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Tafsut Imazighen (Printemps berbère à Montréal)
24/03/2007 02:23
samedi 14 avril 2007 à 19h30 - ABC: Malika Domrane et Lounas Kheloui en spectacle A la cité des mille couleurs, le printemps de l'espoir sera célébré au rythme des fleurons de la résistance culturelle: Malika Domrane, Lounas Kheloui. Avec animation du parolier Lhacene Ziani. Une présentation de l'Association des Berberes du Canada à l'occasion du 27ième anniversaire du printemps berbère. Lieu: Théatre Outremont, 1248 ave Bernard Ouest, Outremont. Prix : 25$. Plus d'informations |
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samedi 21 avril 2007 à 19h00 - Le CAM célèbre le Printemps Berbère A l’occasion de la célébration de Tafsut Imazighen, le Centre Amazigh de Montréal (CAM), vous invite à venir partager cet événement en famille, dans une ambiance de fête… " Venez nombreux nous rejoindre pour fêter le printemps berbère, il y aura de la danse, de la musique et encore de la musique…. " Amenez votre famille, vos amis (es), vos collègues de travail. Lieu: Collège Jean de Brébeuf, 3200, Côte Ste-Catherine, face à l’hôpital Ste-Justine., Montréal. Prix : 10.00 $ - Enfants (moins de 12 ans : entrée libre). Plus d'informations |
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samedi 21 avril 2007 à 19h30 - Tafsut Imazighen - Printemps Berbère avec le prince des Fêtes Kabyles Tafsut Imazighen - Printemps Berbère avec le prince des Fêtes Kabyles: Mourad Guerbas - avec la participation de : Groupe Vision - Massinissa - Fouad Yalaoui. Places limitées - Spectacle Unique - Billets en vente à Bahdja-Music et Disco Maghreb. Lieu: Chateau, 6956, rue St-Denis, Montreal. Prix : 20$. Plus d'informations |
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Pour plus d'informations pour les autres activités à Montréal voir :
http://www.algeroweb.com/activites_1.asp
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Photo du haut source : http://www.kabyle.com/IMG/jpg/logotafsutumazighCORRIGEE.jpg
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Soupe blé vert concassé
24/03/2007 01:36
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- 500g de mouton (poitrine, collier). - 2dl d’huile soit 1 verre classique. - 1 oignon moyen. - 3 ou 4 gousses d’ail. - 1 pomme de terre, 1 courgette. - 1 carotte (facultatif). - 1 lamelle de poivron, 1 lamelle de piment vert. - 1kg de tomates mûres et 1 cuil. à S. de concentré de tomates. - 2g de poivre rouge soit 1 cuil. à C. - 2g de carvi soit 1 cuillère à café. - 1 pincée de poivre noir et 1 de cannelle. - 100g de pois chiches trempés. - 1 botte de coriandre. -2 petites branches de céleri et de fenouil. - 100g de Dchicha frik.* - 1 citron. - Sel.
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Disposer la viande découpée en petits dés dans une marmite à couscous. Éplucher, laver et couper en dés très fins tous les légumes(comme une macédoine). Arroser avec de l’huile, la coriandre et le concentré de tomates dilué avec un petit peu d’eau. Saler, poivrer. Ajouter la cannelle et les pois chiches. Faire revenir l'ensemble à feu doux pendant deux minutes.
Ensuite,couper les tomates en deux, les disposer dans un couscoussier sur la marmite et couvrir en cuisant à la vapeur (leur jus s’égouttera dans la marmite et arrosera progressivement son contenu).Arroser les tomates de temps en temps avec de l’eau jusqu’à concurrence d’un litre.
Après cuisson de la viande et des légumes, piler 3 ou 4 gousses d’ail avec le carvi et ½ cuillerée de piment. Diluer avec un ½verre d’eau et verser dans la marmite. Dés ébullition, jeter le blé vert concassé. Et laisser mijoter environ 20 minutes.
Servir au poudrer de coriandre finement hachée avec un filet de jus de citron. |
Source : http://www.cuisine-algerienne.com/fr/?pages=titre_page&id=388
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HOMMAGE A ALI DJADEL
23/03/2007 17:37
Il y a trois ans( le 22 mars 2004 ), nous a quitté un ami. Pour sa mémoire et en notre reconnaissance envers lui pour tous ses faits et ses gestes posés, ses idées, levons une pensée pour lui seul.
Nous le rappelons aujourd'hui et chaque jour pour garder sa flamme vive.
Lettre à celui qui nous quitte et dont l'esprit nous hantera les rues, les fêtes, les rencontres et les discussions. Je t'écris cette lettre parce que je n'ai pu venir te voir encore vivant. Je n'ai pu t'entendre et nous échanger des propos comme à chaque occasion. Je n'ai pu m'abreuver de ta sagesse. Je n'ai pu lire dans tes yeux la quiétude de ton âme. Je n'ai pu partager avec toi les derniers moments de ta vie. Je n'ai pu lire tes projets accomplis et à venir. Je n'ai pu te venir en aide en des moments de détresse. Je n'ai pu... si ce n'est cette mort qui nous guette et nous fait fléchir malgré notre force. Cette même mort qui t'a happé parmi nous suite au siège de ta longue maladie.
Mais tu t'es réveillé de ton coma pour nous instruire une leçon sur l'art. Quelle belle leçon !...
Je t'écris pour te demander pardon pour ce que nous n'avons pu faire pour toi vivant. Parce que, muet et inerte, tu ne nous parleras plus, nous t'avons pourtant tous adressé la parole ce dernier jour ; Mais tu nous écoutais te susurrer des mots tendres. Je te demande pardon parce que tu pars tout seul. Sans nous que tu as connus.
Je t'écris pour te lire ces quelques vers improvisés :
Limmer d awal i wegraw,
A t nini i wi isellen
Limmer d ired n tijaw,
A nekk tuddar ixxamen
Limmer d adrim ur yuknaw
Ad yis nagh deg yebriden
Awal i wegraw yella
Ternid' isegh di tmussni
Nwala-k d ired ass-a
D iyedren i gh d-yemghi
Adrim d afus n tadla
Mi tett'ef tebra i tesri.
Awal tennid' da
Ay neddem d isegh
Irden d arraw-ik
Am wigad nnegh
Adrim ur k ila
Mi s tebrid' yeffegh
Nekni mi k nejja
Kec d az'ekka zdegh.
A k yeg R'ebbi amager s tmella-s. Que le Tout-puissant t'accorde sa miséricorde. Repose-toi en paix.
Par: Nnaser Uqemmum
Source : http://www.berberes.com/page.php?page=evocation&titre=%C9vocation&id=0000000012
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"Quelle est ta véritable culture ?"
23/03/2007 14:54
Ma seule véritable culture est celle que je me suis trouvée en Kabylie puisqu'on sait que "l'oiseau ne chante bien que dans son arbre généalogique".
La vie de mon peuple contient la somme de l'expérience des hommes.
D'où le rapport charnel que j'ai avec ma terre natale, mes racines.
La culture amazighe est, pour chaque Imazighen, la pierre de touche de son identité.
C'est pourquoi je recrée chaque fois que je chante mon peuple.
Je dépoussière ses histoires, ses contes, j'enrichis ses chants, préserve sa langue et ses valeurs, parce que tout cela m'a façonné et que si ce n'est pas moi qui le fais, qui le fera ?
Tout enfant, j'avais fait cette pénible découverte : je n'avais pas le droit de parler ma langue et de connaître ma culture.
Alors que nous étions censés être libres et indépendants.
La langue maternelle, ça aide à se penser debout.
Mon pays, c'est l'ALGERIE.
Mais je suis le citoyen d'une autre patrie : LA CHANSON.
Quant à la langue amazighe, c'est ma langue maternelle, la langue du foetus, la langue intérieure J'ai la double nationalité car j'ai deux pays : mon pays et mon pays intérieur.
C'est dans la différence que je trouve mon identité.
Lounés Matoub Enfant du peuple le chanteur rebelle
source : revoltes.free.fr
Commentaire de Arezki (23/03/2007 23:38) :
Azul Fellawen, merci à vous pour vos messages et les créations photos ce
qui embellit mon blog et lui donne du changement ...pour la chanson de
Lounès (Tannemirt, Thetsaked avehri gher thurets), On pourra jamais
l'oublier c'est un symbole pour toute la Kabylie.
Je ne trouve pas d'autres commentaires pour le décrire ...tellement
quand j'écris je pense toujours qu'il est vivant...un poète
peut-il mourir...
Mrahva ssesslam n'Arezki At L Mulud.
A r tufat
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Commentaire de brahim (24/03/2007 01:48) :
Le 17 janvier 1998, six mois avant son assassinat, Matoub avait rencontré
son public en France, au Zénith. Ce dernier rendez-vous avec ses fervents
admirateurs était un chef-d’œuvre en lui-même.
Un beau souvenir d’adieu...pour lire la suite de l'article sur son
derniier concert...
http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=36594&ed=MTQ0OA==
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Algérie mon amour
23/03/2007 02:44
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Karim BRANIS est le talentueux rocker Kabyle des années 70.
23/03/2007 02:32
Karim ABRANIS
par Mohand IMAZATENE
Karim BRANIS est le talentueux rocker Kabyle des années 70. Il est chanteur, auteur et compositeur du groupe ABRANIS, qu’il fonda en 1967 et qu’il concrétisera avec ses amis Schamy, Mehdi, et Chaban en 1973.
Immigré dès son jeune âge (13 ans), il a été bercé, à la fois, par la musique du terroir et la vague de rock des années 60-70. Ce mélange marque l’originalité et la démarche artistique de Karim. Tourné vers la modernité et l’universalité, Karim revendique sa culture Amazigh dans toutes ses dimensions. Il affirme, lui même, dans une interview accordée à un journaliste, qui lui demandait pourquoi il ne chantait pas en langue étrangère : « Chacun chante selon sa sensibilité et sa langue. Chez nous, nous ne tenons pas compte des étiquettes. Ce qui caractérise notre musique, c’est l’ouverture, dans le sens plein du terme. Tous les apports sont les bienvenus pourvu qu’ils soient porteurs d’espérance ».
Ses textes regorgent de métaphores, de références à la mythologie et contes Berbères, pour ne citer que la chanson dite « le troupeau ». C’est un texte qui décrit une organisation sociale dont les rôles sont tenus par les animaux. Le recours à la métaphore est significatif d’absence de liberté d’expression. C’est un texte qui dénonce le règne illégitime des injustes et l’usurpation du pouvoir. Karim est attentif au monde qui l’entoure et sensible à son environnement. Il dénonce le désordre et la perversion de la nature par la mesquinerie et la bêtise humaine.
J’ai trouvé le rouge gorge et ses petits Réunis pour réclamer le droit tandis que l’héritier de droit innocent est tenu dans l’expectative, au loin ! Les mouches s’installent dans les ruches et l’abeille abandonne son dû la chouette s’occupe du ménage et huppe s’impose secrétaire ! Le charognard avec son bec Se désigne pour les foules ,il accuse le milan et le condamne..
La chanson, au départ une passion, devient par la force des choses un engagement et une résistance pacifique.
Les thèmes et textes de Karim sont variés et riches. Ils reflètent sa sensibilité à son milieu, au devenir de son pays, et à toutes les préoccupations de l’époque. Il a chanté aussi bien la liberté, l’amour, la vie, la nostalgie, l’immigration, le politique, etc.
Le style musical est également original et audacieux. Il se caractérise par une recherche musicale qui le distingue des autres vedettes de la chanson et qui sort des sentiers battus. Karim déclare clairement : « l’introduction des instruments tels que la guitare électrique, le synthétiseur et la batterie n’altère nullement notre musique qui, je le répète encore une fois, s’inspire de notre fond musicale. Ce ne sont là que des instruments dont on se sert pour exprimer notre sensibilité algérienne ».
Tout en étant fidèle à la fibre musicale de départ, Karim réussit le passage harmonieux qui va de « l’authentique : Zendali, Heddi, Raï à l’universalité : Funk, Rock, Rap avec un esthétisme hors du commun ». Karim, cet artiste discret et rêveur s’impose une rigueur dans son art, refuse la facilité et la tromperie. En effet, il confirme dans un entretien : « Nous essayons de rester fidèles à notre choix, qui est de faire de l’art pour l’art. Sans être soumis aux pressions du milieu, qui veut du produit de consommation, toujours plus vite, selon la capacité d’absorption. On oublie que le musique est un message qui s’adresse au corps sensible. Elle doit le faire vibrer. La liberté de création est une énergie qui s’use si l’on ne sert pas ! ».
Bref historique du groupe ABRANIS par Rabah Mezouane
Au cours des années soixante, la chanson Kabyle, se contentait de ressasser les mêmes thèmes sur fond d’orchestration imprégnées d’un orientalisme peu en rapport avec les lignes mélodiques originales.[…]. En 1967, deux immigrés, férus à la fois, de la tendance ambiante, incarnée par la vague des rockers aux noms américanisés et de musique du terroir, se rencontrent, se découvrent pas mal de goûts communs et créent un groupe renforcé par deux autres musiciens, Samir et Mehdi. Le chanteur guitariste Karim, de ses noms et prénom SID Mohand Tahar, né un 20 février à Tifilkout (Illilten), et l’organiste Shamy Elbaz, CHEMINI Abdelkader, pour l’état civil, né un 26 octobre à Tilatiouine (Bejaia), sont les fondateurs des ABRANIS. Le nom de guerre est puisé dans l’histoire et renvoie à la souche des BRANES, évoqué par l’historien sociologue Ibn Khaldoun dans ses « Prolégomènes ».
En fin de ces années soixante, les Abranis, auxquels se joindront le batteur Arezki BARROUDI, et le bassiste Hachemi BELLALI, étaient trop en avance sur le temps : le public Kabyle n’était pas prêt à écouter les instruments électriques, rompant avec la tradition, même s’il se délecte des guitar-heroes de Woodstock et Wight. La formation et ses membres portant cheveux longs et patte d’Eph déroute au début. Il a fallu attendre un contexte plus favorable, celui de l’esprit 70, lorsque la chanson Kabyle a commencé à imposer sa loi moderniste sur le marché maghrébin et international. En 1973, les Abranis se rendent à Alger pour participer au premier Festival National de la chanson et remporte un prix. Une apparition à la télévision algérienne leur permet de populariser leur répertoire et leur ouvre les portes d’une tournée triomphale dans de nombreuses villes algériennes. Ces succès se concrétisent par d’autres enregistrements et la discographie impressionnante des Abranis en regorge. En France, où ils sont de retour, la communauté leur réserve, à chacun de leurs passages, un accueil enthousiaste. A l’extérieur, ils se font remarquer avec leur Rockabylie ( de la musique moderne mais non occidentale, précisent-ils souvent) dans diverses festivals. Finalement, l’âme Amazigh semble se sentir à l’aise dans un flot électrique habilement canalisé d’autant que les thèmes ( amour, social et revendications culturo-politique) l’alimentent bien.
Principaux spectacles
Festival National de la chanson Algérienne- Alger 1973
La Mutualité - Paris, juin 1975
Bejaia, la Coupole, la Salle Harcha- Alger- 1981
El Dorado- Paris 1984
Festival de Carthage - Tunisie 1984
Festival International de Marrakech -1986
Festival International contre le Racisme d’Hultrecht- Hollande 1987
15ème Festival de Tübingen - Allemagne 1988
1er Festival de la Musique Méditerranéenne de Torino - Italie 1989
Nombreuses émissions de télévisions et de radios.
Discographie
4 disques 33 tours
5 disques de 45 tours
Une dizaine de K7 audio
2 CD
2 Cassettes vidéo retraçant l’histoire du groupe Abranis jusqu’au en 1987.
Album Solo, Karim BRANIS, 2003
Revue de Presse
« La chanson des ABRANIS repose avant tout sur une technique musicale réalisé avec des instruments modernes (…). Elle se veut résolument « pop » et son contenu , non moins résolument algérien. » ABRANIS : une recherche originale, par Mouloud AchourAlgérie Actualité du 13/09/1975
« Sur une musique moderne, ils chantent des textes variés, puisés dans le vécu quotidien : romances amoureuses, conditions des émigrés. De quoi faire rêver et réfléchir en même temps : deux dimensions de l’art en général, de la chanson en particulier et que les ABRANIS revendiquent comme leurs ». « Les ABRANIS au club des Pins », Algérie Actualité n°823, du 23 au 29/07/1981.
« Du Funk au Reggae, ABRANIS ne fait aucune ségrégation musicale et considère que son tempo rythmique n’a pas de frontières. » « Le groupe ABRANIS , le son neuf de l’Algérie », L’Echo du Mercredi, 08/04/1987
« Sur le plan technique leur mode de passe sera « le rythme ». Là, il s’agit de combiner un feeling africain avec instrumentation électrique moderne. On sent l’importance du son dans la recherche musicale, car tout est dans la variété rythmique, pensent-ils, sans perdre de vue la vigueur du verbe. […]. Pour beaucoup, ils auront contribué à freiner l’influence orientaliste d’une certaine époque, en propulsant hors des frontières la musique algérienne. ». « Musiques : les ABRANIS, Histoire d’une longue route », Lounis HAKIM, Le Soir d’Algérie, 13/08/1991.
« Leur attachement à l’identité, leur authentique algérienneté, ne les ont pas empêché pour autant d’aller sans aucune gêne pour faire connaître non sans difficulté, notre culture ». « Le retour des grands », Par Yahia HARAKAT, Le Pays n°88, du 26/08 au 01/09/1993
« Le travail de recherche effectué a consisté à adapter les structures rythmiques de chez nous aux normes et aux lois de l’instrument et adapter la mélodie aux de l’harmonie universelles. ». Rachid IKHENOUSSENE, Liberté, mercredi 20/04/1994.
« Karim, auteur, compositeur et interprète a travaillé inlassablement depuis plus d’une vingtaine d’années pour donner une dimension universelle à la musique algérienne. (…). Son souhait le plus cher est de voir un jour pousser dans tout le pays des conservatoires, des maisons de culture, des théâtres pour permettre à la jeunesse à travers les arts et retrouver l’espoir dont elle a tant besoin. (…). Pionner dans plusieurs domaines, ABRANIS a réussi à donner un souffle nouveau à la chanson algérienne en la débarrassant du folklorisme stérile et dévalorisant. Si Khaled est King du Raï algérien, Karim est le King du Rock. » « Karim BRANIS : l’enfant prodige du Rockabylie », Moh CHERBI, Alger INFO International, Mercredi 27/12/1999
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La princesse Barbie
23/03/2007 00:11
Un cadeau de ma fille Ania...
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