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2es en championnat… 1/4 de finalistes en coupe… et à un tour des poules de la Ligue des champions : Les Kabyles sont bel et bien là !
28/03/2007 00:01
Vendredi passé, au terme d’une rencontre difficile face au deuxième de la Super D2, l’ASK, la JSK n’a pas fait mentir les pronostics en se qualifiant pour les quarts de finale de la Coupe d’Algérie, une compétition qui intéresse également les Kabyles aux dires de nombreux de ses joueurs à l’instar de Sofiane Herkat qui déclarait sur ces mêmes colonnes : «La coupe ne peut être un objectif que pour les deux clubs finalistes, mais avant d’atteindre ce stade de la compétition personne ne peut se permettre de dire que cette compétition est un objectif car une qualification se joue sur un match et souvent les facteurs chance et surprise sont déterminants. En ce qui nous concerne, nous tâcherons d’être l’un des deux finalistes car la coupe a un charme particulier.» D’une équipe qui n’était que l’ombre d’elle-même au début de la saison, la formation kabyle s’est retrouvée en cette seconde partie de la saison engagée sur trois fronts tout comme la saison passée. En championnat, elle occupe actuellement la deuxième place au classement, en Ligue des champions africaine, la JSK est qualifiée pour le troisième tour préliminaire en attendant de tenter de passer aux poules et enfin en Coupe d’Algérie, les Kabyles sont au stade des quarts de finale. La question qui se pose est : la JSK peut-elle jouer sur les trois fronts ? Une telle perspective fait partie du domaine du possible dans la mesure où certains indices le laissent entrevoir. Dans la course au titre, dans l’une de nos précédentes éditions nous faisions un état des lieux de ce qui reste comme matches à jouer pour la formation kabyle. La conclusion à laquelle nous sommes arrivés est que la JSK, deuxième au classement à cinq points derrière le leader et avec un match en retard garde ses chances intactes dans cette compétition pour peu qu’elle gère bien ses rencontres. Toutefois, terminer à la deuxième place qualificative pour la prochaine édition 2008 de la Ligue des champions africaine ne serait pas également une si mauvaise chose par rapport à tout ce qu’a vécu la formation kabyle comme turbulences en début de saison. En Ligue des champions, les coéquipiers de Zafour ne sont qu’à une marche de qui reste l’objectif numéro un du club, la qualification pour la phase des poules. Là aussi, les Kabyles ont toutes leurs chances puisque le tirage au sort leur a donné l’opportunité de le faire puisqu’ils joueront le match retour de ce dernier tour face aux Camerounais du Coton Sport de Garoua à domicile. En coupe d’Algérie, les Kabyles sont décidés à se donner à fond dans une compétition à laquelle ils n’ont pas goûté depuis 13 ans. En effet, le dernier sacre de la JSK en coupe d’Algérie remonte à 1994. Mais remporter ce trophée ne peut être considéré comme un objectif, d’ailleurs les Kabyles se gardent de le déclarer. En coupe d’Algérie, tout est possible et aucune équipe quel que soit son rang n’est à l’abri d’une élimination. On se souvient que la saison passée la JSK a été écartée au stade des demi-finales par l’USMA mais dans les deux autres compétitions, les objectifs ont été atteints avec un titre de champion et une présence en phase des poules.
Par : Ali H.
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/03/27/4719878
Commentaire de Samira & Barbara (28/03/2007 03:28) :
Bonjour…Arezki...

Nous te
souhaitons une journée remplie de paix d'amour de bonheurs et de la
joie…
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Commentaire de Samira & Barbara (29/03/2007 23:40) :
Coucou…Arezki...bientôt vendredi… et vive le week end...

Nous te
souhaitons..une journée remplie..de paix,d'amour,de bonheur et de la
joie….
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute
notre amitié
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Un Kabyle, un homme universel.
27/03/2007 23:40
Azul à Belqasem. Je vais me permettre de te tutoyer tout au long de cet entretien. Tout d'abord je voudrais te demander si tu as des choses à rajouter à la biographie que nous pouvons lire sur la couverture de tes 2 recueils ?
Certainement... Mais avant ça, je dirai azul fellak, d wagad ara yeghren tadiwennit (1) agi.Puis, je voudrais ajouter que Guendoul mon village natal, n'a eu l'électricité qu'en 1985, l'eau en 1995 et la route en 1998, pour te dire que je ne suis pas né à Las Végas... Remarque, il y a certainement bien d'autres villages qui n'ont encore rien de tout ça au moment où l'on se parle, mi-2005. Mais, bon, c'est le sort des imazighen. Au Maroc, c´est encore pire.
Comment vient-on à la poésie. On se réveille un matin, puis on se découvre poète et on se met à écrire, ou bien c'est un processus d'apprentissage et tout le monde peut s'y mettre un jour ?
Tettunefk-iyi sghur Rebbi... Mais en réalité, ni on y va ni elle vient, la poésie. Tu sais ? Si tu coupes toutes les branches d'un arbre, figure-toi que des bourgeons viendront du tronc ou même plus bas encore, des racines, à côté du tronc. Ceci prouve qu'à un moment donné, le poids ou le cumul de tout un tas de choses vécues ne peuvent être supportés, ça sort, comme un tremblement de terre ou alors ce sera la déprime. Et c'est ce qu'on appelle, dans ces pays respectables, l'Art thérapie. En Kabylie, il y a le "Drap thérapie". Cette région détient le record de suicides du pays. La liberté d'expression est un antidépresseur efficace et naturel. Pour la poésie, tu sais, il y a ce qu'on peut appeler l'âme du poème : un mot, un proverbe, ou une expression peuvent constituer l'ossature. Ensuite, il y a la partie logique et le choix des mots. Tout ça, intégré pour en faire un écrit cohérent, sans oublier le respect de la rime. La langue berbère étant essentiellement orale, il y a le côté sonorité qui revêt une grande importance. L'exercice, bien entendu, améliore les choses au fil du temps. C'est comme Ah'eddad n lfetta: plus il vieillit, plus il raffine ses bijoux et innove dans le fond et la forme. Un vers peut être incomplet à lui seul, car coupé à la bonne rime; le vers suivant fera le reste. Tout ça c'est technique, sans passer par l'école des beaux arts de Amraoua.
Y a t-il des moments, des périodes, des endroits ou des situations qui t'inspirent le plus ?
Il y a des moments de réception, mais pas spécialement de lieux. On peut écrire un poème dans un autobus, un café ou dans un jardin. Mais être seul aide effectivement beaucoup. C'est une expression des choses par soi. On ne peut pas décider d'écrire un poème. Un discours, un texte, une vue peut enclencher ce que j'ai appelé plus haut, l'ossature et le reste est un travail à finir. techniquement. Il m'est arrivé d'être en voiture en train d'écouter la radio puis d'arrêter et saisir l'idée, le nom ou l'anecdote et de poursuivre mon chemin pour écrire le reste par la suite.
Comment s'est déroulé le processus de production de tes 2 recueils ? Des problèmes particuliers ? Ou alors tout s'est très bien déroulé ?
Pour écrire, c'est toute une histoire. J'écrivais des poèmes depuis 1976 à peu près. J'ai même écrit des chansons, j'ai produit 2 cassettes passées inaperçues, chantées par un gars qui n'a pas survécu au "Tsunami" algérien (que Dieu ait son âme). J'ai travaillé sur une autre cassette et la personne à qui je l'ai donnée est tellement reconnaissante qu'elle m'a totalement oublié et même ignoré. Les e-mails que je lui envoie ne sortent même pas de mon ordinateur, mais bon... Donc, un soir, j'étais invité chez quelqu'un, à la fin de la soirée, il m'a montré les poèmes qu'il avait composés. Alors, à mon tour, je lui ai promis de lui montrer les miens la semaine suivante. Il les a trouvés intéressants. Ca m'a encouragé mais pas encore convaincu. De là, j'ai décidé de les montrer à une autre personne, qui est du domaine et que je salue au passage et remercie de son aide précieuse. Après les avoir lus, cette personne m'a demandé si j'en avais suffisamment pour pouvoir constituer un recueil. Et ça a démarré comme ça. Pour ce qui est de la production proprement dite, une fois le livre écrit, c' est une autre étape mais moins angoissante que la première. Il y a aussi une troisième, celle de consommer la sortie de ma coquille : le fameux "qu'en dira t-on". Sur ce point je parle à un Kabyle, il est donc inutile de m'étaler davantage, cela après la sortie du premier recueil. Pour le deuxième, la voie est plus ou moins déjà tracée.
Plus de 40 ans, rien ne sort. Arrivé au Canada, 2 ans après, 2 recueils voient le jour. Explique-moi ça.
Cette question est vraiment à sa place. En Algérie, mon ami, celui qui produit une minuscule chose dans l'art, pourrait être un géni en la matière s'il était ailleurs. Penses-tu vraiment être en mesure d'écrire, alors que tu n'as même pas résolu la question du "Qui tue qui" comme de savoir qui est venu en premier, l'oeuf ou la poule ? Ajoutes à ça l'article 120, l'arabisation ainsi que "les vrais faux barrages, ou "les faux vrais barrages". Si tu arrives à résoudre ces énigmes, il te restera à panser tes traumatismes. Tu te souviens du scénario vécu au lycée de Dellys, après la fameuse histoire des poseurs de bombes en 1976 ? Alors souviens-toi de la personne arrêtée pour avoir aimé Chérif Kheddam et surtout avoir transcrit "amarezg n win ik-m-yesaan". Alors, je crois que celui qui a écrit "La régression féconde" (2) a tellement bien vu pour l'Algérie. Où peux-tu trouver un espace pour qu'un individu puisse produire ? Je suis certain que des personnes sont mortes avant même d'avoir pu léguer leur savoir à l'humanité et ce, dans tous les domaines.
Tu as vécu à Djelfa, Oran et maintenant, tu es à Montréal, l'exil à chaque fois. Ressens-tu une différence ?
De distance pas du tout. De ces trois villes, il faut 7 heures à 8 heures de route pour arriver à Tizi-Ouzou. Par rapport à ma langue maternelle, non plus, il n y a pas de différence sauf qu'en Algérie je devais parler Arabe et ici Français. Je dirai que si nous avons plusieurs vies, vivre l'exil enrichit l'individu, mais y passer toute sa jeunesse et ne rentrer au bercail qu'entre les planches de sapin, là, ça change tout. Mais, cette situation est devenue tellement normale pour moi, avec des gens du village, dont on rapatrie le corps y compris celui de mon propre père, tous décédés en France. L'exil est une petite mort, comme on dit, "partir, c'est mourir un peu", mais pour un Kabyle c'en est une grosse, car dans le meilleur des cas, il revient vivant, sans même avoir la force de monter sur un olivier pour cueillir ce que je qualifierai de pétrole du Kabyle. Il ne peut même plus revivre ce souvenir d'enfance avant sa mort.
La Kabylie donne naissance à des Hommes qu'elle donne aux autres nations puis les rappelle vieux ou morts. N'a t-elle pas besoin de ses fils, plutôt jeunes ?
Ce sont ses fils qui ont besoin de leur terre pour vivre comme tout le monde chez eux.Cela changera un jour ou l'autre et d'une manière ou d'une autre.Peut-être pas pour nous. Ce sera pour les générations futures, vu la manière dont s'éteignent toutes les révoltes cycliques de 20ans.
Question classique : parmi tous les poètes Kabyles ou Berbères, y en a t-il un que tu admires ?
A cette question, je réponds par une autre : penses-tu que le choix est vaste ? Le seul connu est Si Mohand U Mhend... Il a eu la chance de ne pas avoir été censuré du fait qu'il n'a pas écrit. L'oralité a cela de bien, mais bon.Il y a aussi la chanson dont il ne faut pas négliger l'apport sur le plan poétique.
Quelle est la situation de la poésie, de la chanson ou de la culture kabyle durant ces dernières années ?
Je tiens à rendre hommage et à encourager tous ceux qui se privent de tout pour investir dans les livres même à compte d’auteur, c'est un acte révolutionnaire. Qu'ils sachent que parmi les meilleurs chanteurs qu'a eu la Kabylie, nombreux sont ceux que la chaîne II a rejetés. Mais grâce à leur abnégation, ils se sont faits une place et aux premières loges. Je citerai en exemple Ccix El-Hasnaoui, at yerh'em Rebbi, et bien d'autres. Pour la qualité, c'est comme si, moi, je demande à un targui qui sillonne le Sahara : "Quelle est la plus belle fleur pour toi ?". Il y en a tellement peu, qu'elles sont toutes exquises. Imagines qu'ici au Québec pour 8 millions d'habitants, ce qui est à peu près l'équivalent de la population kabyle, 2000 livres sortent chaque année, 150 pièces de théâtres sont jouées pour la même période... Alors les 2 ou même 20 livres qui paraissent en Tamazight, sont forcément bons. De plus, même un génie de la bêtise humaine, ne pourra écrire un livre qui ne renferme aucune bonne idée. Pour Tamazight, c'est encore plus vrai : que le livre contienne juste un mot, ce sera un mot de sauvé. C'est vraiment d'une opération de sauvetage dont il s'agit.
En parlant de Ccix El-Hasnaoui, les géants de l'ancienne génération disparaissent les uns après les autres, penses-tu que le pont est jeté avec la nouvelle génération ?
Pour notre génération, c'est certain. Mais, si nous ne faisons rien, les ponts vont se rompre; on ne peut pas tricher avec la nature. Si vraiment cette culture a ses enfants, il n'y aura pas de problèmes. Mais, si tout ça est faux, alors ce sera la disparition pure et simple de l'ethnie. Depuis 40 ans, les films réalisés en Tamazight se comptent sur les doigts d'une seule main, quant aux journaux, tu n'as même pas besoin de doigts pour faire le tour, quoi encore...? Si tu me trouves injuste, remets-moi sur les rails en m'informant mieux sur ce qui se fait en Tamazight. Pour une primeur, je t'informe qu'en 2007 Alger sera la "Capitale de la culture arabe" toute l'année. Et nous, il fallait attendre 40 ans pour avoir une télévision (3) et où ? Chez notre ex-colonisateur, s'il vous plait.
Mis à part quelques férus de la chose, c'est beaucoup plus la chanson qui a beaucoup plus pignon sur rue. Penses-tu mettre tes poèmes en chansons ou les donner à d'autres pour les chanter ?
Mes poèmes ne sont pas chantés, mais cela me fera très plaisir d'en arriver là, ce sera un plus. Tiens, si tu veux changer de métier à ton âge, je peux même te donner des airs de musique; j'ai en ma possession 2 ou 3 cassettes de morceaux de musique. En plus, ce sera gratuit - 'Zrae rebbi ad yessemghi'.
En parlant de chanson, on a l'impression que la chanson Kabyle stagne après la déferlante des années 80.
Il paraît que du côté de chez moi, dans les grandes villes et dans les fourgons de transport le Raï fait rage... C'est vraiment regrettable de ne plus voir de groupes se former comme dans le temps, à l'image de Isulas, Imnayen, Afus, Tacemlit, Abranis etc... Il y en avait des bons et des meilleurs. L'état a voulu la folklorisation de la chanson Kabyle et bravo ! On y est exactement. En plein dedans! Pour l'avenir, si tu sais quelque chose, dis-le moi... Hélas.
Après ces deux recueils, des projets ?
Oui... Deux sont déjà à la portée de l'imprimeur et d'autres en travaux.
Dans d'autres domaines que la poésie.
Je vais voir pour traduire le travail déjà fait dans la langue de Molière, Hizb França oblige. Par ailleurs, un livre en français, mi-biographie, mi-social est à envisager.
Beaucoup de morts, beaucoup de coups de gueule, cela dure depuis 4 ans et tout semble se dénouer comme avec une baguette magique, encore qu'il y a des récalcitrants au rapprochement des Aaruc avec le pouvoir.
Tu sais, moi, j'ai grandi à côté de Asif N Aamrawa. Quand la crue diminue, pour traverser la rivière, on sautille d'une pierre à l'autre. Des fois, le déséquilibre prend le dessus et on se retrouve un pied dans l'eau, mais ce n'est pas pour autant qu'on y met le deuxième. On continue de sautiller, tout en maugréant des insultes, mais on avance. Alors pour le rapprochement avec le pouvoir, ce n'est certainement pas la dernière pierre. Les contestations à venir bénéficieront de l'expérience des Aaruc qui, eux mêmes, ont appris des mouvements du passé. L'avenir nous le dira.
La Kabylie n'arrête pas de se soulever depuis, y a t-il une solution pour que cela cesse ?
La kabylie s'est rebellée, se rebelle et se rebellera. Tant que toutes les rebellions qui se succèdent aboutissent aux mêmes résultats, cela ne s'arrêtera pas. On se retrouve en 2005, avec des kabyles en Corse, en Inde, en Syrie, en Nouvelle Calédonie, en Guyane Française, en France et maintenant au Canada. J'espère que ce sera la dernière destination. Pour la solution, je pense que l'immigration n'est pas propre aux Kabyles dans sa forme conventionnelle. Par contre, la notre est particulière du fait que, même là ou on dit "chez nous", nous sommes en fait chez eux : l'école enseigne dans leur langue, les journaux écrivent dans leur langue, la télévision parle leur langue, même la signalisation routière est dans leur langue Que reste t-il de nous dans le "chez nous" ? C'est peut-être bien ainsi comme ça, l'Homme kabyle est devenu Universel.
Il est temps pour lui de regagner le bercail avec son savoir et son avoir et construire un pays à léguer aux descendants de Massinissa. Y songer sérieusement est déjà un grand pas; quand, comment, les bons esprits trouveront les bonnes réponses.
Tanmirt.
(1) Interview (2) Régression féconde : de Houari Aadi (3) BRTV
Entretien avec Belqasem ihidjaten, réalisé le 14/05/2005 par Lyazid LALIAM
Source : http://www.berberes.com/page.php?page=a_boussad_poesie
Commentaire de Samira & Barbara (28/03/2007 17:21) :
Bone fin après midi…Arezki...et...

Nous te
souhaitons…une journée remplie…de paix,d'amourde bonheur,et de la
joie….
Hoder

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Avec toute notre amitié
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Le chocolat noir et l’aspirine protègent le cœur
26/03/2007 17:57
Le chocolat noir, dont les vertus médicinales sont connues depuis 2 000 ans et l'aspirine, inventée à la fin du XIXe siècle, sont des protecteurs du système cardio-vasculaire qui ne paraissent pas se démentir. Plusieurs études dont les résultats sont publiés hier samedi dans le cadre du 56e congrès de l'American College of Cardiology (ACC), qui réunit 30 000 spécialistes mondiaux à la Nouvelle-Orléans jusqu'au 27 mars, ont une fois encore confirmé les bienfaits de ces substances anciennes pour le cœur. Pour le chocolat noir, riche en flavonoïdes, puissant anti-oxydant dont les pouvoirs dilatateurs sur les artères sont connus et qui sont également abondants dans les raisins et autres fruits, un petit essai clinique a permis de mesurer ces effets. Sans inviter le public à se goinfrer de chocolat, des chercheurs de l'université de Yale (Connecticut), ont jugé les résultats de leur étude suffisamment probants pour justifier un essai clinique plus étendu sur une longue période parmi des personnes choisies au hasard. «Dans cet échantillon de près de quarante adultes en bonne santé, la consommation quotidienne de chocolat noir sur une courte période s'est traduite par une nette amélioration du fonctionnement cellulaire des artères et nous pensons qu'un essai clinique plus long pourrait montrer de plus grands effets positifs», ont expliqué ces médecins. Une vaste étude américaine dont les détails doivent être dévoilés ce dimanche à l'ACC montre que les femmes prenant régulièrement de l'aspirine réduisent leur risque de mourir d'une maladie cardio-vasculaire de près de 40% comparativement à celles n'en prenant jamais.
Source : http://www.infosoir.com/edit.php?id=62084
Commentaire de Samira & Barbara (26/03/2007 18:44) :
Bonsoir…Arezki....je suis d'accord avec toi...c'est bien connu
ici aussi...bisous et …

… … Nous te
souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la
joie.
Hoder

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Tafsut : Le Printemps
25/03/2007 05:39
Que faites vous pour accueillir tafsut ( Le Printemps) ?
Chez les Kabyles, on organise pour la circonstance un dîner particulier : Imensi N Tefsut.
Les villageois sacrifient pour l’occasion des coqs fermiers, des chapons qui accompagnent le fameux coucous aux feves : Avisar.
Pour la matinée du premier jour de Printemps, les mêmes gestes sont repetés depuis des lustres. "Amagar n tefsut".
Des pique- niques sont organisés dans les prés ainsi que des jeux, mais surtout on se roule dans l’herbe à la gloire des divinités de la Nature.
Aprés le dîner de l’ouverture et de l’accueil de Tafsut, la saison démarre par une periode de dix jours nommés "Tizeggaghin" (les journées rouges). Qualitatif en relation avec des crépuscules flamboyants durant lesquels le soleil avant de se coucher met le feux aux nuages, le ciel devient pourpre pendant un quart d’heure.
Cette décade est suivie de Timgharine (les vieilles capricieuses) d’une durée de sept jours marqués par des changements de temps trés rapides. les quatres saisons défilent dans la même journée : averses de pluie ou de grêle,éclaircie, froid intense ou encore des grossses remontées de chaleur et vents du sud.
Ensuite c’est la période appelée "Ledjouareh" : Les Blessures, pendant laquelle les bourgeons éclosent et les arbres se couvrent à nouveau de petites feuilles et de fleurs.
La semaine qui suit le bourgeonnement est appelée "Esswaleh" : Les Jours Utilles qui correspond à la nouaison de certains végétaux à l’apparition des fruits sur les arbres.
Arrivent alors "Imheznen" : Les sept jours tristes, premiers jours d’avril marqués par la timbale des cigales durant laquelle la chaleur s’installe.
Suivent les 14 jours de "Ahegan", une periode qui dit on fait trembler les sangliers ! Le ciel est bouché, il fait trés froid mais il ne pleut pas.
"Tiftirin" : les cycles, marque la sortie définitive de cette mauvaise période pour ouvrir sur les chaleurs du mois de mai.
Les pluies chaudes du mois de mai durent 14 jours et sont appelées "Nissen" : les eaux fécondes.
Les sept journée vertes "Izegzawen" mettent fin à la floraison.
le printemps est alors bouclé par les sept journées jaunes "Iwraghen" et l’été démarre le 30 mai par les sept journées blanches" Imellalen", durée du départ des transhumances.
Sources : Depêche de Kabylie
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«Iha iha la coupe tuli d assawen !»
25/03/2007 05:25
Coupe d’Algérie
Par : Achour Ait Ali
ASK 2 - JSK 4 (AP)
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/03/24/8503820
Stade 19-Mai-45 - Annaba - Affluence : faible Arbitres : Boumaâza, Sabhi, Fedaoui Averts : Yahia (68’), Athmani (90’), Benmelli (90’+3) (ASK), Meftah (32’) (JSK) Buts : Derrahi (33’ sp), Bourahli (35’) ASK - Herkat (5’sp), Hemani (66’ et 112’), Saïbi (94’) JSK
ASK Aïssani, Talbi, Bendredi, Benmelli, Yahia, Derrahi, Chouieb, Remache (Athmani)(82’), Bourahli (Dalal) (76’), Ouichaoui, Bouharbit Entraîneur : Zekri
JSK Mazari, Demba, Oussalah, Meftah (Saïbi) (62’), Harkat, Wassiou, Abdeslam, Zafour, Athmani (Douicher) (46’), Hemani (Ouslati) (114’), Yacef Entraîneur : Aït Djoudi
La rencontre mettant aux prises le deuxième au classement de la D1 avec le deuxième de la Super D2, dans une épreuve aussi indécise que Dame coupe, ne pouvait qu’être âprement disputée. Les Khroubis de l’ASK, pas impressionnés pour un sou par le standing de leur adversaire, tout auréolé par sa qualification en Ligue des champions d’Afrique, ont assuré le suspense plus d’une heure et demie de jeu durant. La JSK n’ayant réussi à faire le break que dans les prolongations. Ne vous fiez surtout pas au score, car la mission des Kabyles n’a pas du tout été facile face à une équipe qui n’avait vraiment rien à perdre, plutôt tout à gagner. La rencontre débute sur un rythme plus ou moins élevé. Cinq minutes suffirent aux Kabyles pour ouvrir la marque sur penalty, suite à un fauchage de Yacef dans la surface de réparation. Herkat, qui s’est chargé de l’exécution de la sentence, crucifie Aïssani. Le ton est donné. La réaction des Khroubis ne s’est pas fait attendre. Deux minutes seulement et Rahim Meftah a dû faire le ménage autour de lui en dégageant sur sa ligne un tir de Ouichaoui. Mais ce n’était que partie remise, puisque les Khroubis égalisèrent à la (33’) par l’entremise de Derrahi, sur penalty également, suite à une main de Meftah dans la surface de réparation. Mieux, Bourahli parviendra à doubler la mise deux minutes plus tard, sur un tir puissant. Une véritable douche froide pour les Canaris qui croyaient gérer la rencontre à leur guise, après leur ouverture du score. Et ce n’est certainement pas les nombreux ratages de Hemani (40’) (43’) et Yacef (45’) qui allaient rassurer les supporters. Tout était donc à refaire pour les Kabyles. En seconde période, Aït Djoudi procède à un certain remaniement de son dispositif tactique en incorporant Douicher et Saïbi. Ce qui a permis aux Kabyles de bien maîtriser le jeu, acculant leur adversaire dans ses derniers retranchements. Les contres s’enchaînent et la défense khroubie, qui avait réussi jusque-là à contrer tant bien que mal les tentatives de la JSK, baissera pavillon sur une tête rageuse de Hemani, bien servi par Yacef (66’). Après coup, l’on notera une sensible baisse de régime de la part des joueurs du Khroub qui avaient apparemment du mal à suivre le rythme, laissant ainsi les Kabyles dérouler à leur aise. Saïbi (78’) avait la balle du break, mais il trouvera le moyen d’envoyer le cuir dans les décors devant les buts grands ouverts. Le reste du temps réglementaire n’ayant rien donné, il fallait donc aller aux prolongations. Mais le suspense sera finalement de courte durée, puisque Saïbi redonnera l’avantage aux siens à la 90’+5. En effet, l’ex-joueur de Bentalha subtilise le ballon à un défenseur adverse avant de s’en aller battre Aïssani d’un joli lob, confirmant ainsi tout le bien que l’on pensait de lui. Dans la deuxième mi-temps des prolongations, plus précisément à la 117’, Hemani, l’un des joueurs les plus en vue de cette rencontre, mettra fin aux espoirs des Khroubis d’un tir décroisé, après s’être présenté seul face au gardien. La JSK, qui s’est qualifiée donc non sans difficulté, affrontera le vainqueur du match MCO- MCM lors du prochain tour. Achour Ait Ali
Aït Djoudi et Athmani hués Comme il fallait s’y attendre, Azzeddine Aït Djoudi et Boubakar Athmani n’étaient pas les bienvenus pour les Annabis. En effet, les deux Kabyles ont entendu des vertes et des pas mûres de la part d’une certaine partie des présents dès leur apparition sur le terrain. Il faut dire que certains Annabis n’ont pas apprécié leur départ de l’USMAn.
Hemani a la cote à Annaba Aussi bizarrement que cela puisse paraître, un seul joueur de la JSK a eu droit à un accueil chaleureux, c’est Nabil Hemani. Même après le match, il a été félicité par les Annabis qui n’ont pas manqué de lui demander de rejoindre leur club la saison prochaine. Ce traitement de faveur est certainement dû au fait que l’attaquant kabyle a pour habitude de passer ses vacances d’été à Annaba.
Les Kabyles de Annaba au rendez-vous Malgré le froid, les supporters de la JSK étaient présents dans les tribunes du stade du 19-Mais-56 pour encourager les coéquipiers de Zafour. Par ailleurs, les Kabyles ont reçu, la veille, la visite de leurs fans à l’hôtel Les Mimosas. Il en sera de même après la rencontre en se rendant à l’aéroport.
Aït Djoudi : «On a eu du mal à entrer dans le match» «C’était, je le reconnais, une rencontre très difficile face à un adversaire d’un assez bon niveau. La mésaventure que nous avons vécue la veille au cours de notre déplacement, puisque nous n’avons rallié Annaba que vers une heure du matin, a fait que mes joueurs ont eu du mal à entrer dans le match. Nous avons commis certaines erreurs en défense qui nous ont coûté deux buts, mais nous nous sommes vite ressaisis. La rentrée de Douicher et Saïbi a apporté un certain équilibre à notre jeu. Au bout, nous repartons avec une qualification et beaucoup de satisfactions. Les garçons, qui se sont montrés volontaires et sérieux, sont à féliciter.» A. A. A.
Hocine Zekri : «La JSK mérite sa qualification» «On a assisté à une rencontre très disputée. Malgré le fait qu’on ait joué devant une grande équipe de la JSK, nous avons bien joué et même tenté à plusieurs reprises de revenir au score, sans résultat. Le manque de concentration a fait que les occasions qui nous ont été offertes échouent. Mes joueurs ont tout démontré, je les en félicite, car ils ont honoré leur club. La JSK a fait preuve de beaucoup de volonté et mérite sa qualification pour le prochain tour.»
Un cadre et un fanion pour la JSK Avant le coup d’envoi de la rencontre, le président de la JSK, Moh Chérif Hannachi, a reçu des mains de l’entraîneur de l’ASK, Hocine Zekri, un cadre honorifique et un fanion aux couleurs de l’ASK. Une manière aux Khroubis d’honorer leur adversaire du jour.
Zekri fair-play L’entraîneur de l’ASK, Hocine Zekri, s’est distingué par sa sportivité. Avant la rencontre, il est allé saluer tout le banc de la JSK et, après le match, il n’a pas manqué de féliciter les Kabyles pour leur qualification.
Derrag déçu S’étant échauffé pendant un bon bout de temps, Mohamed Derrag croyait dur comme fer qu’il allait faire son entrée mais à sa grande déception, cela n’a pas eu lieu puisque son entraîneur a finalement choisi de renforcer le milieu de terrain en incorporant Fahem Ouslati à la place de Nabil Hemani.
Wassiou dans un beau jour Auteur d’une première partie de championnat tout juste moyenne, Wassiou est en train de revenir en force. Au fil des rencontres, le Béninois prouve qu’il retrouve peu à peu son meilleur niveau, comme ce fut le cas jeudi passé. Sur l’action du penalty en faveur de Yacef, c’est le milieu offensif de la JSK qui fait une passe lumineuse de l’extérieur vers son coéquipier, fauché à l’intérieur de la surface de réparation.
Hannachi encourage les Khroubis A l’issue de la rencontre, l’entraîneur de l’ASK, Zekri, est allé féliciter les Kabyles, à leur tête le président du club, Moh Chérif Hannachi. Celui-ci n’a pas manqué à son tour d’encourager son interlocuteur en lui disant : «Vous avez une bonne petite équipe qui joue bien au football, continuez comme ça.»
Frileux Hemani et Oussalah ! Deux joueurs de la JSK avaient apparemment froid plus que les autres sur le terrain. Il s’agit de Nabil Hemani et Nassim Oussalah. Ils étaient les seuls à porter des collants.
Aïssani avec un parka sous le maillot Côté ASK, celui qui a été sensible au froid est le gardien de but Aïssani. C’est pourquoi il demandé à ce qu’on lui remette un parka qu’il a porté… sous le maillot pour pouvoir évoluer à l’aise.
Ouslati et Saïbi rejouent La rencontre de Coupe d’Algérie face à l’ASK a été l’occasion pour Fahem Ouslti et Youcef Saïbi de renouer avec la compétition. La dernière apparition de Ouslati remonte au match retour contre le FC Os Balanats pour le compte du premier tour préliminaire de la Ligue des champions africaine. Depuis, Ouslati a eu quelques bobos avant de faire les frais des choix de l’entraîneur kabyle. Quant à Saïbi, il était contraint de rester loin des terrains depuis le match face à l’USMS pour le compte des 16es de finale de la Coupe d’Algérie.
Saïbi à la Luca Toni ! Après avoir inscrit le quatrième but face à l’ASK, Youcef Saïbi, fou de joie, s’est dirigé vers le banc des remplaçants en faisant un signe en secouant de la main tout près de son oreille, à l’image de ce que fait l’attaquant italien Luca Toni qui, apparemment, est le modèle de Saïbi.
Les Kabyles changent de tenue La mi-temps n’aura pas été seulement l’occasion pour les vingt-deux acteurs de souffler un petit peu, c’était l’occasion aussi de changer de tenue salie par la boue puisque le terrain du stade du 19-Mai-56 était gorgé d’eau suite aux fortes pluies qui se sont abattues sur la ville de Annaba.
Dabo reçoit la visite de son agent Cette rencontre de Coupe d’Algérie a été l’occasion pour Cheikh Omar Dabo de retrouver son agent pour qui ce match a un cachet particulier pour la simple raison qu’il est originaire du Khroub et qu’il a porté par le passé les couleurs de ce club. Les deux hommes sont restés un bon moment à discuter après le match, sans doute l’occasion d’évoquer l’avenir de l’attaquant malien à la JSK.
Oussalah ne s’en sort pas mal Apparemment, Nassim Oussalah est en train de se découvrir une nouvelle vocation, celle de latéral gauche. Aligné une nouvelle fois, jeudi passé, face à l’ASK à ce poste après la défection de Sofiane Bengorine, l’attaquant kabyle s’en est bien sorti en réalisant une bonne prestation dans le couloir gauche.
Demba à droite, puis dans l’axe Barry Demba a débuté la rencontre face à l’ASK au poste de latéral droit, un poste auquel il commence à y prendre goût puisqu’il est en à sa troisième sortie. Mais en seconde mi-temps, le Malien a retrouvé un autre poste qu’il affectionne encore plus, celui de défenseur axial à la place de Rahim Meftah, remplacé à la pause par Lamara Douicher, chargé d’occuper le côté droit de la défense kabyle.
Herkat et Hemani chez Athmani Ils étaient 18 à effectuer le déplacement à Annaba mercredi passé. Mais le lendemain, au retour, ils n’étaient que 15 à prendre le vol Annaba-Alger. Boubakar Athmani autorisé à rester chez lui n’a pas manqué d’inviter deux de ses plus proches coéquipiers, Sofiane Herkat et Nabil Hemani.
Des sandwiches à l’aéroport A l’aéroport de Annaba, les joueurs de la JSK ont eu droit à des sandwiches afin de casser la croûte en attendant de prendre le vol à destination d’Alger.
Un banc trop exigu ! On ne sait pour quelle raison, mais le banc réservé à la JSK s’est avéré être trop exigu pour contenir tous les joueurs. Certains d’entre eux ont dû rester debout ou carrément assis par terre.
Benhamlat fête bien ses 33 ans Jeudi, Aziz Benhamlat était doublement content, d’une part, pour la qualification et, d’autre part, par le fait que le 22 mars coïncidait avec son anniversaire. La veille, une collation a été organisée en l’honneur du manager général de la JSK par le groupe au niveau de l’hôtel Les Mimosas.
Des bouteilles d’eau pour les supporters Sollicité par les supporters pour leur donner de l’eau, Benhamlat n’a pas hésité à leur jeter des bouteilles d’eau minérale qui se trouvaient sur le banc.
Hemani à Chaouchi En égalisant, Nabil Hemani s’est aussitôt dirigé vers le banc pour se jeter dans les bras de Fouzi Chaouchi qui a été laissé au repos à cause d’une blessure.
Chaouchi retrouve un ami Alors qu’il était sur le banc, Fouzi Chaouchi a été surpris d’entendre qu’on l’appelait par son nom à partir de la tribune. En se retournant, le gardien de but de la JSK découvrit que c’était un ami de vielle date qui l’interpellait.
Zetchi serait prêt à négocier Le président du PAC, Zetchi, serait prêt à négocier l’éventuel transfert de Djediat vers l’un des clubs qui s’intéressent à lui parmi lesquels la JSK. Il semblerait que, du côté de la JSK, on envisagerait de proposer le marché suivant : s’attacher les services de Djediat en contrepartie, le PAC bénéficierait des revenus d’un éventuel transfert à l’étranger. Par ailleurs, le PAC pourra bénéficier des certains joueurs que ne gardera pas la formation kabyle pour la saison prochaine.
Intérêt pour Hamidi et Segueur En prévision de la saison prochaine, du côté de la JSK on a décidé d’élargir le champ de prospection d’éventuelles recrues vers la deuxième division. Ainsi, selon certaines informations, la JSK s’intéresse de près à deux éléments du MC Saïda : Hamidi et Segueur. Deux éléments à vocation offensive. Le premier n’est autre que le meilleur buteur du championnat de Super D2 avec à la clé 17 réalisations. le second, c’est le maître à jouer de cette formation saïdie et n’hésite pas lui aussi à marquer puisqu’il totalise 5 buts. Pour le moment, ce n’est là qu’un simple intérêt car la saison n’est pas encore terminée et le MCS est toujours en course pour décrocher la troisième place synonyme d’accession.
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Bgayet
25/03/2007 05:18
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Nassim Hamlaoui (JSKabylie) à Liberté Foot
24/03/2007 03:01
“Nous jouerons notre va-tout pour le titre”
Par : Mohamed Haouchine
Source : http://www.liberte-algerie.com/foot/edit.php?id=58560
Décidément, la médecine du sport aura connu, ces dernières années, une véritable révolution dans la mesure où les nouvelles techniques d’exploration et d’intervention chirurgicales sont tellement performantes et sophistiquées que tous les sportifs qui passent sur le billard sont rapidement retapés à neuf et vite reversés dans le vif de la compétition.
À ce titre, le cas de l’excellent milieu de terrain de la JSK, Nassim Hamlaoui, est certainement édifiant à plus d’un titre.
C’est que, à 26 ans (il est né le 25 février 1981 à Tizi Ouzou), celui qui est considéré comme l’un des poumons de la formation kabyle n’a pas été épargné ces dernières années par les blessures, lui, qui fut d’abord opéré en novembre 2004 des ligaments croisés du genou gauche.
Là, on a pensé qu’il était parti pour six mois minimum d’éloignement des terrains, de convalescence et de rééducation.
Mais, tout compte fait, il mettra à peine quatre mois pour reprendre le chemin des stades et reprendre goût à la compétition.
À l’époque, il n’avait que 23 ans et il aura mis tout son cœur et son enthousiasme juvénile pour remonter la pente et se remettre sur selle.
Après avoir repris goût à la compétition et retrouvé ainsi sa vitesse de croisière, Nassim Hamlaoui relança gaiement sa carrière.
Mais, voilà qu’en ce début d’année 2007, il se retrouve encore sur le billard pour se faire opérer du ménisque externe.
Et encore du genou gauche ! Mais comme de nos jours, l’opération du ménisque est considérée désormais comme un acte chirurgical plutôt banal, Hamlaoui mit un peu plus d’une… semaine pour retrouver tous ses moyens physiques et se réadapter très vite à la compétition de haut niveau.
“Aujourd’hui, la chirurgie chez le sportif a beaucoup évolué. Une semaine après une opération du ménisque, j’ai pu reprendre aisément le chemin de l’entraînement aux côtés de mes coéquipiers.
Dix jours après l’opération, j’ai joué un match de Coupe d’Afrique face à Mangasport du Gabon alors que je n’avais pas encore retiré tous les fils de suture”, dira Hamlaoui.
Pour l’anecdote, il a enlevé ces fils que le lendemain de cette rude empoignade livrée aux Gabonais de Mangasport dans leur propre fief.
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, le milieu de terrain kabyle ne tardera pas à retrouver son punch et se réconcilier ainsi avec son football conquérant.
“C’est vrai que je n’ai pas mis beaucoup de temps à être de nouveau opérationnel et, me sentant libéré, je m’en suis donné à cœur joie pour rattraper quelque peu le chemin perdu et contribuer au mieux à cette résurrection tant souhaitée par la grande famille de la JSK”, dira encore Nassim Hamlaoui qui fut l’un des bourreaux de Mangasport puisqu’il pesa de tout son poids au match aller au Gabon où son coach Aït Djoudi avait pris le pari fou de le lancer dans l’arène en seconde mi-temps, où la JSK avait réussi quelque peu à équilibrer les débats alors qu’au match retour, au stade Omar-Hammadi de Bologhine, Hamlaoui aura brillé de mille feux aux côtés de Wassiou et Douicher, soit un trio de rêve lorsqu’il carbure à plein régime.
“C’est vrai que nous avons bien tourné au milieu mais il ne faut pas oublier que notre défense aura réussi un match héroïque alors que l’attaque a craché le feu avec ces trois jolis buts de Yacef, Dabo et Hemani.
Disons que c’est toute l’équipe qui a bien tourné et c’est tant mieux pour le reste de la saison”, enchaînera Hamlaoui qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
“Je me sens bien physiquement et mentalement.
Je m’en donne à cœur joie pour mon plaisir et pour l’intérêt de toute l’équipe”, lancera encore Hamlaoui qui, à 26 ans à peine, semble avoir déjà atteint la maturité d’un footballeur de haut niveau, surtout que toute son équipe, la JSK, respire la bonne santé et donne la nette impression d’avoir accordé ses violons pour terminer la saison en puissance et ce, pourtant, après un début de saison tout simplement catastrophique.
“Le football est ainsi fait. Nous avons entamé le championnat avec un constat de faillite mais nous avons réussi finalement à vaincre le doute et remonter la pente de façon tout simplement spectaculaire”, précisera encore Hamlaoui qui compte bien se donner à fond avec tous ses coéquipiers pour se mêler à la course au titre.
Qui l’aurait cru ? “Après avoir été distancée largement par le leader sétifien, voilà que ce dernier s’essouffle au moment même où la JSK retrouve une régularité impressionnante.
Avec cinq points de retard sur le leader et un match encore à disputer à Tizi Ouzou face à Béjaïa, nous pouvons revenir à deux points de Sétif et, pourquoi pas, de nous mêler au titre alors qu’en Ligue des champions africaine, le tirage au sort nous offre l’opportunité de prendre une belle revanche sur les Camerounais de Coton Sport qui nous avaient éliminés de la Coupe de la CAF en 2002”, insiste Hamlaoui qui n’a pas pu prendre part, ce week-end à Annaba, au fameux match de Coupe d’Algérie JSK-AS Khroub qui lui aura valu tant de fourmis dans les jambes.
“C’est une fin de saison très prometteuse que nous vivons là. Après avoir redressé la situation de manière magistrale, la JSK se situe actuellement dans une courbe ascendante et lorsque les bons résultats s’enchaînent, toute l’équipe marche comme sur des roulettes”, conclut Hamlaoui, un miraculé du sport qui a déjà oublié tous ses passages sur le billard et toutes les périodes noires pour se tourner résolument vers un avenir beaucoup plus radieux et surtout plein de lauriers.
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