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Un micro-ordinateur comme récompense : Petit et modeste geste
29/07/2007 16:00
« Leqraya tafat n’dunnit ».
Source : http://tassaft.vip-blog.com
Photo :Lounis Ait-Ouahioune
Commentaire de gina (14/09/2007 16:27) :
bon week-end yes en famille et
l.automne est la yessss avec l.hallowen bientot yessss besitos gina
http://gina.vip-blog.com
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Cercle Solidarité de Tassaft AZAR.
19/05/2007 04:58
Nous, jeunes du village de Tassaft, résidants pour l’essentiel d’entre nous à l’extérieur du village, voulons apporter notre aide à ceux qui sont dans la nécessité, mais aussi assister nos écoliers dans leurs parcours scolaires, cela en les encourageant et en les motivant davantage pour plus de réussite dans leurs études.
Nous portons à la connaissance de nos concitoyens la création d’un cercle de solidarité « AZAR » qui se veut discret et modeste dans les gestes, mais très déterminé pour persister et concrétiser dans le village la culture de l’entraide, de la solidarité et de la communion, selon le modèle ancestral, ancrée dans nos mœurs et mode de vie.
Pour cela, retenant dans notre cercle plusieurs projets et actions aussi ambitieux que bénéfiques qui intéresserons principalement nos écoliers (notamment les lycéen(e)s dans un premier moment), nous avons décidé d’offrir en guise de récompense pour la réussite au BAC de la session de cette année (juin 2007), un micro ordinateur au futur(e) bachelier(e) qui aura obtenu la meilleure note en cette épreuve (le relevé de note faisant foi).
Petit et modeste geste que l’on veut significatif, car pour nous « Leqraya tafat n’dunnit ».
Bonne chance à toutes et à tous...
PS : pour plus d’informations sur le cercle « AZAR » consultez le site :
http://tassaft.vip-blog.com/
ou s’adresser à Da Djaffer Ouahioune ou Lounis Ait Ouahioune.
Le Cercle « AZAR ».
Commentaire de gina (17/06/2007 20:05) :
bon lundi je suis tot car trop de monde a voir bisous boop café
maison yesssssssss
http://gina.vip-blog.com
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Hommage aux mères…. !
15/05/2007 18:07
BEAU TABLEAU DE Melle BELMEDJBAR SUR LA FEMME KABYLE
Elles nous ont mis au monde, elles ont bravé, chacune à sa manière, la mise au monde d’un enfant que nous étions et de cet adulte que nous devenons…..Elles ont fait une concession à leur vie au détriment de la notre…..Elles ont pleuré quand on a mal, elles riaient quand on sourit d’un berceau ancestrale et elles veillaient des nuits à nous blottir dans leurs bras quand le sommeil de cet que enfant que nous étions n’était pas juste….
Elles, ce sont nos mères, celles –la qui nous ont vus grandir tantôt dans l’aise et la joie tantôt dans la peur et l’angoisse d’une vie dure. Peu importe son origine, sa nationalité, la mère est la même, elle a, la même douleur et la même façon d’espérer, la même peine et le même cœur qui attend, qui espère. Ne dit on pas qu’il n’y a qu’une mère qui peut comprendre son fils ? Mais si on renverse la question, ce fils a t- il compris un jour sa mère ? A-t on compris une fois sa maman ? De sa douleur, de sa fatigue de ses peines, certes qui différent d’une mère à une autre mais en général, toutes les mamans sont très attentives à leurs enfants, mais certaines mères le sont beaucoups, beaucoups plus que les autres. On les appelle des "mères poules" car elles "couvent" leurs enfants, elles veulent les protéger de tout, les garder "sous leurs ailes". Mais les enfants une fois grandis, deviennent adultes ne peuvent mesurer tout cette ébauche d’énergie déversée pour lui, toute cette attention prise dans le temps de son inconscience…..Aujourd’hui, ils ne peuvent même comprendre ni à pouvoir rendre la monnaie de sa pièce au contraire on en remarque un revers de médaille qui atteint le point de non retour ,celui de fuir celle qui l’a enfanté et des fois atteindre son intégrité en la battant et combien de cas ont été déclares ça et la,,,,,et la mère mérite –elle cette récompense ? D’aucuns se disent qu’avec le temps, l’enfant grandit et adopte un autre comportement et quand il devient adulte, il est pris par d’autres responsabilité…..mais ceci n’est qu’une simple vision parce que réellement, le respect d’autrui n’a pas d’age alors quand il s’agit d’une mère, il est évident quand on a pas besoin d’un schéma pour comprendre qu’elle fait partie de nous, même si au pire des cas, on ne se rend pas compte….et quelque part ,la mère est le pilier d’une famille que même si sa progéniture va ça et la ,elle en demeure toujours une adresse morale puisque c’est à elle qu’on en se confie quand on a mal et c’est elle qui se peine de notre douleur plus que nous…..Aujourd’hui ce serment sacre se veut détourné comme un fleuve qu’on a jamais connu . On assiste à des moments les plus maussades ô ! combien douloureux de la voir pleurer dans un temps ou elle se sent seule….il serait difficile de décrire ce moment mais il ne serait jamais difficile de le comprendre et le comprendre c’est rendre au moins un petit hommage à celle qui nous a fait des ailes ,à celle, qui est, toute sa vie de nos cotes, à celle qui ne sent sa joie que dans celle de son fils…à celle qui toute notre vie, on ne pourra jamais rendre, en entier, tout le bien dont elle s’est débattu pour nous. .celle-la s’appelle une mère… celle-la dont on a pas une autre de rechange… Par M.Z.
Source de l'article : http://www.algeronet.com/article.php?id=246
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L'album des chansons amazighes pour enfants: Un cadeau à tous les fans de la chanson amazighe.
12/05/2007 15:41
Durant une période de quatorze ans, au sein de l'Association Bani et de l'Organisation Tamaynut section d'Inezgane, un grand travail a été effectué pour préparer des chansons amazighes en faveur des enfants. Et après une longue attente nous avons arrivé enfin à les enregistrer dans un album.
1-Bani et la chanson pour enfants:
À Icht, un petit village de la province de Tata au piémont de la montagne de Bani, l'année 1993 a connu la création de l'Entente Sportive d'Icht (ESI). Une équipe footballistique mais aussi un espace artistique et culturel. D'ici, j'ai commencé ma carrière comme poète débutant en essayant d'écrire et de produire des chansons destinées aux enfants du village telles que: "Azzan yyicht" (l'enfant d'Icht) et " Asbrrek" (la bienvenue). A cette époque le travail a été formidable en particulier, avec le vétéran Brahim AGUIZOUL, un homme toujours fidèle aux activités destinées aux enfants, et le banjoïste Ahmed AHARBIL, un musicien fasciné par le style du célèbre groupe musical "Archach".
Après deux ans, l'Entente a cédé sa place à l'Association Bani, crée en 1995. La production de nouvelles chansons pour enfants va être continuée. En 1996 c'est la naissance de la chanson aimable "Ajeddig" (la fleur) qui a été pour moi le point de départ vers des belles chansons qui viendraient après. Une troisième personne va apparaître sur scène et qui va laisser ces traces, le jeune poète talentueux Brahim ELMOURABIT l'auteur de "Imazighen" et "Azul i Gma" (salut frère) dont A.AHARBIL a été compositeur. 2001 est l'année de "Azzan d ma-s" (l'enfant et sa mère), la chanson qui a attiré l'attention de tout le monde enfants et adultes, elle va être suivie de "Tagant" (la forêt) composée par Lahcen BENDAOUD.
Les activités estivales organisait chaque année à Bani, ont été des occasions pour montrer notre savoir faire au domaine de la chanson destinée aux enfants. Plus d'une cinquantaine d'enfants ont le plaisir de chanter et de jouir de ces chansons durant plus de quatorze ans. Le groupe de la chorale de Bani a participé aux plusieurs fêtes et festivals, à Icht et aux villages voisins et même à Inezgane et Agadir.
2-Tamaynut d'Inezgane un espace privilégié pour enfant:
L'Organisation Tamaynut section d'Inezgane a été créée à la maison des jeunes en 1993. Malgré le manque des moyens et les conditions de travail parfois défavorables, des militants, fiers d'être amazighs, ont une forte volonté et un grand courage de lancer leur défi pour affronter et dépasser tous les obstacles, dans le but de promouvoir et de défendre leur identité amazighe marginalisée dans son pays natal. L'activité pour enfant a été considérée comme l'une de leurs premières préoccupations.
Des poètes et des musiciens, ont préparé plusieurs chansons, dans une époque où la chanson pour enfant en langue amazighe a été quasiment inexistante. Au début, avec Brahim LAASRI et sa chanson " Arraw arraw" et surtout Anir BOUYAKOUBI, un militant amazigh de grande taille toujours fidèle à Tamaynut, l'auteur de "Immi Henna" "Tazzanin gan yan" et " Berrkat".
L'installation de la section à Tarrast en 1998, a renforcé le travail au domaine de la chanson pour enfants. C'est le tour de deux grands musiciens, Lahoucine OUCHEN, dit Hafid, et Jamal IZOUAGHN, de montrer leurs talents musicaux, en enseignant des cours de solfèges en faveur de nombreux enfants fréquentés le local de Tamaynut presque chaque jour. De nouvelles chansons vont s'ajouter aux anciennes. "Smaqqlata tagut" et "Yuf itri" deux œuvres de Hafid, avec qui j'avais le plaisir de préparer " Azzan igragren " (l'enfant souffrant) "Tafsut" (le printemps), "Anrar" (l'aire). Sans oublier "Itran" (les étoiles) composée par Jamal. Quelques années après c'est le tour d'un nouveau musicien nommé Mustapha LASKAR, une personne très active, de composer "Awal amazigh" (la langue amazighe). Et enfin la dernière œuvre de Hafid est "Ilul wayyur" une chanson de toute beauté.
Une série de chansons chantées par des enfants toujours impressionnants à leurs participations aux festivals régionaux de la chanson pour enfants en classant les premiers à plusieurs occasions. Sans aucune doute, les vrais représentants de tamazight à ces manifestations parfois les seuls participants avec des chansons en langue amazighe.
3-L'élaboration et l'enregistrement de l'album:
Après un travail magnifique, durant cette période, et après un regroupement de plus d'une quinzaine de chansons, la décision a été prise à la section d'Inezgane pour les enregistrer dans un album afin d'arriver au grand public. L'idée de ce grand projet a été proposée depuis 2000. Mais le problème financier a retardé sa réalisation. Six ans plus tard, le bureau national de Tamaynut a pris en charge son financement. Et pour que sa réalisation soit parfaite, une commission a été créée au sein de la section, composée de Hassan AGUIZOUL, Abdallah MEZIG, Hafid OUCHEN, Yugerten BOUKRDI, M. LASKAR, A. ZIRI, Sana MACHRAFI...
Avant de se présenter devant les matériels d'enregistrement, plus de quatre mois de travail, chez H.OUCHEN à la maison pour mettre les dernières retouches aux chansons choisies pour l'enregistrement. Et durant quatre jours, dans un air d'ambiance, l'enregistrement et le mixage ont été effectués au Studio Disco Frères à Tarrast.
La jaquette de la cassette est l'œuvre de Abdelwahab BOUCHTART, tandis que Lahoucine ALIHSSAYNI et Abdallah HITOUS ont suivi le projet jusqu'à l'apparition de l'album le 1ere Mars 2007.
Il faut remercier fortement tous ceux qui ont participé à la réalisation de ce projet. En un seul mot "TANMMIRT" à tous. Notre espoir est que tout le monde satisfera d'écouter ces chansons.
Donc nous avons semé des chansons et nous avons récolté un album. Qui contient des perles littéraires et musicales dédier à tous les fans de la chanson amazighe. C'est la récompense de tous les encadreurs et tous les enfants à Tamaynut ou à Bani, avec qui nous avons vécut des moments inoubliables gravés dans la mémoire pour toujours.
Nous n'avons pas perdu notre temps durant ces années de travail, au contraire nous avons d'une part enrichi la chanson amazighe avec de nouveau produit, et d'autre part nous nous sommes enrichis de la culture et de la langue amazighe.
4- La présentation de l'album:
Les titres: Ajeddig - Smaqqlat tagut - Azul i gma – Itran – Tafsut Anrar/Igider - Ilul wayyur - Yuf itri - Azzan d mas – Tagant - Awal amazigh.
Les auteurs: Abdallah MEZIG - Lahoucine OUCHEN - Brahim ELMOURABIT.
Les compositeurs: Lahoucine OUCHEN - Abdallah MEZIG - Ahmed AHARBIL - Jamal IZOUAGHN - Lahcen BENDAOUD -Mustapha LASSKAR
Chorale de Tamaynut section d'Inezgane: Hajar BAJOJ - Tilila AGUIZOUL - Hicham LASSKAR - Hasna AGURD - Khadija TAUILE - Fatima IDHAMOU - Ikram AGUIZOUL - Mohamd HMAMO - Zahra LASRI - Youssef FARSOUNE
Solo: Lahoucine OUCHEN
Bass: Ahmed BOULFRA
Guitare: Bachir MOUSAID
Percussion: Lahoucine FADIL
Enregistrement & mixage: Abdelkarim – Studio Disco frères.
Conception & réalisation de la jaquette: Abdelwahab BOUCHTART.
Par: Abdallah MEZIG (mezigabdallah@caramail.com)
Commentaire de Samira & Barbara (13/05/2007 00:43) :
Hommages aux mamans... Bonne fête à toutes les mamans… Maman... Yima... Un
Nom, que l on prononce couramment… Facilement... Mais qui pèsent dans nos
cœurs énormément… L être le plus tendre que j ai connu jusqu a maintenant…
Je pense à toi à chaque instant... Si on demande à quelq un de porter un
kilos dans ca main pendant 9 mois, il va pas tenir une heur des fois, mais
les mères le font merveilleusement, même si c est un fardeau très lourd… D
ou elle vient cette force, c est l amour qu elle nous porte.. Une mère
aussi peut être une maman, une amie, elle nous apprend la vie dès notre
plus jeune âge… Elle nous guide, surtout elle veille sur nous… Et elle le
fait jusqu a son dernier souffle, même si on a dépassé l âge… Que Dieu te
garde pour moi et te protège le plus longtemps... Je t’aime, je t’aime, je
t’aime……
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Commentaire de Arezki de Montréal (13/05/2007 02:35) :
Azul ,bonjour ,
Idir ! Un artiste délicat. .
J\'ai pensé que c\'était de circonstances d\'écouter les
paroles touchantes d\'Idir.
J\'espère que vous aimerez autant que moi . . .
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ssendu/video/xemeh_ssendu
Arezki. ps: merci Samira et Barbara pour les bonnes paroles ...bonne
fête à toutes les mamans du monde!!!
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Commentaire de abdellah (14/05/2007 03:31) :
Touchant, emouvant,magnifique,nostalgique, divin,de circonstance
aussi,....et y a encore d'autres qualificatifs,mais disant tout
simplement "beau" ,un mot qui resume tout et c'est aussi toute notre
vie.
IDDIR, l'indetronable,l'indemodable,oui j'aime beaucoup et
merci pour ce bain dans ce qui nous est tres cher, la mere et tamurth
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Commentaire de aomar (14/05/2007 03:32) :
excellente initiative, un moment trés fort en cet événement spécialement
dédié à nos mamans.
merci
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Un Kabyle, un homme universel.
27/03/2007 23:40
Azul à Belqasem. Je vais me permettre de te tutoyer tout au long de cet entretien. Tout d'abord je voudrais te demander si tu as des choses à rajouter à la biographie que nous pouvons lire sur la couverture de tes 2 recueils ?
Certainement... Mais avant ça, je dirai azul fellak, d wagad ara yeghren tadiwennit (1) agi.Puis, je voudrais ajouter que Guendoul mon village natal, n'a eu l'électricité qu'en 1985, l'eau en 1995 et la route en 1998, pour te dire que je ne suis pas né à Las Végas... Remarque, il y a certainement bien d'autres villages qui n'ont encore rien de tout ça au moment où l'on se parle, mi-2005. Mais, bon, c'est le sort des imazighen. Au Maroc, c´est encore pire.
Comment vient-on à la poésie. On se réveille un matin, puis on se découvre poète et on se met à écrire, ou bien c'est un processus d'apprentissage et tout le monde peut s'y mettre un jour ?
Tettunefk-iyi sghur Rebbi... Mais en réalité, ni on y va ni elle vient, la poésie. Tu sais ? Si tu coupes toutes les branches d'un arbre, figure-toi que des bourgeons viendront du tronc ou même plus bas encore, des racines, à côté du tronc. Ceci prouve qu'à un moment donné, le poids ou le cumul de tout un tas de choses vécues ne peuvent être supportés, ça sort, comme un tremblement de terre ou alors ce sera la déprime. Et c'est ce qu'on appelle, dans ces pays respectables, l'Art thérapie. En Kabylie, il y a le "Drap thérapie". Cette région détient le record de suicides du pays. La liberté d'expression est un antidépresseur efficace et naturel. Pour la poésie, tu sais, il y a ce qu'on peut appeler l'âme du poème : un mot, un proverbe, ou une expression peuvent constituer l'ossature. Ensuite, il y a la partie logique et le choix des mots. Tout ça, intégré pour en faire un écrit cohérent, sans oublier le respect de la rime. La langue berbère étant essentiellement orale, il y a le côté sonorité qui revêt une grande importance. L'exercice, bien entendu, améliore les choses au fil du temps. C'est comme Ah'eddad n lfetta: plus il vieillit, plus il raffine ses bijoux et innove dans le fond et la forme. Un vers peut être incomplet à lui seul, car coupé à la bonne rime; le vers suivant fera le reste. Tout ça c'est technique, sans passer par l'école des beaux arts de Amraoua.
Y a t-il des moments, des périodes, des endroits ou des situations qui t'inspirent le plus ?
Il y a des moments de réception, mais pas spécialement de lieux. On peut écrire un poème dans un autobus, un café ou dans un jardin. Mais être seul aide effectivement beaucoup. C'est une expression des choses par soi. On ne peut pas décider d'écrire un poème. Un discours, un texte, une vue peut enclencher ce que j'ai appelé plus haut, l'ossature et le reste est un travail à finir. techniquement. Il m'est arrivé d'être en voiture en train d'écouter la radio puis d'arrêter et saisir l'idée, le nom ou l'anecdote et de poursuivre mon chemin pour écrire le reste par la suite.
Comment s'est déroulé le processus de production de tes 2 recueils ? Des problèmes particuliers ? Ou alors tout s'est très bien déroulé ?
Pour écrire, c'est toute une histoire. J'écrivais des poèmes depuis 1976 à peu près. J'ai même écrit des chansons, j'ai produit 2 cassettes passées inaperçues, chantées par un gars qui n'a pas survécu au "Tsunami" algérien (que Dieu ait son âme). J'ai travaillé sur une autre cassette et la personne à qui je l'ai donnée est tellement reconnaissante qu'elle m'a totalement oublié et même ignoré. Les e-mails que je lui envoie ne sortent même pas de mon ordinateur, mais bon... Donc, un soir, j'étais invité chez quelqu'un, à la fin de la soirée, il m'a montré les poèmes qu'il avait composés. Alors, à mon tour, je lui ai promis de lui montrer les miens la semaine suivante. Il les a trouvés intéressants. Ca m'a encouragé mais pas encore convaincu. De là, j'ai décidé de les montrer à une autre personne, qui est du domaine et que je salue au passage et remercie de son aide précieuse. Après les avoir lus, cette personne m'a demandé si j'en avais suffisamment pour pouvoir constituer un recueil. Et ça a démarré comme ça. Pour ce qui est de la production proprement dite, une fois le livre écrit, c' est une autre étape mais moins angoissante que la première. Il y a aussi une troisième, celle de consommer la sortie de ma coquille : le fameux "qu'en dira t-on". Sur ce point je parle à un Kabyle, il est donc inutile de m'étaler davantage, cela après la sortie du premier recueil. Pour le deuxième, la voie est plus ou moins déjà tracée.
Plus de 40 ans, rien ne sort. Arrivé au Canada, 2 ans après, 2 recueils voient le jour. Explique-moi ça.
Cette question est vraiment à sa place. En Algérie, mon ami, celui qui produit une minuscule chose dans l'art, pourrait être un géni en la matière s'il était ailleurs. Penses-tu vraiment être en mesure d'écrire, alors que tu n'as même pas résolu la question du "Qui tue qui" comme de savoir qui est venu en premier, l'oeuf ou la poule ? Ajoutes à ça l'article 120, l'arabisation ainsi que "les vrais faux barrages, ou "les faux vrais barrages". Si tu arrives à résoudre ces énigmes, il te restera à panser tes traumatismes. Tu te souviens du scénario vécu au lycée de Dellys, après la fameuse histoire des poseurs de bombes en 1976 ? Alors souviens-toi de la personne arrêtée pour avoir aimé Chérif Kheddam et surtout avoir transcrit "amarezg n win ik-m-yesaan". Alors, je crois que celui qui a écrit "La régression féconde" (2) a tellement bien vu pour l'Algérie. Où peux-tu trouver un espace pour qu'un individu puisse produire ? Je suis certain que des personnes sont mortes avant même d'avoir pu léguer leur savoir à l'humanité et ce, dans tous les domaines.
Tu as vécu à Djelfa, Oran et maintenant, tu es à Montréal, l'exil à chaque fois. Ressens-tu une différence ?
De distance pas du tout. De ces trois villes, il faut 7 heures à 8 heures de route pour arriver à Tizi-Ouzou. Par rapport à ma langue maternelle, non plus, il n y a pas de différence sauf qu'en Algérie je devais parler Arabe et ici Français. Je dirai que si nous avons plusieurs vies, vivre l'exil enrichit l'individu, mais y passer toute sa jeunesse et ne rentrer au bercail qu'entre les planches de sapin, là, ça change tout. Mais, cette situation est devenue tellement normale pour moi, avec des gens du village, dont on rapatrie le corps y compris celui de mon propre père, tous décédés en France. L'exil est une petite mort, comme on dit, "partir, c'est mourir un peu", mais pour un Kabyle c'en est une grosse, car dans le meilleur des cas, il revient vivant, sans même avoir la force de monter sur un olivier pour cueillir ce que je qualifierai de pétrole du Kabyle. Il ne peut même plus revivre ce souvenir d'enfance avant sa mort.
La Kabylie donne naissance à des Hommes qu'elle donne aux autres nations puis les rappelle vieux ou morts. N'a t-elle pas besoin de ses fils, plutôt jeunes ?
Ce sont ses fils qui ont besoin de leur terre pour vivre comme tout le monde chez eux.Cela changera un jour ou l'autre et d'une manière ou d'une autre.Peut-être pas pour nous. Ce sera pour les générations futures, vu la manière dont s'éteignent toutes les révoltes cycliques de 20ans.
Question classique : parmi tous les poètes Kabyles ou Berbères, y en a t-il un que tu admires ?
A cette question, je réponds par une autre : penses-tu que le choix est vaste ? Le seul connu est Si Mohand U Mhend... Il a eu la chance de ne pas avoir été censuré du fait qu'il n'a pas écrit. L'oralité a cela de bien, mais bon.Il y a aussi la chanson dont il ne faut pas négliger l'apport sur le plan poétique.
Quelle est la situation de la poésie, de la chanson ou de la culture kabyle durant ces dernières années ?
Je tiens à rendre hommage et à encourager tous ceux qui se privent de tout pour investir dans les livres même à compte d’auteur, c'est un acte révolutionnaire. Qu'ils sachent que parmi les meilleurs chanteurs qu'a eu la Kabylie, nombreux sont ceux que la chaîne II a rejetés. Mais grâce à leur abnégation, ils se sont faits une place et aux premières loges. Je citerai en exemple Ccix El-Hasnaoui, at yerh'em Rebbi, et bien d'autres. Pour la qualité, c'est comme si, moi, je demande à un targui qui sillonne le Sahara : "Quelle est la plus belle fleur pour toi ?". Il y en a tellement peu, qu'elles sont toutes exquises. Imagines qu'ici au Québec pour 8 millions d'habitants, ce qui est à peu près l'équivalent de la population kabyle, 2000 livres sortent chaque année, 150 pièces de théâtres sont jouées pour la même période... Alors les 2 ou même 20 livres qui paraissent en Tamazight, sont forcément bons. De plus, même un génie de la bêtise humaine, ne pourra écrire un livre qui ne renferme aucune bonne idée. Pour Tamazight, c'est encore plus vrai : que le livre contienne juste un mot, ce sera un mot de sauvé. C'est vraiment d'une opération de sauvetage dont il s'agit.
En parlant de Ccix El-Hasnaoui, les géants de l'ancienne génération disparaissent les uns après les autres, penses-tu que le pont est jeté avec la nouvelle génération ?
Pour notre génération, c'est certain. Mais, si nous ne faisons rien, les ponts vont se rompre; on ne peut pas tricher avec la nature. Si vraiment cette culture a ses enfants, il n'y aura pas de problèmes. Mais, si tout ça est faux, alors ce sera la disparition pure et simple de l'ethnie. Depuis 40 ans, les films réalisés en Tamazight se comptent sur les doigts d'une seule main, quant aux journaux, tu n'as même pas besoin de doigts pour faire le tour, quoi encore...? Si tu me trouves injuste, remets-moi sur les rails en m'informant mieux sur ce qui se fait en Tamazight. Pour une primeur, je t'informe qu'en 2007 Alger sera la "Capitale de la culture arabe" toute l'année. Et nous, il fallait attendre 40 ans pour avoir une télévision (3) et où ? Chez notre ex-colonisateur, s'il vous plait.
Mis à part quelques férus de la chose, c'est beaucoup plus la chanson qui a beaucoup plus pignon sur rue. Penses-tu mettre tes poèmes en chansons ou les donner à d'autres pour les chanter ?
Mes poèmes ne sont pas chantés, mais cela me fera très plaisir d'en arriver là, ce sera un plus. Tiens, si tu veux changer de métier à ton âge, je peux même te donner des airs de musique; j'ai en ma possession 2 ou 3 cassettes de morceaux de musique. En plus, ce sera gratuit - 'Zrae rebbi ad yessemghi'.
En parlant de chanson, on a l'impression que la chanson Kabyle stagne après la déferlante des années 80.
Il paraît que du côté de chez moi, dans les grandes villes et dans les fourgons de transport le Raï fait rage... C'est vraiment regrettable de ne plus voir de groupes se former comme dans le temps, à l'image de Isulas, Imnayen, Afus, Tacemlit, Abranis etc... Il y en avait des bons et des meilleurs. L'état a voulu la folklorisation de la chanson Kabyle et bravo ! On y est exactement. En plein dedans! Pour l'avenir, si tu sais quelque chose, dis-le moi... Hélas.
Après ces deux recueils, des projets ?
Oui... Deux sont déjà à la portée de l'imprimeur et d'autres en travaux.
Dans d'autres domaines que la poésie.
Je vais voir pour traduire le travail déjà fait dans la langue de Molière, Hizb França oblige. Par ailleurs, un livre en français, mi-biographie, mi-social est à envisager.
Beaucoup de morts, beaucoup de coups de gueule, cela dure depuis 4 ans et tout semble se dénouer comme avec une baguette magique, encore qu'il y a des récalcitrants au rapprochement des Aaruc avec le pouvoir.
Tu sais, moi, j'ai grandi à côté de Asif N Aamrawa. Quand la crue diminue, pour traverser la rivière, on sautille d'une pierre à l'autre. Des fois, le déséquilibre prend le dessus et on se retrouve un pied dans l'eau, mais ce n'est pas pour autant qu'on y met le deuxième. On continue de sautiller, tout en maugréant des insultes, mais on avance. Alors pour le rapprochement avec le pouvoir, ce n'est certainement pas la dernière pierre. Les contestations à venir bénéficieront de l'expérience des Aaruc qui, eux mêmes, ont appris des mouvements du passé. L'avenir nous le dira.
La Kabylie n'arrête pas de se soulever depuis, y a t-il une solution pour que cela cesse ?
La kabylie s'est rebellée, se rebelle et se rebellera. Tant que toutes les rebellions qui se succèdent aboutissent aux mêmes résultats, cela ne s'arrêtera pas. On se retrouve en 2005, avec des kabyles en Corse, en Inde, en Syrie, en Nouvelle Calédonie, en Guyane Française, en France et maintenant au Canada. J'espère que ce sera la dernière destination. Pour la solution, je pense que l'immigration n'est pas propre aux Kabyles dans sa forme conventionnelle. Par contre, la notre est particulière du fait que, même là ou on dit "chez nous", nous sommes en fait chez eux : l'école enseigne dans leur langue, les journaux écrivent dans leur langue, la télévision parle leur langue, même la signalisation routière est dans leur langue Que reste t-il de nous dans le "chez nous" ? C'est peut-être bien ainsi comme ça, l'Homme kabyle est devenu Universel.
Il est temps pour lui de regagner le bercail avec son savoir et son avoir et construire un pays à léguer aux descendants de Massinissa. Y songer sérieusement est déjà un grand pas; quand, comment, les bons esprits trouveront les bonnes réponses.
Tanmirt.
(1) Interview (2) Régression féconde : de Houari Aadi (3) BRTV
Entretien avec Belqasem ihidjaten, réalisé le 14/05/2005 par Lyazid LALIAM
Source : http://www.berberes.com/page.php?page=a_boussad_poesie
Commentaire de Samira & Barbara (28/03/2007 17:21) :
Bone fin après midi…Arezki...et...

Nous te
souhaitons…une journée remplie…de paix,d'amourde bonheur,et de la
joie….
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Tabratt i Uqbayli : Lettre aux Kabyles
11/03/2007 04:59
Tabratt i Uqbayli Sγur: Djaafar Messaoudi
Source : http://membres.lycos.fr/tamurqbaylit/Tamedyezt/tabrattiuqbayli.html
Ma d-tidett seg yiwen uẓar ay d-nefruri Acuγer akk-a ay nettennaγ ihi Tezga terwi fell-aγ teswiεt ur tefri Kkes-d deg umennuγ nneγ w’ur n-zhi Kečč la teqqareḍ nekk n RCD Ur yelli urgaz nnig Saεdi Nekk la k-qqareγ Si-Lḥusin d-afeḥli Win yeṭṭfen deg-s werğin yeγli Nemyergam deg’berdan s Ṛebbi Nemḍeggar tikerkas s irebbi Neggul i lebda wer nemlaεi Ur nettemẓurru ula di nnεi Yal wa nnger n wayeḍ yegguni Nettu i tegmatt umi nezzi d-tirni Nerhef u lhiba deg-neγ ur d-teggri Ma nsuγ aεdaw deg-neγ ur d-yedhi Yettwakkes-aγ uzref nnif yettwadri Nekkni mazal wa γer wayeḍ yettwehhi
Iyyaw ad awen-mleγ ṣwab a-wladi Ilaq γef tmaziγt meṛṛa ad nezdi Win deg-neγ umi tezleg tikli Ad t-nweṣṣi s wawal ẓiden lεali Γas ma di tsertit ur nettemcabi Deg wagar-aneγ ur nettemdabi Ili-k d-ineslem neγ d-acyuεi Ma aya yeffer yiwen ur t-yuεi Ma tenniḍ kan nekk d-Aqbayli Ḥemmleγ-k a-gma lεali Tamurqbaylit ad tezdi Ad tebded am yeẓdi Acengu allaγ-is ad yerwi Kra yessarem ur iḍusa iswi
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Lettre aux Kabyles Par : Djaafar Messaoudi
Si vraiment nous sommes de la même race Pourquoi alors nous battons-nous sans cesse ? Nous sommes toujours en état de trouble Tout le monde se réjouit de nos conflits Tu te vantes de ton appartenance au RCD Tu dis qu’il n’y a personne au-dessus de Saadi Et moi je te réponds que Si-Lhucine est plus virile Qui s’accroche à lui ne tombera jamais Nous nous sommes insultés en pleine rue Nous nous sommes à maintes fois trahis Nous avons juré de ne point se parler Ni même se visiter le jour de deuil Chacun guette l’écroulement de l’autre Nous ignorons que tamazight en souffre Devenus faibles, nous n’inspirons aucun respect Notre ennemi nous méprise à chaque doléance Nous sommes privés de nos droits et notre honneur écrasé Et nous continuons à s'entre-déchirer
Permettez-moi de vous conseiller, mes frères Nous devons nous rassembler autour de tamazight Si quiconque se comporte mal parmi nous Nous le conseillerons gentiment Même si nous divergeons en politique Nous ne devons pas nous battre comme des chiens Sois musulman ou communiste Si cela reste personnel Si tu dis uniquement "je suis kabyle Je t'aime ô mon frère" La Kabylie sera unie Elle sera debout avec toute sa fierté Notre ennemi sera fou Ses souhaits sont tombés dans l'eau
Photo de la kabylie : http://matoub.kabylie.free.fr/photos-kabylie-1/index.htm
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Commentaire de Samira & Barbara (11/03/2007 20:28) :
Bonne soirée Arezki…et

a>
… …Nous te
souhaitons une semaine remplie de paix, d'amour, de bonheur, et de la
joie.
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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Commentaire de tes (02/09/2007 10:46) :
je tiens tout d'abord a remercier la ou les personnes qui ont pensé a
aire ce blog.c'est vraiment tres interessant et important de parler de
sa culture et de ses traditions surtout pour nous les kabyles.t ce que vous
avez fait ici est tres bien je vous en remercie c 'est comme c que
note culture et nos traditions continuront a vivre et a traverser les
années.
bravo t vive la kabylie et les gens de fort national
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Commentaire de Arezki (05/09/2007 04:15) :
Ulach ughilif , ça me fait un trés grand plaisir de lire vos commentaires
et grace à vous que je continue mon blog...et je le tiens à jour
....Tannemirt ...afud idjehden ...i ya k win d... s gul...s ar
m'ghawen lehna d seha yak i kenwi su mata...slamiw amuqran si monriyal
i ya k tarwa i glan di tmurt ni anda nidhen... A r tufat
http://kabylie.vip-blog.com a111@sympatico.ca |
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Les chiffres ont été révélés par le magazine Marianne : Deux millions de berbérophones en France
07/03/2007 03:27
photo : http://fr.wikipedia.org/wiki/ParisLa population berbérophone de France est estimée à 35 % de l’ensemble de la population originaire de l’Afrique du Nord établie en France (quel que soit son statut juridique).
A la veille des élections présidentielles françaises, les informations sur le nombre de Berbères vivant en France, rendues publiques par la revue Marianne, renseignent sur le poids que pourraient peser les voix de cette population. Un poids qu’aucun candidat à la magistrature suprême ne pourrait ne pas prendre en considération.
Les Kabyles sont en tête de liste, suivis juste après par les Marocains. Le nombre des premiers est passé de 13 000 en 1914 à 500 000 actuellement. Les chiffres ont été livrés dans un dossier spécial publié dans le magazine Marianne de la semaine dernière. Marianne reprend ces informations à partir des résultats d’un colloque tenu récemment à l’Institut national des langues et civilisations orientales, Inalco.
La population berbérophone de France est estimée à 35 % de l’ensemble de la population originaire de l’Afrique du Nord établie en France (quel que soit son statut juridique). Sur les cinq millions de personnes d’origine maghrébine, il existe deux millions de berbérophones en France. Le magazine précise que dans leur très grande majorité, ils sont d’origine kabyle (500 000) suivis par les Marocains. Il existe aussi des berbérophones issus d’autres pays comme la Tunisie, la Libye et les pays du Sahel. Mais leur nombre reste peu significatif : de quelques centaines à quelques milliers de personnes.
Le magazine considère que la communauté berbère de France, bien qu’elle soit la plus ancienne, est plutôt mal connue : Le mouvement a commencé dès 1871 : après l’écrasement de l’insurrection kabyle par l’armée française, quelques centaines de Berbères d’Algérie avaient été importés en France. Mais il est bien loin le temps où, comme en 1906, le patronat français, très friand de cette main-d’œuvre soumise et laborieuse, faisait venir des Kabyles pour briser les grèves des ouvriers italiens dans les huileries et savonneries de Marseille. Colonisation, guerres mondiales, guerre d’Algérie, décolonisation du Maghreb, Printemps berbère, assassinats terroristes, au gré des crises économiques et des conflits, ballotés par l’histoire quand ils ne la faisaient pas, poussés par la nécessité de survivre ou transportés par leurs rêves de réussite, d’Algérie surtout, mais aussi, du Maroc, par vagues successives, les Berbères sont venus vivre en France . Les Berbères de France ont commencé par se regrouper tantôt en fonction de leurs choix professionnels, tantôt en fonction de leurs origines géographiques.
On les trouve surtout à Paris et dans le Bassin parisien, dans le Pas de Calais, à Marseille, à Lyon, car ils exerçaient souvent dans les secteurs du bâtiment et de l’industrie. Mais, peu à peu, ils ont fait en sorte d’habiter dans les mêmes quartiers. Par exemple les gens de Tizi Ouzou vont se retrouver dans le XVe, XVIIIe et XXe arrondissements alors que les gens de la vallée de la Soummam vivront dans le Ve et le XIe.
par : Aomar Mohellebi
Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=36316&ed=MTQ0NA==
Commentaire de samira & barbara (07/03/2007 18:48) :
Bonne soirée…et…

Nous te
souhaitons…une journée remplie…de paix,d'amourde bonheur,et de la
joie….
Hoder

aimer_ la_ vie
Avec toute notre amitié
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