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An Berbère 2958 : Sa célébration prend de l’ampleur chaque année
11/01/2008 03:44
Par : S. K. S.Comme à l’accoutumée et à la veille de chaque Nouvel an berbère qui coïncide avec la date du 12 janvier du calendrier grégorien, tout le peuple algérien désormais et à travers ses 48 départements se prépare activement pour célébrer Yennayer. Seulement, si cette célébration se limitait jadis essentiellement au rituel plat traditionnel, notamment en Kabylie et à tous les foyers, cette année une amélioration dans le programme que ce soit dans l’Oranie ou le Constantinois est envisagé afin de présenter une “explication” la plus caractéristiques possible à cette date-symbole de l’histoire de l’Algérie “imazighen”.
Cette innovation survient en effet en guise d’éclaircissements relatifs aux vieux souvenirs de cette célébration, dans lesquels la tradition revenait à chaque fois comme raison principale de cette considération accordée pourtant avec autant de conviction quant à sa relation étroite vis-à-vis du peuple algérien et de l’Afrique du nord toute entière. Ce sentiment partagé par tous les citoyens se reconnaissant comme tels témoignent et démontrent combien ces derniers sont attachés à leur culture ancestrale. Aussi, à défaut de maîtrise scientifique, la population s’est toujours contentée de l’activité légendaire dont le but est sans doute de préserver les quelques repères restant de l’intrusion d’autres civilisations dévastatrices et déstabilisatrices en même temps. D’ailleurs, pour illustration il ne reste que les femmes et encore d’un certain âge, qui s’adonnent véritablement, à une fête digne de ce nom puisque quelques jours déjà avant le rendez-vous, elles se préparent pour se rendre aux habituels lieux saints réputés comme étant des lieux qui répondent à leurs souhaits de paix dans les cœurs et de jours meilleurs.
Pour conclure, n’oublions pas que si le peuple algérien amazigh est passé à l’an 2958, il n’en est pas de même par contre pour sa langue qui demeure sans statut officiel.
Souhaitons quand même Assegwas amegaz aux Berbères du monde entier.
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=50316&ed=MTcwNQ==
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Célébration de Yennayer, 1er jour du Nouvel an berbère : Le sceau de l’Histoire.
11/01/2008 03:42
Par : Amar Naït Messaoud C’est pendant les festivités d’Irad célébrant au début des années 80 Yennayer, le Nouvel an amazigh, sur les coteaux de Beni Senous, dans la wilaya de Tlemcen, que j’ai pris la pleine mesure de l’étendue géographique de cette fête. Au bord du lac du barrage de Beni Bahdel dans lequel jouaient les reflets des arbres alentour et se miraient les tenues carnavalesques des ‘’gladiateurs’’, des foules bigarrées se livraient à des scènes ludiques marquées par de fortes symboliques, à des joutes oratoires mêlant le berbère et l’arabe et à des cérémonies propitiatoires convoquant une mythologie venant du fond des âges. Le faste des agapes par lesquelles se clôt la cérémonie reste dans les souvenirs pendant les douze mois de l’année.
L’Algérie profonde et réelle, le pays historique et les repères culturels établissant la permanence du fait berbère en Algérie sont là. Ils ne sont surtout pas dans les parades officielles lesquelles, outre leur inanité, entraînent des charges onéreuses rendues possibles par la grâce de la rente pétrolière.
la Dépêche de Kabylie a fait le serment de s’éclipser pendant la journée de Yennayer, et ce depuis sa fondation. Cette absence fait office d’une véritable présence tant est forte la symbolique et puissante la portée de Yennayer, premier jour de l’année berbère. Ce jour est sans doute l’élément immatériel le plus fédérateur de la mémoire berbère nord-africaine puisqu’il remonte au 9e siècle avant la naissance du Christ et qu’il est célébré dans tous les foyers algériens aussi bien berbérophones qu’arabophones. Si le calendrier des fêtes légales ne le prend pas encore en charge, ce n’est pas en tout cas faute d’être assumé et revendiqué par une large frange de la population et du monde associatif.
Entre Yennayer et les autres festivités officielles- aussi fondées et aussi bénéfiques qu’elles puissent être-, il y a au moins une différence de taille. Alors que, par exemple, la manifestation d’ ‘’Alger, capitale de la culture arabe’’ a revêtu un cachet solennel et mis en présence des délégations officielles des différents pays participants, la commémoration du Nouvel an amazigh est principalement pris en charge par la société, aussi bien dans son aspect domestique, historique et intimiste, que dans son aspect festif et ‘’intellectuel’’. De la Kabylie aux Aurès, de Djelfa à Beni Senous, les populations, dans un élan naturel et authentique, se plient à la tradition en organisant cérémonies ludiques et agapes pour accueillir le jour qui appose la marque la mieux sigillée dans la mémoire ancestrale des peuples de l’Afrique du Nord. Le ludique se mêle à l’histoire pour mieux fertiliser la mémoire collective sans que cela fût décidé par un quelconque décret. Depuis plusieurs années, des partis, des associations et des hommes de culture ont tenu à revendiquer un statut officiel pour cette journée de façon à la déclarer chômée et payée au même titre que le 1er janvier et le 1er Moharrem. Ce ne serait que la réparation d’une injustice et d’un déni historiques.
Chez nous, tout en tolérant- un terme offensant qu’il conviendra de bannir-les activités inhérentes à Yennayer-, et tout en prenant une partie d’entre elles en charge, l’État algérien ne cesse de ravaler presque tous les symboles de l’authenticité au rang de folklore confinant parfois à l’exotisme. Seule une reconnaissance complète et officielle de Yennayer par les pouvoirs publics de façon à l’intégrer à la liste des fêtes légales du pays pourra balayer les jugements de valeur et les autres préjugés et, ainsi, créer le déclic dans le processus de la réconciliation de l’Algérien avec son histoire, ses institutions et son État. C’est aussi cela la réconciliation nationale.
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=50315&ed=MTcwNQ==
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Au commencement, Yennayer...
11/01/2008 03:38
Il faut bien un début à toute chose...
Yennayer, signé il y a presque 3 000 ans, en constitue un. La longue et tumultueuse marche des Berbères à travers leur Histoire, faite de gloires et surtout de dominations, mérite bien des égards.
Alors que les Algériens composent avec les moments de fête importés de toutes parts, ils refusent d’admettre que Yennayer constitue un fondement historico-civilisationnel important dans la vie de notre peuple. Faire mine de rassurer les différentes générations qui défilent de la justesse de nos attachements culturels avec l’Orient ou l’Occident dépasse le fait d’acculturation forcée mais aussi un crime contre notre vécu plusieurs fois millénaires. Gargarisant une unité culturelle incantatoire de la Nation arabe, les responsables politiques de ces pays mettent les Berbères dans différentes "sauces" civilisationnelles, afin de les extirper de leur contexte amazigh et nord-africain. Ce projet porté depuis des lustres par ces chantres de l’unification du Monde arabe ont programmé, depuis toujours, l’éradication du fait berbère pour les besoins du rapprochement avec leurs " frères " d’Orient. Pour ce faire, la politique de l’opium et du bâton ne cesse de nous engloutir davantage dans des quêtes de personnalités infinies.
Les tatouages de nos vieilles restent pour l’éternité cette marque d’attachement indéfectible à notre culture. Ces tatouages-symboles évoquent sans tâtonnements ces pages glorieuses de notre Histoire. Vouloir coûte que coûte tourner cette page de l’Histoire, c’est commettre une entorse au temps. Une entorse humainement condamnable, historiquement répréhensible, scientifiquement critiquable et moralement injustifiable.
Le calendrier berbère qui a fixé comme an zéro du calendrier berbère l’année où le roi amazigh Chachneq 1er fondateur de la 22e dynastie égyptienne prit le trône et devint Pharaon en Égypte, symbolise un début de presque 3 000 ans d’existence d’un peuple. Une existence agitée de toutes parts.
Yennayer est la seule fête non musulmane célébrée par tous les Amazighs. Dans chaque région, elle donne lieu à des festivités diverses et à des plats culinaires berbères spéciaux. Il est célébré depuis plusieurs siècles par tradition. Depuis la prise de conscience des Amazighs de leur réalité culturelle, Yennayer est redevenu ce qu’il était. Il a repris la place qui lui sied. Cette place est celle d’une date-référence. Référence à un départ. Un départ vers l’Histoire, celle de l’humanité.
Chachneq a légué une date. Une date, même si elle est associée à une domination, reste symbolique. Cette date restera éternellement une halte pour se remémorer de ce que nous sommes, ce que nous étions à travers l’Histoire. En définitive, Chachneq a bien fait d’envahir.
Yennayer Ameggaz…
Par Mohamed Mouloudj
Source :http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=50314&ed=MTcwNQ==
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Miss Kabylie couronnée le 10 janvier : Le concours en est à sa 3e édition.
02/01/2008 10:01
La troisième édition du concours Miss Kabylie aura lieu, cette année, le 10 janvier, comme l’a souligné le responsable de l’organisation de ce concours, Mourad Ait Ahmed lequel nous a précisé que ce concours coïncidera avec les festivité de Yennayer, histoire de donner un cachet particulier a la manifestation qui se veut, selon lui, l’occasion pour tenter de concilier les valeurs kabyle dans leur dimensions culturelles.
En effet, le concours de Miss Kabylies se tiendra, comme à chaque édition, au niveau de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. Les préparatifs de ce rendez vous vont, d’ores et déjà, bon train, dans la mesure où les organisateurs sont toujours à pied d’œuvre pour justement finaliser toutes les démarches inhérentes à cet événement. Ses organisateurs comptent, d’ailleurs, mettre le paquet afin de permettre, surtout aux filles de la Kabylie profonde de prendre part a ce concours " Le concours ne se limite aucunement aux filles des villes mais il s’ouvre également à celles des villages de Kabylie qui regorgent d’une beauté magnifique. Donc, cela dit, moi et ma femme, Feriel, misons beaucoup sur cet aspect qui consiste à pouvoir surmenter certains tabous qui rongent notre société ", explique, de ce fait, Mourad Ait Ahmed. " La mode est souvent une vitrine où une page de magazine, c’est aussi un univers qui évoque le style et la création des professions très variées. C’est aussi la raison d’être une collection de Miss Kabylie ", a ajouté, dans le même sillage, Madame Feriel qui précise, en outre, que l’objectif de ce concours va dans le sens de " réhabiliter le patrimoine culturel national dans un volet artistique et créer la tradition dans notre région, et ce, après l’initiative de la première et de la deuxième éditions tenues à la Maison de la culture de Tizi Ouzou. Nous voulons aussi instaurer une tradition de rencontre entre la jeunesse algérienne", a-t-elle souligné tout en estimant que le comité d’organisation de cette manifestation s’attelle à tout mettre en œuvre, afin surtout d’essayer d’atteindre l’objectif de cette activité, celui de relever le défi, ajoute-t-elle. Par ailleurs, notons que le règlement intérieur du concours élaboré par le comité d’organisation met en relief toutes les dispositions régissant cette activité. De ce fait, selon le document en question, " les concurrentes doivent être âgées de 18 ans au moins et de 25 maximum, et ce, à la date du concours. Elles doivent jouir d’une excellente réputation, s’exprimant aisément en kabyle et d’une riche culture générale ( pratique d’une langue étrangère souhaitée. Elles doivent mesurer au minimum 1,68 , être célibataire, sans enfants, non précédemment mariées, ni divorcées et ne vivant pas maritalement ", peut-on lire, dans le règlement intérieur de la manifestation. Enfin, pour ce qui est des moyens mobilisés pour le déroulement de cet événement , le responsable du comité d’organisation, Mourad Ait Ahmed, dira : "L’événement se déroule en Kabylie mais malheureusement, le soutien vient toujours d’Alger. Je ne sais pas pourquoi alors que dans la région il y a plusieurs entreprises en mesure de prendre en charge ce genre de manifestations."
Par : A.H.
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=49962&ed=MTY5OA==
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Première télévision collaborative berbère au monde : Berbere24 TV
27/11/2007 03:34
* Logo Berbere24 Tous droits réservés
*Un nouveau média pour des atouts novateurs
Première télévision collaborative berbère au monde, tout autant que première télévision francophone berbère, Berbere24.com à vocation de transmettre une information berbère francophone et amazighophone gratuite et accessible au plus grand nombre.
- une télévision gratuite accessible depuis tout écran connecté au réseau internet (internet sur écran tv, moniteurs pc, téléphonie mobile 3G...)
- une télévision qui se décline de la webtv à la tv traditionnelle
- une télévision sans frontière accessible 24H/24 7j/7
- une télévision ouverte et indépendante
- une télévision qui s'affranchit de la technique coûteuse du broadcasting traditionnel en utilisant des outils révolutionnaires pour la programmation et la diffusion collaborative tels que Mogulus Pro
- un canal diffusé sur le plus consulté des sites berbères : Kabyle.com
Une équipe qui prend ses marques :
Pour assurer une continuté des programmes dans un premier temps, la tv berbère Berbere24tv se basera sur une grille constituée de clips vidéo déjà existant sur les réseaux Youtube..., des webcams en duplex du puissant réseau de radios locales notamment à Lyon, de vos interventions personnelles, d'un JT hebdo présenté par l'équipe Berbere24 à Lyon.
Dans son mode multi-utilisateurs, Berbere24 ouvre à une collaboration avec des personnes situées de tout endroit du monde.
Le calendrier du lancement du canal :
Novembre - Mire et premiers clips
Décembre - Lancement du JT archivé sur berbere24.com
13 janvier 2008 Lancement officiel de Berbere24 TV
Mars-avril Formation Paris DRUPAL montage video et logiciels libre S.MERABET equipement redac Paris
Septembre Formation Conférence Nouvelles technologies de l'information et identités DRUPAL montage vidéo Equipement rédacs Bgayet - Tizi-Ouzou
Stéphane MÉRABET ARRAMI
publié par Hassane http://quebec.kabylie.dzblog.com/article-190645.html
Commentaire de sabrina (25/01/2008 21:54) :
bo,jour votre blog de la kabylie est super ceux ki connaisse pas cette
ville ca leur permet di visité et pui c' est bien que kelkun face ces
choses la de mettre en valeur notre pays et le village bon allé salem
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Quand il n’y a que la haine .
19/11/2007 02:31
Il s’appelle Farid, il a quatre ans et il était beau comme un petit dieu.J’ai découvert sa photo hier à la une de mon journal. Le regard insolent et les cheveux dans un beau désordre, ce garçon semblait avoir définitivement chassé la mort.Sa frimousse de star précoce suggérait déjà quelque grand destin.Sa gueule d’enfer promettait une carrière de cinéma et son maillot de foot esquissait un rêve de grandeur.Farid a été retrouvé au fond d’un puits, une grosse pierre attachée à son corps sans vie. Je n’ai pas eu envie de pleurer, mais de vomir.Ma haine et les restes de loubia sur la face des tueurs d’enfants.Pas seulement sur les tueurs d’enfants, mais aussi sur celle des hommes et des institutions qui n’arrivent pas à mettre à l’abri de l’horreur qui guette dans chaque coin de rue, sur chaque parcelle de terrain vague, au détour d’un sentier ou à la sortie de l’école, des millions de Farid. J’ai été saisi par une irrésistible envie de crier mon dégoût d’une société criminellement nonchalante face à la mort d’enfants.J’en veux à tous ceux qui n’ont pas ameuté le village planétaire pour que Farid reste en vie.J’en veux à ceux qui n’ont pas tenté le diable, qui ne l’ont saisi ni par la queue ni par les cornes, pour que la silhouette de Farid déambule encore dans les dédales d’Izanouthène, le maillot de foot mouillé par l’effort, et le rêve de grandeur toujours possible.Je me méprise d’avoir ignoré son existence et de découvrir son supplice à la une de ma feuille de chou. Je me méprise de n’avoir rien fait et, pire, de n’avoir rien su avant l’irréparable. De n’avoir pas esquissé un geste pendant son calvaire et de me lamenter aujourd’hui sur sa mort. Je méprise l’autopsie et le légiste qui vont ajouter une autre meurtrissure sur le corps sans vie de Farid. Je hais les résultats qui vont peut-être conclure qu’il a été violé.Il n’y a que de la haine en moi aujourd’hui et je n’ai aucune intention de m’en excuser.Je hais la justice qui ne va pas ramener Farid à la vie, ni tempérer la douleur des siens.Je hais le président de la République qui, dans dix ou quinze ans, graciera peut-être son bourreau qui s’en ira guetter d’autres Farid au détour d’un buissoe hais le barreau et l’avocat qui va défendre l’assassin d’enfants.
Le médecin qui va tenter de lui fabriquer un dossier psychiatrique et les âmes sensibles qui vont encore dire que le bourreau est aussi une victime qui mériterait quelques circonstances atténuantes.J’ai honte d’oublier demain le calvaire d’un enfant et de continuer à regarder les miens dans les yeux.
P.S. : Aujourd’hui, j’ai honte de voir ma photo sur le journal.Celle de Farid prendra sa place, comme ça, juste pour faire quelque chose, un geste dérisoire de quelqu’un qui ne sait pas quoi faire.
Par : S.L.
salimlaouari@yahoo.fr
laouarisliman@gmail.com
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Édition du Lundi 19 Novembre 2007 N° 1663
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=48111&ed=MTY2Mw==
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Beauté fine par Lounis Ait-Menguellet.
27/08/2007 03:18
- Beauté fine
- Ton visage brille
- Comme un flambeau
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- Gloire à l'oeuvre du Créateur
- quiconque le voit est inspiré
- Fine beauté tu me hantes
- Ton visage brille comme un flambeau
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- Quand elle va à la fontaine
- Les oiseaux chantent
- Elle éblouit ceux qu'elle rencontre
- Et rend muets les garçons
- Mon coeur ne désire que toi
- Ton visage de lumière
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- Quand elle paraît à sa fenêtre au matin
- Les oiseaux la chantent
- Beauté d'une rose tendre
- Gloire à qui a créé ton charme
- Après ton départ mon coeur languit
- Tu es tissée à sa vie
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- Ta beauté me hante
- Je pense à toi chaque jour
- Le sommeil m'a fui
- Me laissant éveillé jusqu'à l'aube
- Je suis hanté par ton image
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