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Hamza Yacef (JSK)
17/04/2007 05:54
Commentaire de jimena (17/04/2007 09:17) :
il est trop nul il a marqué un but contre mon équipe il va le payé cher ce
yassef
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Commentaire de un fan de la JSK (17/04/2007 19:05) :
azul jimena ,c'est ça votre esprit sportif ??????merci ,vive Yacef et
la JSK avec 6 étoiles.
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Commentaire de Samira & Barbara (17/04/2007 19:22) :

Bonsoir…Arezki...Bon Mercredi … Nous te souhaitons une journée
remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie.
Avec toute notre amitié
http://aimer_la_vie.vip-blog.com
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Hemani (JSK)
17/04/2007 05:53
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Vues d'Afrique :23e Journées du cinéma Africain et Créole à Montréal.
17/04/2007 04:44
Dimanche 22 avril 2007 à 18h30 au cinéma beaubien :
http://www.cinemabeaubien.com/PDF/VA2007Beaubien.pdf
SLIMANE AZEM, UNE LÉGENDE EN EXIL
Rachid Mérabet Algérie-France
Première nord-américaine
2005, 52’, DOCUMENTAIRE, VIDÉO, COULEUR
FRANÇAIS ET ARABE, SOUS-TITRES FRANÇAIS
SCÉNARIO : Rachid Mérabet
IMAGES : Marc Quilici
SON : José Mine
MONTAGE : Fabien Daguerre
PRODUCTION ET CONTACT : Les films de la Castagne
19 Déodora 31400 Toulouse, France
Tél. :(+33) 5 61 25 98 98
Courriel : contact@lacastagne.org
Slimane Azem, chantre de la culture kabyle, fut sans doute le chanteur le plus populaire au sein de la communauté algérienne immigrée en France.
Son oeuvre s’est surtout exprimée en France, pays de son exil.
Il fut le premier artiste originaire d’Afrique du Nord à obtenir un disque d’or.
Son répertoire, ancré dans l’expérience de l’immigration et de l’exil, a toujours tenté de réunir les deux rives de la Méditerranée.
Malgré son talent, il ne put jamais franchir la barrière communautaire.
Il est mort en 1983 à Moissac sur sa terre d'adoption.
Pour plus d'informations : http://www.vuesdafrique.org/accueil/
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Yacef 'Triciti' (JSK)
16/04/2007 17:23
Yacef est l'attaquqnt qui porte la JSK sur ses épaules aussi bien en championnat ,en coupe d'Algérie qu'en Champions League africaine .
Il est le véritable patron de l'équipe kabyle,il réalise des miracles et mene son club vers les sommets .
Il est toujours la clé du probleme dans les moments difficiles et ce quel que soit le calibre de l'adversaire.
Tannemirt Hamza se gul s thuqdha .
Arezki
" Je sais que les kabyles vivent et respirent pour leur cub, et lorsque la JSK ne se porte pas bien,les gens tombent malades.Je n'avais pas le droit de les décevoir d'autant que les fans attendaient beaucoup de moi.J'avoue que le public m'a beaucoup aidé et lorsque je l'entendais scander Yacef 'Triciti',cela me donnait la chair de poule.Je ne lésinais jamais sur l'éffort pour ne pas décourager ceux qui ont cru en moi."
Yacef Hamza
" Je ne suis pas le messie venu sauver la JSK .C'est grâce à elle que je suis fait un nom.Un joueur ne peut rien faire tout seul, et si je marque autant de buts c'est grâce à mes amis partenaires qui me facilitent la tâche.L'équipe est composée de onze éléments et chacun assume convenablement son rôle sur le terrain.Je suis un attaquant et mon métier est de marquer des buts."
Yacef Hamza
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Le programme de l'ACB à l'occasion du Printemps berbère à Paris.
16/04/2007 16:57

Encrer le signe
Encres. Ancres. Le signe s'arrime au rêve de secouer les tyrannies. Il se tient en équilibre au-dessus du creux et du délié, dans l'alphabet de l'espoir. Entre l'encre et le combat pour la liberté, le rapport est l'évidence de la trace et de l'esthétique.
Cette exposition se tient un 20 avril. Faut-il faire un dessin? Si oui, on déclinera tout à la fois la célébration du Printemps berbère et la pérennité du signe - de tout signe - en amont et en aval des séismes salutaires, qui produisent la naissance des changements et la transformation des représentations. Quel autre évènement mieux que la célébration du Printemps berbère peut renvoyer avec autant de force aux temps premiers des identités-palimpsestes qui s'enrichissent de l'alfa, de l'encre, de ce qui s'écrit et même de ce qui s'efface.
Encre de sang plutôt que sang d'encre, au regard précisément de cette histoire de perpétuelle quête de la liberté dont le Printemps berbère est à la fois une étape et un tournant. Nuit d'encre mais aussi encres de nuit, si l'on se réfère à la persévérance du travail quasi clandestin de l'artiste pour subvertir dans la création le signe et subvertir, dans le même temps, les pouvoirs qui taisent et font taire.
L'encre parle. Les artistes disent.
Arezki Metref
PARABOLES DE L'ENCRE
" Des fleurs d'encre crachant des pollens en virgule " (A. Rimbaud)
Soit dit d'emblée que l'encre écrit, peint et signifie le monde comme l'air, l'eau, la terre et le feu qui la composent font la vie et d'ailleurs le verbe serait-il au commencement des textes sacrés si l'encre ne l'éternisait ?
Soit dit que la création du monde, comme celle de ces formes que nous proposent les artistes de cette exposition, s'ordonne à partir d'un magma d'obscurité. Le noir du monochrome possède l'infini des couleurs, c'est la mère de toutes : avec les ressources du noir et le vide du papier blanc, c'est l'engendrement premier de la lumière dans la matière. De là naît le trait du lavis.
Soit dit des encres noires ordinaires ; des encres au fer ou au campêche ; des encres grosses aux couleurs insolubles, fluidifiées ou concentrées ; des encres sympathiques qui ne laissent pas de trace visible et que seule la chaleur éclaire ; de l'encre de chine à base de noir de fumée dont un vieux sage chinois disait qu'elle ne pardonne pas car on ne peut s'en servir pour tromper le monde.
Soit dit des pinceaux en poil d'animal ; des différentes sortes de plumes-allemande, anglaise, fine ou véritable baïonnette de Baignol et Farjon dont l'angle donne des traits gracieux, sergent Major de nos cahiers d'écoliers ; calames de roseaux ou plumes d'aigles et toutes ces formes de porte-pinceaux, porte-plumes ou pinceliers aux parfums d'hibiscus et de musc ; des encriers de peintres ou de petits vases et de tables enduites dont on empreint les rouleaux. Ils sont pour la main la liberté qui trace le signe.
Soit dit du bâton d'encre considéré comme le pénis qu'accueille la blancheur laiteuse du papier et qu'affectionnait particulièrement Victor Hugo qui étalait l'encre sur une feuille de papier comme un acte de chair. Avec ses doigts.
Soit dit de cette secrète correspondance entre le trait et le mot, le pictogramme et l'écriture. Ils ne servent pas seulement l'utile mais concilient le sens et la beauté comme si celle-ci exaltait celui-là : une poésie, souterraine ou exhibée de signes et de mots.
Soit dit ces ouvres comme " des bouteilles à l'encre " livrées à notre regard. Comme il est dit d'une chose obscure et mystérieuse qui nous interroge. Des écritures intérieures. Des jardins intimes. Il y a des jardins grands comme des grains de beauté. Autant d'hommages sur la peau du papier à l'encre des signes fondateurs.
Nourredine SAADI Ecrivain
Entrée libre à l'ACB le 20 avril à 19 h
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Association de culture berbère (ACB)
37bis rue des Maronites - 75020 - Paris
Tel : 01 43 58 23 25
Fax : 01 43 58 49 75
Mail : acb@noos.fr
Site : http://www.acbparis.org/
Commentaire de Samira & Barbara (16/04/2007 22:55) :
Bonsoir…Arezki...bonne soirée …

… … Nous te
souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la
joie.
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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DJAMEL LAHLOU : lance son nouvel album de musique Chaâbi
15/04/2007 13:38
Source : http://www.berberes.com/webpages/djamellahlou_cd_promo_mars2007.html
Djamel Lahlou, montréalais d'origine algérienne a manifesté depuis son jeune age un engouement précoce pour la chanson et pour l'art. Issu d'un quartier populaire d'Alger, Djamel Lahlou a abordé le monde musical en maniant, pour la première fois, une guitare qu'il a lui-même confectionnée. Découvrant plus tard une véritable passion pour la chanson chaâbi et kabyle, l'artiste se met à affiner son oreille musicale en écoutant inlassablement la radio et en assistant à toutes les manifestations culturelles se déroulant dans son quartier.
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Encouragé par son père, également mélomane, qui lui offrait différents instruments et influencé par des artistes de son quartier, l'artiste prend son destin en main et s'inscrit dans une école d'apprentissage de musique arabo-andalouse. Cela n'empêchait pas Djamel Lahlou, durant son cursus scolaire et universitaire, de former sa petite troupe de musiciens, saisissant toutes les opportunités pour se produire sur scène. Diplômé en science politique se disant ancien journaliste et conseiller à l'information, Djamel Lahlou a quitté l'Algérie en 1989 pour le Canada en vue de préparer une maîtrise. Il continue dans son pays d'accueil en parallèle de chanter.
Il constitue alors sa première troupe à Ottawa, puis il rejoint, plus tard à Montréal, une troupe déjà en vogue Timgad, au sein de laquelle il s'active à faire la promotion de la culture algérienne. Accompagnant les Maîtres du chaâbi et du hawzi, de passage a Montréal, dont Bennani, le défunt Guerouabi, Chaou, Nadia Benyoucef, Samy el-Maghribi, El Kobbi, Hamidou, Chaouli, Djafri et autres, ceci lui donne un nouveau souffle et encourage à monter sur scène en professionnel. |
Cet album a été enregistré sous le label La FAC (Fraternité Algéro Canadienne) une agence spécialisée dans la promotion d'artistes algériens venant se produire au Canada, et des artistes canadiens se produisant en Algérie. Le studio Montréal d'enregistrement qui appartient à La FAC se trouve à Alger. L'album s'intitule : le plus beau des pays (zinet el boulden), contient huit titres originaux, en majorité, écrits et composés par le chanteur. Touchant une variété de sujets, tels la nostalgie, la beauté de la nature, l'amitié, l'amour, la confiance, la joie de vivre, la culture du terroir. Cette œuvre est un produit d'essence algérienne aux sonorités modernes. Elle séduit par sa fluidité et son authenticité. Les styles : le berbère de Kabylie, ou le chaâbi d'Alger, ou encore le Hawzi de Tlemcen, figurent sans secret dans cette œuvre, ou l'orient rencontre l'occident.
A travers cet album Djamel Lahlou a su donner une empreinte personnelle et une originalité, susceptible d'apporter un plus au répertoire classique algérien. Lui et ses pairs de la mouvance Néo-chaâbi s'efforcent de donner un nouvel élan à ce style, en ajoutant au tribut laissé par Ziryab et El Anka, des accents nouveaux. Le chaâbi, tente de regagner une place de choix. Quand des gens de communication comme Djamel Lahlou, se mettent à œuvrer, dans cet art ancestral, on peut déjà croire qu'il est entre de bonnes mains. Et cela vaut la peine de se laisser raconter cette façon artistique de faire.
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L'événement - Le coup d'envoi de la distribution du CD de Djamel Lahlou est donné le samedi 31 mars 2007, au restaurant Crésus à Montréal Il s'agissait d'un souper spectacle ou le chanteur a présenté et chanté son album, devant plus de 240 personnes, venus l'encourager, pour l'accomplissement de son œuvre originale.
L'album a été, gracieusement offert, à l'assistance, qui était ravie, de la belle atmosphère familiale et amicale, qui y régnait. ''C'était une soirée magnifique,'' se vanta Hakim, un des musiciens présents sur scène. Hamida Saci, ajouta ''on est toujours fier de Djamel, il parle bien et il chante avec classe.'' Lors de ce spectacle Ameur, Karim et Mohand (organisateurs de différents spectacles) ont même profité de passer des annonces sur les spectacles de musique qu'ils s'apprêtaient à organiser, respectivement, lors des fin de semaines suivantes, Djamel, qui est l'ami par excellence des artistes, puisqu'il est le Secrétaire Géneral de l'Union des Artistes Canadiens, leur a permit de passer leurs annonces. |
Le CD de Djamel Lahlou, se vendra, initialement, à Montréal sur les tablettes de :
- Bled Music
3388 Jean Talon Est Montréal, Qué H2A 1W8, Canada Tel.: (514) 374-4727
- DiscoMaghreb
255, rue Jean-Talon Est Montréal, Qué H2R 1S9, Canada Tel.: 514-273-2184
- EL-Bahdja
3387, Jean Talon Est, Montréal, Qué H2A 1W7 Tel.: (514) 727-6159
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Auteur : S. Hana.
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Le Chaâbi : musique née au début du XXe siècle. Exprimée en arabe dialectal et en kabyle, elle dérive de la musique arabo-andalouse, avec plusieurs influences berbères (Achewiq kabyle essentiellement). Elle est pratiquée essentiellement dans la région d'Alger.
Chaâbi signifie populaire en arabe, c'est un des genres musicaux le plus répandu au Maghreb, il faut comprendre par populaire comme genre commun ou comme genre par défaut qui constitue le versant "rugueux" de la musique savante issue de la culture arabo-andalouse
Les chants du chaâbi, portés par l'idiome algérien, se nourrissent de poésie ancienne mais aussi de textes originaux issus de thèmes actuels. Avec, toujours en toile de fond, l'écho du patrimoine, la plainte ancestrale, la nostalgie du pays. Selon le musicien et joueur d'ukulélé Cyril Lefebvre, " les gens attaquent fort, s'expriment violemment, ce qui rapproche à certains égards le chaâbi du blues "
Le chaâbi mêle les instruments orientaux du classique arabo-andalou à d'autres venus de la musique classique occidentale. On y trouve la derbouka (percussions) et le tambourin, mais aussi le mandole (sorte de grosse mandoline aux sonorités de guitare, munie de quatre cordes doubles en métal), le violon et le banjo, sans oublier el quanoun. Les violonistes de l'arabo-andalouse et du chaâbi utilisent toujours leur violon à la verticale. Quant au mandole, il a remplacé l'oud, le luth moyen-oriental. Il n'est pas rare d'entendre aussi le piano. En revanche, aucun instrument électrique n'est admis, hormis parfois le clavier (pour les quarts de ton).
Le chaâbi est une musique que l'on retrouve fréquemment dans les mariages et ce style est souvent associé à la fête. L'utilisation du langage populaire et la création de nouveaux rythmes ont fait de ce style un complément essentiel de la danse. De nombreuses tendances sont apparues.
La nouvelle mouvance néo-chaâbi tente d'associer des instruments et des sonorités, plus contemporains. De nouvelles structures et fusions sont à l'essai et apparemment ça commence à pousser vers une nouvelle issue de ce style qui se recherche un renouveau.
La musique arabo-andalouse est ramenée, au Maghreb, par les Maures expulsés de l'Espagne redevenue catholique en 1492 lors de la reconquista . Elle s'est développée dans toute l'Algérie, notamment avec la contribution de la communauté juive, et s'est étendue à tout le Maghreb. De nos jours, la musique arabo-andalouse fait partie intégrante du patrimoine maghrébin.
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Source de l'article ''Le Chaâbi'' : Wikipédia
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Commentaire de eric / casanova (16/04/2007 14:21) :
azul arezki bonne après midi voila c'es lundi le premier jour de la
semaine alors je profite te souhaiter bonne semaine amicalement ..
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