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1/32 Finale. FC OS Balantas (Guinée Bissau) 1-2 JS Kabylie
11/02/2007 17:09
FC OS Balantas (Guinée Bissau) 1-2 JS Kabylie
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Bissau
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Les Equipes :
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FC OS Balantas (Guinée Bissau)
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JS Kabylie
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Chaouchi - M. Meftah, R. Meftah, Barry, Zafour, Bengorine - Hamlaoui, Abdeslam, Wassiou (Douicher) - Hemani (Oussalh), Dabo. Entraîneur : Aït Djoudi.
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Buts :
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Rachid Fords (47')
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Dabo (2', 82')
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La JSK se qualifie au prochain tour (5-2 sur l'ensemble des deux matchs)
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TRÈS IMPORTANT (Pas une joke un VIRUS)
10/02/2007 16:46
*AVIS pour tous les amis du NET*
*FAITES CIRCULER CETTE INFORMATION ENTRE AMIS, FAMILLE*
Si vous recevez un mail qui propose d'actualiser ton MSN en version 8.0 N'ACCEPTES PAS, car c'est UN VIRUS. Si tu reçois un avis comme quoi Veut additionner ton adresse à son carnet d'adresse MSN, N'ACCEPTES PAS NON PLUS.
C'est un virus qui efface en trois minutes toutes les données de ton disque dur. Informe tous tes amis qui ont MSN car si tu fais partie de leur liste de contact, et qu'ils ont le virus, ils peuvent te L'envoyer également. Transfère ce mail à tous ceux qui ont MSN et Hotmail.
C'est URGENT que tous le sachent au plus vite. Soyez attentifs dans les jours à venir !N'ouvrez aucun message avec une pièce jointe s'intitulant INVITATION", indépendamment de qui vous l'a envoyé.
C'est un virus qui ouvre une flamme olympique et qui "brûle" tout le disque dur de ton ordinateur.
Ce message risque de te parvenir d'une personne que tu connais, car tu fais partie de ses contacts...C'est pour cela que tu dois transférer ce mail.
Il vaut mieux que tu reçoives cet avis 25 fois que de recevoir le virus sur ton ordi et l'ouvrir.
Si tu reçois le mail avec la pièce jointe"INVITATION"Supprimes-le tout de suite.!!!!! C'est le pire virus annoncé par La CNN et il a été classifié par Microsoft comme le plus destructeur detousles virus.
Il a été découvert par McKafee et il n'y a pas d'anti-virus.
Le virus détruit le disque dur là où toutes les informations vitales"defonctionnement de ton ordi se trouvent.
*TRANSFÈRE CETTE INFORMATION A TOUS TES AMIS*
**************************************************
*Alerte sur un contact extremement dangereux*
Dis à tous tes contacts qui sont dans ta liste mail ou Messenger de NE PAS ACCEPTER le contact : david@mail.fr.
C'est quelqu'un qui va formater ton ordinateur et si un de tes contacts l'attrape alors tu sera touché.
Donc fais un copier-coller de ceci et envoie-le!
C'est urgent et ça va très vite, il circule depuis hier en faisant beaucoup de dégâts...
Commentaire de Chanou (13/02/2007 15:03) :
Bonjour..
Bon mardi..
Gros gros bizzous
Amitié..
Merci pour l'info...j'espère que tu vas bien? je te fais de gros
bisousss..amitié Chanou
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MTN/CAF. CF Balantas - JSK (17h) : Les Canaris prêts à relever le défi
10/02/2007 03:50
Bien décimée par une cascade de blessures, la JSK est déterminée à revenir de Bissau avec la qualification dans ses valises, à l’occasion du match retour aujourd’hui (17h heure algérienne) face au FC Balantas. Le défi que lui a lancé à la fin du match aller Bacari Sanha, le coach du CF Balantas qui a promis aux Algériens de vivre l’enfer, footballistique s’entend, a donné une motivation supplémentaire aux Lions du Djurdjura.
D’ailleurs, d’emblée, les Bissau-Guinéens ont mis la pression sur la formation kabyle en la plaçant dans un hôtel de seconde, voire de troisième catégorie où dans les chambres, il y a absence d’eau pour certaines et d’électricité pour d’autres, et ce, pour empêcher les joueurs de jouir du confort nécessaire et de bien préparer cette rencontre. « Mais cela n’altère en rien notre détermination et surtout notre intime conviction que toutes les entourloupettes de notre adversaire pour nous mettre la pression n’auront d’effet sur les joueurs dont les plus anciens en ont vu pire », dira Aït Djoudi qui nous a confié que son équipe s’attendait quelque peu à cette démarche des hôtes. « Mais ils ont fait de mauvais comptes, du fait que les joueurs ont bien récupéré au Sénégal des affres de ce voyage. » Quant à sa composante, le coach de la JSK qui est parti, avec une équipe des plus décimées, avec pas moins de cinq joueurs out et non des moindres avec les Yacef, Harkat, Marek, Saïbi qui ont été laissés à la maison et à un degré moindre Bendebka alors que les deux axiaux Zafour et Meftah ont embarqué eux aussi souffrant de béquilles reçues face à l’USM Blida en championnat. « Il est vrai que ces blessures et absences en cascade nous gênent quelque peu, mais nous avons les possibilités de les compenser », nous dira Aït Djoudi qui peut compter sur son trio africain Dabo, Wassiou et Dimba rompus au continent et à ses aléas. D’ailleurs, il est fort probable que le coach de la JSK les aligne d’entrée de jeu. « on attendra pour voir l’évolution de tout un chacun pour être définitivement fixé sur le onze rentrant », dira encore Aït Djoudi qui appréhende quelque peu le taux d’humidité assez élevé pour une température ambiante de l’ordre de 30 à 31° qui prévaut actuellement à Bissau. Comme il craint que les bonnes relations de voisinage entre les deux Guinées puissent valoir à l’arbitre du jour un penchant pour la formation locale du CF Balantas. Une chose est certaine : la JSK sera, cet après-midi, dure à cuire pour les Bissau-Guinéens et bien armée à répondre du tac au tac à la guerre psychologique engagée par l’équipe hôte.
Mohamed Rachid
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=60552
Edition du 10 février 2007 > Sports
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"Tidak N’na Fa", Entrevue avec M. Arab Sekhi
10/02/2007 03:33
ENTREVUE
T. Ould-Hamouda : Azul a Mas Sekhi et Bienvenue à Kabyle.com.
Arab Sekhi :Azul et merci de me donner cette occasion de parler de la pièce et de ce que nous faisons. J’aimerai aussi remercier Kabyle.com pour l’aide qu’il nous donne pour faire connaître nos activités.
T. Ould-Hamouda : Vous êtes co-réalisateur de la pièce théâtrale en Kabyle "Tidak N’na Fa" qui a eu beaucoup de succès au Canada, pouvez-vous nous raconter comment l’idée vous est venue quant à cette création ?
Arab Sekhi : Comme vous le savez, je suis membre de l’Acaoh et souvent je suis appelé à animer nos fêtes ou soirées. Au début, j’ai voulu créer un petit sketch de quelques minutes avec l’histoire de N’na Fa, je ne réalisais pas que je m’engageais dans quelque chose de très important et quand j’ai commencé à écrire le sketch, Ce fut comme un déluge, tout ce que j’avais emmagasiné durant mes conversations avec ma grand-mère et avec d’autres vieilles Kabyles a refait surface. Je n’ai pas pu m’arrêter avant de terminer ce qui est devenu une pièce de 2 heures. Quand j’ai fini d’écrire la pièce, j’ai proposé à mon ami Hocine Toulait s’il était intéressé à jouer le rôle du Dr. Il a tout de suite embarqué. Nous avons peaufiné la mise en scène ensemble au fur et à mesure des répétitions. Nous, qui n’avions jamais fait de théâtre de notre vie, ma fille Djouher (l’infirmière) non plus ! Nous avons plongé sans vraiment mesurer dans quoi nous nous embarquions. Quand nous avions pris conscience de toute l’aventure, il était trop tard pour reculer.
T. Ould-Hamouda : Vous avez interprété le rôle de "N’na fa" avec brio, se mettre dans la peau d’une vieille n’est pas si simple, pouvez-vous nous en parler ?
Arab Sekhi : J’ai toujours aimé parler avec des vieilles femmes, ma grand’mère en premier. Je n’ai jamais eu le moindre doute sur leur sagesse et leur courage. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour elles. Pendant mes longues heures de conversation, j’ai très probablement absorbé à mon insu, en plus de leur vocabulaire, toute leur gestuelle. Pendant toutes ces années, c’était en moi et quand je leur ai donné l’occasion, toutes ces vieilles se sont manifestées en la personne de Nna FA. Un acteur ne vaut que par ses partenaires. La complicité de mon ami Hocine qui est un médecin plus que nature et de ma fille Djouher, m’a beaucoup aidé. Honnêtement, je n’ai pas eu à me mettre dans la peau d’une vieille, j’ai juste laissé libre cours à mes souvenirs et à mon désir de rendre hommage à celles qui nous ont appris à faire nos premiers pas. Ce que nous oublions souvent.
T. Ould-Hamouda : Le succès remporté par cette pièce vous encourage-t-il à entreprendre d’autres créations ou adaptations ?
Arab Sekhi : J’avoue que j’ai été très surpris par l’accueil que la pièce a reçu. cCest un encouragement formidable pour continuer à écrire d’autres pièces. Le public a répondu au-delà de tous mes espoirs. Je peux dire que c’est lui qui, en suivant les acteurs dans les différents registres émotionnels a porté la pièce à bout de bras. Oui certainement on ne peut pas rêver de meilleur début. Je suis déjà en train de travailler sur une autre pièce que nous présenterons l’année prochaine.
T. Ould-Hamouda :Les anectodes de N’na Fa sont lyriques, comment faites-vous pour garder votre sérieux et ne pas tomber sous le charme du personnage ?
Arab Sekhi : En fait c’est parce que je suis le personnage et Hocine est aussi complètement dans le sien. C’est vrai que parfois c’est difficile de se retenir, mais les répétitions servent à nous apprendre à nous contrôler.
T. Ould-Hamouda : Depuis quand avez-vous commencé à faire du théâtre ?
Arab Sekhi : Je n’ai jamais fait de théâtre de toute ma vie, Hocine et Djouher non plus. La pièce "Tidak n N’na Fa" est la première que nous ayons jamais jouée. Elle a été un véritable déclenchement. Quelque part aussi, j’ai pensé que c’etait le meilleur moyen de rendre hommage à nos grands-mères et j’avais l’impression que je n’avais pas le droit de les décevoir si elles me voyaient. Cela était une grande motivation.
T. Ould-Hamouda : Quelle a été la difficulté majeure dans l’élaboration de cette pièce et de son interprétation ?
Arab Sekhi : La difficulté majeure a été de ne pas céder à la facilité en créant un personnage burlesque exagéré dans le seul but de faire rire aux dépens de nos grands-mères. J’ai voulu que le personnage soit authentique, du moins aussi fidèle que possible à toutes ces vieilles femmes qui continuent à habiter mes souvenirs. Mon voeu le plus cher était que toutes ces vieilles que j’ai connues pensent que j’ai été fidèle à ce qu’elles voulaient exprimer depuis longtemps. Étirer les personnages jusqu’à la caricature est une façon de faire rire à peu de frais. Une façon facile mais pas très saine. Mon souci était que le personnage de Nna Fa soit authentique, que les gens reconnaissent leurs grand-mères, leurs mères. En un mot que personne n’ait honte de dire Nna Fa, c’est ma grand-mère.
T. Ould-Hamouda : "Tidak N’na Fa" est déjà passée 2 fois à Montréal, comment trouvez-vous le public montréalais ?
Arab Sekhi : Que ce soit à Montréal ou à Ottawa, le contact a été magnifique avec le public. Il a vibré à toutes les nuances de la pièce. Les spectateurs ont immédiatement adopté les personnages, ils nous ont fait le plus beau cadeau dont on puisse rêver en acclamant la pièce. Le public a réagi au quart de tour. Rien ne lui a échappé. C’était incroyable.
T. Ould-Hamouda : Lors de la dernière présentation à Montréal, une annonce a été faite au public pour la mise en vente prochaine d’un DVD de cette pièce, qu’en est-il ?
Arab Sekhi : Le DVD est toujours au stade du montage. Nous avons eu une petite difficulté que le producteur, Mohand Benmellat est en passe de régler. Nous espérons qu’il sera disponible très prochainement. Ce que je peux promettre c’est que nous ne lésinerons pas sur les moyens pour faire un produit de grande qualité. C’est notre façon de témoigner de notre respect pour le public.
T. Ould-Hamouda : En dehors de Montréal, projetez-vous de présenter cette pièce dans d’autres grandes villes (ex. Paris, Alger...) ?
Arab Sekhi : On n’a pas de projet précis pour l’instant, mais nous avons pensé à notre communauté des États-Unis et nous serons certainement très heureux de la présenter en France ou en Algérie, si l’occasion se présentait.
T. Ould-Hamouda : Avez-vous des projets de coopération avec des médias pour la promotion et la diffusion de "Tidat N’na Fa" ?
Arab Sekhi : Certainement si nous devons présenter cette pièce ailleurs, nous serons très heureux de collaborer avec n’importe quel média. Jusqu’à présent tous les médias en ligne que nous avons sollicités nous ont aidés. Ils l’ont fait avec plaisir pour aider notre association, l’ACAOH, qui parraine la pièce. Qu’ils en soient remerciés. J’avoue que voir avec quel empressement ces médias ont répondu à notre appel est une source de satisfaction.
T. Ould-Hamouda : Le théâtre d’expression amazigh en général et Kabyle, en particulier, est très peu représenté sur la scène culturelle, comment d’après-vous, peut-on remédier à cette situation ?
Arab Sekhi : Que ce soit pour le théâtre ou pour toute création culturelle, l’ère où les gens lisaient en Kabyle ou regardaient les pièces en Kabyle par pur militantisme, ou parce que c’était en kabyle, est révolue. Notre génération pensait que le premier mérite de toute œuvre en kabyle était d’exister et que toute création culturelle en kabyle devait être encouragée parce que c’était toujours ça de pris sur l’adversité. Chaque création culturelle, parce que tout simplement elle était là, était une petite victoire pour notre culture. Maintenant, c’est différent, pour la jeune génération un livre, une pièce ou même un film en kabyle est une chose normale. Pour les attirer il faut faire de la qualité. Il faut aussi s’adresser à eux certes dans leur langue, mais aussi leur parler de choses qui les touchent. Il est évident qu’une adaptation en kabyle de Roméo et Juliette aura plus de chance de toucher plus de jeunes que celle de La guerre de Troie !
T. Ould-Hamouda : "La guerre de 2000 ans " de Kateb Yacine est une fresque historique, pensez-vous en faire une adaptation en Kabyle ?
Arab Sekhi : Ça sera certainement un projet magnifique. Pour le moment, ce n’est pas dans nos projets, mais effectivement, ça pourrait être une très belle expérience.
T. Ould-Hamouda : Est-il vrai que "N’na Fa" repassera bientôt à Montréal ?
Arab Sekhi : Beaucoup de monde nous ont fait part de leur désir de la voir ou de la revoir et c’est avec un immense plaisir que nous allons la présenter le 24 février 2007 au Patro-Le-Prévost. Nous sommes impatients d’aller partager ce moment avec notre communauté de Montréal
T. Ould-Hamouda : En plus du théâtre, vous êtes membre très actif de l’Acaoh, Poète et réalisateur de l’émission "Abruy" à Brtv, comment arrivez-vous à gérer votre temps ?
Arab Sekhi : Le défi est surtout de gérer ma passion pour la langue Kabyle. Pour le temps, il y a des petites astuces, comme par exemple : prendre l’autobus et non la voiture pour aller au travail et écrire durant le trajet, ou encore se lever à 5 h00 du matin ! Aussi, il y a le fait que la poésie, l’émission "Abruy" ou le théâtre soient les facettes d’une seule passion : l’amour du verbe kabyle. C’est peut être aussi une façon à moi de recréer ma Kabylie dans ma tête. Il faudra aussi ajouter que les encouragements qui me sont témoignés que ce soit par ma famille, mon entourage ou encore les téléspectateurs par courriel, sont un incroyable soutien.
T. Ould-Hamouda : Comment résumeriez-vous cette première expérience ?
Arab Sekhi : Cela a été une expérience merveilleuse, d’abord parce que la pièce a été un succès, mais aussi j’ai le sentiment d’avoir rendu un peu de ce que j’ai reçu de toutes les vieilles femmes que j’ai côtoyées dans la vie. Je crois que mon admiration pour nos grands-mères est partagée par tous ceux qui sont venus nous encourager. Je n’ai aucun doute la dessus à voir la façon dont le personnage "Nna fa" a été adopté par tous ceux qui ont vu la pièce. J’ai eu le bonheur d’entendre parfois des personnes émailler leurs discours d’expressions de Nna Fa .
La pièce "N’na Fa" m’a ouvert un monde merveilleux et pour cela je lui serais éternellement redevable.
Un autre bonheur que "N’na Fa" m’a apporté, c’est de jouer avec ma fille Djouher qui est pleine de talent et pleine de passion pour sa culture. Ma famille a été le premier public de "N’na Fa", sans elle, je ne sais pas si j’aurai mené mon projet à terme.
T. Ould-Hamouda : Votre mot de la fin M. Sekhi ?
Arab Sekhi : Je voudrai remercier tous mes amis de l’Acaoh qui ont fait "leur", le projet "N’na Fa". Un grand merci aussi aux médias et à tous ceux qui nous ont aidé à promouvoir la pièce. Merci au public qui a fait une place à "N’na Fa" dans la communauté. J’espère que nous aurons le bonheur de le voir nombreux ce 24 février à Montréal.
T. Ould-Hamouda : Tanemirt a Mas Sekhi.
Entrevue réalisée le 02 février 2007 à Montréal
Source : http://www.kabyle.com/Tidak-N-na-Fa-Entrevue-avec-M-Arab,11841.html
Commentaire de Arezki (24/03/2007 02:40) :
http://www.dailymotion.com/video/x1a9ya_tidak-n-nna-fatv
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Mode :Enquête sur le phénomène des marques étrangères ; Ces algériens qui s’habillent à la mode
07/02/2007 02:43
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Celio, Levis, Etam, Exit, Actua, Complice, Adidas, Geox, Tatou, Zara, Kiabi, Puma… Les différentes marques de prêt-à-porter et de chaussures, leaders de l’habillement femmes, hommes et enfants, arrivent en Algérie, offrant du coup aux consommateurs une alternative aux produits “Taïwan” qui inondent le marché. En dépit d’un pouvoir d’achat moyen, les Algériens dépensent sans compter pour être in et bien se saper. En quête de la bonne qualité ou simplement pour la frime, de nouveaux modes de consommation se sont installés chez les Algériens avec l’ouverture du marché. La marque fait la différence pour beaucoup.
Nafnaf est la dernière marque de prêt-à-porter à arriver sur la place d’Alger. Une belle boutique, qui n’a rien à envier à ses semblables parisiennes, orne depuis quelques jours le boulevard Mohamed-V avec une vitrine attirante et une enseigne en noir et blanc qui ne trompe pas. Depuis le premier jour, l’espace ne désemplit pas. Entre acheteuses et curieuses, c’est un défilé permanent. Un personnel accueillant veille à l’orientation des clientes pour une gamme d’articles assez large à différentes bourses. La boutique a été ouverte dans le cadre de la franchise, nous apprend la gérante, sans donner plus de détails, la propriétaire étant absente. “C’est une très bonne chose que des marques connues s’installent en Algérie. Il était grand temps pour que nous puissions enfin avoir le choix aussi bien pour les prix que pour la qualité. Et puis, le cadre est très agréable”, fait remarquer une cliente.
Fini le diktat des trabendistes Fini les années de privations et du diktat des trabendistes qui, il y a quelques années encore, imposaient leurs choix des modèles et des prix. Fini aussi les vitrines austères, les nouvels arrivés imposent de nouvelles normes et une concurrence sans merci. Des magasins spacieux dont la superficie est généralement supérieure à 200 m2, des concepts de décor répondant à la marque représentée avec de grandes devantures alléchantes et surtout une garantie de qualité, dont on ne pouvait être certains il y a quelque temps. Et même si les prix affichés sont généralement trop élevés, la majorité des Algériens ne peut s’empêcher de profiter de cette qualité garantie qui a nous tant fait défaut. À Didouche-Mourad, à El Biar ou à Sidi Yahia, les commerçants se disputent une clientèle d’un niveau socioéconomique très hétéroclite. “Il serait illusoire de croire que seules les gens aisées se permettent des articles et des produits de marque. Les jeunes dépensent sans aucune restriction, et ce n’est pas un fait nouveau. Il se trouve qu’aujourd’hui, ils ont plus de choix avec l’installation des différentes marques en Algérie. Ce qui leur a permis d’être de plus en plus exigeants, la concurrence entre les différentes marques leur assure un plus d’accessibilité”, dit le gérant d’une boutique de vêtements pour hommes. Il faut dire que 5 000 DA (la moitié du smig) pour un Levis et autant pour une paire de chaussures de sport, nos jeunes ne lésinent pas vraiment sur les moyens. D’aucuns ne peuvent nier l’intérêt prononcé par Algériens pour la mode et les grandes marques, et ce quel que soit leur niveau de vie. Et pour s’en rendre compte, il suffit de s’attarder sur tous les hitistes qui, en dépit de leur amère situation, affichent un look bien soigné. Comment y arrivent-ils ? Cela est une autre question.
Les adolescentes dépensent plus que les Européennes La Fashion victime, la gent féminine est le cœur de cible des différentes marques de vêtements qui arrivent. Si les statistiques indiquent que les jeunes de 12 à 25 ans en sont les plus sujettes, chez nous le phénomène est clairement apparent même en l’absence d’une étude du marché. Tout commence avec la petite marque Kiabi, quelques magasins sur la place Audin, Kouba, Chéraga, Aïn Benian, Mohammadia… toutes les bourses trouvent leur compte. Mais d’autres marques plus “prestigieuses” ne vont pas tarder à capter l’attention des Algériennes. Actua, une marque française peu connue en Algérie, vient offrir une gamme de vêtements qui séduit immédiatement. Une grande vitrine sur la très commerçante rue Didouche-Mourad ne laisse pas les mordues de la mode indifférentes. D’autres marques viendront se greffer au paysage commerçant de la capitale, Etam, Exit, Tatou, Zara, Levi’s… Les Algériennes, les adolescentes en particulier, dépensent autant si ce n’est plus que les Européennes qui consacrent plus de 800 euros aux fringues. Et l’arrivée de toutes ces marques de prêt-à-porter n’est que la bienvenue. Sidi Yahia, l’autre quartier chic… Rares sont ceux qui se souviennent du no man’s land que fut l’endroit il y a encore quelques années. Difficile d’ailleurs de se le remémorer au vu du changement radical qu’a connu le quartier situé entre Hydra et Bir Mourad Raïs. La vocation marchande de Sidi Yahia n’est plus à démontrer, car du bas de Hydra jusqu’à l’entrée de Bir Mourad Raïs c’est une infinie chaîne de magasins qui accueillent le visiteur. Un nombre incalculable d’enseignes et d’espaces aussi attirants les uns que les autres pour accueillir comme il se doit une clientèle assez exigeante. En quelques années seulement, Sidi Yahia s’est fait la réputation d’un des quartiers les plus huppés de la capitale. Car si les nantis d’Alger se bousculent à l’entrée des supÉrettes Galaxie et Opéra de Dely Brahim pour faire les emplettes du week-end, c’est ici qu’on vient pour prendre un pot, discuter et faire un “break” agréable après une matinée ou une journée de travail assez chargée. À Sidi Yahia, la mode “coffee shop-pizzeria” prime. Certaines adresses, des restaurants sympas, sont tout indiqués pour discuter business ou simplement passer un bon moment entre copains. Et si la restauration est un commerce prospère ici, comme un peu par tout dans la capitale d’ailleurs, d’autres formes de négoce sont aussi florissantes. On y trouve un peu de tout, de luxe bien sûr, meubles, grandes marques d’électroménager, des articles de décoration et bien sûr une enseigne Nokia, qui domine un grand immeuble pour traduire la frénésie des Algériens pour la téléphonie mobile. Sidi Yahia c’est aussi un grand bazar où se côtoie un grand nombre de marques étrangères de prêt-à-porter féminin et masculin récemment arrivées sur le marché algérien. La franchise est une formule qui réussit bien à tous ces commerçants qui ont bien compris que pour vendre il faut bien cibler sa clientèle. Car l’objectif de toucher un maximum de monde ne semble plus être le souci des gérants, qui ont choisi de s’installer à proximité des plus nantis. Ici on ne s’inquiète pas du combien ça coûte pour peu que l’on éprouve l’envie de dépenser. Celio, Etam, Exit, Tatou… des enseignes de différentes colories se disputent l’attention d’une clientèle high standing. D’interminables files de voitures de marques sont garées des deux côtés de la route. “Notre clientèle est composée essentiellement de personnes au pouvoir d’achat assez élevé. C’est une clientèle assez aisée qui veut s’offrir le meilleur. Et nous faisons en sorte de répondre à ses besoins, pour ne pas dire désirs de cette dernière", confie une vendeuse. Mais Sidi Yahia n’est pas seulement une zone pour les franchisés. Si des marques sont légalement installées, ce n’est pas une raison pour que le marché de l’informel disparaisse du jour au lendemain. En effet, une série de boutiques proposent des vêtements de marques françaises, anglaises et espagnoles. Le commerce de cabas a apparemment encore de beaux jours devant lui.
Des prix vertigineux pour des marques La non-convertibilité du dinar et l’inégalité du pouvoir d’achat des Algériens, au regard des disparités qui se dessinent dans la société, sont les deux facteurs déterminants de la politique de prix pratiquée par les nouveaux arrivés. Et si la cherté de certains articles et certaines marques est justifiée par moment, elle ne répond à aucune logique commerciale assez souvent. Sinon comment expliquer les prix affichés dans beaucoup de boutiques. À titre d’exemple, s’il est assez logique qu’un pantalon Levis, une robe Nafnaf, ou encore une jupe Kookai se cotent entre 4 000 et 6 000 DA, comment expliquer, cependant, qu’un ensemble de sous-vêtement Etam soit proposé à 6 000 DA, avec possibilité de fractionner le prix en deux. “Vous pouvez prendre le haut ou le bas”, nous proposent les vendeuses. Exagérés pour les marques disponibles, les gérants exposent souvent l’argument de la dévaluation de la monnaie locale, des prix de location exorbitants, notamment dans ce coin qui, en quelques années, est devenu l’un des plus commerçants de la capitale, et surtout le pouvoir d’achat d’une clientèle qui se soucie peu du prix. Dépassant le seuil de 2 000 DA l’article, pour des marques françaises, italiennes, espagnoles, ou anglaises… les prix dans les autres commerces restent toutefois trop élevés par rapport au niveau de la majorité des citoyens. Si la marque garantit la qualité du produit, elle est souvent liée à l’argent fou et exorbitant que certains Algériens n’hésitent pas à dépenser. Cette cherté des produits, souvent injustifiée, poussera beaucoup d’Algériens à se rabattre sur les articles chinois, syriens ou turcs qui, eux, sont accessibles à toutes les bourses.
Un pouvoir d’achat en baisse contre une consommation en hausse Alors que tous les indices font état de la baisse du pouvoir d’achat des Algériens, les augmentations salariales étant accompagnées d’augmentation de l’électricité, du gaz, de l’eau et autres produits de large consommation, les modes de consommation des Algériens ont plutôt tendance à évoluer. En l’absence d’études et de statistiques officielles en rapport avec les modes de consommation des Algériens l’évolution est très apparente, encouragée par l’accès des ménages au crédit à la consommation. Selon les estimations de la Banque mondiale, la consommation algérienne pour l’année 2004 est évaluée à 41,4 milliards de dollars, avec une moyenne de 868 dollars par habitant. Soit une augmentation de 13 % par rapport à 2003. Selon les statistiques algériennes, en 2000, la dépense moyenne annuelle s’élève à environ 575 euros par tête et à 3 805 euros par ménage. Un ménage algérien comprenant en moyenne 6,5 personnes. 10% des ménages les plus favorisés concentrent le tiers des dépenses, et les 30% les plus favorisés plus de 60%. Environ 500 000 ménages consomment ainsi pour plus de 850 000 DA (environ 11 000 euros) par an. En milieu urbain, plus de 1,7 million de personnes dépensent chacun 140 000 DA (1 780 euros). La part prédominante des dépenses est consacrée à la consommation alimentaire, 45,1 % en milieu urbain ; 43,7% en milieu rural. Le deuxième poste est le logement (entre 13% et 14%). Selon le même rapport, le Ramadhan est l'une des principales périodes de dépenses pour les ménages algériens, principalement sur les postes de l’alimentation et de l’habillement. Les marchés, y compris informels, jouent un très grand rôle dans l’approvisionnement quotidien des ménages, en l’absence de réseaux de distribution. Il est également souligné que les Algériens souhaitent pouvoir disposer de gammes diversifiées de produits de qualité internationale et, dans le même temps, vendus à des prix abordables, ce qui est loin d’être le cas aujourd'hui. Sur les cinq dernières années, les secteurs de grande consommation qui ont connu les plus fortes progressions sont l’agro-alimentaire, l’automobile et la téléphonie mobile.
Par :Wahiba Labrèche
Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=71929
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Commentaire de Samira &, Barbara (08/02/2007 23:10) :

Rien n'arrive qu'on a pas déjà
rêvé…Karl Sand Burg
Nous vous souhaitons..une journée remplie. .de paix,
d'amour,de bonheur et de la joie
Avec toute notre amitié..
Hoder

aimer_ la_ vie
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Commentaire de Samira &, Barbara (10/02/2007 00:10) :

Azul
Arezki...Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas
votre rêve…Antoine de Saint-Exupéry… …Nous vous souhaitons…un week-end
remplie…de paix,d'amour,de bonheur,et de la joie…….
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Que de défections ! Après Bendebka, Saibi et Herkat : Yacef et Marek out pour le voyage
07/02/2007 02:31
Après les défections de Herkat, Bendebka et Saïbi pour blessures, le club kabyle a enregistré hier deux nouvelles défections, à savoir celles de Yacef et Marek qui ne seront pas eux aussi du voyage en Guinée-Bissau aujourd’hui en milieu de journée. Yacef, qui a ressenti un claquage à la cuisse à la fin de la séance de lundi matin, est contraint après une échographie à dix jours de repos en raison d’une déchirure à la cuisse. Quant à Marek qui ne s’est pas entraîné hier et lundi il est contraint, selon Aït Djoudi, de déclarer forfait en raison d’une forte grippe.
Par :S.K
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=34870&ed=MTQyMg==
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Ils s’envoleront aujourd’hui pour le Sénégal via le Maroc : Les Kabyles rallieront jeudi la Guinée-Bissau
07/02/2007 02:23
En prévision du match-retour du premier tour préliminaire de
la Ligue
des champions face au FC OS Balantas prévu pour dimanche prochain, la délégation de
la JSK
s’envolera aujourd’hui à la mi-journée à destination de
la Guinée-Bissau
via Casablanca et Dakar.
Les Canaris qui seront diminués par les absences de pas moins de cinq joueurs en raison de blessures, passeront la nuit du mercredi à jeudi dans la capitale sénégalaise et poursuivront leur périple juste après une séance d’entraînement au stade de Dakar. L’arrivée de la délégation kabyle en Guinée-Bissau est prévue pour jeudi en fin d’après-midi. Sur place les camarades du capitaine Brahim Zafour auront deux jours pour s’acclimater et peaufiner leur préparation.
18 joueurs seulement seront du déplacement
Suite aux défections de dernières minutes de Yacef et de Marek, seuls dix-huit joueurs sur les vingt, prévus initialement vont être du voyage d’aujourd’hui en milieu de journée en guinée-Bissau. Il s’agit de Chaouchi, Mazari, Meftah Rabie, Djouder, Bengorine, Meftah Rahim, Zafour, Djouder, Demba, Ouslati, Hemlaoui, Wassiou, Derag, Abdeslam, Hemmani, Oussalah, Dabo et Ait Kaci.
Par : S.Klari
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=34869&ed=MTQyMg==
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Sports : LIGUE DES CHAMPIONS AFRICAINE La JSK à Bissau
C’est ce matin que les Canaris renoueront avec les longs et éreintants voyages à travers le continent. En effet, d’Alger, les Kabyles rallieront dans un premier temps Casablanca puis installeront leurs quartiers à Dakar où ils seront contraints de passer la nuit avant de prendre le vol, jeudi, pour la capitale de la Guinée-Bissau.
Une autre de ces expéditions auxquelles ils sont désormais accoutumés, mais qui ne s’annonce pas comme la plus pénible, sur le plan sportif, qu’ils aient eues à endurer ces dernières années. Il est vrai, sans avoir été extraordinaires, suscitant même de grands regrets, les hommes de Azzedine Aït- Djoudi ont accompli lors du match aller une bonne partie de leur devoir pour poursuivre leur campagne. Certes, ce but encaissé en fin de match a quelque peu noirci le tableau, mais au regard de ce que le CF Balantas a montré à Alger, il est fort peu probable que la grande surprise de ce premier tour éliminatoire de l’édition 2007 de la Champions League provienne de Bissau. Pour ce match retour, Aït-Djoudi a requis les services de vingt joueurs. Une liste sur laquelle ne figurent pas les noms des deux convalescents Saïbi, auteur d’un doublé lors du match aller, et Herkat, déjà absent lors de la première manche pour raison de choix du coach. Deux défections qui ne semblent pas inquiéter plus que cela les Canaris.
Azedine M.
Yacef ne sera pas du voyage Coup dur pour Yacef et son équipe. L’international Kabyle vient de déclarer forfait pour le match retour de la C 1, suite à une élongation contractée durant l’entraînement du lundi. Cette blessure va empêcher le fer de lance des canaris d’effectuer le déplacement avec son équipe en Guinée-Bissau, en perspective de match retour contre l’équipe du FC OS Balantas. Son coach Azzedine Aït-Djoudi qui semble regretter l’absence de l’étoile d’or-2006 devra composer son plan offensif avec le duo Oussalah-Dabo.
A.A.
Source : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2007/02/07/article.php?sid=49303&cid=5
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