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Kabylie

VIP-Blog de kabylie
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  • Créé le : 15/10/2006 01:49
    Modifié : 19/03/2016 00:05

    Garçon (0 ans)
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    Football américain, un Algérien en équipe nationale canadienne

    31/01/2007 23:16

    Football américain, un Algérien en équipe nationale canadienne


    infosoir.com 31/01/2007
  • Youcef Lekadir, un jeune Algérien, résidant dans la capitale canadienne, a été sélectionné dans l’équipe nationale juniors du Canada de football américain, pour participer aux championnats du monde juniors de la NLF qui ont débuté le 28 janvier et se poursuivent jusqu’au 3 février 2007 en Floride, aux Etats-Unis.

    Le football, c’est ma vie, a-t-il affirmé dans un article paru dans la page sportive de «Express.Ottawa»du lundi, consacré au jeune «footballeur comblé» qui intègre l’équipe canadienne engagée dans les compétitions du Superbowl XLI qui regroupe en plus du Canada et des Etats-Unis, des équipes du Mexique, du Panama, du Japon et de France.

    Agé de 19 ans, pesant quelque 125 kg et mesurant 1m 85, Youcef Lekadir, dont les parents ont émigré de Kabylie vers le Canada, est un passionné de football américain. Il joue au poste de centre arrière. Il a été sélectionné parmi 900 joueurs pour faire partie de l’équipe juniors du Canada qui aura à défendre avec ses coéquipiers, le titre de champion du monde, acquis l’an dernier face aux Etats-Unis.  

  • par infosoir.com


    Commentaire de Samira &, Barbara (31/01/2007 23:19) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    …L'amitié est un plus dans la vie pour toutes les personnes…Qui se donnent la peine d'y faire attention…Alors tu peux compter sur moi…Car dans mon un petit coin de mon cœur…Je garderai toujours un place pour notre amitié…Nous vous souhaitons…une journée remplie…de paix,d'amourde bonheur,et de la joie….
    bisous…bisous…bisous  


    Avec toute notre amitié BIEVENUE SUR MON BLOG

    aimer_ la_ vie





    #99 Youcef Lekadir "JR" (Ottawa Junior Riders Football Club)

    31/01/2007 23:13

    #99 Youcef Lekadir


    #99 Youcef Lekadir

    Position: Defensive / Offensive Line

    Years with JR Riders: 2

     

    Previous Team: Gloucester Dukes

     

    Image dans son contexte original, sur la page    www.jrriders.highfivesports.ca/.../lekadir2.jpg

    Ottawa Junior Riders Football Club






    Coupe d’Algérie :JSK 2 - USMS 0 ... Juste ce qu’il faut !

    31/01/2007 01:37

    Coupe d’Algérie :JSK 2 - USMS 0 ... Juste ce qu’il faut !


    Par : Idir Mameri  

    OPOW (Bouira)
    Affluence : Nombreuse
    Arbitres   : Khelifi, Benarous, Boughrara
    Avertissement : Kacid (68’) (USMS)
    Buts : Rahim Meftah (20’),
    Hemani (41’) (JSK)
    JSK
    Chaouchi,  Bengorine,  Rabie Meftah, Zafour, Rahim Meftah, Douicher, Bendebka (Marek 73’), Hamlaoui, Oussalah, Saïbi (Hemani 32’), Dabo (Demba 63’).
    Entraîneur : Aït Djoudi
    USMS
    A. Bekrar, Saïdi, M. Bekrar (Hadj Nabil 52’), Kacid, Moukkous, Djafri, (Benyettou 58’) Bekiche, Reggad, Guechir, Guesmi, (Telbi 52’) Adel.
    Entraîneur :Bouzidi

    La JSK n’a pas eu trop de peine à se qualifier pour le prochain tour de la Coupe d’Algérie aux dépens de la formation de l’USMS qui pense beaucoup plus à l’accession en deuxième division. Ce sont pourtant les Sétifiens qui se mettront les premiers en évidence par le biais de Mokkous (8’) qui s’est présenté seul face à Chaouchi, mais  ajuste mal son tir qui passe à côté. Cette alerte réveillera les Kabyles qui prendront alors le jeu à leur compte et dès leur première offensive, ils trouveront le chemin des filets. A la 20’, la JSK bénéficie d’un coup franc sur le côté droit de la défense sétifienne, Hamlaoui se charge de le botter. Rahim Meftah, bien placé, dévie la balle au fond des filets. La JSK continuera à dominer les débats sans se montrer vraiment dangereuse et ce jusqu’à la 41’. Hamlaoui, encore une fois dans le rôle de passeur décisif, centre pour Hemani qui, de la tête, double la mise permettant ainsi aux Kabyles de rejoindre tranquillement les vestiaires. En seconde mi-temps, sans doute préoccupés par le match de jeudi face à l’USMB, les coéquipiers de Zafour se contenteront de jouer à l’économie et gérer leur avance. Cela ne les empêchera pas de se créer quelques occasions. A la 55’, sur un corner de Hamlaoui, un défenseur dévie la balle dans les pieds de Bengorine qui tente une frappe puissante qui a failli faire mouche. Les Sétifiens replieront sporadiquement, à l’image de cette action qui s’est déroulée à la 60’. Bekiche se joue de plusieurs défenseurs avant de centrer pour Telbi qui se présente seul face aux buts kabyles mais son tir passe à côté. A la 76’, Marek centre pour Rabie Meftah qui reprend de la tête, Bekrar bien placé intercepte le cuir. L’ultime tentative de la rencontre sera kabyle. A la 89’, Hemani centre à ras de terre pour Marek qui reprend sans contrôler, le cuir passe au-dessus.
    Idir Mameri

    Les Kabyles envahissent le stade
    Comme il fallait s’y attendre, les supporters de la JSK sont venus en force assister à l’entrée en lice de leur équipe en Coupe d’Algérie. En effet, l’OPOW de Bouira a été pris d’assaut par les fans kabyles venus essentiellement des alentours de Bouira, remplissant ainsi les tribunes.

    Saïbi blessé
    A la 32’, Youcef Saïbi, qui voulait confirmer sa bonne prestation en Ligue des champions face au CF Os Balantas, a été dans l’obligation de quitter ses coéquipiers pour cause de blessure.

    Hamlaoui passeur décisif, Bengorine incisif
    Leur non-convocation pour la rencontre de Ligue des champions face au CF Os Balantas a apparemment motivé Nassim Hamlaoui et Sofiane Bengorine. Ces deniers se sont survoltés en Coupe d’Algérie face à l’USMS. En effet, le premier a été passeur décisif sur les deux réalisations de la JSK. Le second, lui, a été crédité d’une excellente prestation.  
     
    Hemani, entrée gagnante
    En remplacement de Youcef Saïbi, l’entraîneur de la JSK a demandé à Nabil Hemani de faire son entrée. Une entrée gagnante puisque neuf minutes plus tard, l’attaquant kabyle doublera la mise pour son équipe.

    Une première pour Dimba
    A la 63’, l’entraîneur de la JSK procède au remplacement de Cheikh Omar Dabo par son compatriote Dimba qui a effectué par là même sa première apparition officielle sous le maillot kabyle.

    Aït Djoudi:
    «On s’est préservés pour le match de ce jeudi face à Blida»
    «Dans l’ensemble, nous avons assisté à un bon match. Nous avons bien entamé la partie avec deux réalisations en première mi-temps, c’est ce qui nous a permis de jouer à l’aise en deuxième mi-temps. Durant cette période, nous nous sommes contentés de gérer notre avance, car nous avons un match important de championnat, ce jeudi, face à l’USMB.»

    Bouzidi :
    «Mes joueurs ne se sont pas donnés à fond»
    «Comme je l’ai dit avant le match, la Coupe d’Algérie n’est pas notre objectif, car nous visons l’accession en Super D2. Nous n’avons pas joué à fond, afin d’éviter les blessures et les avertissements. Il faut savoir que nous avons un match important de championnat à jouer. Mais cela ne nous a pas empêchés de faire bonne figure face à une grande équipe à laquelle je souhaite bonne chance dans cette compétition.»

    Hemani:
    «Je ne suis pas un bouche trou»
    «Il est vrai que je suis content car mon équipe s’est qualifié et que j’ai contribué en marquant le second but mais par la même occasion je ne suis pas content. Je ne suis pas un bouche trou car malgré les nombreuses absences, je n’ai pas joué et je ne dois mon entrée en jeu qu’à la blessure de Saïbi. Je ne comprends vraiment pas cette décision.»
    Idir M.

    Herkat : «Il n’y avait aucune raison que je sois ménagé»
    L’autre pièce maîtresse de l’équipe qui n’a pas été convoquée pour le match face au CF Os Balantas a été Sofiane Herkat. Interrogé à ce sujet, ce dernier nous dira : «Franchement, je ne m’attendais vraiment pas à ne pas être convoqué pour cette rencontre de Ligue des champions. Dans ma tête, une telle éventualité était à écarter dans la mesure où j’étais suspendu pour le prochain match, celui de la Coupe d’Algérie. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle je n’ai pas été convaincu lorsque l’entraîneur est venu me faire savoir qu’il voulait me faire reposer. En ce qui me concerne, il n’y avait aucune raison pour que je sois ménagé. Bien évidemment que j’ai ressenti de la colère, je crois que c’est là un sentiment tout à fait normal de la part d’un joueur qui voulait renouer avec la compétition continentale, mais être en colère ne veut pas dire créer des problèmes, après avoir discuté avec l’entraîneur j’ai quitté sans faire de bruit l’hôtel. Je respecte le choix de l’entraîneur car je me dis qu’il a certainement ses raisons pour avoir procédé à tous ces changements, en ce qui me concerne ce n’est pas cette non convocation qui va me décourager, je continuerai à travailler sérieusement.»
    Ali H.

    Bengorine : «J’aurais aimé jouer»
    Le néo-défenseur kabyle, Sofiane Bengorine, n’a pas voulu trop s’étaler sur sa non-convocation pour le match de Ligue des champions face au FC Os Balantas, estimant que c’était un choix de l’entraîneur qu’il devait respecter. «Il est vrai que j’aurais beaucoup aimé prendre part à cette rencontre. Vous savez, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’opportunité de disputer un match de Champions League. Mais bon, le coach a fait son choix et je dois le respecter. Et puis, je ne suis pas le seul à ne pas être convoqué. Il y a eu aussi Hamlaoui et Harkat. L’entraîneur m’a fait savoir qu’il a préféré aligner une équipe plus offensive, d’où la décision de ne pas me retenir. A partir de là, il y a rien à dire. L’essentiel, c’est que l’équipe à réalisé un bon résultat, et puis je pourrai jouer au retour», dira Bengorine.
    A. A. A.

    Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/01/30/6360264






    Régions / Iwadhiyene : Une commune potentiellement riche mais...

    31/01/2007 01:26

    Régions / Iwadhiyene : Une commune potentiellement riche mais...


    Avec ses 32.5 km² de superficie et une population résidente en majorité jeune estimée à 20 000 âmes, la commune de Ouadhia a de quoi faire envier !

    Située à quelques encablures du Djurdjura, cette importante municipalité bénéficie des vues panoramiques de la montagne tout en ayant ses assises sur une vaste plaine qui s'étend de Tizi n Tléta jusqu'à la limite territoriale de la commune d'Agouni Gueghrane.

    Elle est limitée au nord par la commune d'Ait Mahmoud, au sud par la commune d'Ait Bouaddou, à l'est par la commune d'Agouni Gueghrane, et à l'ouest par la commune de Tizi n Tleta.

    Distante de 35 kms du chef lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, elle est traversée sur tout son territoire par la RN 30 qui relie Ain El Hammam à Draa El Mizan. Cette situation géographique lui confère le statut incontestable de commune cosmopolite et carrefour inévitable pour les habitants des Ath Douala, Ath Ouacifs, Mechtras... surtout les mardi, jour du marché hebdomadaire.

    En dépit de cet emplacement stratégique, la commune ne dispose même pas d'une auberge de jeunes et encore moins d'hôtels pouvant recevoir des touristes potentiels et dire que durant les années 1970, la ville des Ouadhias recevait des centaines de touristes.

    La commune des Ouadhias a été créée par arrêté n° 3167/AP/CL du 27 novembre 1956, signé par le tristement célèbre «ministre résidant en Algérie», Robert Lacoste. Elle dépendait à cette époque de l'ancienne sous-préfecture de l'ex Fort National aujourd'hui Larbaa Nath Irathen.

    D'ailleurs, à ce jour, des citoyens de 3ème génération continuent à se faire délivrer des documents d'état civil dans cette daïra.

    En 1985, et à la faveur d'un nouveau découpage administratif en vigueur jusqu'à nos jours, la commune mère «éclate» pour donner naissance à quatre communes. Aujourd'hui, outre Ouadhia-Centre chef lieu de commune et de daira, cette municipalité est constituée de nombreux villages dont la principale agglomération regroupe 09 village sous le nom de Ouadhias -villages et un 10ème village appelé Taguemount el Djedid.

    Pour une brève période, qui n'a pas dépassé un an (1988), elle dépendra de la daïra de Boghni, avant de bénéficier elle aussi de ce titre en 1991.

    A vocation multiple, cette commune aurait pu être un exemple de développement en matière d'agriculture, car situé dans une région oléicole avec de vastes terrains agricoles et aussi un pole industriel compte tenu de ses possibilités foncières et des capacités financières de ses habitants qui bénéficient pour la plupart de l'apport de l'émigration.

    Malheureusement, il n'en est rien de tout cela. Les différentes APC qui se sont succédées depuis l'indépendance n'ont pas pu répondre aux aspirations d'une population qui réclame son droit au travail, au logement et aux soins.... Du point de vue santé, la daïra de Ouadhias souffre à ce jour de son statut de sous-secteur sanitaire rattaché au secteur sanitaire de Boghni.

    Sa polyclinique, qui fonctionne 24h/24h avec une maternité rurale intégrée, n'assure que les soins d'urgence et ne répond plus aux exigences de la population.

    Coté investissement, la commune n'a bénéficié depuis l'indépendance que d'un seul projet d'entreprise de wilaya. Il s'agit de la COMETAL, spécialisée dans la construction métallique. Aujourd'hui, c'est une entreprise vacillante dont la vente à un privé est annoncée sans pour autant voir quelque chose se concrétiser.

    En attendant une prise en charge effective de la part des autorités et la mise en place d'une politique de promotion de l'investissement, les habitants de la commune continuent de souffrir du chômage, du délabrement des routes et du manque d'eau.

    L'autre plaie qui préoccupe les élus de l'APC des Ouadhias est la décharge municipale implantée en haut d'une colline qui surplombe une rivière qui débouche sur le barrage de Taksebt. Les riverains se plaignent des odeurs nauséabondes et des fumées dégagées par cette décharge sans parler des risques d'incendies.

    Tout le monde garde en souvenir, cette malheureuse journée du 5 juillet 1993 quand un incendie qui a pris naissance dans la décharge s'est propagé vers les villages limitrophes de Taguemount El Jedid et Ait Mahmoud ravageant des milliers d'oliviers et d'arbres fruitiers sur son passage, occasionnant même des pertes en vie humaines.

    Nous apprenons par le biais du premier responsable de l'APC «qu'une étude qui consiste en l'aménagement de la décharge publique est confiée à un bureau d'études spécialisé».

    Verra-t-on, enfin, la fin du calvaire des riverains de cette décharge ? C'est le vœu de tous.

    Afin de mieux rendre compte de la situation de cette commune, nous nous sommes rapprochés du président de l'APC qui a bien voulu livrer ses impressions à notre journal.

    Lundi 29 Janvier 2007





    La Berbérie

    31/01/2007 01:12

    La Berbérie


    Les protos-berbères d'Afrique : géographie
    La Berbérie s'étend sur un immense territoire qui s'étend de l'oasis de Siwa (égypte) aux îles canaries. Au sud, elle occupe une bonne partie des pays du Sahel (Mauritanie, Niger et Mali). La population de cette région, les berbères, se nomme "amazigh" qui signifie "hommes libres. Evalué à plus de 30 millions d'âmes elle occupe les régions montagneuses (Maroc, Algérie, Libye) et désertiques (Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, mali, Niger, Mauritanie).

    Si la majorité de la population marocaine utilise des parlers berbères (le rifain au nord, le berraber et le chleuh dans les atlas), ses sœurs tunisiennes représentent moins de 2% et sont cantonnées dans la région de matmata (sud) et dans l'île de Djerba (berbères musulman de rite kharidjite).

    En Algérie, la Kabylie demeure malgré des siècles d'occupation renfermée et hostile à toute pénétration étrangère pratiquant pour une bonne partie un islam très tolérant, elle s'évangélise à un rythme accéléré depuis le début des années 1990. Une minorité juive, y vit également avec une diversité qui ne semble pas inquiéter, la population kabyle ne cesse de revendiquer sa culture et ce durant et après la colonisation française. L'histoire des berbères (imazighène),

    Région humide à l'ère néolithique, le Sahara aurait donné naissance à l'existence même de l'homme. L'Afrique aurait été peuplée à partir de la bérbérie à partir du 8ème millénaire et ce jusqu'en 2500, le Sahara sera la seule contrée de tout le continent africain à receler la présence humaine les peintures rupestres du tassili donnent un aperçu évident sur cette réalité. C'est ainsi que des civilisations néolithiques s'y sont développée, les habitants de cette partie représentaient un bloc homogène dit "protos-berbères".Toutefois, deux autres groupes vivaient à l'est et au sud du pays proto-berbères alors que les éthiopides (ancêtres des égyptiens) occupaient la cote nord-est, longeant la mer rouge, les négrides (ancêtres des noirs africains) étaient concentrés dans l'actuelle région du Sahel, c'est à dire dans la partie sud du sahara. L'assèchement de l'actuel désert à partir du 2ème millénaire avant j.c. provoquera l'apparition de deux entités : à peau blanche au nord et noire au sud. Les néolithiques sahariens (ou protos-berbères) possédaient une organisation spécifique à laquelle s'ajoutait des conceptions philosophiques propres. En plus de la chasse cette population, était dotée déjà d'un esprit créateur, outre l'artisanat (poterie), l'agriculture était florissante à l'intérieur du Sahara et la métallurgie du fer n'était pas non plus inconnue. Echanges de commerce à longue distance avec les négrides

    L'an 3200 laisse penser que le monde aurait pris donc naissance au Sahara. l'existence du gorille et du chimpanzé, proches parents de l'être humain, trois espèces de singes fossiles qui s'y rapprochent ont été découvert en effet. le proconsul (ou dryopithécus africanus) vieux de 25 millions d'années, le kenyapithécus wickéri (mis à jour en 1961) âgé de 14 millions d'années ainsi que l'australopithèques retrouvé en Afrique orientale et dont l'age est estimé à 4 millions d'années offrent toute la latitude pour soutenir ce dossier. Quant à l'espèce humaine notons aussi ces évolutions :

    1)- l'homo habilis : ayant plus d'un million d'années (c'est à dire jusqu'en... 800000 !) est une forme d'australopithèque bipède, il taillait la pierre et les os et de plus sa présence a été uniquement signalé en afrique.

    2)- le pithécanthrope : apparu il y environ un million d'années, il a vécu jusqu'en l'an 150000 cet artisan de l'industrie des bi faces ou coups de poing pour la chasse (industrie appelée acheuléennes) s'est répandu en afrique, europe et même en asie mineure.

    3)- l'homosapiens : apparu il y a environ 250 000 ans en Afrique, il taillait la pierre.

    L'homme moderne (ou homosapiens sapiens) naîtra en -35000 avant J.C. il avait des rites d'inhumation ainsi que des manifestations que l'on peut qualifier de "culturelle".Ses outils de chasse devenaient plus légers, donnant ainsi une grande efficacité à leur utilisation. C'est autour de 55000 avant J.C. qu'il découvrira le feu et c'est en Afrique qu'on constate l'état de ses stades évolutifs qui l'ont précédé et ce depuis les origines les plus lointaines de la lignée humaine.

    Les variations climatiques subies par ce continent à la fin du pléistocène permettent en outre d'affirmer que de grands lacs ont existé en -20000 dans le Ténéré aujourd'hui désertique. Les anciennes populations des régions berbères actuelles, capsiennes en cyrénaïque (région nord de Libye) vers 35000, atériens (Maroc et Sahara occidental) datés de 25000 donnent un aperçu fiable sur les premiers humains d'afrique. Les vestiges lithiques appartenant au dernier temps de la préhistoire nous apprennent qu'une évolution démographique a été considérable en -10000 et qu'elle (cette évolution) s'était produite à certaines périodes de l'holocène (à climat humide) et bien entendu au Sahara uniquement. La méthode de datation utilisée avec le carbone 14, mesurant l'isotope radio actif, un résidu du carbone, s'applique également aux restes osseux, aux coquilles et bien évidement au charbon de bois. Celle-ci (la méthode) a donc permis d'aboutir à une idée assez précise de l'évolution climatologique et humaine depuis -11000. Le 3ème pluvial gambien a été suivi d'un épisode sec et froid aussi et ce pendant une durée très courte. C'est vers -8000 que débuterait le nouvel ère humide appelé "optimum climatique saharien"qui aurait une influence déterminante sur l'ensemble du peuplement africain. Entre 8000 et 6000 les pluies seraient abondantes au sahara. Les anciens fleuves qui avaient coulé lors des périodes pluviales du pléistocène seront remplis à nouveau le Sahara, principal foyer de peuplement et dont sa végétation était de type méditerranéenne attirait les populations paléolithiques qui ne pouvaient pas vivre dans des zones marécageuses ou des hautes montagnes par ses réalisations artistiques, l'ancêtre de l'homme développera une civilisation particulière donc remarquable. Le dessèchement du Sahara en -5000 était très lent jusqu'à -250 et par la suite, sa rapidité (rapidité de l'assèchement) provoquera la fuite des populations vers le nord et le sud, des populations nomades qui y avaient prospéré grâce à la chasse, la pêche et l'agriculture se sédentarisent, l'utilisation des meules de pierre et de la céramique en sont les preuves

    Il serait utile de distinguer les deux néolithiques, l'européen et le proto-berbère. si en Europe on le mesure par l'opposition de l'âge de pierre (ou pierre taillée), en Afrique, cette époque est définie par la sédentarisation des populations préhistoriques. Ces dernières fauchaient et réduisaient en farine des graminées sauvages qu'elles n'avaient pas semé et étaient conscientes de la valeur alimentaire. Les touaregs (berbères habitant actuellement le Sahara) gardent toujours ce procédé. Certaines régions situées à 500m d'altitude ont été favorables, entre le 8ème et le 3ème millénaire, à l'élevage ainsi qu'à la chasse. L'actuel Ténéré (Sahara toujours) a attiré autour des lacs de nombreux pêcheurs qui ont eu l'idée de cultiver la terre, d'où l'invention de l'agriculture. l'utilisation rationnelle des produits imposera une société hiérarchisée, sous une autorité unique (amghar qui signifie personne âgée ou vieillard), une coutume que l'on retrouve dans les régions berbérophones (rif, atlas, Kabylie, Aurès, île Djerba, mat mata, Tripolitaine, air, Adrar des ifoghas, Hoggar, oasis de Siwa...) d'Afrique du nord et sahélienne .

    Les ancêtres des peuls ou foulbés, un peuple résultant d'un métissage entre les négrides et des protos-berbères, ont laissé dans les zones montagneuses du Sahara, des peintures et des gravures rupestres qui démontrent amplement leur vie quotidienne. Certaines peintures du tassili daté du 3ème millénaire qui nous renvoie aujourd'hui à leurs textes initiatiques. En plus de ces métis, des négrides ont aussi vécu dans la région du Sahel (Mauritanie, mali, Niger). A l'est, des humains à peau noire, appelés des "étiopides parviendront à s'infiltrer dès le 5ème millénaire sans subir un quelconque mélange avec les protos-berbères, de couleur blanche, au Hoggar, au tassili des ajers, régions situées en Algérie, aux peuls, ils vivaient une autarcie alimentaire, basée sur les produits de leurs troupeaux. Les mariages entre les trois groupes étaient proscrits. Toutefois, ceux qui s'étaient fixés au Tibesti (au nord de l'actuel Tchad) s'étaient métissés aux négrides donnant ainsi naissance à une nouvelle population, les Toubous ou tédas. Les protos-berbères refusèrent tout lien avec les éthiopides et les négrides. Si les premiers néolithiques égyptiens étaient venus de l'est (Jordanie, Arabie saoudite...), ceux qui sont rentré par la partie occidentale l'ont été des régions berbérophones libyenne, la Tripolitaine, la cyrénaïque et le fezzan. ces protos-berbères demeurent à ce jour dans l'oasis de Siwa (nord-ouest de l'actuelle Égypte) qui délimite le pays berbère à l'est. Ayant conservé leurs us ainsi que leurs coutumes antéislamiques, ils continuent de parler leur langue, le "tamazighth", un parler très proche du...kabyle algérien. Enfin, les protos-berbères utilisaient un calendrier solaire lié à l'agriculture comme le font les berbères des Aures, de Kabylie ou d'autres contrées habitées par leurs frères. le calendrier rendait compte du renouveau de la végétation, élément essentiel de la vie quotidienne et les phénomènes climatiques étaient soigneusement gardés en mémoire . Trois saisons de 120 jours chacune représentaient l'hiver, le printemps et l'été soit 360 jours

    Les conditions climatiques actuelles admettent une certaine vie dans le massif central saharien quant à sa partie méridionale comprise entre l'air (niger) et l'énnedi (tchad). Il serait utile de rappeler qu'entre -7500 et -5000, des lacs immenses recouvraient le Ténéré refermant des algues microscopiques qui, consolidés après -5000 sous la forme d'une diatomite (une roche fiable), permettra leur datation le massif central du Sahara abritait entre -7500 et -6000 une faune qui attira les chasseurs qui laisseront des gravures (sud-oranais, tassili, fezzan...) parfois même en grandeur nature. Ces dessins représentant des éléphants, des rhinocéros, des girafes et même des hippopotames prouvant l'existence de ces animaux à une époque très lointaine. Au tassili par exemple, des peintures abstraites jalonnent des façades, naturelles bien sur, de roches. On y trouve des hommes à têtes "rondes"mais significatives tout de même. ces représentations datent de la plus grande humidité du sahara central qui dura rappelons-le de -7500 à -5000. la démonstration de l'art du chasseur proto-berbère est antérieure à l'apparition du peuple égyptien. la poterie retrouvée dans des sites est datée du 6ème millénaire. ils sont tous situés dans la région du sahara central proto-berbère. éxcepté le maroc, le nord de la berbèrie (algérie, tunisie,libye), les plus anciens sites découverts au nord de la bérbérie (algérie, tunisie et libye, exception faite pour le Maroc) sont datés seulement du 5ème ou 4ème millénaire. ceci nous prouve encore que les berbères habitaient en majorité le Sahara humide.

    La situation climatique du Sahara méridional commençant à s'assécher, des savanes herbeuses à végétation méditerranéenne coupées de marécages verront le jour des pêcheurs négrides venus du sud s'y établiront ne pratiquant pas l'agriculture, mais excellaient dans la poterie. La faune commencera alors à se modifier. Des gravures découvertes montreront ainsi des chèvres et des bœufs à coté des éléphants qui disparaissaient peu à peu. La phase pastorale antique de l'art rupestre saharien a effectivement prit naissance vers -5500 au tassili et au tadrart. L'homme entamera dès cette époque la pratique de la domestication de certains animaux (chèvres, bœufs...). En 4500, des troupeaux, dont la présence est attestée par des peintures au Sahara central et feront parti du vécu de cette population que nous appellerons toujours proto-berbère. Vers 3200, c'est à dire au début de l'histoire égyptienne, trois grands groupes de population saharienne seront identifiés :

    1)- les pasteurs éthiopides cohabitant avec les négrides qui occupent de nos jours une large bande désertique qui s'étend entre le 21èm et le 17ème parallèle c'est à dire depuis la vallée du Nil entre la 2ème et la 3ème cataracte et ce jusqu'à la limite de l'air (nord-est du Niger actuel).

    2)- les chasseurs protos-berbères méditerranéens nomadisant dans le Sahara septentrional. La spécialité technique de chacun d'eux (pasteurs, pêcheurs, chasseurs) a engendré des qui n 'ont pas été bien évidement à sens unique. Quant au culte, le dieu-bélier "amon" que l'on retrouve aussi bien chez les égyptiens que chez les protos-berbères laisse penser à ses cornes et ses rayons que nous révèle l'histoire du peuple hébreux dans "les cornes et les rayons de moise". Ceci démontrerait que les juifs ont joué un rôle très important dans le peuplement de l'Afrique C'est pour cela que les juifs et les premiers berbères qui ont vécu ensemble l'ont été dans une harmonie parfaite. Le Sahara central représentait depuis le VII ème millénaire un foyer de peuplement très important du continent africain. Des contacts ont d'autre part été tissés entre les populations proto-berbères et les habitants du nil. Des civilisations très avancées ont existé à cette époque dans l'Égypte. Des contacts humains ont également existé entre les premiers cités et les occupants du littoral méditerranée (crête, Sicile, Sardaigne, corse, malte...). Les liens entre les ancêtres des actuels imazighènes (pluriel de amazigh qui signifie hommes libres), ont été rendus possible par les nombreuses vallées sèches qui demeurait vivantes. Le Sahara septentrionnal a subi un peuplement dense durant ces trois millénaires en particulier dans la région du "Ténéré" (nord du Niger actuel). Toutefois ces habitants n'étaient pas des proto-berbères mais plutôt des négrides qui fuiront plus au sud dès le tarissement de cette région qui était lent depuis 2000 ans. Au début du 3ème millénaire, taillant la pierre vivaient au bord des lacs et des marécages. L'étendue des sites préhistoriques découverts font penser que ces populations, principalement proto-berbère et négride, vivaient dans le faste alimentaire ils connaissaient aussi la conservation des produits de la chasse et de la pêche qu'ils gardaient dans des jarres. Ils stockaient des graines qu'ils réduisaient en farine grâce à un matériel de broyage adéquat composé de pilons, de meules dormantes et de mortiers. Ces graines provenaient de la cueillette de graminées sauvages que ces populations savaient reconnaître comestibles. Des céréales cultivées laissent penser que les proto-berbères ont inventé l'agriculture. Des sites tels que celui de méniet situé dans le Hoggar (habité aujourd'hui par les berbères touaregs) renferment tout un matériel de broyage dont des haches qui servaient de houes. La civilisation néolithique du Ténéré datée au carbone 14 est -2520 a été la première région à subir les affres de l'aridité rapide au milieu du IIIème millénaire

    Les ténéréens proto-berbères et négrides se déplacent vers l'ouest (pour les proto-berbères) et le sud (pour les négrides). Ces derniers donneront d'ailleurs naissance aux diverses familles qui peuplent l'Afrique dite "noire" (nigéro-congolaise, adamoua occidental, bantoue...).le tassili et le Hoggar ont connu d'autre part leur peuplement en -2000, soit 500 années après celle du ténéré.

    Les populations qui s'y installèrent seraient venues de la côte nord africaine et le dessèchement du Sahara les a poussé à rejoindre cette région peuplée de nos jours par des berbères. Aurès, kabyle, chenoua, Mzab (Algérie), rif, les atlas, sous (Maroc) renferment de nos jours les descendants des proto-berbères à l'ouest de la région de l'actuel Tchad, les descendants des ténéréens quitteront au IIème millénaire le Sahara devenu hostile à toute vie humaine et même végétale. Ils s'installeront au sud du massif de l'air, au talak et dans l'azaouaq, des régions habitées de nos jours par les ancêtres des touaregs qui les chassèrent plus au sud. Les négrides ténéreens donneront naissance aux premiers africains que l'on dénomme aujourd'hui, "haoussa", une ethnie qui occupe le sud du Niger et le nord du nigeria. l'azaouaq, chevauchant l'actuelle frontière séparant le Niger du mali sera "colonisé" par des hommes venus du Hoggar et du tassili par les vallées de direction nord-sud. Plus à l'ouest, la vallée de tilemsi qui relie le Niger à gao (mali), constitue également une autre ligne nord-sud liant le massif central saharien proto-berbère aux négrides térénéens. au mali enfin, des vestiges retraçant les pécheurs du néolithiques existent au nord de ce pays , non loin de la ville araouane.

    La Mauritanie est représentée par l'aouker et le tangant qui se trouvent à l'extrême ouest de ce jalon des sites néolitique bien évidement. le premier cité (aouker) démontrera même que l'agriculture a même existé au lieu dit "thichit oualata" vers -1000. il serait aisé aussi d'affirmer que des fragments de fer ont été découvert dans de la poterie. ceci suppose donc que les proto-berbères ont également inventé la métallurgie du fer et ce dès -1240. des harpons et des pointes en fer ont été mis à jours par d'éminents chercheurs à la fin des années 1960

     

    par Rachid Yahou





    Draâ El Mizan : Tamazight langue nationale : une plaisanterie

    30/01/2007 01:33

    Draâ El Mizan : Tamazight langue nationale : une plaisanterie


    En principe après un long combat et des dizaines de victimes, tamazight a été institutionnalisée langue nationale. Cependant, même si elle n’est pas promue à l’échelle nationale, ce qui étonne le plus c’est qu’elle n’arrive même pas à être généralisée sur son propre territoire géographique. Ainsi, quatorze ans après son introduction dans le système éducatif, elle n’est pas encore généralisée dans aucune wilaya : ni à Tizi Ouzou, ni à Béjaïa, ni encore moins à Bouira.

    “Ce ne sont pourtant pas les textes qui manquent”, nous a dit un enseignant de la première heure, qui n’a pas voulu s’étaler sur toutes les autres entraves. Dans la daïra de Draâ El Mizan, elle n’est enseignée que dans trois collèges sur quatorze. “Chaque année, on nous dit qu’il y a de nouveaux postes. Ceci n’existe que sur les cartes scolaires, sinon pour le recrutement, rien. Si on devait attendre les quelques étudiants qui préparent leurs licences, tamazight ne sera jamais généralisée, même dans un seul palier”. “Quant à son introduction en quatrième primaire et dans les lycées, elle ne relève que du domaine démagogique”, a ajouté un deuxième interlocuteur lequel ironise : “Tamazight sera généralisée quand les agneaux auront des cornes comme des béliers”. Pour reprendre la réplique du chacal à l’escargot avec lequel il faisait la course.

    Si nous abordons ce sujet, c’est pour dire aussi, comme le souligne un vieux militant de la cause, que tamazight se trouvait beaucoup mieux dans la clandestinité qu’aujourd’hui. Il y a lieu d’évoquer aussi que tamazight perd de plus en plus le statut qui lui a été donnée dans la Constitution du pays, notamment son article 3 bis. Des plaques annonçant les territoires des communes de la daïra de Draâ El Mizan et de Tizi Ghenif ne sont transcrites qu’en langues arabe et française. “Où est tamazight ?”, S’étonnent les usagers des RN 25 (commune d’Aït Yahia Moussa - commune de Draâ El Mizan), RN 30 (commune de Ain Zaouia - Commune de Boghni) - RN 68 (Commune de Tizi Ghenif-Commune de M’kira)… “Qui a donné ces directives ?”, telle est la question qui revient sur toutes les lèvres. Aussi, si les propriétaires des magasins n’ont pas perdu ce réflexe d’utiliser le tifinagh sur les devantures de leurs boutiques, ils n’en est pas de même pour les services des travaux publics. Il y a lieu de saluer tout de même ce geste des responsables du secteur éducatif de la daïra de Draâ El Mizan lesquels ont placé tamazight aux côtés de l’arabe et du français en installant le fronton devant les services d’inspection de la daïra de Draâ El Mizan.  

    par Aomar Ouramdane

    La Dépêche de Kabylie 30/01/2007



    Commentaire de Samira &, Barbara (30/01/2007 23:05) :

    Image hébérgée par hiboox.com


    …Juger…c'est de toute évidence ne pas comprendre puisque…si l'on comprenait…on ne pourrait pas juger…André Malraux …Nous vous souhaitons une journée remplie de paix d'amour de bonheurs et de la joie…
    bisous…bisous…bisous  


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    IXXAQ WUL (NOSTALGIE) de Karim ABRANIS

    29/01/2007 05:54

    IXXAQ WUL (NOSTALGIE) de Karim ABRANIS


    NOSTALGIE
    Traduction Ramdane Sadi 

    O cœur qui soupire comme le vent,
    Dure est l’épreuve des pays autres !
    Même en ce jour de fête commune,
    Ils répugnent à te saluer !...
    Coeur qui te nourris d’amertume,
    Patiente, tant que manque la bonne étoile !...

    Les amis auxquels dire me manque,
    La source vers laquelle j’allais est trouble
    Et son eau limpide fait défaut,
    Celui que j’interpelle me boude
    Et si je me confiais à lui ,
    Il me répond de travers...

    O cœur oppressé en chas d’aiguille,
    Tu n’admets plus que passe le fil !...
    Mais c’est vrai qu’une fois la nuit venue,
    La compagnie se fait rare...
    Celui-là tenté par la voie droite
    L’abandonne.
    C’est ainsi, fais-en ton deuil !... 

    Je te répète, pauvre cœur,
    Menteur qui nie l’évidence !
    Je te répète : fais-toi oiseau,
    Qui éclôt de l’œuf indigène...
    L’épreuve endurée passée
    Se rappelle celle qui la suit...

    IXXAQ WUL
    Texte original de Karim Abranis
     

    Source : http://www.abranis.com/texte_ixxaqwul.htm



    Commentaire de desirama23 (29/01/2007 12:57) :

    je te souhaite un bon lundi et un bon debut de semaine. bisous.

    < /p>

    http://desirama23.vip-blog.com

    Commentaire de Chanou (29/01/2007 14:32) :

     

    Bon début de semaine!!

    Gros bisous

    Amitié!

    par Chanou

    Coucou très jolie chanson bisousss


    Commentaire de samira & barbara (29/01/2007 23:18) :


    Azul Arezki... je ne connais pas la chanson mais tres beau texte... Le ciel et la terre sont en nous...Gandhi … Nous te souhaitons une bonne journée remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la joie.
    bisous…bisous…bisous  


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    Commentaire de kawtar (04/02/2007 12:42) :

    merci pr l com tres bo blog


    Commentaire de claire (16/02/2007 06:17) :

    Image hébérgée
par hiboox.coma dimanche bise

    http://gina.vip-blog.com




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