma» n’a pas montré notre but refusé à Saïda ?» Jeudi, à Saïda, après avoir été menée au score (2-0), la JSK a réussi à revenir à la marque grâce à un doublé de Nabil Hamani. La formation kabyle parviendra même à prendre l’avantage, mais à la grande surprise de tout le monde, le but inscrit par Lamara Douicher a été refusé pour une position de hors jeu imaginaire. Le premier responsable kabyle n’a pas réagi sur le coup. «Je suis sûr qu’il n’y avait pas de position de hors jeu, mais attendons de voir les images de la télévision pour s’en assurer», s’est-il contenté de dire après le match. Le lendemain, beaucoup ont attendu avec impatience le résumé de cette rencontre sur l’émission "El Marma", diffusée chaque vendredi soir. Finalement, cette émission n’a fait qu’attiser la colère du président de la JSK et des supporters. «Au moment de cette émission et plus précisément lorsqu’on est revenu sur le match MCS-JSK, j’étais hors de moi pour la simple raison qu’on n’a pas montré le troisième but qu’on avait inscrit et qui nous a été refusé. Je pose une question : pourquoi on n’a pas montré ce but alors qu’il aurait été plus judicieux de le faire afin de savoir s’il était valide ou non ? Cette émission aurait dû faire la lumière sur cette action litigieuse, c’est son rôle de montrer la vérité. Le fait que les responsables de cette émission ne l’ont pas fait suscite des interrogations et me conforte dans ma thèse qui veut que même à la télévision il y a des gens qui n’aiment pas la JSK à commencer par celui qui a présenté vendredi cette émission. J’exige que les images de ce but soient montrées au courant de cette semaine», dira Hannachi.
«C’est une dérive vers le régionalisme» Par ailleurs, le président kabyle est revenu sur les évènements survenus ces derniers jours. «C’est navrant ce que nous sommes en train de vivre ces derniers temps, c’est malheureux pour les instigateurs de ces déclarations incendiaires et c’est surtout malheureux pour notre football. En ce qui me concerne, ce qui est en train d’arriver est tout simplement une dérive vers le régionalisme. Comment expliquer autrement qu’un président d’un club appelle au soutien d’un autre club contre un autre club pour la simple raison qu’ils appartiennent à la même région et que le tiers club appartient à une autre région du pays, un pays constitutionnellement indivisible. Au risque de me répéter, ce qui arrive est très grave.»
«Le but de Hadj Aïssa a tout mis à nu» Jeudi, à Saïda, le plus surprenant a été le fait que les Kabyles n’ont pas rouspété après que l’arbitre assistant ait signalé une position de hors jeu imaginaire de Douicher. «J’ai moi-même insisté pour que les joueurs ne le fassent pas, moi-même je me suis retenu de le faire afin de ne pas être accusé d’être un mauvais perdant et il fallait attendre de revoir les images de la télévision pour confirmer que nous avions raison. Il est vrai que ces images n’ont pas été montrées mais un autre signe est venu tout mettre à nu. C’est ce qui s’est passé lors du match MCA-ESS et ce but inscrit pas les Sétifiens. Alors que le veille, on avait refusé un but pour une position de hors jeu imaginaire, voilà que le lendemain on accorde un but alors que son auteur était hors jeu, non pas de quelques centimètres mais de quelques mètres. Comme quoi, il y a une justice divine qui a voulu montrer que des choses pas normales se passent dans notre championnat.» Ali Hamouche
Une lettre a été adressée au DG de l’ENTV... Le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi ne s’est pas contenté de fustiger l’émission "El Marma" ; il a joint le geste à la parole en demandant à son administration de rédiger une lettre au directeur général de l’ENTV. Dans cette lettre, il sera question de critiquer la façon avec laquelle a été traité le match MCS-JSK et qui a vu l’oubli des concepteurs de cette émission de montrer le troisième but de la formation kabyle.
...et une autre au ministère de l’Intérieur Le DG de l’ENTV ne sera pas le seul destinataire d’une lettre de la part de la JSK. Le président kabyle a demandé à ce qu’un autre courrier soit adressé au ministère de l’Intérieur dans lequel il sera évoqué les appels de certaines parties au régionalisme.
La FAF et la DTNA interpellées Le président kabyle a décidé de solliciter toutes les parties au sujet des derniers événements qui ont secoué notre championnat. C’est dans cette perspective que samedi, il s’est déplacé au siège de la Fédération algérienne de football afin d’y rencontrer le président, Abdelahamid Hadadj. Il lui a demandé entre autres, de revoir les images des rencontres MCS-JSK et MCA-ESS afin de se faire une idée sur les erreurs commises par les arbitres assistants. Par ailleurs, Hannachi en a profité pour se rendre au siège de la DTNA pour rencontrer Medjiba en sa qualité de premier responsable de l’arbitrage.
Une rencontre avec le MJS Samedi, le président kabyle a multiplié les rendez-vous afin de défendre les intérêt de son club. Ainsi, après avoir rencontré le président de la FAF et celui de la DTNA, Hannachi s’est rendu à la place du 1er-Mai, plus précisément du côté du ministère de la Jeunesse et des Sports pour une entrevue avec le ministre.
Par : Ali Hamouche
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/01/26/3412868
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Lounes Matoub...
22/01/2008 03:39
Commentaire de gina (27/01/2008 20:12) :
Bonne semaine a toi et meme si je passe
pas tout les jours je pense a toi bye croquebec gina
http://gina.vip-blog.com
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Commentaire de tamtna (09/03/2008 23:58) :
tanmert chigan pour ces photos que j'ai aimé matoub tu sera pour
toujours dans ma mémoire
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Des milliers de gens y viennent se ressourcer :Le mausolée de Cix Mohand ou la Qibla des pèlerins
21/01/2008 00:43
Ce vendredi, le climat n’était plus clément en Kabylie. Un froid glacial perce l’enveloppe de brume sur les hauteurs de Michelet en cette journée de l’Achoura. Fête musulmane célébrée le 10e jour de Muharram, nous apprend Allaoua, PES dans un lycée de la région.
A At Hicham, pittoresque village perché sur une crête dominant le bas versant de la commune de Ait Yahia, juste avant Issandlan, sur la route qui mène vers Mekla en passant par Souamaa, une brise de vent chargée de pureté nous arrache du bruit des effets sonores de la musique dégagée par les baffles de la voiture.
Sur la route, une queue de voitures bloque le passage. Ils sont venus d’Alger, de Vgayet et d’autres communes limitrophes se ressourcer auprès du Cix. Trois barrages militaires sont dressés tout au long du trajet. Le coup de filet des services de sécurité, la semaine écoulée, dans la fourmilière islamiste locale appelle à plus de vigilance. A quelques encablures du dernier barrage militaire, une route délabrée nous accueille à Tissirt N-Cix, l’unique « sentier » qui mène droit vers le mausolée de Cix Mohand Ulhussin, situé à un kilomètre de la Route nationale.
En empruntant cette piste, un parcours du combattant attend les pèlerins. L’affluence massive des citoyens vers le lieu saint n’est pas nouvelle. Ils viennent implorer la baraka du Cix. Ils viennent solliciter sa protection. A peine 10 h du matin, une procession humaine composée de vieilles, de jeunes et de moins jeunes se dirigeait déjà vers les lieux.
Moumouh, architecte de formation, avec ses accents d’athée, taraudait la discussion avec ses propos blasphématoires. Il récuse même le côté moral des visites. Pour lui, les retrouvailles entre jeunes filles et garçons n’est autre qu’un moment de drague. Le système imposé par nos aïeux perd de sa rigidité devant les nouvelles technologies de la communication. Les mobiles équipés d’appareils photo, les SMS et autres gadgets s’emmêlent pour passer un message ou repérer " cette beauté claustrée ".
Plus loin encore, juste avant le mausolée, le tombeau est pris d’assaut par les gens. Femmes, enfants, vieillards et jeunes se bousculent à l’entrée. Un agraw les accueillit à l’intérieur. Les gens déposent argent et autres biens sur les « foutas », les membres de l’agraw implorent Dieu, les saints et les Walis de transcender cette « donation et offrande » en miséricorde et mansuétude. Un laps de temps de divinité, de méditation spirituelle pour des âmes blessées. Des bêtes sont offertes en offrande. La Daâwa vient en contrepartie. Les signes de souplesse de l’âme se lisaient sur les visages. Ils viennent de " rembourser " une dette auprès du saint. Les gens promettent ces donations contre des vœux exaucés, de la santé retrouvée ou la paix réapparue.
Sur la place du lieu saint, Idebalen, entourés d’une foule compacte, font la fête sous les youyous des vieilles, les déhanchements des jeunes et les regards furtifs des filles. Ces rites restés intacts depuis plusieurs siècles renseignent, on ne peut plus clairement, sur l’attachement indéfectible de la Kabylie à ses racines, sa personnalité, lesquelles traînées dans la boue de tous les prosélytismes moribonds, venus l’arracher à elle-même. Venus lui déformer une existence forgée à travers les siècles.
A Cix Muhend U lhussin
Nussa-d ak nisin
nedmaâ si ljiha-k cwit
A lvaz izedgh-an lhsin ihubi-k wahnin
daraja-k had ur Ttibwid...
Ce poème de Si Muhend, enterré à quelques encablures du mausolée au lieu dit " Asseqif n-tmana ", illustre bien la place qu’occupait le Cix dans la société kabyle. Il était une source de sagesse. Il était écouté de tous, il s’écoute encore. Sa parole est toujours lucide.
Cix Muhend, une page de notre histoire
Des paroles faites d’éléments de théologie musulmane, mais prenant racine de taqvaylit, sa langue millénaire. " Cix Mohand conjugue plusieurs fonctions d’acteur social : il est guide, médiateur, saint, témoin, porteur de connaissance-sagesse (amusnaw), instance respectée et recherchée de l’autorité, porte-parole poétique et charismatique ", disait Mohamed Arkoun. Cix Muhend n’est pas seulement cet homme au verbe sûr. Il est aussi poète. Ses paroles ornées de kabylité légendaire léguées en forme de lyrisme constituent une littérature orale transmise de bouche à oreille à travers le temps.
« Cix Mohand Oulhoucine naquit en 1838. Il mourut le 8 octobre 1901. Fils de Si Mohand Larbi. Son père était un homme modeste comme ses pairs Kabyles du début du siècle dernier », témoigne un de ses neveux rencontrés sur place. Il a vécu tous les épisodes qui ont marqué cette époque. La résistance de 1871 et autres événements majeurs du siècle dernier. « Depuis son jeune âge, il entrait à la maison accompagné de ses amis. Son père, en pauvre paysan, s’énervait contre lui, car il n’avait pas les moyens pour subvenir aux besoins de plusieurs personnes », raconte-t-il, avant d’ajouter qu’un adarwic lui disait:« Ton fils a des particularités d’un prophète ».
Cix Mohand de Taqqa était un berger durant toute sa tendre enfance. Il revenait à dos de vache au coucher du soleil, ajoute encore notre interlocuteur.
Abordant la relation du Cix avec la Révolution, le neveu de Cix Mohand Ulhussin nous apprend que les gens venaient pour être éclairés sur la situation, car il leur répondait que « les Français nous ont envahis de force, ils quitteront de la même manière ». «Il suppliait les gens d’avoir confiance en le Créateur et ne pas perdre espoir », relate le neveu âgé de pas moins de 70 ans.
Il a appris par cœur les dires du Cix. A propos de sa clairvoyance et ses prédictions, il raconte qu’un jour un richissime homme prêtait son argent contre des profits. Le malheur a fait que cet homme n’eut pas de progéniture. Un beau jour, il rend visite au Cix pour implorer son aide et charité. Le Cix lui disait, texto:
Ruh a Si Said
Ammur-ik ur innager ara
Cci aki rruh Ur Yettwaxlaf ara
Arrumi ad yarraz ur yattnejvar ara
Nek Yidek Ur n hardar ara
Avec ce poème, le Cix répondait au visiteur et à la conjoncture de la Guerre d’Indépendance.
Toujours sur la période cruciale de la guerre, notre informateur ajoute que même la date de l’Indépendance a été donnée par le Cix dans une de ses maximes et adages, car il disait que « les Français vont quitter en été avant l’automne ».
Sur ses prédictions d’avenir, Cix Mohand, le saint des At Yahia, disait: « Bwind aman d laman », littéralement, « ils ont apporté l’eau et la confiance ». Il a ajouté, en disant, « Adruhen, adawin aman adarnun laman ». « Ils vont disparaître et avec eux, l’eau et la confiance ».
« Les dates de fêtes et des zerdas sont improvisées », nous informe un autre membre organisateur. Les gens viennent dans les occasions de fêtes religieuses, mais cela n’empêche pas que le lieu est prisé tout au long de l’année, a-t-il expliqué.
Le mausolée est ouvert à longueur l’année. Des passants y viennent pour des faits liés à la croyance. « On dit que ce lieu procure santé, sagesse et autres biens pour les visiteurs », nous disait une vieille femme.
Lieux de confessions ou espaces de rencontres amoureuses ?
La discussion ne tourne que dans ce sens. « On vient voir les jeunes filles ». Cette phrase usitée en milieux de jeunes, garçons et filles comprises, donne une autre allure au pèlerinage. Les plus dévoués sollicitent les saints à leur procurer baraka, bonté et chance dans la vie. D’autres viennent « se débarrasser de la malédiction qui les bloquent ». Pour les vieux : « Epargnez-nous malédiction ô, Cix». Pour les moins jeunes, une rencontre en ce lieu peut déclencher le train amoureux de la vie, qui sait ? «Elles viennent toutes belles, éblouissantes. C’est une occasion de les voir, et pourquoi pas repérer sa future dulcinée », souligne Moussa, avec un air moqueur. La délimitation des espaces propres aux sociétés comme la nôtre est visible à vue d’œil. Femmes et hommes sont constamment séparés par une morale rigide, dont les contrevenants se corrigent par le sang. L’improvisation du lieu de rencontre est de mise. Ils sont obligés de suivre l’ordre établi et l’enfreindre par moments, mais sans froisser les sensibilités. Filles accompagnées de leurs mères, garçons adossés au mur d’en face, tout un langage visuel s‘entend entre deux sourires échangés. Des rendez-vous se fixent, des rencontres sont prévues, la sainteté du lieu bénira peut-être ces amours naissants. A la fin de la visite, le neveu du Cix nous invite à un couscous offert pour l’occasion. Il est préparé par les citoyens venus nombreux se recueillir sur le tombeau d’un éclaireur qui, jadis, était l’érudit dont toute une société n’attendait que du bien.
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=50762&ed=MTcxMw==
Par : Mohamed Mouloudj
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Modern Talking You're My Heart You're My Soul '98.
19/01/2008 06:30
I could remember my school days...80's still the best. Arezki.
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About This Video Modern Talking You're My Heart You're My Soul '... (more) Added: June 12, 2006 Modern Talking You're My Heart You're My Soul '98.
From: SpiritedWolf
This is the techno remixed vocal version of the song . The original was one of the most popular european songs back in the 80s. (less)
http://www.youtube.com/watch?v=vDB3BGquV9M
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JSK 1 - USMAn 0 : Une victoire difficile, mais tellement Bône !
19/01/2008 05:29
Stade du 1er-Novembre (Tizi Ouzou) Affluence : nombreuse Arbitres : Abdallah, Hassouna, Hedia Avertissements : Oussalah (45’), Derrag (53’), Herkat (73’); Mezaïr (14’), Fadiga (41’), Hamadou (45’, 55’), Messaoud (70’)(USMAn) Expulsion : Hamadou (55’), Zidane (90’+8)(USMAn) But : Hemani (90’+ 2, SP) (JSK)
JSK Chaouchi, Douicher (Derrag 46’), Meftah, Oussalah, Demba, Herkat, Abdeslam, Dehouche, Berramla, Athmani (Hemani 65’), Bensaïd (Saïbi 82’) Entraîneur : Saïb
USMAn Mezaïr, Zazou, Bouacida, Dellalou, Fadiga (Ouamrani 68’), Messaoud, Hamadou, Bouguerra (Fenier 78’), Swanga (Zidane 88’), Ouasti, Sbihi Entraîneur : Amrani
Comme il fallait s’y attendre, face à une équipe bien regroupée dans sa moitié du terrain, la JSK a eu du mal à manœuvrer et il lui aura fallu un penalty dans le temps additionnel pour qu’elle remporte une précieuse victoire qui lui permet de consolider sa place de leader. En début de match, la formation kabyle s’est même fait des frayeurs à la 9’ suite à une mésentente entre Chaouchi et Demba, celui-ci a failli marquer contre son camp. Ce n’est qu’à la 20’ que les Kabyles porteront le danger dans le camp adverse sur un coup franc de Berramla, Mezaïr rate sa sortie avant de se rattraper en détournant la balle des bouts des doigts. Deux minutes plus tard, Oussalah tente sa chance de loin, Mezaïr se couche pour repousser la balle avant qu’un défenseur ne dégage le cuir à l’emporte-pièce. Les Annabis répliqueront immédiatement et Messaoud profite du fait que Herkat joue mal le hors-jeu pour se présenter seul devant Chaouchi. Tout comme il y quatre jours face à Boussefiane, le gardien de but kabyle sauve son équipe d’un but tout fait. En seconde mi-temps, la domination des Kabyles s’est accentuée, mais la chance n’était pas au rendez-vous. A la 52’, sur un centre de Meftah, Bensaïd reprend la balle d’une tête plongeante, Mezaïr bien placé se saisit du cuir. Quelques minutes plus tard, Hemani tente une frappe de loin qui passe à quelques centimètres des buts alors que Mezaïr était battu. A la 62’, Demba décale Derrag qui frappe mais sa balle ricoche sur le montant gauche. Dix minutes plus tard, cette fois-ci, c’est une tête de Bensaïd qui trouve le montant droit de Mezaïr. A quelques minutes de la fin de la rencontre, Oussalah, à son tour, décoche une frappe puissante de loin. Au moment où la balle prenait le chemin des filets, un défenseur met le pied pour dévier la balle en corner. Le temps s’écoulait et les Kabyles commençaient à perdre espoir surtout lorsque le 4e arbitre leva le panneau pour indiquer quatre minutes de temps additionnel. La défense annabie, jusque-là irréprochable, vient de commettre l’irréparable. Bouacida repousse la balle de la main dans sa surface de réparation. Sans hésiter une seconde, l’arbitre désigne le point de tir de réparation. Après un bon moment d’arrêt suite aux contestations des Annabis, Hemani s’élance et tire, le ballon ricoche sur le montant et secoue les filets, scellant la victoire de la JSK.. A. A. A.
L’USMAn se présente 2 heures avant le coup d’envoi Les Annabis se sont rendus au stade du 1er-Novembre deux heures avant le coup d’envoi de la rencontre, soit à 13h. Les Kabyles, eux, ont fait leur apparition une heure plus tard.
Mezaïr et Zazou hués Deux joueurs de l’USMAn ont été pris à partie par le public kabyle. Il s’agit du gardien Mezaïr et du défenseur Zazou qui ont entendu des vertes et des pas mûres durant toute la partie.
Hannachi s’accroche avec un officier de police La nouvelle recrue de la JSK, Brahim Ziane, a été empêchée d’accéder à la main courante par les forces de l’ordre. Informé, Hannachi a délégué l’avocat du club, Berkaïne, pour régler le problème. Même en présentant sa carte de dirigeant et la licence du joueur, l’un des officiers de la police a opposé un niet catégorique. Le premier responsable du club kabyle est intervenu en personne pour faire rentrer son joueur, non sans s’accrocher violemment avec l’homme en uniforme.
Le geste de Abdeslam Un jeune supporter a enjambé le grillage pour voir de près ses favoris. Mais avant d’arriver à ses fins, il a été intercepté par les forces de l’ordre. Voyant la scène, Cherif Abdeslam a traversé tout le terrain pour «le libérer» et lui permettre de remonter tranquillement à la tribune. Un geste qui lui a valu les applaudissements du public.
Khedis et Seridi présents Mohamed Khedis s’est déplacé hier au stade du 1er- Novembre pour assister à la rencontre JSK-USMA, mais surtout pour voir éventuellement son rejeton. Malheureusement pour lui, Sid-Ahmed est resté sur le banc de touche. Mohamed Khedis a été accompagné par l’ex- international de l’ES Guelma, Mustapha Seridi. Saïb donne l’accolade à Zazou La rencontre JSK-USMAn était l’occasion pour le latéral annabi Zazou de revoir son ancien entraîneur à la JSK, Moussa Saïb. Les deux hommes se sont donné l’accolade avant l’entame du match.
Khedis parmi les 18 Le défenseur central, Sid-Ahmed Khedis a été retenu parmi les 18 joueurs qui ont affronté hier l’USM Annaba. Il n’a pas été toutefois aligné. L’ex-Nahdiste n’a pas été convoqué pour le match face à l’USM Alger.
Les supporters du MCA présents ! Une poignée de supporters du MCA ont fait le déplacement au stade du 1er-Novembre pour assister à la rencontre JSK-USMAn, au moment où les Mouloudéens donnaient la réplique à l’ASO à Chlef. Pour ce groupe qui a fait le déplacement d’Alger, la JSK est leur seconde équipe surtout que le MCA est mal en point.
Les Kabyles changent de banc Les Kabyles ont été obligés de changer de banc de touche hier. Occupés par les visiteurs, les remplaçants de la JSK ont dû céder leur banc habituel et ont pris place sur celui qui est généralement réservé pour les équipes visiteuses. Pour rappel, les Usmistes ont fait de même lundi passé, mais ces derniers ont été priés de changer le banc.
Ziane s’est entraîné avec les convoqués Les joueurs retenus pour le match d’hier se sont entraînés jeudi matin. Brahim Ziane, non concerné par le match, a participé à ladite séance. Djabelkheïr et Frioua boudent Afin de combler une éventuelle défection le jour du match, Amrani a décidé de retenir deux autres joueurs, Djabelkheïr et Frioua. Ne voulant pas tenir le rôle de «roue de secours», ils ont carrément refusé de faire le déplacement. Un geste qui n’a pas plu à leur entraîneur qui a transmis son rapport à l’administration pour prendre les mesures nécessaires.
Hamouda sacrifié Nabil Hamouda n’a pas été retenu pour cette rencontre face à l’USMAn, alors qu’il était sur le banc lundi passé lors du match JSK-USMA. Il a cédé sa place à Sid-Ahmed Khedis.
Mazari, deuxième gardien Contrairement à la première rencontre de la phase retour, c’est Nabil Mazari qui a été choisi pour seconder Fouzi Chaouchi.
Hamadou bien accueilli Yacine Hamadou semble connaître tout le monde à la JSK. En effet, avant le début de la rencontre, l’ex-Mouloudéen a embrassé tous les joueurs de la JSK ainsi que le staff technique.
L’attaque rénovée L’entraîneur de la JSK a opté pour un nouveau trio d’attaque pour ce match face à l’USMAn. Hemani, Amaouche et Derrag, alignés d’entrée lundi passé face à l’USMA, ont cédé leur place à Athmani, Bensaïd et Oussalah. Ce dernier a seulement changé de poste puisqu’il a joué en tant qu’arrière gauche contre les Rouge et Noir.
Mezaïr et Zidane agressent l’arbitre Déçus par l’issue du match, mais surtout par la décision de l’arbitre d’accorder un penalty aux Kabyles aux ultimes moments, les deux joueurs de la l’USMAn, Mezaïr et Zidane, n’ont trouvé mieux que d’agresser M. Abdallah, le directeur de jeu. D’ailleurs, cela a valu a Zidane son expulsion..
Les annabis saccagent le vestiaire Dans un mouvement de colère, les annabis n’ont pas trouvé mieux a faire que de s’en prendre au vestiaire en cassant les miroirs qui s’y trouvent.
Bouacida l’exemple S’il y a bien un jouer a saluer côté annabi, c’est bien Kamel Bouacida. En plus de faire de faire-play sur le terrain, ce dernier n’a pas cessé d’exhorter ses coéquipiers au calme après le match. Il fera mieux en allant voir des responsables du stade pour s’excuser des dégâts occasionnés par ses coéquipiers à l’intérieur du vestiaire.
Par : LE BUTEUR
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D1 : La JS Kabylie donne le ton...
15/01/2008 05:05
Le championnat est reparti à fière allure lundi après-midi.
Le choc entre la JS Kabylie et l’USM Alger a vu le leader s’imposer à domicile (1-0) grâce à un but de Yacine Amaouche en seconde période
Seule l’Entente de Sétif continue à suivre le rythme infernal imposé par la JSK.
> Video Les matchs de la journée
USM Alger 0-1JS Kabylie Plus que le score, c'est l'image du football qui en ressort gagnant.
Les deux équipes ont été appliquées dans leur rôle du jour, la JSK déterminée à convaincre ses supporters de sa supériorité cette saison devra remercier l’opportuniste Amaouche qui a marqué l’unique but du match à la 53e minute, suite à un ballon relâché par Chouih. Quant à l’USMA, très défensive, elle s’en tire pas mal grâce à la tactique protectrice de Fergani qui a failli marcher.
Jusqu’à son remplacement par Athmani à la 58e, Derrag aura fait lever plus d’une fois les travées du stade du 1er Novembre qui n’a pas arrêté de soutenir les siens. Les Canaris ont pris le match en mains dès l’entame, à l’image d’un Amaouche très studieux et d’un Demba qui a fait un travail impeccable en défense et est venu placer sa tête à trois reprises sur corners.
Ammar Amour a démontré qu’il était un joueur important du championnat, par ses passes, ses centres et sa vision du jeu, Boussoufiane aurait pu égaliser à la 83e suite à une passe lumineuse d’un Achiou qui aura traversé tout le terrain, son tir a été bloqué par un Chaouchi qui n’a pas été grandement inquiété dans cette partie.
Dans un match à l’esprit bon enfant, c’est la tactique de Saïb qui aura pris le dessus sur celle de Fergani, son ancien mentor. C’est la fête à Tizi-Ouzou, la JSK écarte l’USMA à 8 points de la place de leader mais pas dans la course au titre car nous sommes qu’à 14 journées de la fin. Des matchs comme ça, on en redemande !
par : Nabil A-O
Quelques minutes après la rencontre, un des artisans de la victoire de la JSK et auteur de l’unique but de la rencontre, Yacine Amaouche, livre ses impressions à chaud : « Je crois que la JSK mérite amplement sa victoire car elle a dominé toute la partie. Nous étions hyper motivés pour ce match là, nous l'avons préparé pendant notre stage à Alger et le coach a su nous motiver au cours de la semaine. On a évité de jouer le match à l’avance. Nous étions concentrés car conscients de ce qui nous attendait. L’USMA est un adversaire de gros calibre, on a fait plaisir a nos supporters mais le plus gros reste a faire. Quant à moi je suis satisfait de ma prestation et comme promis j’ai réédité le coup de 2002. »
Recueillis par Ouali Kardache DZfoot.com
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Chants du monde .
12/01/2008 06:26
IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI....
Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement celui qui devient esclave de l'habitude refaisant tous les jours les mêmes chemins, celui qui ne change jamais de repère, Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant!
Risque-toi aujourd'hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement!
Ne te prive pas d'être heureux!
Pablo Neruda "Prix Nobel de Littérature 1971"
Source : http://www.blog.ma/ikan/Chants-du-monde_r5.html
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