Nos cœurs battent pour la JSK et le « Jaune et Vert » circule dans nos veines.
Trouver les mots lorsqu’il s’agit de parler de la JSK n’est pas du tout une tâche aisée tellement l’émotion est intense dés la prononciation de ces trois magiques lettres à l’ordre si fabuleux qui sont J, S et K. Aucun ouvrage, j’en suis persuadé, ne peut fournir un fort synonyme à ce grand amour qui nous lie, tous et pour l’éternité, à notre emblématique club : la Jeunesse Sportive de Kabylie.
Cependant, je me permets au moins de dire que la JSK ne s’est pas faite en un jour ni en un match. Depuis sa création, le sport est roi à la JSK par ses hommes qu‘ils soient dirigeants, athlètes ou supporters. Grâce à tous, d’innombrables étoiles jaune et vert ornent le ciel et de nouvelles le feront sans doute scintiller davantage par l’esprit du sacrifice et de l’honneur hérités de nos vaillants aînés. Aussi, les choses ne cessent d’évoluer d’un siècle à l’autre et ce site Internet est justement une autre précieuse pierre à l’édifice JSK dont le standing tant national qu’international n’est plus à présenter. L’occasion de l’inauguration de cet outil moderne se présente donc à moi pour rendre un vibrant hommage à ceux qui ont fait la JSK d’hier, une vive reconnaissance à ceux qui font la JSK d’aujourd’hui et une éternelle salutation par anticipation à tous ceux qui feront la JSK de demain
salut a tous moi c dalila de boumerdes et je vous cache pas que je suis une
grande fan de la JSK c est mon equipe favirite .aussi j adore le kipper
Chaouchi Faouzi .svp svp si vous pouvez m'envoyer ses phots???? je
vous remerci;...; sur mon e mail
lady-doddy23@hotmail.com
bisou
Il a négocié sans concession l’Indépendance de l’Algérie, qui a mis fin au mythe de l’Algérie française.
20 mai 1961, il est près de 11h du matin. Le soleil s’est déjà levé sur la ville d’Evian, en Suisse. L’hôtel du Parc reçoit les deux délégations algérienne et française. Il s’agit de mettre fin à une colonisation féroce qui a duré plus de 130 ans. Les négociations peuvent commencer, mais sans témoin. Que veut-on cacher au monde? Cette plaie béante qui s’appelle Algérie, solidement accrochée et tatouée au fronton de la patrie des droits de l’homme? Ou bien, tout simplement, la détermination farouche d’indépendance d’une poignée de jeunes Algériens emmenés par celui que l’on surnomma «le Lion des djebels»? A ce moment-là, personne ne savait que le sort du mythe de l’Algérie française était désormais définitivement scellé. L’homme qui préside la délégation algérienne, est entouré de compagnons de lutte, jeunes et brillants. Krim Belkacem et son équipe, composée de Mohamed Seddik Benyahia, Réda Malek, Tayeb Boulahrouf, Ahmed Boumendjel, Saâd Dahlab et Ahmed Francis, ne cèderont pas d’un pouce. Krim Belkacem annonce la couleur, il sera sans concession. Il va en découdre avec l’ennemi, mais en terrain neutre. «Le problème pour lequel on est ici réunis est celui de la décolonisation totale de l’Algérie, de la disparition d’un système périmé et de l’accession de notre peuple à l’indépendance.» Le message est clair. Le coup de grâce est annoncé. Krim Belkacem et ses compagnons porteront l’estocade. Le coup de grâce sera donné le 18 mars 1962. L’arrêt des combats est ordonné le 19 mars 1962. L’empire colonial français a mis un genou à terre. Il sera définitivement terrassé le 5 juillet 1962. Après la proclamation de l’indépendance en Algérie, Krim Belkacem a mené les négociations qui ont abouti aux Accords d’Evian du début jusqu’à la fin. Elles auront duré dix mois presque, jour pour jour, marquant la patience d’un homme qui aura tenu le maquis près de dix ans avant le déclenchement de la guerre de Libération nationale, le 1er Novembre 1954. Il aura incarné à lui seul toutes les fièvres et les soubresauts qui auront jalonné le Mouvement de libération nationale, et particulièrement de l’une de ses étapes, la fin du PPA-MTLD et la chute de son chef historique, Messali Hadj. Héros de la guerre de Libération nationale, Krim Belkacem, «Si Rabah», n’en constitue pas moins un des «mythes» de l’un des plus fabuleux combats menés pour la liberté et contre le colonialisme français. Il s’est dressé en rempart contre l’humiliation, la spoliation et les crimes commis par l’armée coloniale française. Dans cette fierté et cette dignité qui caractérisent ces hommes des montagnes, ces Amazighs, ces hommes libres. Guerrier infatigable, il était toujours prêt à livrer bataille jusqu’à la dernière goutte de son sang. Il était à l’image de ce peuple fier: un descendant direct de Jugurtha. Né à Draâ El Mizan un 14 décembre 1922, il fréquenta l’école Sarrouy à Alger où il décrocha son certificat d’études primaires. Une performance pour un musulman, à l’époque. Krim Belkacem serait cependant cet homme qui a trempé dans la Révolution dans le ventre de sa mère. Il est animé très tôt d’idées révolutionnaires. Dès 1945, il adhère au Parti du peuple algérien, le PPA. En 1947, il est convaincu que seule la révolution, la lutte armée peut mener à la liberté. Dès lors, il prendra le maquis où il organise et forme des groupes militaires. Il sera en avance de sept années sur le 1er Novembre 1954. Un chiffre prémonitoire, puisque la guerre de Libération durera sept ans. Il dominera le FLN-ALN en 1958-1959 en tant que ministre des Forces armées. Il sera à la tête du ministère des Affaires étrangères et de celui de l’Intérieur au sein du Gpra, le Gouvernement provisoire de la République algérienne, entre 1960 et 1961. Paradoxalement, le rôle prépondérant qu’il joue à l’époque déclinera au moment même où il entamera les négociations d’Evian. Il sera retrouvé assassiné au mois d’octobre 1970 dans une chambre d’hôtel à Francfort. Sa vie, à elle seule, est un foisonnement d’espoirs et de désillusions qui ont mené l’Algérie à la liberté. Il aura donné au centuple, à une patrie martyrisée, pour qu’elle retrouve sa dignité. Elle ne le lui a rendu que mesquinement.
Champion’s League ...JSK 3 - 0 ASCL : Début tonitruant !
22/03/2008 00:14
Fiche technique: Stade 1er novembre à Tizi ouzou, affluence record, pelouse en bonne état, temps ensoleillé, Arbitrage du trio Libyen Mbia Djamel, assisté par Triki Abdelhafidh et Maghribi Fouad. Commissaire du match : Boubaccar Diara (Mali).
ASCL : Dauda, Zakari, Gariba, Baffoe, Addy (Quaye 48’), Assamoah, Adu Poku, Wakasso, Mensah, Owusu, Stephan .A Ent : David Duncan
Analyse
3 - 0
Vendredi 21 Mars -16h00 Champion’s League Au stade du 1er Novembre Tizi Ouzou
L’entrée en lice des lions du Djurdjura dans la plus prestigieuse des compétitions Africaines qu’est la champion’s league, a été tonitruante et prolifique en buts. Les jaune et vert pouvaient même l’emporter avec un score plus lourd. Cependant, un 3 à 0 est déjà un résultat assez sécurisant en prévision de la manche retour. Les camarades de Abdeslam ont débuté tambour battant la première mi-temps. Pousser dés le départ et avec intensité l’adversaire dans ses derniers retranchements est semble-t-il, la première consigne donnée par Saïb à ses poulains pour bousculer un Ashanti Gold sur lequel on ne connaissait pas grand-chose. Une stratégie qui s’est avérée très payante puisqu’en réponse à un premier essai de Wakasso, l’attaque Kabyle a mis vite de la pression sur la défense adverse et c’est le but, un premier. C’était à la 3’. Amaouche qui déborde sur l’aile droite et qui tire dans le paquet obligeant Baffoe de marquer contre son camp. Les Kabyles ne se sont pas arrêtés là. Ils ont continué à pousser avec une incroyable détermination et c’est le deuxième but quelques minutes plus tard. C’était à la 10’. Meftah qui dédouble à droite et qui centre instantanément sur Berramla qui tire en course. Le gardien repousse dans les pieds d’un Hemani bien placé pour mettre tranquillement le ballon au fond des filets. Le buteur-maison des jaune et vert avait bien promis de retrouver le chemin des filets à l’occasion de cette compétition et voilà que c’est fait ! Les ghanéens ont tenté quelques incursions dans le périmètre de Chaouchi par Seffaf particulièrement, mais le dernier rempart Kabyle veillait au grain. Lors du dernier quart d’heure, le jeu s’est concentré au milieu de terrain. Kheddis and co ont admirablement géré un acquis assez appréciable pour une première mi-temps en attendant de recharger les batteries à la pause-citron. De retour de celle-ci justement, les jaune et vert ont, comme en première mi-temps, inquiété dès l’entame le gardien Dauda qui a eu à intervenir à plusieurs fois pour faire éviter le naufrage à son équipe particulièrement aux 51’,66’,82 et 84’ sur les essais de Meftah, Berramla et du rentrant Wassiou. Un keeper qui n’a pas pu empêcher son équipe d’encaisser un troisième but à la 53’ signé par le très remuant Hemani qui a inscrit un doublé. Chaouchi par contre, n’a pas eu vraiment fort à faire durant ce deuxième half mis à part son intervention à la 65’ sur un essai de Tefler. La rentrée de Wassiou dans le dernier quart d’heure à la place de Berremla, a donné beaucoup de punch à l’attaque qui pouvait rajouter facilement au moins un ou deux buts dans les derniers instants de la partie. En résumé, les kabyles ont bien négocié cette première manche. Leur promesse de se racheter auprès des supporters après la déconvenue de Tlemcen a été tenue. Une autre promesse est déjà faite pour le prochain match de championnat face à l’ASO à Tizi-Ouzou. Le Rendez-vous est donc donné à tous les fans dans moins de 10 jours.
Med.B
Film du match :
1ère période
3’ Amaouche déborde sur le flanc droit et tire, et Baffoe qui marque contre son camp. 5 ’Dehouche centre vers Meftah et Sefaf qui dégage. 6’ Meftah prend de vitesse son vis à vis et centre, Seffaf qui intervient et qui dégage en corner. 8’ Amaouche sert Hemani, ce dernier tire mais dans les bras de Dauda. 10’ Berramla mène une contre attaque et lance Meftah, ce dernier centre au point de penalty, Berramla suit l’action et tire en course, le portier Ghanéen dévie vers Hemani qui ne trouve aucun souci pour inscrire le second but. 12’ Seffaf lance une contre attaque et centre dans la surface de réparation et Chaouchi qui intervient à temps. 13’ Une-deux entre Amaouche et Meftah, ce dernier centre et Dauda qui s’illustre dans les airs. 14’ Tir de loin de Abdeslam mais contré par Baffoe. 14’ Gariba qui tente sa chance de loin mais sans succès. 16’ Berramla botte un corner, Coulibaly qui essaye d’ajuster la tête mais sans résultat. 19’ Asamoah dribble Meftah et se retrouve face à Chaouchi. Sortie efficace du portier Kabyle. 24’ Centre d’Amaouche, Bensaid qui reprend d’une tête mais sans résultat. 26’Corner botté par Addy et Telfer qui reprend d’un tir. Un bolide qui passe loin de la cage de Chaouchi. 31’ Coup franc des trente mètres tiré par Berramla. Non cadré. 34’ Hemani reprend de la tête un joli centre de Berremal mais Mensah intervient à temps. 42’ Tir des 30mètres de Berramla, le ballon passe à côté du poteau. 43’ Joli tir à ras de terre d’Amaouche et Dauda qui s’illustre. 45’Coup franc botté par Baffoe que Chaouchi intercepte. 46’ Bensaïd essaye de concrétiser de la tête sur un essai de Abdeslam mais sans succès.
2nde période
50’ Stephan se retrouve face à Chaouchi, ce dernier qui s’interpose. 51’ Meftah bien placé essaye de tromper Dauda qui dévie en corner. 53’Aidé par une mésentente entre Dauda et Mensah, Hemani qui parvient à inscrire le troisième but. 59’ Tir des 20 mètres de Wakasso et Coulibaly qui dégage. 59’ Centre de Berramla et c’est Gariba qui intervient pour dégager en corner. 65’ Tefler qui tire en puissance mais dans les bras de Chaouchi. 66’ Douicher centre vers Meftah et Dauda qui s’illustre. 67’ Tefler tire puissamment des 40 mètres mais ça passe à côté. 67’ Centre d’Amaouche et Derrag qui d’un geste acrobatique rate de peu le cadre. 69’ Joli centre de Seffaf et Coulibaly qui s’interpose avec force. 72’Wakasso botte un coup franc sur le côté droit et Chaouchi qui intercepte d’une belle détente. 73’ Tir des 25 mètres de Amaouche sans résultat. 74’ Wassako qui tente sa chance des 30 mètres sans résultat. 75’ Une-deux entre Wassiou et Berramla dans la surface de réparation et Gariba qui dégage en catastrophe. 80’ Baffoe qui dégage en corner sur un corner de Derrag.
Zidane : Le Brésil rappelle à Zidane sa Kabylie natale
20/03/2008 00:04
Zinédine Zidane a visité une favela dans la banlieue de Sao Paulo, au Brésil, dimanche où il a disputé un match de bienfaisance et parié sur le rétablissement de son ancien coéquipier brésilien du Real Madrid, Ronaldo (aujourd'hui AC Milan). Vêtu d'un maillot vert et jaune aux couleurs du Brésil, Zidane a inauguré un terrain de football dans la favela d'Heliopolis, la plus grande de Sao Paulo avec 120.000 habitants. «C'est un peu comme l'endroit où j'ai grandi. Cela me rappelle des images de ma jeunesse. C'est une réalité difficile», a dit Zidane à la presse après avoir signé des autographes à de jeunes admirateurs. Zidane a eu des paroles d'encouragement pour l'attaquant de l'AC Milan Ronaldo, son ex-compagnon au Real Madrid, opéré en février d'une rupture totale du tendon au genou gauche : «Ronaldo a déjà prouvé en 2002 qu'il pouvait faire des choses difficiles comme recommencer à jouer et être le meilleur buteur de la Coupe du monde. C'est pour cela qu'on le surnomme le "Phénomène"», a dit Zidane au cours d'une brève conférence de presse où il a parié sur son «rétablissement».
En le rencontrant hier à l’issue de la séance d’entraînement, Moussa Saïb ne pouvait pas cacher sa déception par rapport à tout ce qui se passe à l’intérieur même de son groupe. D’ailleurs, dans notre édition d’hier, l’entraîneur kabyle n’a pas manqué de tirer la sonnette d’alarme et vu que le temps était court nous nous sommes fait la promesse de revenir avec plus en détails sur ce qu’il pensait de la situation actuelle. Le lendemain, l’entraîneur kabyle n’avait pas changé d’un iota son discours car, pour lui, il n’a rien dit de grave, mais il a simplement décidé de mettre chacun devant ses responsabilités et cela dans l’intérêt de l’équipe. Mais on ne pouvait pas s’empêcher de poser à Saïb la question qui s’imposait d’elle-même : Ses déclarations ne vont-elles pas perturber le groupe et n’a-t-il pas peur qu’elles soient assimilées à une tentative de déstabilisation à la veille d’un match important (en l’occurrence le match aller de la Ligue des champions face aux Ghanéens de l’Ashanti Gold) ? "Non", rétorqua immédiatement le coach kabyle. "Il est préférable de crever l’abcès maintenant que lorsqu’il sera trop tard. Je préfère en parler actuellement pour tenter de recoller les morceaux plutôt qu’à l’issue de la saison où chacun sera préoccupé à faire autre chose ; et à la reprise, ces mêmes problèmes seront encore là. Si je parle, c’est pour sensibiliser tout le monde et mettre chacun devant ses responsabilités, j’en ai marre de me taire et de passer sous silence certaines choses. Si on laisse les choses traîner, soyez sûr qu’un jour tout va exploser", dira Saïb avant d’évoquer plusieurs points.
«Le danger est venu finalement de l’intérieur» «Nous sommes premiers au classement à six matches de la fin du championnat avec sept points d’avance, mais rien ne donne cette impression. Au lieu que les joueurs se concentrent sur le championnat et redoublent d’effort en cette fin de saison, ils trouvent le moyens de déstabiliser le groupe en s’occupant de faux problèmes. Au départ, j’avais une crainte que les perturbations viennent de l’extérieur, mais à ma grande surprise le danger est venu de l’intérieur.»
«Les joueurs doivent changer d’attitude» «En prenant en main l’équipe, je pensais trouver des joueurs adultes et responsables, surtout que la plupart sont des pères de famille. De ce fait, je ne vais pas jouer le rôle du policier en disant ne fait pas cela, ne fais pas ceci». J’ai été correct avec eux, vu que j’étais moi-même joueur, je les respecte mais apparemment cela n’est pas la bonne solution. Les joueurs ne travaillent pas assez, certains ne manquent pas une occasion pour tricher. Est-ce normal que pour un déplacement, un joueur arrive en retard à l’aéroport... Pas plus tard qu’hier un gardien de but n’a pas trouvé mieux que de critiquer son entraîneur. A ma connaissance, un joueur vient à l’entraînement pour travailler, non pour chercher à savoir s’il jouera ou pas. Je suis peut-être le seul entraîneur qui fait tourner au maximum son effectif et cela afin de permettre à tout le monde de jouer, je peux me contenter d’appliquer l’adage qui veut qu’on ne change pas une équipe qui gagne, mais je ne l’ai pas fais car j’ai besoin que tous les joueurs se tiennent prêts à jouer.»
«Voilà pourquoi je ne fais pas jouer souvent Bensaïd et Derrag» «Croyez moi, j’en ai marre de m’entendre dire pourquoi je n’ai pas fait jouer x ou y. Les gens oublient que chaque match a son caractère et tout dépend de l’adversaire. Les critiques concernent par exemple Bensaïd , donc permettez-moi d’expliquer une fois pour toutes la raison qui fait que je ne le fais pas jouer souvent. Je ne dis pas que Bensaïd n’est pas un bon joueur, bien au contraire. L’entrée de cet élément correspond à la tactique de jeu que j’adopte, si je joue en 4-3-3, j’opte pour Hemani pour la simple raison que Hemani pivote, bouge beaucoup, il est à gauche et à droite alors que Bensaïd est fait pour le 4-4-2. Pour Dérrag, ce joueur ne peut tenir sur le terrain que 20’, il doit donc travailler encore plus à l’entraînement. Avec ces critiques à tort et à travers, les supporters ne nous aident pas.»
«Aucun écart disciplinaire ne sera toléré à l’avenir» «Je pense que nous avons fauté en nous montrant gentil avec les joueurs, nous avons fermé les yeux sur beaucoup d’écarts disciplinaires. Si nous avions sévi avec plus de fermeté, on n’en serait pas arrivés là. Mais dorénavant, celui qui fautera le payera cash».
«Ceux qui ont insulté Abdeslam sont jaloux de lui» «Je ne vous cache pas que certains supporters ne jouent pas le jeu, ce n’est pas en insultant les joueurs qu’ils vont les encourager. Je ne comprends pas pourquoi ils s’en sont pris à Abdeslam, c’est certainement par jalousie car il n’y a aucune raison pour le faire, d’autant plus que ce joueur est connu pour être un élément qui se donne toujours à fond et qui mouille son maillot. En plus de cela, ce n’est pas en l’insultant qu’on va le pousser à renouveler son contrat, avec un tel comportement il peut songer à partir. Ce que je trouve dégoûtant est qu’on l’a appelé à son domicile ; à sa place je ne l’aurais pas supporté. C’est dommage qu’on en soit arrivé là, les supporters doivent encourager leur équipe et ne pas tomber dans le piège des manipulateurs.»
«Je n’accepterai pas qu’un supporter m’insulte» «Le jour du match, c’est les joueurs qui sont sur le terrain, pas l’entraîneur ; ce n’est pas à lui de mettre la balle au fond des filets ou de défendre, mais chaque fois qu’il y a un échec on s’en prend à moi. Je n’accepte pas qu’une personne sans aucun niveau vienne m’insulter et me traiter de tous les noms.»
«J’ai une équipe tout juste moyenne» «Au lendemain de la rencontre face à l’OMR, lorsque j’avais déclaré que notre adversaire avait un meilleur effectif que le nôtre, c’est la réalité. A certains moments, je n’avais aucun choix, je devais faire avec les moyens du bord. Sur certains postes, si celui qui joue habituellement se blesse, il n’y a aucune doublure pour le remplacer. Ce qui a fait notre force est cette concurrence entre les joueurs, donc chacun d’eux donne le meilleur de lui-même lorsqu’il est sur le terrain.»
«Avec 14 joueurs en fin de contrat, ça craint» «Notre effectif compte 14 joueurs qui sont en fin de contrat, je pense qu’il est impératif de commencer à faire signer les joueurs qu’on veut garder, non par rapport au championnat mais par rapport à la Ligue des champions africaine. Si on se qualifie pour la phase des poules, on ne pourra recruter que 5 joueurs seulement, donc vous pouvez imaginer si on ne garde aucun des 14 éléments qui sont en fin de contrat ! Avec quelle équipe on affrontera les autres formations à ce stade de la compétition. Il est donc urgent de garder notre ossature pour aborder dans les meilleurs conditions cette compétition.»
«Je ne suis pas là pour gérer les humeurs» «Moi, ma mission se limite au terrain, je suis là pour travailler avec les joueurs, leur apprendre certaines choses, je ne suis pas là pour gérer les humeurs de X ou de Y et je suis pas dans l’obligation de changer ma façon de faire en fonction des mentalités des uns et des autres. Je crois que j’ai affaire à des adultes, à eux de faire correctement leur travail, sinon qu’ils partent»
«Si ça continue ainsi, je partirai» «Enfin, je réitère ce que j’avais déclaré il y a quelque mois, à savoir que si la situation ne s’améliore pas et que les choses ne vont pas dans le bon sens, je partirai car, sincèrement, je ne peux pas travailler dans des conditions pareilles. Moi j’assume pleinement mes responsabilités, aux autres d’en faire de même.» A. H
Á l’occasion des 1/16èmes de finale de la Champion’s league Africaine, la
Jeunesse Sportive de Kabylie retrouvera une ambiance qui ne lui est pas du
tout étrangère, celle de la plus prestigieuse des compétitions du vieux
continent qu’est la Champion’s league.
Exemptés au premier tour, les lions du Djurdjura vont effectivement
affronter, ce vendredi à Tizi-Ouzou en match aller, l’équipe Ghanéenne de
l’Ashanti Gold dans un match qui s’annonce des plus intéressants entre deux
écoles au football très technique et emballant à la fois.
Même s’il est de création plus ou moins récente, l’adversaire des canaris
est parvenu à titiller à trois reprises la hiérarchie du championnat
Ghanéen en prenant le dessus sur les solides formations de l’Ashanti Kotoko
et de Hearths of AOK. Des équipes qui, par le passé, ont à chaque fois subi
le diktat des protégés de Hannachi. L’ascendant psychologique ne peut être
donc que du coté des jaune et vert puisque le football Ghanéen a toujours
réussi aux Kabyles, mais pour passer ce cap qui ouvrira les portes pour le
dernier tour qualificatif pour les poules, il faut que les camarades de
Abdeslam fassent preuve de beaucoup de métier et de lucidité sur le
terrain. Les lions du Djurdjura sont pratiquement condamnés à rugir et
sortir leurs griffes pour faire plier une équipe Ghanéenne qui ne se
déplacera certainement pas à la ville des genêts pour faire du tourisme
bien au contraire, car elle essayera sans doute de faire douter la JSK chez
elle.
Le coach Saïb est conscient de la tâche qui l’attend en pareilles
circonstances car en homme averti, il sait combien il est important voire
nécessaire de négocier confortablement les matchs chez soi afin de se
prémunir de toute mauvaise surprise au match retour. Des surprises
difficilement gérables comme par exemple celles liées au mauvais
arbitrage.
Pour ce, le staff s’est attelé cette semaine à préparer l’équipe plus
particulièrement sur le plan psychologique, surtout que les joueurs ont
semblé euphoriques ces derniers temps et moins concentrés sur leurs sujets
au point où ils sont passés vraiment à côté de la plaque lors du dernier
déplacement à Tlemcen en championnat. Une contre performance pour ne pas
dire une aubaine pour voir réagir la Direction Kabyle et intervenir d’une
façon alliant rigueur et intransigeance.
La récente et très sévère intervention de Hannachi a effectivement fait
descendre les joueurs sur terre. Le boss Kabyle a sérieusement secoué le
cocotier et les joueurs ont vite mesuré l’ampleur des dégâts que peut
causer un quelconque relâchement de leurs part à quelques semaines de la
fin du championnat qui coïncident justement avec l’entrée en lice de
l’équipe en Compétition Africaine. Hannachi a tenu donc à rappeler et de
façon ferme les objectifs du club pour cette saison à savoir le titre de
champion et une excellente participation en Champion’s league. Désormais,
nul n’a le droit à l’erreur.
Les joueurs promettent de faire du match de vendredi celui du rachat d’une
part et ce par rapport à leur dernière piètre prestation en championnat et
d’autre part, celui d’une fracassante entrée en Champion’s league. Une
double volonté qui renseigne sur la détermination des joueurs de réaliser
le bon match, celui qu’il faut sur tous les plans. Tout le monde est
conscient que marquer le maximum de buts sans en encaisser est le sésame
pour passer avec tranquillité ce tour.
Il est vrai que Saïb doit se passer pour cette première manche de un à deux
éléments car convalescents toutefois, il peut aisément compter sur la
richesse de l’effectif dont la plupart ne sont pas à leur première aventure
Africaine.
En résumé, toutes les données plaident en faveur de Hemani and Co pour
faire le plein à Tizi et les joueurs peuvent d’ores et déjà compter sur un
formidable public qui sans doute remplira toutes les tribunes d’un stade
qui vibrera de nouveau et comme de coutume au rythme et au charme
particulier de la compétition continentale. A nous l’Afrique !
Commentaire de Maberouk / casanova (19/03/2008 16:54) :
Message A ME RENVOYER Si tu pense avoir de vrai amis, envoie leur ses
citations et renvoie les a celui qui te les a envoyer si tu pense
qu'il est ton ami. La vraie amitié est comme un roseau: elle se plie
mais ne se casse jamais. Avec un ami à ses côtés, aucune route ne semble
trop longue. Le respect est le lien de l'amitié. Les amis sont comme
des anges qui nous remettent en position quand nos ailes ne se souviennent
plus comment voler. Mieux vaut perdre un peu d'argent qu'un peu
d'amitié. Votre véritable ami est celui qui ne vous passe rien et qui
vous pardonne tout. Je trouve cette chaîne de l'amitié très belle
alors je fais suivre à ceux que j'aime.................bisous
azul arezki je passe vous souhaiter bon féte desoler pour le retard
JSK 3 - Ashanti 0 : Les Kabyles rassurent avant la 2e manche******
Les Jaune et Vert ont fait un grand pas vers la qualification en s’imposant
hier par trois buts à zéro devant le représentant du Ghana. Ils auraient pu
l’emporter par un score plus large s’ils avaient concrétisé toutes les
occasions créées. Ils ont fait un match plein et ils ont fait plaisir à
leurs nombreux supporters qui étaient venus en grand nombre les soutenir.