AZUL,
ILMEDAD USGGAS AGI AMAYNUT 2010, BYIY AWEN, AKK AYEN YELHAN DI
DDUNIT.NNIYA, TAGMAT D U3AFFER, AKEN ADAWDEN
IDAREN NNEY ANDA BYAT ADAWDET TIKTIWIN NNEY AKKEN ADNEGK ALMENDAD I TMURT
NNEY, TAMURT N LQBAYEL.
À L'OCCASION DE LA NOUVELLE ANNÉE 2010, JE VOUS SOUHAITE MES MEILLEURS
VOEUX DE BOHNEUR, DE SANTÉ ET DE PROSPÉRITÉ.
Commentaire de Arezki (30/12/2009 20:22) :
Tannemirt a Mourad ...a mon tour de te présenter mes meilleurs voeux de
bonheur ,joie ,santé et prospérité.
Bonne et Heureuse Année 2010 a toi et tous ceux qui t'aiment...
Encore merci et a la prochaine.
A r tufat
Commentaire de Tiziri Taqvaylith (31/12/2009 20:18) :
"Bonne et heureuse annee 2010. merci pour toutes les photos sur la
kabylie, et esperant qu'en 2010, ce blog atteindra le sommet de
visites et de photos sur notre belle et rebelle Kabylie"
Commentaire de Lila (31/12/2009 21:00) :
Bonne et heureuse année 2010, je vous souhaite à tous et à toutes plein de
bonnes choses...:)
Commentaire de boudj ao (31/12/2009 21:15) :
Assegas Amegaz 2010! Bonne et heurese année 2010 ! à toi ,à ta femme et à
ta fille Ania... Nos meilleurs voeux de kouba ...a r tufat
Commentaire de Arezki AO de Montréal (01/01/2010 01:18) :
A l’occasion de la nouvelle année 2010, je présente aux internautes du
monde entier mes meilleurs vœux de bonheur et de prospérité. Bonne année et
bonne santé pour tous. Merci encore pour vos visites sur mon blog et vos
commentaires et vos encouragements....Au plaisir de lire vos commentaires
....bisous!
LES CITOYENS RÉAGISSENT À LA CAMPAGNE DE DÉNIGREMENT ÉGYPTIENNE CONTRE L’ALGÉRIE«Que nous cache-t-on encore?»
11/12/2009 20:40
Bien plus que les Berbères traités de sauvages et de barbares, l’indignation contre l’outrage à nos martyrs fait l’unanimité à Tizi Ouzou.
La vague d’injures et de diffamation des médias égyptiens continue de s’abattre sur tout ce qui est algérien. Pendant trois semaines, les Algériens encaissent des insultes jamais entendues de la part des pires ennemis de leur pays. Après avoir vécu trois semaines d’injures et d’affronts, des citoyens commencent à s’interroger sur le pourquoi de courber l’échine et surtout sur le silence officiel: «Que nous cache-t-on encore?», «Y-a-t-il des dessous économiques, politiques qui justifient ce silence?», entend-on dire chez des citoyens excédés de voir les symboles de leur pays et leur dignité bafoués Durant la première semaine, l’osmose était totale entre les autorités politiques et la population. Des milliers de jeunes ont voulu partir au Soudan soutenir les Verts, agressés au Caire. La réponse des autorités a été à la hauteur des attentes et s’est matérialisée par la prise en charge de la majeure partie du prix des billets d’avion pour Khartoum. La deuxième semaine, les insultes proférées contre l’Algérie n’ont eu comme réponse que le silence. Cependant, ce que ne semblent pas accepter les populations, ce sont les outrages à nos martyrs. Ces derniers jours, à Tizi Ouzou, cela constitue le sujet de l’actualité chez la population. Si une infime partie semble partager la position des autorités politiques, la majorité, en revanche, s’impatiente de voir ces dernières accorder leurs violons avec la rue algérienne. Mais, la rue, en général, gronde. Elle ne semble pas du tout convaincue par ce silence qu’elle trouve «inexpliqué». Les citoyens rencontrés hier, se disent surtout déçus par le silence des partis politiques, y compris ceux de l’opposition. Des centaines, voire des milliers de témoignages mettent en évidence le décalage entre la réponse diplomatique et la rue face à l’hystérie des Egyptiens qui ont dépassé toutes les limites. Inimaginables: «Ils ont déterré notre un million et demi de martyrs pour leur cracher à la figure. Il ne reste rien entre nous Algériens et le peuple égyptien», s’est écrié un étudiant de l’université de Tizi Ouzou. «Un Algérien touché dans son honneur peut pardonner, mais il ne reste plus de chance de réconciliation avec son adversaire.» C’est l’avis de Ammi Saïd, moudjahid. Entouré par une foule de jeunes pendant notre conversation, le vieux n’a pas réussi à convaincre. «Si vous avez peur de les affronter, nous sommes là», lui lança Tarek, employé dans un café. La réponse de Ammi Saïd était qu’il n’avait peur de personne. «J’ai combattu la France, comment craindre les Egyptiens?», répliqua-t-il, calme. «Je n’ai jamais entendu un Français insulter les chouhada», dit un autre jeune. «Les Français les ont tués», réplique le vieux.. «Je préfère celui qui me tue plutôt que celui qui touche à mon honneur.» En effet, la discussion n’est pas exceptionnelle. Les jeunes sont outrés quand on parle des tentatives de réconciliation. «Alors comme ça, on est prêts à oublier et reprendre à zéro après qu’ils eurent craché sur les tombes de nos martyrs?», s’indignait Hamid, un universitaire. «Je refuserai d’être enterré dans ce pays, si j’entends encore parler de relations algéro-égyptiennes». Ce sont les paroles de Moh, un émigré à la retraite. La colère des populations n’est pas uniquement provoquée par le silence des autorités. Elle est aussi exacerbée par le silence des partis politiques. «Ces gens n’installent leurs DJ qu’à l’approche des élections». C’est la réponse de Hacène, vendeur dans un magasin. Il répondait à une question sur les partis et les insultes des Egyptiens. Il apparaît au vu des discussions que les partis politiques ne sont même plus pris aux sérieux. Parmi les personnes âgées, par contre, la colère n’est pas visible. Au contraire, beaucoup trouvent que l’attitude algérienne est empreinte de sagesse. Toutefois, la gêne est toujours là quand on évoque les insultes contre les chouhada. Bien plus que les Berbères traités de sauvages et barbares, l’indignation contre les atteintes à la mémoire de nos martyrs fait l’unanimité à Tizi Ouzou. «C’est bien que nos autorités gardent le silence. Les Egyptiens ont atteint un niveau aussi bas qu’il ne nous sied pas de les suivre», s’exprime un avocat âgé. Questionné sur l’emblème national algérien brûlé par des avocats égyptiens, le même juriste condamne, mais il estime que le plus grave est l’outrage fait à nos martyrs. Du côté de l’université Mouloud-Mammeri, certains étudiants se disaient outrés par les insultes contre les chouhada, mais pas étonnés d’entendre diffamées nos origines berbères. «C’est nous qui les avons reniées depuis quarante ans, comment voulez-vous que les Egyptiens les respectent», conclut Hamid percutant, étudiant en médecine.
Salem Chaker: "La majorité des Maghrébins sont des Berbères arabisés"
25/11/2009 01:43
Interview de Salem Chaker, Linguiste et professeur de langue berbère (université de Provence, Institut national des langues et civilisations orientales, Inalco).Considérée comme un facteur de division durant la lutte pour l’indépendance, puis comme une menace pour l’unité nationale, l’amazighité constitué désormais l’un des éléments reconnus de l’identité algérienne. Le combat pour la langue est cependant loin d’être gagné selon ce spécialiste et ardent défenseur de la culture berbère. Nous vous proposons cette interview en exclusivité avant de retrouver notre dossier complet sur les Berbères d'Algérie dans l'édition de Jeune Afrique du 16 au 21 novembre.
Jeune Afrique : Quelles sont les origines des Berbères ? Salem CHAKER : Cette question a fait couler beaucoup d’encre. Les sources latines les ont fait venir de Perse, les historiens arabes médiévaux de Palestine ou du Yémen, et les fumeuses théories coloniales du XIXe siècle leur attribuaient volontiers des origines « européennes ». Mais tout cela n’est que légende ou idéologie. Les Berbères doivent être considérés comme les habitants autochtones de l’Afrique du Nord. Tous les indices scientifiques, données archéologiques, anthropologiques, linguistiques et témoignages de sources anciennes (égyptiennes, grecques, latines…) convergent pour établir qu’ils y sont installés depuis des millénaires.
Mais alors, pourquoi ces légendes et idéologies ? Chaque conquérant a eu tendance à donner aux Berbères une origine qui légitimait sa domination sur l’Afrique du Nord. Cela est tout à fait explicite chez de nombreux idéologues arabes, algériens notamment, qui prétendent justifier une politique d’arabisation des Berbères par leurs origines « yéménites ». De la même façon, une prétendue origine celtique, germanique ou grecque justifiait la colonisation européenne. De nombreux conquérants (Phéniciens, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes, Turcs, Français et autres Européens) se sont implantés dans cette aire géographique au cours de l’histoire et il y a eu bien des apports de populations étrangères (Négro-Africains, Andalous et Juifs). Mais aucune de ces dominations extérieures, aucune de ces arrivées de populations ne change radicalement le fond du peuplement indigène, qui reste berbère.
Que signifie être berbère à notre époque ? C’est d’abord et avant tout être berbérophone, car la langue est le principal critère d’identification du Berbère par rapport au reste de la population d’Afrique du Nord. Bien sûr, il y a d’autres paramètres : une tradition et des références culturelles particulières, une mémoire historique spécifique, éventuellement des restes d’organisation sociale propre, du moins là où l’intégration nationale et le monde moderne n’ont pas complètement écrasé les structures sociales anciennes. Cependant, tous ces paramètres n’existent, et surtout ne perdurent, que si la langue qui les porte se maintient. Si l’on considère la situation en Afrique du Nord, le berbérophone qui abandonne l’usage de sa langue se fond dans la majorité environnante arabophone et devient Arabe. C’est un processus mécanique, parfaitement connu, qui est à l’œuvre depuis des siècles avec la conquête arabe et l’islamisation des Berbères. L’immense majorité des Maghrébins sont des Berbères arabisés au cours des siècles, dans le cadre de ce processus de substitution linguistique qu’est l’arabisation. La berbérité en dehors de la berbérophonie me paraît illusoire et sans avenir. Jusqu’à la fin des années 1980, le pouvoir refusait de reconnaître la dimension berbère du peuple algérien. Pourquoi ? C’est une vieille affaire qui a à la fois des racines idéologiques anciennes et des causes politiques plus récentes. Dès ses débuts dans les années 1920, le nationalisme algérien a défini l’identité nationale comme arabe et musulmane. Tout ce qui n’entrait pas dans ce cadre a été voué aux gémonies, exclu et condamné comme facteur de division face à l’ennemi colonial. Cette position se comprend bien dans le contexte colonial. Face à l’entreprise de négation, voire d’assimilation de la France, il fallait affirmer une identité forte, unie et opposable à la culture et à la langue françaises. Les Berbères, dans cette opposition binaire, étaient perçus comme une réalité gênante, voire un obstacle. Par ailleurs, ce nationalisme puise toute son inspiration dans le modèle d’État- nation français, dont il n’est que la réplique symétrique. La conception jacobine française centralisée et unifiée de l’État et de la nation, a été reprise telle quelle par les nationalistes algériens. Comme en France, il leur fallait un État, une nation, une langue. Ils y ont ajouté une religion…
Et après l’indépendance ? À l’indépendance, les luttes pour le contrôle du pouvoir rassemblent d’un côté des chefs arabes, de l’autre des chefs kabyles, très divisés, principalement Krim Bel-kacem et Hocine Aït Ahmed. Dès 1963, l’insurrection armée de ce dernier en Kabylie est durement réprimée par l’armée nationale. Il y aura en conséquence, pendant des décennies, une hostilité tenace du pouvoir vis-à-vis de tout ce qui est berbère. S’intéresser à la langue ou à la culture berbère, était perçu comme un acte d’opposition. Dans les années 1970, on a ainsi envoyé en prison des adolescents pour la simple détention d’un alphabet berbère ! Et la Cour de sûreté de l’État a régulièrement condamné les militants berbéristes à de lourdes peines. Mais depuis les années 1990, les choses ont évolué dans le bon sens… Oui, mais ces évolutions ne « tombent pas du ciel ». Elles résultent du combat, sur plusieurs décennies, de militants de la culture berbère qui, à partir de 1980, ont été relayés par une mobilisation de masse constante en Kabylie. Depuis, les mouvements de protestation et de revendication n’ont jamais cessé dans cette région. Mais cet assouplissement sur « la question berbère » est aussi lié à des évolutions du contexte politique global algérien. Le parti unique s’est effondré. Il y a eu desserrement de l’étau. D’autre part, à partir du milieu des années 1980, un autre phénomène est venu changer profondément la donne politique : l’islamisme radical, devenu, au tournant des années 1990, l’ennemi numéro 1. La menace islamiste a amené le pouvoir algérien à chercher des alliés potentiels du côté des Berbères. Résultat, la langue berbère, le tamazight, est aujourd’hui enseignée dans les écoles algériennes… J’insisterai sur la nécessité d’être extrêmement précis concernant la reconnaissance de la langue berbère et son enseignement. Il serait inexact de parler de reconnaissance pleine et entière et d’un développement vigoureux de l’enseignement. Le berbère est encore dans une position très marginale dans le système scolaire et dans la vie publique. Les mesures prises par l’État ne sont pas encore de nature à assurer la survie, une diffusion large et le renforcement du statut réel de cette langue.
1.tu ne tiens pas debout facilement, il te faut un mur, une voiture ou n'importe quoi. 2. tu n'es pas entièrement arabe. tes ancêtres sont turcs, berbères, espagnols, français, touaregs, siciliens. 3. ton père (ou l'1 de tes proches) travaille dans le BTP ou il est proprio d'un café ou d'une épicerie. 4. tu penses savoir parler arabe, mais essaies de discuter avec des gens du moyen orient 5. tu peux reconnaître tous les accents algériens 6. si t'es de l'est, tu te moques des gens de l'ouest et vice-versa 7. si t'es d'Alger, tu te moques de tout le monde 8. si t'es du sud, tu manges des dattes 9. les hommes dansent mieux que les femmes (surtout chez les kabyles) 10. t'écoutes du raï surtout quand t'es à l'étranger 11. Dès que quelqu'un s'en va, on commence à parler de lui. En bien ou en mal 12. Tes conversations concernent SURTOUT les autres. tu peux pas 't'occuper de tes affaires ! 13. les amis de tes parents, ou les parents de tes amis, sont tes oncles et tantes 14. tu portes des tongs Adidas-Lacoste 15. tu embrasses des cousins que tu n'as jamais vu de ta vie 16. tu aime squatter la terrasse des cafés et parler des passants 17. si tu es une fille, ton prénom finit par un A 18. dans les mariages, des mères viennent te demander si t'es célibataire, et si oui, où est ta mère. 19. Les femmes algériennes entres elles, jouent à "qui parle le plus fort" 20. ou à "qui a le plus de bijoux" 21. ou à "qui a le plus de dents en or" 22. quand tu vas à la plage, tu fais pas semblant : levés à 5h du mat, toute la famille (20 personnes) la tente avec cuisinière intégrée et tu rentres chez toi à 21h 23. l'inspecteur Tahar est ton héros preferé 24. tu manges TOUT avec du pain. même le pain. 25. un plat sans harissa, c'est pas un plat 26. d'ailleurs, même dans le café tu mets de la harissa 27. on dit même que t'en avais dans le biberon 28. tu es trop fier pour accepter quelque chose sans payer. ou être payé après avoir rendu service 29. quand tu t'ennuie, tu fais chier le premier venu.. surtout quand c'est un policier ou un gars de l'administration. 30. pour faire ou renouveler un passeport ou une carte d'identité, ça te prends 3H maximum(.........) 32. tu respectes tes parents et tes aînés en général, quoiqu'il arrive 33. tu connais au moins 5 mots pour dire chewing-gum* 34. tu as algerianisé la langue française 35. quand t'es en Algérie, tu dis "pays de merde", quand t'es en Europe, tu pleures ta race pendant 3 mois ! 36. tu passes des journées entières avec le même cure-dent entre les lèvres 37. tout ce qui est bien, est qualifié de "la classe" 38. le tunning consiste à coller des stickers de la JSK/USMA/MCA et à mettre une serviette sur le tableau de bord 39. ou des stickers vache qui rit aussi 40. déjà, ta voiture, c'est une diesel 41. et c'est une Pigeot ou une Rinault 42. tu dis "ça va" au moins 8 fois dans la même conversation 43. à la fin de la conversation, t'es au courant de tout c'qui s'passe dans la famille de ton ami 44. t'as des cousins ultra-bricoleurs qui fabriquent des jouets pour enfants, des instruments de musique et des pièces pour auto avec pour seule matière première : le fil de fer (silenne.selk) 45. quand tu entends "one two three" tu peux pas t'empecher de crier "viva l'algérie" ! 46. tu as un poster de Zinedine Zidane 47. tu as des autocollants "A vendre" sur ta voiture alors qu'en fait elle ne l'est pas 48. a force de voir la photo de Boumedienne dans le salon tu croyais que Houari c'etait ton oncle 49. quand l'equipe nationale joue contre l' brizil ou l'argentine tu penses qu'elle va gagner 50. tu n'a pa vu le match en 1982 mais tu sais que l'algerie a gagner contre l'allemagne tellement ton père ta raconter ce match 51. quand regarder un film sur les chaines allemandes du baraboule c'est toujours mieux que regarder la chaine algerienne 52. tu vien de lire tout l'article mais t'a pa remarquer qu'il n'y avait pas de Numero 31 53. tu remonte la page pour verifier.....
Ce n’est qu’un avis : Le sport, cette économie oubliée...
13/09/2009 06:02
En ces temps de disette politique où la maladie du chiffre s’impose pour remplir un vide sidéral, laissé par les intermittents de la politique, le sport devient, par les grâces de joueurs de chez nous, venus d’ailleurs, une puissante force de mobilisation des jeunes et des moins jeunes. Le sport jouit, bon an, mal an, d’une place prépondérante dans le paysage politique, parce qu’il sert la stabilité « sociale » et l’ordre public. Tant que l’équipe nationale de Football gagne, tout va pour le mieux, dans le meilleur des mondes. En l’état actuel des choses, la période de grâce des dirigeants du pays fait qu’ils soient à l’abri de toute mauvaise surprise, venant des laissés pour comptes et des marginalisés de tout bord et de toute nature. Mais la médaille a un revers, bien que personne n’espère le vivre, même ceux qui souffrent de ce système vieillissant et ingrat, ayant mené les forces vives de ce pays, à rechercher les rudiments d’une vie, ailleurs que dans leur pays. Le sport, pourtant, peut avoir un autre rôle qu’un faire valoir, d’autant que la structuration du Football, entre autres, doit se faire impérativement parce que décidée, par les instances mondiales. La professionnalisation coule de source, c’est une revendication attendue par les jeunes et les moins jeunes pour faire évoluer cette pratique, au rang d’économie productive de richesse et un espace ouvert pour l’espérance et les ambitions. Aziz Derouaz y avait misé sa place de ministre et il a perdu ; maintenant Raouraoua et la FAF veulent faire cavalier seul. L’Algérie n’est donc pas sortie de l’auberge. Le professionnalisme tel qu’il est pratiqué est, d’abord, un cas d’école parce qu’il mobilise les annonceurs qui encourage la consommation et celle-ci génère la croissance. Basique ! Les moyens engrangés offrent les conditions de mise en place de pépinières qui essaimeront en grandissant. Les populations trouveront, dans un football structuré, une occupation saine en l’absence de toutes les autres activités que l’Etat veut et ne peut faire à la place des populations, dans la diversité de leur communauté de pensée et de leur communauté sociale ou catégorielle. Les manifestations de joie vécues à chaque sortie gagnante du onze national, ne peuvent être indéfiniment garanties. Dans ce cas, les prochaines seront plus graves qu’octobre 88, parce qu’elles interviendront après El Harga, le summum de l’insupportable. La moralité veut que toutes les réformes passent mieux et vite dans la gloire, sinon, il n’y a que les roses qui poussent sur du fumier.
1. tomber amoureux 2.rire jusqu'à en avoir mal au ventre
3. trouver un tas de courrier quand on rentre de vacances 4. conduire dans un endroit ou les paysages sont magnifique
5. écouter sa chanson favorite à la radio 6. se coucher dans son lit en écoutant tomber la pluie
7. sortir de la douche et s'envelopper dans une serviette toute chaude 8.réussir son dernier examen 9. prendre part à une conversation intéressante 10. retrouver de l'argent dans un panatalon utilisé 11. rire de soi même 12.prendre un bon repas entre amis 13.rire sans raison particulière
14. entendre accidentellement quelqu'un dire quelque chose de bien sur soi
15. se réveiller en pleine nuit en se rendant compte qu'on peut encore dormir quelques heures 16. observer un coucher de soleil 17.couter la chanson qui rappelle cette personne spéciale dans sa vie 18. recevoir et donner le premier baiser 19.sentir des picotements dans le ventre quand on voit cette personne si spéciale 20. passer un bon moment avec ses amis
21. voir heureux les gens qu'on aime 22. porter le gilet de la personne aimée et sentir encore son parfum 23. rendre visite a un vieil ami et se rendre compte que les choses n'ont pas changé entre nous
24. entendre que l'on nous aime. Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle, et dans les mauvais... ils viennent d'eux même.
Commentaire de thiziri ouali (05/09/2009 07:36) :
merci pour ce joli message tout est vraiþ ...
bonjour2007@live.fr
Commentaire de Arezki (14/09/2009 05:56) :
PENSEE ....ILS EXISTENT DES -GENS- QUI SE SERVENT DES FAIBLESSES OU DES
MALHEURS DES GENS,A LEURS AVANTAGES..ILS OUBLIT CE QUE PEUVENT RESSENTIR
LA PERSONNE VISEE OU SES PROCHES..IL FAUT SE METTRE PARFOIS DANS LA PEAU
DES GENS...Blog de pinkangel ...VICKIE
L'arthrite rhumatoïde est une maladie qui provoque une inflammation chronique de la membrane entourant les articulations (membrane synoviale). On la dit « auto-immune » parce que c'est le système immunitaire de la personne elle-même qui s'attaque aux tissus des articulations. On n'a pas réussi à identifier une cause précise. Les spécialistes pensent qu'elle est attribuable à un ensemble de facteurs environnementaux, génétiques et biologiques.
Recommandations générales
Il n'existe pas vraiment de consensus à propos de l'alimentation à adopter en cas d'arthrite rhumatoïde. On sait toutefois que l'incidence de cette maladie est moins forte dans les populations du Sud de la Méditerranée. Une étude parue en 20041 a fait ressortir que l'huile d'olive, l'huile de poisson, les fruits et les légumes étaient des facteurs protecteurs, tandis que la viande, les nitrites et un apport trop élevé en fer étaient des facteurs inducteurs. D'ailleurs, dans une étude clinique récente2, la prise quotidienne de 3 g d'oméga-3 provenant d'huile de poisson et de 10 g (15 ml) d'huile d'olive a entraîné des résultats très positifs. Dans le même ordre d'idée, une étude clinique parue en 20033 a démontré que les sujets suivant une diète crétoise, comparativement à ceux suivant une diète classique, ont obtenu une réduction de l'inflammation ainsi qu'une augmentation de la vitalité et des fonctions physiques.
De plus, trois études4-6 ont démontré que, chez certains patients, une diète végétalienne4,6 (ne comprenant aucun produit ou sous-produit d'origine animale) ou végétarienne5 améliorait les symptômes de l'arthrite rhumatoïde (voir notre fiche Végétarisme et végétalisme). Deux autres études7-8 ont démontré qu'un jeûne suivi d'une diète végétalienne apportait des modifications à la flore intestinale des patients atteints d'arthrite rhumatoïde, et qu'il y avait corrélation entre ces changements et l'amélioration de l'état des patients.
Une diète végétalienne ou crétoise pourrait donc avoir un effet anti-inflammatoire et aider à régulariser le système immunitaire. En plus, elle pourrait provoquer des changements bénéfiques dans la flore intestinale, ce qui entraînerait des répercussions positives sur la maladie.
Les habitudes alimentaires dont il est question dans cette fiche ont pour but de :
réduire l'inflammation,
améliorer le fonctionnement du système immunitaire,