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Le chanteur Boudjemaâ Agraw
19/01/2007 02:19
“La chanson engagée est mon moyen d'expression identitaire”
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La Dépêche de Kabylie 10/10/2006 |
Connu depuis les années 70 pour son engagement public pour son identité et son attachement à sa langue maternelle,''tamazight", Boudjemaâ Agraw, un nom associé à celui des hommes libres engagés aux côtés des faibles qui n'ont de moyens d'expression que leurs instruments de musique et apparitions physiques en public pour l'action politique pacifique et son soutien inconditionnel aux revendications citoyennes ; lui qui durant des années est reconnu comme l’un des chantres de la revendication identitaire et socio-politique. Rencontré à Béjaïa, cœur damné, il livre ses impressions d'artiste engagé. Ecoutons-le.
La Dépêche de Kabylie : Votre dernière production remonte au mois de juillet de l'année en cours et porte sur la variété des chansons, tant politiques que folkloriques, alors que vous êtes connu surtout dans la chanson engagée. Qu'est-ce qui vous a poussé à ce cocktail de chansons d'où El karn arbaâtache (Le XIVe siècle) ?
Boudjemaâ Agraw: Le constat amer que fait tout chanteur engagé est justement comment faire passer la pensée du peuple par un message tout haut. Ce que les autres pensent tout bas, moi, j'ai eu la chance et l'occasion de le chanter tout haut. Pour éveiller les consciences, ce qui est bien accueilli par un large public. La réalité veut que j'introduise des chansons folkloriques pour faire passer en parallèle ce qui revient comme préoccupation politico-sociale du peuple. De nos jours, la chanson engagée est confrontée à la chanson commerciale qui passe en priorité, ce qui ne rentre pas dans une recherche logique de l'épanouissement intellectuel, culturel et social du peuple.
Il y a aussi le nom d'Agraw qui est connu par son engagement depuis les années de plomb, pour l'identité et la langue amazigh, ces derniers temps, notamment dans le Mouvement citoyen de façon directe, ainsi que pour votre attachement à la cause sociaIe...
C'est un devoir pour tout chanteur engagé d'être aux côtés de la population sur le terrain, pour soutenir et répondre a l'appel du citoyen revendiquant ses droits légitimes. Il fait face aux bombes lacrymogènes et autres, il faut y être aussi. Joindre le geste à la parole est acte de conscience et de l'engagement honnête et sincère aux côtés des faibles. Un chanteur engagé n'est pas seulement la présentation en face des caméras, ce qu'il chante dans ses galas, il doit le prouver sur le terrain. Un vrai chanteur engagé n'est pas seulement cela. Quand l'occasion se présente de gagner de l'argent, il en gagne mais quand il faut perdre et y dépenser de son temps, il doit le faire aussi en son âme et conscience. Etre devant les situations telles qu'elles se présentent n'est que devoir de tout engagement pour des causes justes. La noblesse de la cause juste n'a pas de prix matériel.
De nombreux adeptes disent que Agraw a fait son chemin dans la revendication en tant que chanteur engagé, actuellement vous vous êtes impliqué de plain-pied dans la politique avec une assise publique et associative assez importante. Comment expliquez-vous ce revirement
Dans le temps, j’étais venu à la chanson non pas pour être aimé ou jouir d'une célébrité quelconque, mais c'était plus une expression dans un contexte particulier si dur. Je suis venu à la chanson pour éveilller les consciences à une époque où tu ouvres la bouche, tu perds tes dents. Pratiquement, c'était la période des années soixante-dix, où on correspondait avec l'Académie berbère en France, première académie à revendiquer la langue berbère en tant que langue nationale officielle. D’ailleurs, c’est à cette académie que j'ai rendu hommage pour son aide à compléter mes connaissances en tamazight. Après la dissolution de l'Académie en 1978, c'est là où j’ai pris le nom d'Agraw Imazighen, en hommage à cette académie berbère. Au départ, ma venue à la chanson était une expression identitaire, au fur et à mesure, c'est devenu un métier, mon gagne-pain, si l'on veut dire. Il y avait aussi la réussite dans les années quatre-vingt, ce qui m'a permis de continuer dans la chanson engagée,tout en continuant à le prouver sur le terrain.
Votre nom est associé avec celui de Takfarinas
Effectivement, on s'est rencontré vers les années 80 à Paris, il y avait un manque de musiciens, j'avais besoin de musiciens, je l'ai pris avec moi, parce qu’il jouait très très bien du mandole. On a fait la première partie de Idir à l'Olympia. Les gens qui nous ont vus nous ont encouragés à travailler ensemble, et on a pu chanter ensemble pendant deux années. D'ailleurs, on a eu beaucoup de succès durant cette période. Quand à la séparation, je dirais que même le groupe “Les BeatIes” se sont séparés. Lui voulait travailler dans la chanson d'amour et folklorique et moi je voulais continuer dans la chanson engagée. C'est pour cette raison que chacun a pris le chemin de son choix.
Justement, comment expliquez-vous cette séparation, est-elle positive ou négative pour les deux, d'autant plus qu’en groupe ou séparément, vous avez connu le succès?
Je pense que chacun s'est retrouvé dans son genre. Au contraire, il y a eu création de deux nouveaux styles, ce qui a créé une richesse pour la culture algérienne en général et kabyle en particulier. Moi dans la chanson politico-sociaIe et lui dans la chanson moderne. Après tout, un jour on se rencontre, un autre on s'éloigne, après celà on garde de bonnes relations entre nous.
Quel est le secret de votre réussite en tant que groupe ou en tant que chanteur indépendant ?
Il y a eu d'abord le choix des sujets dans les années 80, j'ai chanté "Lessoire ezzine, Thabourthe Thaghlak", (Les murs l'entourent, la porte fermée), une chanson qui parle d'un détenu politique arrêté pour ses idées. Malheureusement, vingt-quatre ans après, il n’y a pas une grande avancée puisque on se retrouve à chanter la même chanson. Je me retrouve à chanter El karne arbaâtach (Le quatorzième siècle), où chacun tire la couverture de son côté, en voyant les démocrates désunis, au lieu d'avancer, je pense qu'on n’est pas encore sortis de l'auberge.
Ces derniers temps, nous assistons à de nombreuses reproductions des chansons par d'autres chanteurs, comment voyez-vous la question ?
Je pense que c'est malheureux qu'il y ait trop de reprises et quand il y a cela, ça veux dire qu'il n'y a pas de création. Le défunt Mohand U Yahya faisait des traductions de Shakspeare, de Molière et autres, mais il créait lui aussi. Et pour avancer, il faut qu'il y ait de la création et que nos cervelles doivent travailler. L'excès dans la reproduction nuit à la culture et la chanson en général. D’un autre côté, c'est malheureux que le public dépense dans la médiocrité de la chanson commerciale surtout. Dans cet état d'esprit, la responsabilité est partagée entre le chanteur qui produit n'importe quoi et le public qui l'achète. Il faut s’améliorer continuellement.
Quelle est votre analyse sur la chanson kabyle de façon générale, d'autant plus que la jeunesse est portée sur la chanson raï ?
Moi, je n'ai pas de problème avec la musique raï. C'est une musique entraînante, par contre le texte véhiculé par le raï incite plus à la débauche et l'alcoolisme et tous les autres fléaux négatifs. D'ailleurs, bon nombre de chanteurs raï eux-mêmes reconnaissent cette faiblesse. Une chanson ou une production qu'on ne peut écouter en famille ou par pudeur pour soi-même n'a pas lieu d'être.
Des projets ?
Mon projet reste celui d'une production de qualité une fois par an. Mes fans connaissent bien ma trajectoire artistique, je n'ai rien à leur apprendre, ils sont conscients de mon échelle des valeurs. C'est malheureux que le chanteur engagé ne soit pas invité par les manifestations officielles, tel le festival de Timgad, par exemple, parce qu’on chante politique. On n’est programmé que dans les occasions secondaires qui sont d'ordre de solidarité. Bien au contraire, on ne forme pas un chanteur engagé de l'université de La Sorbonne, la chanson engagée, c'est dans le sang. Les causes nobles que nous défendons méritent la reconnaissance officiel.
Quelque chose pour conclure ?
Nous savons que ce que nous faisons, c'est pour nos enfants et ceux de nos enfants. C'est un combat pacifique qui porte ses fruits à long terme. Les exemples de la Russie,la France ou d'autres pays qui ont connu les mêmes péripéties peuvent être les indices de l'espoir démocratique et culturel en Algérie.
Interview réalisé
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par Amar Chekar |
Commentaire de aimer_la_vie (20/01/2007 00:43) :
Que chacun aille à Dieu par le chemin qui lui plaît ! Voltaire……Bon
samedi…. Nous te souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de
bonheur, et de la joie…bisous…Avec tout notre amitié Samira & Barbara
Aam saïd, wa koul sana wa antoum bi kheir
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Yazid BEKKA et Yalla SEDDIKI "Kabylie, belle et rebelle"(Edition Non Lieu)
11/01/2007 02:07
Depuis plus de 20 ans, Yazid Bekka répond à un devoir de mémoire en photographiant le pays de son enfance : les paysages, les villes, les objets, et surtout les hommes, les femmes, les enfants, saisis dans leurs activités quotidiennes, dans les moments de fête ou dans l'intimité familiale. Il nous fait pénétrer ici dans l'âme de la Kabylie, une âme que depuis toujours les poètes ont cherché à saisir. Leurs plus belles pages sont dès lors conviées à dialoguer avec les photographies. Et ainsi textes et images collaborent pour brosser le portrait d'une Kabylie belle et rebelle.
Textes en édition bilingue (français-kabyle) de Si Mohand ou Mhand, Cheik Mohand, Jean Amrouche, Tahar Djaout, Slimane Azem, Lounès Matoub, . traduits et présentés par Yalla Seddiki.
Beau livre relié de photos de Yazid Bekka et de textes en édition bilingue (français-kabyle), traduits par Yalla Sediki.
Livre disponible à l'Acb *au prix de 40 ?
"Kabylie, belle et rebelle" 2006, 160 p., Edition Non lieu
*********************
*Association de culture berbère (ACB)
37bis rue des Maronites - 75020 - Paris
Tel : 01 43 58 23 25
Fax : 01 43 58 49 75
Mail : acb@noos.fr
Site : http://www.acbparis.org/
Commentaire de aimer_la_vie (17/01/2007 23:25) :
Azul...merci pour ta visite...ton blog est très riche et beau... j'ai
encore pas tout vu... bon continuation...Bon jeudi… La vie ne doit pas
être une lutte, ni un combat, elle est ce qu’elle est,
soit un cheminement Naturel universel…. Nous te souhaitons une journée
remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie….bisous… Barbara…
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Commentaire de aimer_la_vie (18/01/2007 23:53) :
Bonsoir…Bon vendredi …Si les rêves n’existait pas… beaucoup des choses
n’aurait alors jamais été découvertes…
… Nous te souhaitons une journée remplie de paix, d'amour, de bonheur,
et de la joie…Samira & Barbara amies pour la vie…bisous…avec tout notre
amitie
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Célébration de Yennayer, nouvel an Amazigh à travers l'Afrique du Nord :
10/01/2007 01:52
Yennayer : une histoire, une identité et une mémoire pour les Amazighs
«On a vu chez les Berbères tellement de choses hors du commun, des faits tellement admirables, qu'il est impossible de méconnaître le grand soin que Dieu a eu de cette nation» (In : Histoire des Berbères d'Ibn Khaldoun, traduction de Baron de Slane, 1925).
L'histoire d'un peuple ne se limite pas à son histoire événementielle. Chaque civilisation ou culture a parmi ses composantes des facteurs d'ordre cosmique, mythologique et religieux intimement mêlés, qui aboutissent à une vision originale du monde et de l'homme.
On dit que : «Un peuple sans mémoire est un peuple mort». Les chercheurs s'accordent à dire qu'il est très important pour l'évolution culturelle et civilisationnelle des peuples qu'ils célèbrent des dates et événements et qu'ils développent des discours sur leur propre histoire commune.
Alors qu'en est-il du (des) peuple (s) de l'Afrique du Nord à propos de la célébration du nouvel an Yennayer ? Qu'est-ce que Yennayer, quel est son origine et comment est-il fêté par ces peuples notamment en Algérie ?
Nos ancêtres Imazighen n'ont que rarement pris l'initiative d'écrire leur propre histoire et cela jusqu'à l'époque moderne, chose qui pose des problèmes pour nos historiens. Notre société qui est fortement à tradition orale jusqu'à nos jours, ne nous transmet que ce qui est récité sous forme de poèmes, dictons ou de contes… Ce qui constitue une richesse de notre littérature orale mais aussi une fragilité de nos repères à défaut de fixer cette oralité, discours et histoire. Notre histoire est écrite par des envahisseurs à l'exception de quelques écrits à l'exemple du grand sociologue et philosophe Ibn Khaldoun. Mais, aujourd'hui, les Imazighen écrivent leur propre histoire et fixent tout ce qui est voué à la disparition.
Rappel historique
La plupart des historiens nous apprennent que l'Afrique du Nord est entrée dans l'histoire avec l'apparition des Phéniciens sur ses rivages, c'est-à-dire à la fin du XIIe siècle avant J.-C. Selon d'autres, tel Victor Piquet dans «les civilisations de l'Afrique du Nord», «Les Libyens avaient, dès le XIVe siècle avant J.-C., une civilisation et une industrie. Ils avaient déjà des rois héréditaires et avaient conclu avec les peuples des îles, avec les Tyrrhéniens en particulier des alliance profitables».
Les rapports avec le monde Libyen ou Amazigh et le monde Pharaonique semblent remonter à la première dynastie Thinice, aux environs de 3300 av. J.-C. Au temps de la 19e dynastie, en particulier sous le règne de Ménoptah, vers 1232-1224 av. J.-C. Les Pharaons repoussèrent une attaque des Lybiens/Berbères auxquels s'étaient associés les « peuples de la mer ». Mais la ténacité des Berbères finit par venir à bout de la résistance Egyptienne puisqu'en 950 ans avant J.-C., Chechnaq 1er (un libyen/Berbère) s'empara du Delta du Nil et fonda la 22e dynastie libyenne. (Première hypothèse) ? Il existait une situation conflictuelle à la frontière Est de la Libye; (c'est la deuxième hypothèse). Avec toutes les guerres entre les Libyens/Berbères et les Pharaons, et chaque fois les tribus Berbères de l'Est réussirent à vaincre l'armée pharaonique d'Egypte et à s'installer (occuper) son territoire. Après des guerres (batailles) sanglantes, les deux peuples décidèrent de mettre fin à ces conflits.
Célébration de Yennayer
Yennayer qui est aussi dit en Kabyle Tabbwurt Useggwas. Amenzu n Yennayer est le premier jour de l'an berbère. Yennayer ou Nnayer pour certain qui coïncide avec le 12 janvier du calendrier grégorien (chrétien) est célébré partout en Algérie bien entendu différemment mais aussi au Maroc. Yennayer est une occasion de fête, de liesse populaire voire d'un carnaval, comme à Tlemcen.
Dès l'approche de Yennayer comme pour bien l'accueillir, on repeint l'intérieur des maisons, on nettoie, on change tout ce qui est vieux et usé notamment le support de l'âtre (Inyen)…etc. Il est souhaitable lorsqu'arrive Yennayer que toute entreprise soit terminée : par exemple, un métier à tisser.
Yennayer c'est surtout l'occasion de célébrer certains rites : ici et là, des genêts (Uzzu) sont déposés sur les toits des habitations afin d'empêcher la malédiction d'entrer dans les foyers… C'est aussi l'occasion d'une part, d'un retour à la terre-mère, la terre nourricière, et, d'autre part, d'une communion populaire.
Il faut savoir qu'en Kabylie la célébration de Amenzu n Yennayer est marqué par un rite d'émulation du sacrifice propitiatoire, destiné à chasser les forces maléfiques Asfel. A travers Imensi n Yennayer (le souper de janvier) on présage l'abondance pour toute l'année, on tient à avoir ses récipients bien garnis et il serait inconvenant de se montrer avare.
Des mets de circonstance sont préparés : couscous au poulet, ou encore de la viande séchée acedluḥ. A ce plat, on peut ajouter un autre constitué par des crêpes (aḥeddur, tighrifin, acebbwad). Uftiyen (soupe préparée à partir de poix chiches, de fèves et de pois-cassés), de la Talabagat (viande hachée), accompagnés d'un Aghagh (jus), de Tagella (pain), Tighrifin (crêpes), de gâteaux et autres divers beignets… reunissent toute la famille autour d'un banquet comme en Oranie.
Imensi n Yennayer est un repas de famille, on met à part ce qui revient aux filles mariées au dehors, et on dispose les cuillères des absents pour se souper ensemble.
Dans certains endroits, le premier jour, Amenzu n Yennayer, on ne mange que des produits végétaux : la viande est laissée pour le lendemain. On se gave de fruits secs : figues, raisins, noix, dattes. Au Maroc, dans certains foyers, on mange « les sept légumes ».
A Tlemcen, un autre rite est pratiqué «le carnaval d'Ayrad» (Ayrad : le lion). Les enfants se masquent à l'aide d'une courge évidée, percée de trous pour les yeux et la bouche ; on colle des fèves qui seront des dents et des poils de chèvre pour la barbe et les moustaches. Ils vont par petits groupes à travers les ruelles et font des collectes. Seulement avant de quitter chaque foyer, l'assistance prie pour les gens malades, les démunis et ceux qui n'ont pas d'enfants. Ils reprendront le chemin de sortie de chaque foyer vers la ruelle en criant Ayrad ! Ayrad ! Ayrad…en dansant…etc., jusqu'au matin (du 13 janvier). Pour les enfants aussi, c'est l'occasion de s'offrir et d'offrir de beaux habits neufs et autres cadeaux notamment aux jeunes filles, comme dans l'Ahaggar et dans d'autres régions du pays.
A ce jour, Yennayer est célébré partout en Algérie – de Kabylie à l'Ahaggar, d'Annaba à Tlemcen… en même temps c'est-à-dire entre le 11 au 13 janvier.
Yennayer : une date, un symbole, une tradition, une histoire, une identité, une fête, un repère et une mémoire pour les Africains du Nord en général et les Algériens en particulier.
Mais aujourd'hui, qu'en est-il de son officialisation comme date commémorative nationale en Algérie au même titre que les autres fêtes dites «légales» ?
Boussad Berrichi (Universitaire - Paris)
Commentaire de Chanou (10/01/2007 06:32) :

Bonne journée mes amis(es)
Je vous fais de gros bisous!! Amitié Chanou!!
Toujours aussi enrichissant ici..bisous!!
http://melancolique1.vip-blog.com
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L’agenda Berbère
07/01/2007 07:29
L’agenda berbère de Mohand Akli Haddadou sera disponible le 1er Yannayer ;
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Remerciements de Zinedine Zidane après sa visite en Algérie
07/01/2007 07:23
Zinedine Zidane exprime les sentiments de "solidarité et d’amour" qu’il ressent "depuis toujours à l’égard de son pays d’origine", l’Algérie, dans un message au président algérien Abdelaziz Bouteflika qui a été rendu public samedi par l’agence officielle APS.
"La communion d’esprit et de coeur que j’ai partagée avec les Algériens durant toutes les étapes de mon séjour a renforcé les sentiments de solidarité et d’amour que je ressens depuis toujours à l’égard de mon pays d’origine", écrit-il après sa visite du 11 au 15 décembre.
L’ancien meneur de l’équipe de France, qui dit rester "profondément marqué par le suprême honneur" d’avoir reçu des mains du président Bouteflika la médaille Athir de l’ordre du Mérite national, la plus haute distinction civile algérienne, a estimé que cette distinction revêt pour lui et sa famille "une importance particulière", représentant dans sa vie "une immense reconnaissance".
A propos de sa visite en Algérie, il écrit : "Ce merveilleux séjour m’a conforté dans mes sentiments de fierté que je porte pour le peuple algérien et notamment sa dynamique jeunesse". Reçu partout où il est passé comme un chef d’Etat, l’auteur du "coup de boule" le plus célèbre du monde a été acclamé par des dizaines de milliers de personnes dans tous les lieux où il s’est rendu.
A ce titre, Zinedine Zidane ajoute que "la chaleur et la spontanéité de l’accueil populaire" qui lui a été réservé ainsi que "la disponibilité, l’amitié et le respect" que lui ont témoigné les différents responsables lui ont permis de "mesurer l’intensité des liens qui unissent les enfants du pays, liens si vivaces dans le coeur de mes parents", écrit-il.
"J’ai partagé les rires et les joies de ceux qui m’ont ouvert leur coeur sans calcul et sans retenue", relève-t-il, soulignant que "la chaleur de cet accueil familial avec sa sincérité et sa spontanéité a ajouté à l’honneur que j’ai ressenti face aux égards particulièrement chargés de symboles dont ma famille et moi-même avons fait l’objet".
ham/mw
Source : http://www.kabyle.com/Remerciements-de-Zinedine-Zidane,11641.html
Commentaire de Chanou (09/01/2007 17:15) :
Bon début
soirée!!
Gros
bisousss!!
Merci pour se lien j'adore Zidou c'est mon préfèré et en plus il
est superbe!! Bisous à toi!!
http://melancolique1.vip-blog.com
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Comme un reméde
07/01/2007 04:36
" Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays. "
John Fitzgerald Kennedy
Source |
Discours inaugural, 20 janvier 1961 |
http://www.linternaute.com/citation/3745/ne-demandez-pas-ce-que-votre-pays-peut-faire-pour-john-fitzgerald-kennedy/
Commentaire de justine (15/11/2007 16:48) :
Bonjour,
mon grand oncle, né en algerie, était visiblement la bas un grand ecrivain,
plutot tendance philosophe penseur, a priori tres dérangeant pour le
pouvoir en place pendant la guerre
j'ai appris il y a tres peu de temps qu'il aurai été assassiné, a
cause de ses pensées, à alger.
Je n'ai pas beaucoup de renseignement, je ne connais que son nom et
prenom et n'arrive pas a trouver des traces de son histoire
je me sens pourtant tres proche de lui et aimerai en savoir plus, seriez
vous en mesure de m'aider?
par avance merci et bravo pour votre blog
crystaleuh@hotmail.com |
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Citations
07/01/2007 04:21
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