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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

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    L'exil et la relève berbère ...Quand la langue de ma mère me fait parler et m'interpelle

    27/11/2011 00:43

    L'exil et la relève berbère ...Quand la langue de ma mère me fait parler et m'interpelle


    Samedi 19 novembre 2011, les artistes Fahem, Sghira, Zahia et le groupe Berbanya ont animé une soirée-bénéfice pour l'association INAS au collège Maisonneuve de Montréal. Inas sollicite la générosité des Kabyles pour amortir les frais des parents dont les enfants suivent les cours de Tamazight.
    Plus de 60 000 Algériens vivent au Canada dont une grande partie est kabyle. Certains se sont exilés pour des raisons politiques, d'autres pour des raisons économiques ou autres. Il n'est un secret pour personne que la plupart des compatriotes vivent au Québec notamment à cause de la langue française. En plus du fait de se faire une place dans leur nouvelle société, les Algériens sont préoccupés par les valeurs ancestrales qu'ils doivent inculquer à leur progéniture pour qu'elle ne se soit pas coupée définitivement de leur culture d'origine. Parmi les facteurs extrêmement sensibles voire vitaux à cette démarche la langue. En effet, dans cette nouvelle patrie, toutes les communautés qui la composent  se démènent pour dispenser ne serait-ce le minimum de langue maternelle à leurs enfants.

    D'où l'existence du programme PELO (programme d'enseignement des langues d'origine) financé entièrement par le gouvernement du Québec dans des écoles qui répondent à certains critères comme la présence d'au moins 15 élèves parlant leur langue maternelle. D'ailleurs c'est ainsi que la langue arabe a déjà eu droit à ce genre de service pédagogique. Ce qui n'est malheureusement pas le cas pour la langue amazighe. Toutes les tentatives de certains acteurs de la communauté kabyle ont été vaines. D'où le paradoxe qu'on pourrait déceler dans la démarche de la majorité des Kabyles. D'un côté, ils manifestent, ils crient même leur identité partout. D'un autre côté, ils ne déclarent pas leur langue maternelle dans les écoles de leurs enfants. Ce qui pénalise Tamazight dans ses droits garantis à toutes les langues d'origine. Ils gonflent surtout les rangs de la langue arabe puisque se déclarer Algériens équivaut automatiquement pour les Occidentaux au fait d'être arabe.

    Devant un tel constat amer, faudrait-il rester passif et laisser faire? La réalité a prouvé le contraire puisque certains militants de l'identité berbère (regroupés dans l'association INAS) ont décidé depuis presque 3 ans de prendre en charge cette lourde tâche pour donner des cours de berbère aux enfants kabyles au centre Lajeunesse de Montréal tous les samedi matin.  Cependant, une telle entreprise ne pourrait fonctionner avec une simple ou une grande volonté, Il faut des moyens humains et financiers. Si les premiers pourraient se porter volontaires comme d'habitude dans les traditions militantes, les seconds demeurent capitaux et exigent la contribution conséquente de ceux qui se disent jaloux de leur langue et de leur identité violemment brimées pendant des siècles dans leur pays d'origine. Pour le moment,  l'association INAS tient bon et ne baisse pas les bras. Mieux encore, elle s'acharne à maintenir vivant et dynamique son noble projet en enclenchant des levées de fonds avec l'aide des artistes bien établis dans la société kabyle. Le premier qui a inauguré ce processus militant était Boudjema Agraw qui a donné une prestation de haute facture en 2010. Le second n'est autre que le chanteur Fahem qui a accepté avec beaucoup d'abnégation et de générosité l'invitation d'INAS.

    C'est  dans ce cadre que la soirée avec l'artiste Fahem a eu lieu au collège Maisonneuve de Montréal le samedi 19 novembre. Le spectacle animé par Zahia et Mohand Arab de l'association d'Ottawa a commencé par les chants des enfants qui apprennent Tamazight au sein d' INAS. Dirigés magistralement par Zahia qui est à la fois chanteuse et enseignante. Ces enfants articulaient correctement leur langue et absorbaient fièrement les cantines pédagogiquement  adaptées à notre culture ancestrale. Vient ensuite le groupe Berbanya qui a inauguré son répertoire par un instrumental chaabi en guise d'hommage en grand maître El Anka. Berbanya a également accompagné Sghira coquettement habillée en tenue traditionnelle. Cette jeune fille talentueuse a envouté l'assistance avec sa belle voix en chantant la diva Nouara et la grande dame Taos Amrouche. Enfin, le grand Fahem entame son répertoire qui a curieusement emballé même la jeune génération qui n'était pas encore née quand il a conquis les jeunes des années 70.

    En somme, la soirée était parfaite et harmonieuse. Toutes les générations se côtoyaient et dansaient aux rythmes kabyles,  anciens et actuels. Les enfants qui courraient dans tous les sens dérangeaient certains, mais leur présence était primordiale, car, c'est ainsi qu'on absorbe les sons et la culture de son peuple.   Le spectacle, qui a été donc un immense succès à tous les points de vue, a pris fin vers minuit avec certaines annonces notamment  la sortie du DVD de la pièce de théâtre ASS N UNEJMAA de Arab Sekhi, l'hommage que le CAM consacre à Mohya le 10 décembre au centre Africa  et le spectacle, ''Qui viendra fleurir ma tombe ?'',  qui aura lieu le 1 décembre à la place des Arts parrainé par QUBECOR.

    Place des arts


    Écrit par Djamila Addar

    Source : http://berberes.com/index.php?option=com_content&view=article&id=3278:lexil-et-la-releve-berbere&catid=41:culture&Itemid=62

     






    Quand on veut,on peut!

    25/11/2011 00:10

    Quand on veut,on peut!


    <<Chaque problème renferme la semence de sa propre solution>>

    Stanly Arnold(penseur américain).



    Kabylie Commentaire de kabylie (25/11/2011 00:12) :

    La solution se trouve déja au coeur de chaque problème...Quand on veut, on peut!

    http://kabylie.vip-blog.com/




    Citations et proverbes...

    21/11/2011 02:21

    Citations et proverbes...







    Bonne fête de l'Aid !Saha laid Nwen!

    06/11/2011 16:16

    Bonne fête de l'Aid !Saha laid Nwen!


    À l'occasion de l'Aïd al-Adha, je souhaite à toutes et à tous , ainsi qu'à tous les êtres qui vous sont chers :santé, paix, joie, bonheur et sérénité...






    Yidem J.S.K!

    28/10/2011 04:46

      Yidem J.S.K!



    J.S.K...Aqlaγ yidem,nesεa-k-kem akken i daγ tesεad’







    La leçon tunisienne...et la J.S.Kabylie!

    22/10/2011 00:00

    La leçon tunisienne...et la J.S.Kabylie!


    Lors de la dernière AG organisée par la direction de la JSK, le président du club, Moh Chérif Hannachi, avait justifié les mauvais résultats enregistrés par son équipe lors de la fin de la saison 2010/2011 et en coupe de la Confédération 2011, par l’état physique des joueurs, atténués par la succession des matchs coupe-championnat-coupe d’Afrique, mais aussi par les différ...ents entraineurs qui se sont succédés à la barre technique de la JSK. Ce qui nous intéressera dans notre article, est plutôt le premier argument cité. Ainsi, si la JSK avait frôlé la relégation et a complètement raté sa coupe d’Afrique, c’est qu’elle avait joué trop de match. De notre côté, même si comparaison n’est pas raison, nous avons observé avec admiration les résultats enregistrés dernièrement par un club tunisien, l’Espérance Sportive de Tunis, connu sous le sigle de l’EST. Pour ceux qui ont la mémoire courte, nous allons juste leur rappeler que ce club, était finaliste de la Ligue des champions 2010. Il avait perdu le trophée face au TP Mazambé, tombeur de la JSK en demi-finale de la même compétition et finaliste malheureux de la coupe du monde des clubs 2010.

    Depuis la finale perdu contre le TP Mazambé et malgré l’amertume de la défaite, les Tunisiens de l’EST se sont mis au travail afin de se refaire et aller chercher de nouveau cette coupe Africaine qu’ils ont eu l’occasion de remporter en 1994, c’était leur seul consécration en C1. Une année après, on les retrouve de nouveau en finale face au Marocains du WA Casablanca. Que l’on est de la JSK ? Moh Chérif Hannachi et sa presse complice et soumise, ont toujours essayé de nous faire croire que la JSK a fait un excellent parcours en 2010 et qu’elle a raté la finale, voire le titre, à cause d’un certain président de la FAF…etc. Il n’est nullement intéressant de refaire le film ici. Car ce qui nous intéresse, c’est qu’entre l’EST qui jouera sa deuxième finale consécutive et la JSK éliminée avec un six sur six en nombre de défaite comme bilan, y a pas photo. Les Tunisiens essaient de construire leur prestige, alors que les dirigeants de la JSK tentent le tout pour détruire celui du club. Nous n’allons pas rappeler une nouvelle fois l’ampleur de l’idiotie qui a conduit Hannachi et son comité directoire à se retirer de la coupe d’Afrique 2012.

    Revenant maintenant à la cause principale qui a provoqué ce retrait honteux de la coupe d’Afrique. Pour le président de la JSK, son équipe est trop fatiguée et ne peut faire face aux différentes compétitions à la fois. Ainsi, si la JSK n’a eu son salut en D1 que lors de la dernière journée, c’est qu’elle a trop joué ! Qu’on en-t-il de nous voisin Tunisiens ? Il est très intéressant de rappeler qu’à l’instar de l’Algérie, le championnat tunisien a connu de grandes perturbations et modifications de calendrier à cause de ce qu’a vécu ce pays. En effet, le championnat de Tunisie, c’est arrêté entre le 09/10/2011 (14ème journée) et le 19/03/2011, soit pour une période de 70 jours à cause de la CHAN et de la révolution du Jasmin. Pendant ce temps-là, la Tunisie est devenu championne d’Afrique des locaux, elle a fait sa toilette, elle a chassé Ben Ali…etc. Etrangement, l’Algérie aura connu un arrêt forcé de la compétition pour presque la même durée. Il était clair que le retard engendré par cet arrêt devrait être récupéré plus tard en fin de saison. Si le championnat algérien s’est terminé le 8 juillet 2011, celui de la Tunisie a duré 2 jours de plus, il n’a pris fin que le 10 juillet, et a vu l’ES Tunis consacré champion de Tunisie. Contrairement à la JSK qui a bataillé jusqu’à l’ultime rencontre pour assurer son maintien en D1, grâce à un match presque arrangé avec son adversaire, le MCA. A signaler, que l’ES Tunis a joué les 5 dernières journées du championnat en un espace de 14 jours.

    Et encore, il faut aussi signaler que l’EST a réalisé le doublé, en remportant la coupe le 25 juillet 2011, soit deux semaines après la fin tardive du championnat. Biensur, la JSK a remporté la coupe d’Algérie. Mais plus de deux mois avant que l’EST le fasse. Or, depuis la victoire kabyle, l’équipe s’est complétement relâchée et s’est désintéressée du championnat. Au lieu de bien géré ce succès pour en faire une source de motivation, le boss de la JSK a tout fait pour créer un sentiment d’autosatisfaction chez les joueurs ; ces derniers ont fini par lever le pied et ont fait une des plus sabbatiques saisons que la JSK a connu en D1.

    En coupe d’Afrique, l’EST va se présenter en finale comme un prétendant au titre en C1, alors que la JSK a déjà plié bagage en C2. Tout comme la JSK, l’EST a directement enchainé avec la compétition continentale (la ligue des champions a commencé le 16/07/2011), et à aucun moment nous avons entendu les dirigeants tunisiens attaqués leurs responsables à la fédération pour un souci de programmation. Et portant, c’est presque les mêmes dates qui se répètent pour les deux clubs. Mais la différence, elle se situe au niveau des mentalités et des méthodes de gestion.

    Les Tunisiens n’ont pas pour président un pleurnichard inculte mais des hommes capables de relever les défis. Les Tunisiens n’insultent pas leur ex-entraineurs mais les remercier pour le travail accompli même en cas d’échec. Les entraineurs algériens peuvent en témoigner puisqu’ils ont eu la chance de travailler chez eux. Les Tunisiens sont des conquérants qui n’ont pas peur d’aller en avant, contrairement aux dirigeants de la JSK qui agissent tel un véritable handicapé assisté. Les Tunisiens essaient de gagner des titres, alors que Hannachi et sa clique les fuissent. Les Tunisiens ne pleurnichent pas une programmation démentielle comme le fait le président de la JSK mais accepte le challenge. Les Tunisiens de l’EST ne font pas dans le triomphalisme démesuré pour une finale perdue, mais essaient de gagner la prochaine, alors que les nôtres plongent la tête comme des autruches dans le sol, le temps qu’une coupe d’Afrique de second degré passe. Les Tunisiens essaient de faire grandir leur club avec des titres, Hannachi pulvérise l’édifice de la JSK pour lequel beaucoup d’hommes ont donné leur vie. Tout un monde qui change. L’EST veut être un grand club de l’Afrique ; la JSK a peur d’assumer son rôle de grand d’Afrique.

    Merci les Tunisiens pour la leçon.

    Écrit par Rachid .

    Source :  http://www.js-kabylie.fr

     






    Les femmes kabyles....

    28/09/2011 03:38

    Les femmes kabyles....







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